L’année qui se termine – j’écris ce billet le 17 décembre 2022 – a été pour moi une grande année rétroludique avec un rythme presque mensuel d’une nouveauté que ce soit sur Commodore 64, Atari 8 bits ou encore Amstrad CPC.
Voici donc un bilan rapide et franchement incomplet pour 2022. Ce sont les jeux qui m’ont vraiment parlé, le site IndieRetroNews est une bible dans ce domaine.
Janvier : C’est le moment où j’ai terminé – avant d’enregistrer une série de 10 vidéos d’une heure dans ma chaine « Jeu et Longplay » sur mon instance peertube – l’excellent « Briley Witch Chronicles » sorti fin octobre 2021.
Février : C’est la sortie du port de « Puzzle Bobble » pour Commodore 64. Un excellent port aussi dur que l’original qui se paye le luxe d’avoir la même introduction que le jeu d’arcade.
Mars : C’est le mois de la sortie de l’ultime révision de l’excellent rogue-like « Rogue64 » sur Commodore 64 bien entendu.
En attendant que le deuxième épisode des aventures de Briley sorte, un autre clone de Zelda appellé « Lykia – The Lost Island » vient de sortir, créée par l’équipe de Pulsar. Il existe aussi une version pour le Commodore Plus 4.
Côté quantité, il n’y a pas de quoi être déçus. Outre la version numérique gratuite, la numérique payante et la future version cartouche à venir chez Psytronik Software et Protovision.
On y joue le rôle de Nora, 16 ans qui à la suite de la demande de sa maman de lui amener un « apogy fruit » se trouve embarqué dans diverses aventures.
Minuscule en vrac’ en ce deuxième samedi de juillet 2022.
Côté logiciel libre, informatique et internet.
Les développeurs de la rétro-scène du Commodore 64 ne cessent de m’étonner, surtout quand le jeu doit tenir dans 4 Ko de mémoire. L’exemple avec un « dungeon crawler » du nom de « Delve!: The Goblin’s Grotto »
Comme je le précisais dans un article de décembre 2021, j’avais gracieusement reçu un Commodore 64 modèle « huche à pain ». Fourni nu : pas de cable d’alimentation, ni de cable vidéo.
J’avais donc sur les conseils du donateur de l’ordinosaure acheté une alimentation neuve chez c64psu.com.
Quel bilan à l’utilisation ? Malgré le fait que la mise en place demande 5 bonnes minutes pour brancher tous les cables, vérifier que la carte SD est bien insérée, idem pour la cartouche de chargement rapide, je prends un malin plaisir à redécouvrir certains titres plus ou moins récents sur mon vrai C64. Il ne me manque qu’une cartouche à la Kung Fu Flash pour les titres n’étant disponibles en format cartouche.
Minuscule en vrac’ en ce pluvieux vendredi de juin 2022.
Côté logiciel libre, informatique et internet.
Fan de clinquant dans le monde linuxien ? La Deepin 20.6 est arrivée pour vous satisfaire.
Fan de distributions novatrices en terme de gestion des logiciels installés ? La NixOS 22.05 vous conviendra parfaitement.
Fan de distributions qui se disent légère et sont aussi lourde qu’une éléphante enceinte ? Alors dans ce cas, la LinuxLite 6.0 est pour vous.
J’adore quand des jeux sont étendus. En fin d’année 2021, j’avais parlé du casse-tête pour Commodore 64, « Tenebra ». Son créateur vient de proposer une version « extended » avec 6 nouveaux niveaux pour un total de 31. Bon courage avec le niveau 26 🙂
Côté culture ?
La chanteuse d’Heligoland vient de sortir un album en duo avec le compositeur Pepo Galan. L’album s’intitule « The Sweet Wait ».
Avec mon âge avancé – j’approche petit à petit du demi-siècle – j’ai connu les consoles de deuxième génération, dont les plus célèbres sont l’Atari 2600 ou encore la ColecoVision.
J’ai connu Galaga en version deluxe pour Amiga, Galaxian, Slap Fight, 1942 et 1943 (sur Amstrad CPC), bref des shoot’em’up parfois punitif qui avait failli m’écoeurer du genre. Je ne suis resté que sur ceux qui m’ont vraiment marqué.
En faisant de recherches sur itch.io, je suis tombé sur un shoot’em’up deux fois récompensés (RGN et IndieRetroNews), « Zeta Wing » développé comme le Zelda-like « Briley Witch Chronicles » par Sarah Jane Avory pour le Commodore 64 que ce soit avec un vrai ordinateur, Vice ou les C64 mini et c64 maxi.
Sur le plan du permis, je me suis inscrit fin juin après plusieurs mois de report. Pour le moment, étant un élève à l’apprentissage plutôt lent, je suis bien loin d’espérer tenter ma chance à la pratique pour le mois de février 2022 comme je me l’étais promis. Décrocher le permis pour mes 48 ans aurait été un beau cadeau. Maintenant, je vise plutôt le printemps ou le début de l’été 2022. Croisons les doigts… Et les orteils 😉
Sur le plan littéraire, c’est une année plutôt bof. Je parlais du projet « M » il y a un an… Et depuis plusieurs mois, l’envie d’écrire et l’inspiration ont disparu de mon environnement.
Voici où en est le projet « M » en cette fin 2021. Oui, 9 mois sans avoir réussi à rajouter la moindre ligne, ça commence à faire long.
Je dois dire que cela fait des années que je n’ai pas connu de telles périodes vides. Mais d’autres plaisirs ont pris le relai, comme la rétro-informatique à laquelle j’ai consacré quelques billets, entre autres, liste étant loin d’être complète !
J’aurais pu rajouter les nombreux billets concernant des jeux sortis pour les ordinosaures et qui ont peuplé mon blog cette année au point de modifier le sous-titre du blog en rajoutant : « et la rétro-informatique ! »
Si on parle de rétro-informatique, il faut parler de l’Amiga. Bien qu’ayant possédé un Amiga 1200, je n’en ai pas gardé un excellent souvenir. Étant arrivé dans le monde Amiga en 1993 (quelques mois avant que Commodore ne dépose le bilan), je n’ai pas connu une période très joyeuse.
Je suivais donc d’un oeil distrait un projet un peu fou, celui de créer un clone de Doom pour Amiga 500 et 1 Mo de mémoire vive. Le nom du projet ? Dread.
J’ai déjà pu dire plusieurs fois que je suis un amateur de rétro-ludique. J’adore les vieux jeux MS-DOS (ou même les productions un peu plus récente), mais comme je l’ai déjà dit en février 2021 :
[…]
Mais pour moi, on est à la limite du pseudo-retro-gaming. Même si Nox Archaist est assez proche du vrai rétro-gaming, il manque un petit quelque chose… Difficile de dire quoi.
En tout cas, comme disait un célèbre animateur à une certaine époque : « Méfiez-vous des contrefaçons ».
En tout cas, une fois la mode du rétro-gaming passée, les vrais productions pour ordinosaures vénérables reprendront du poil de la bête 🙂
J’écris ce billet le 29 mai au soir pour une publication prévue dans les petites heures du 30 mai. Dans environ 3 semaines, le 22 juin, il y aura un anniversaire ludique important : celui de la publication de la version partagicielle d’un jeu qui a marqué son époque, « Quake ».
J’ai déjà parlé plusieurs fois de ce jeu qui m’a marqué et qui a lancé la mode des cartes accelératrices 3D. Principalement dans les articles suivants :
Mais je n’apprécie pas vraiment les jeux qui ont un rendu moche, coupé à la hache sous prétexte de faire un hommage aux jeux de l’époque. DAns le côté mocheté intense, je demande le FPS « Dusk » sorti en 2018.
Rien que la bande annonce présente des modèles 3D dont les graphistes auraient eu honte à l’époque.
Sortir ce genre de titres avec ces graphismes qui ne correspondent en rien à ce qui était disponible en 1996-1997, c’est simplement se foutre de la gueule du monde. Si vous voulez avoir la vraie expérience des jeux 3D de 1996, il y a l’offre légale de GOG pour Quake.
Mais c’est bien connu, je dis ça, mais je dis rien 🙂
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