En vrac’ de milieu de semaine…

Petit en vrac’ en ce dernier mercredi de juin 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • OpenSuSE propose aux personnes utilisant CentOS 7 (qui arrive en fin de vie le 30 juin 2024) un support complémentaire… Qui ne commence qu’à 194€… Autant dire que des options moins chères comme AlmaLinux ou encore Rocky Linux vont récupérer pas mal de personnes.
  • Dans le petit monde des distributions basées sur Archlinux, je demande la SDesk 2024.06.02 dont une des nouveautés principales est l’arrivée du noyau Linux Zen en lieu et place du noyau classique. Plus d’informations sur les notes de publication.
  • Dans la série des ports incroyables, je demande celui de « Tenebra » et de « Tenebra 2 » pour la console Atari Jaguar. Si, c’est possible 🙂

Côté culture ?

Une découverte sympa de la part de Stéphane d’Erdorin.org. Un groupe qui mélange rock progressif et psychédélique, Sykofant dont le premier album éponyme vient de sortir.

Sur ce, bonne fin de semaine !

« Celestial Exile », le sixième album d’Aythis, une réussite.

Je suis le projet solo de Carline Van Roos depuis septembre 2014 avec son album « The New Earth ». Autant dire que je suis un fan de longue date du projet solo de Carline Van Roos.

J’ai ensuite parlé de « The Illusion and The Twin » (en 2016), de « Secret from Below » (en 2021).

J’ai donc une longue histoire avec Aythis comme fan. Pas de la première heure (ayant découvert « Doppelganger » et « Glacia » sur le tard).

Donc trois ans sont passés depuis le dernier album et un EP, « Samhain » est sorti en 2022. Autant dire que j’attendais d’oreille ferme le nouvel album qui est sorti le 7 juin 2024.

Comme pour l’opus précédant donnait une bonne part au post-rock et aux ambiances un peu rock, cet album est aussi hybride avec des pistes plutôt orientées néo-classique Côté longueur, on a 8 pistes pour un peu plus de 43 minutes. En gros, chaque piste fait entre 4 et 6 minutes.

Continuer la lecture de « « Celestial Exile », le sixième album d’Aythis, une réussite. »

Je prends du galon en « geekitude ». J’ai enfin vu « THX 1138 » de George Lucas

S’il y a un film que tout geek se doit de voir un jour où l’autre, c’est bien « THX 1138 », un des premiers films de George Lucas sorti en 1971.

Le postulat de départ est simple : THX 1138 vit dans un monde de blancheur opprimante (je parle de la couleur des décors, pas celle de la peau) avec sa compagne LUH 3417. Un monde où le contrôle de la population par une religion étrange et par la consommation de drogues qui s’occupe des émotions.

De nombreuses scènes se déroulent dans un décor effroyablement blanc, comme le moment où THX 1138 est « stocké » pour expier ses crimes.

Cela n’empêche pas l’existence de décors plus sombres.  THX 1138 lutte pour sa liberté, quitte à franchir tous les interdits et tente de s’enfuir en compagnie d’un compagnon de cellule et d’un autre personnage.

Je ne connaissais le film que par un sample utilisé par Trent Reznor pour l’intro de son titre « Mr Self Destruct » tiré du mythique « The Downward Spiral ».

Oui, ce film est déroutant. Et il est parfois d’actualité, surtout quand on voit la manipulation mentale de la religion de ce monde qui n’a rien à envier à Big Brother dans « 1984 ».

C’est un film à voir, mais préparez-vous à le trouver bizarre. Il l’est, et c’est ce qui fait tout son charme.

En vrac’ de milieu de semaine…

Petit en vrac’ en ce troisième mercredi de mai 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Aquilus a sorti récemment un nouvel album, « Bellum II ». C’est à destination des personnes aimant le black metal atmosphérique. Je dois dire que j’ai donné et que je n’accroche plus à ce genre de black metal.

Sur ce, bonne fin de semaine !

En vrac’ de milieu de semaine…

Petit en vrac’ en ce deuxième mercredi de mai 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Prenez une dose de black metal, une de death metal, un peu de musique traditionnelle et des chants en gascon. Secouez-le tout et vous aurez le premier album de Moisson Livide, « Sent Emp​è​ri Gascon ».

Sur ce, bonne fin de semaine !

« .​.​.​And We Will Move The Stars », un gros retour de la part de Cyclocosmia.

C’est en septembre 2016 que je parlais pour la première fois de Cyclocosmia.

Près de 8 ans sont passés, et entre temps a été publié un EP intermédiaire, « Immured ». Pour compenser l’attente depuis l’EP, un album massif de 84 minutes est proposé à l’écoute et à l’achat. Oui, j’ai bien dit 82 minutes pour 16 pistes. Ce qui fait une moyenne de 5 minutes par piste. L’album s’intitule « .​.​.​And We Will Move The Stars ».

Dès le premier titre, on retrouve le métal symphonique du premier album, ou encore avec les pistes « Bread And Circuses », « Nero », « Redde Legiones », « Home », « Ophidia ».

Mais on trouve aussi des influences de doom metal, avec les pistes « Idriss », « Harihara », « Dikalosyne »,

Il y a des influences metal progressif dans des pistes comme « Lockstep », « Madimi » et « Temple Of The Spider Prince ». Sans oublier des influences au metal industriel avec des pistes comme « Restrained », « Entropy ».

La dernière piste est une longue ballade acoustique qui tranche avec les guitares lourdes du reste de l’album.

C’est un album complet, complexe, du moins à la première écoute. Une chose est sûre, on n’est pas noyé par la lassitude, vu les changements de style, sans oublier une liste de personnes invitées sur les différentes pistes qui est assez longue, dixit la page bandcamp de l’album.

En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce premier samedi du mois de mai 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Vous aimez le post-rock instrumental un brin aérien ? Alors le dernier album de « When Colors Are Fading » est pour vous.

Ajout à 17 h 35, le 4 mai 2024.

Un longplay de la version anglaise de « The Key ». Merci à Xyphoe pour sa vidéo qui m’a bien aidé !

Et oui, je ferai de même avec la version française quand elle sera disponible !

Sur ce, bon week-end

En vrac’ de milieu de semaine…

Petit en vrac’ en ce troisième mercredi d’avril 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Des projet naissent et d’autres meurent. C’est le cas du port pour ARM d’EndeavourOS. Paix à ses octets.
  • Comme chaque mois d’avril depuis 2005, la nouvelle version d’Ubuntu à venir entre en phase bêta. Uniquement conseillée aux personnes qui n’ont pas peur de la ligne de commande en cas d’emmerdes.
  • La Archcraft, une base archlinux orientée légèreté logicielle a sorti sa nouvelle version, la 2024.04.06. Pour les ordinateurs qui rament avec les distributions GNU/Linux classiques.
  • Côté rétroludique, un titre du nom de Pirka vient de sortir pour Amstrad CPC. Un classique casse-tête où il faut aligner 3 tuiles identiques verticalement. Il n’y a pas d’écran de game over. Simplement quand on ne plus rien faire, les commandes « gèlent » et seule la touche ESC permet de revenir au début du jeu. Les oreilles les plus fines auront reconnu la mélodie de « El condor pasa » immortalisé par Simon et Garfunkel.

Côté culture ?

Cosmic Ground vient de sortir son nouvel album, « Melt ». Pour les personnes qui aiment l’ambiant et le kraut rock.

Pour finir, une rapide partie de « Pirka » pour Amstrad CPC. Enfin deux, dont une qui a été plus longue que l’autre. Si on s’applique, on peut avoir de très gros scores, même si c’est un jeu pour quand on a 5 minutes dans la journée.

Sur ce, bonne fin de semaine !

Mémoires télévisuelles d’un enfant des années 1970, épisode 49 : La classe

Dans cet article, je vais parler d’une émission qui donnait la part belle à l’humour plus ou moins recherché, j’ai nommé « La classe » produite par Guy Lux et animé par Fabrice.

L’émission remonte à 1987 et sera diffusée jusqu’en 1994. Elle passait tous les jours à 20 h 00 sur FR3 qui devint France 3 en 1992. Dans l’émission, des humoristes plus ou moins connus rivalisaient pour faire rire les élèves bien perturbateurs de la classe. Parmi eux, le fayot de la classe, Olivier Lejeune. Le maître des calembours plus que tirés par la perruque, Pompon. La preuve en vidéo 🙂

Le chanteur de charme, El Chato qui faisait une imitation très spéciale de Julio Iglesias qui entrainait un rire aux larmes pour Fabrice et les élèves. Ce sera aussi l’émission qui fera découvrir un certain… Lagaffe ! Sans oublier un certain… Jean Marie Bigard, preuve vidéo à l’appui.

Mais l’émission est resté célèbre pour son générique chanté par Bézu avec son inamovible béret.

Je pense qu’on manque d’émissions de ce style de nos jours… En tout cas, je la regrette par moment. Au moins, l’humour était sans filtre et certains sketchs ne passeraient plus dans notre époque de serrés du fion qui veulent tout régenter.

« Qu4rtus », le retour d’In Limbo.

In Limbo, c’est un groupe de rock progressig français qui existe depuis 2002, avec son premier album « Somnebuleux » en 2008. Vous pouvez écouter l’album en question sur Altermusique.org.

La dernière fois que j’avais parlé du groupe, c’était en février 2016, avec « Allegories ».

Depuis plus rien. Le groupe semblait avoir disparu. C’est ainsi que j’ai été surpris d’apprendre la sortie de « Qu4rtus » via une alerte de Bandcamp.

Comme son nom peut le laisser penser, c’est le quatrième album du groupe. Comme les autres albums et EP du groupe, on est sur du « copieux » : près de 48 minutes pour 6 pistes. Toutes les pistes font entre 4 et 5 minutes, mis à part deux plus longues de 12 et 13 minutes respectivement.

Le groupe ne se renie pas et nous propose un rock progressif qui aurait pu trouver sa place aisément à cette époque bénie de la musique où l’auto-tune tenait de la science fiction.

Le mixage est propre, on peut dire même meilleur que sur l’album précédent. La deuxième piste « Chaos » me fait penser à la première période de King Crimson dans sa composition et son ressenti. L’influence crimsonniene se fait aussi entendre sur la piste « L’entrave [The Hindrance] ».

Comme pour l’album précédent, les pistes s’enchaînent les unes après les autres sans trop de difficulté. On a au final l’impression d’avoir une seule piste de 48 minutes, découpée en sous-pistes. Cela me fait un peu penser à l’album « Tales from Topographic Oceans » de Yes avec une piste par face de disque vinyle.

Quant à la piste la plus longue de l’album, « K.O. », je ressens des influences floydiennes dans sa mélodie.

L’album aura pris son temps à arriver, mais il en vaut largement l’écoute. De plus, il est en téléchargement à prix libre sur Bandcamp, autant se faire plaisir !