« The Key » en version française. L’attente en valait la peine.

Le jeu d’aventure point’n’click à la troisième personne pour Amstrad CPC est enfin sorti en version française. Il faut dire que la traduction, c’est quelque chose de long, rébarbatif et franchement casse-pieds surtout quand on doit jongler avec une quantité de mémoire vive restreinte.

J’ai enfin pu jouer à la VF, et mis à part deux bugs de traduction sur lesquels je reviendrai, le jeu reste jouable. C’est le principal. Les bugs de traductions ? Dans un couloir, il y a un buste que l’on peut examiner. Au lieu de « examiner buste » on a « examiner casser ».

Le deuxième ? Dans la salle de bain, au lieu de « examiner vidange », on a « examiner vidanger ».

Et c’est tout. Du moins, ce que j’ai pu voir en allant directement à la solution la connaissant ayant déjà fait un longplay de la version anglaise.

Donc voici la solution complète de la version française. Bon visionnage. Bien entendu, si vous voulez finir le jeu par vous-même, ne regardez pas la vidéo 🙂

À ce que j’ai pu lire sur twitter, pardon sur X, la deuxième partie de l’histoire est en cours de création, en espérant que les traductions en anglais et en français soient rapidement disponibles 🙂

En vrac’ de milieu de semaine…

Petit en vrac’ en ce premier mercredi de juin 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien cette fois.

Puisque j’ai parlé de systemd-boot, autant republier cette vidéo qui montre l’ajout ou la suppression dans Systemd-boot. Plutôt simple à vrai dire, loin des complexités grubesques 🙂

Sur ce, bonne fin de semaine !

En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce dernier vendredi du mois de mai 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien cette fois ci.

Sur ce, bon week-end

En vrac’ de milieu de semaine…

Petit en vrac’ en ce quatrième mercredi de mai 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien cette fois.

Pour finir cet article, la solution complète du très bon jeu d’aventure-horreur « Broken Mirror » pour le Commodore 64.

Et une vidéo en collaboration avec BabaOrhum concernant Tiny11. Oui, je sais, la première partie souffre d’un écho que je n’ai pas réussi à réduire. C’est de ma faute 🙁

Sur ce, bonne fin de semaine !

En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce premier samedi du mois de mai 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Vous aimez le post-rock instrumental un brin aérien ? Alors le dernier album de « When Colors Are Fading » est pour vous.

Ajout à 17 h 35, le 4 mai 2024.

Un longplay de la version anglaise de « The Key ». Merci à Xyphoe pour sa vidéo qui m’a bien aidé !

Et oui, je ferai de même avec la version française quand elle sera disponible !

Sur ce, bon week-end

« The Key », le premier jeu point’n’click de l’Amstrad CPC.

Les jeux point’n’click ont eu leurs beaux jours sur des plateformes comme l’Atari ST, le Commodore Amiga ou encore les PCs. Des séries comme les « King Quest », « Space Quest », « Leisure Suit Larry » ou encore « Monkey Island » ont donné l’occasion à des pléthores de joueurs et de joueuses de s’arracher les cheveux par poignées entières.

C’est un genre qui est toujours développé, comme je l’avais montré dans un vieil article sur le jeu « The Third Wish » en octobre 2023.

Ce qui fait la différence avec « The Key » ? C’est que c’est le premier jeu du genre sur Amstrad CPC. Au moment où je rédige cet article, le 28 avril 2024, il n’existe qu’en espagnol. Cependant des versions anglaise et française sont prévues.

Le scénario ? Je recopie la traduction de la page officielle du jeu. Mon espagnol – dans lequel je me suis replongé récemment – étant un peu rouillé, je suis passé par deepl.

Il y a quarante ans, un événement terrible s’est produit. Les personnes impliquées l’ont dissimulé, ne laissant que des cassettes en guise de témoignage, afin qu’une telle atrocité ne soit pas oubliée et répétée à l’avenir. Aujourd’hui, nous avons trouvé l’une de ces cassettes…

Entrez dans la première aventure point and click à la troisième personne pour Amstrad CPC et résolvez les mystères de Carfax Manor tout en découvrant la terrifiante vérité.

Continuer la lecture de « « The Key », le premier jeu point’n’click de l’Amstrad CPC. »

En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce dernier vendredi du mois d’avril 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Elle est sortie en même temps que sa tétrachiée d’articles. Qui ? Mais la Ubuntu 24.04 LTS, voyons !
  • Dans le « petit monde » des jeux d’aventures textuels, il arrive des jeux soit portés d’une plateforme vers une autre. C’est le cas du jeu « Bronx », sorti en 1988 sur ZX Spectrum et en italien qui vient d’avoir un port en anglais et italien pour le Commodore 64 et le Commodore Plus/4.
  • Dans le petit monde des émulateurs pour Amstrad CPC, je demande un nouveau venu, Ace-DL.
  • Un article intéressant et en anglais sur l’utilisation d’OpenBSD au quotidien comme base de travail.

Côté culture ?

Rien pour cette fois.

Cela faisait près d’un an que je n’en avais plus enregistré, mais voici donc le retour des vidéos « C’est trolldi, c’est permis ». Bon visionnage !

En espérant que je mette moins d’un an pour une autre vidéo de cette série 🙂

Sur ce, bon week-end

Le plus chiant dans le rétroludique, c’est sur PC réel de l’époque ?

Cela fait bien maintenant trois ans que j’ai commencé à m’intéresser au rétro-ludique, les délires libristes me lassant un brin et me gonflant avec une régularité d’horloge helvétique. Je n’avais pas envie de contracter un ulcère avant d’avoir atteint mes 50 ans.

Maintenant que j’ai atteint le demi-siècle, je n’ai cependant pas trop envie de contracter un ulcère et c’est la raison pour laquelle je passe mon temps libre à écrire – quand l’inspiration veut bien se pointer – ou à rétro-geeker.

J’ai fini par acquérir certains réflexes. Si j’ai besoin d’émuler :

N’étant pas branché rétroludique 16 bits, je n’utilise quasiment jamais des jeux pour Atari ST/Falcon ou Commodore Amiga.

Il est vrai que je peux parfois me faire plaisir avec un vrai Commodore 64, en utilisant une interface SD2IEC pour charger certains jeux sur un vrai Commodore 64. Il ne me manque qu’une cartouche Kung Fu Flash pour charger tranquillement les jeux au format cartouche comme ceux de la série des « Briley Witch Chronicles » par exemple.

J’ai aussi un vieux PC qui me sert pour les jeux MS-DOS, même si j’ai un mal de chien à faire fonctionner le beeper, mais je ne désespère pas d’y arriver. C’est aussi la plateforme la plus laxative, surtout quand on doit se faire des menus spécifiques pour charger X ko de mémoire EMS ou XMS ou je ne sais plus quelle abréviation barbare.

Au moins avec mon Commodore 64, je branche l’interface SD2IEC, la cartouche de chargement rapide de disquettes et vogue la galère.

Tout n’est pas parfait dans le monde rétroludique, mais j’évite les concetés de querres intestines qui pourrisse la vie du libriste moyen.

En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce premier samedi du mois de mars 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien cette fois-ci.

Ajout à 19 h 10, le 2 mars 2024 : La solution du « day 1 » du jeu « Kommando Urbex »

Sur ce, bon week-end

Ce n’est pas parce qu’un jeu est codé en Basic…

… Qu’il est complètement injouable ou franchement excrémentiel. Que ce soit le Basic Locomotive de l’Amstrad CPC ou le Basic Microsoft du Commodore 64, on peut tomber ses des petits bijoux.

Saviez-vous que le jeu « Pirates! » de Sid Meier est codé pour le Commodore 64 en langage Basic avec les peeks et les pokes nécessaires pour contourner les limitations du Commodore Basic v2 ? Je vous renvoie à cette vidéo de 8 Bit Show and Tell qui décortique le jeu.

Un autre exemple est plus récent. C’est le jeu « Gold Maze » de Retro Vynz entièrement codé en Locomotive Basic 1.1 et qui donc nécessite un Amstrad CPC 6128 au minimum.

C’est une version logicielle du célèbre jeu de plateau « Labyrinthe » de Ravensburger. Mais le mieux est de le montrer en action via l’utilisation de RetroVirtualMachine.

Vous l’avez vu, il y a quelques lenteurs, mais c’est lié au Basic lui-même. Je dois dire que j’ai été impressionné par le niveau de codage. Même à l’époque où je programmais en Basic sur mon Amstrad CPC, je n’avais pas atteint un tel niveau de complexité.

Je tire donc mon chapeau à Vynz pour le coup !