En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce deuxième vendredi du mois de septembre 2023.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Un article sur la création sur Internet qui m’a franchement plu et que je voulais vous partager. C’est sur le blog de Corentin Quique.

Sur ce, bon week-end !

En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce troisième samedi du mois d’août 2023.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien cette semaine.

Sur ce, bon week-end !

En vrac’ de fin de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce deuxième vendredi du mois d’août 2023.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Dans le monde des rolling releases bizarres, je demande la Rhino Linux 2023.1 qui utilise une base Ubuntu…
  • La DGLFI de la semaine : la SDesk, une énième base Archlinux…
  • Dans le petit monde des moteurs de blog, je demande WordPress 6.3, qui n’a pas l’air si mal que cela 🙂
  • Le « dungeon crawler » pour Commodore Pet avec 8 Ko de mémoire vive, « Tower and Dragon » vient de sortir en version 2.x. C’est plutôt impressionnant comme résultat, même s’il est très dur pour ne pas dire punitif…

Côté culture ?

Rien cette fois-ci.

Sur ce, bon week-end !

Des fois, des rapports de bug, ça aide.

Je maintiens sur le service AUR pas mal de PKGBUILDs (des recettes pour empaqueter les logiciels) dont pamac-aur-git, qui est la version de développement de l’outil Pamac de Manjaro sur des bases Archlinux.

Fin juillet 2023, un fil est ouvert sur le forum d’EndeavourOS pour parler d’un problème un peu ennuyeux : l’icone de notification de pamac-aur-git ne change plus d’apparence quand des mises à jour sont disponibles. Ce qui casse une fonctionnalité bien pratique.

Dans le premier post du fil, il y a un lien vers un rapport de bug qui apporte la solution : rajouter pamac-cli (la version ligne de commande de pamac).

En effet, depuis quelques versions, pamac en ligne de commande n’est plus empaqueté avec le pamac graphique. Ouille !

Rajouter l’exécutable qui manque n’est pas une mince affaire. C’est en regardant sur le PKGBUILD de pamac-aur que j’ai la réponse.

Continuer la lecture de « Des fois, des rapports de bug, ça aide. »

Les bugs à la con, la suite : le noyau qui ne retrouve plus les UUIDs, quelle plaie !

Les UUIDs, ce sont des identifieurs uniques pour chaque support de stockage en interne. Cela permet d’éviter des erreurs quand on manipule les supports en les changeant de place par exemple. C’est quelque chose de puissant et de pratique, sauf quand le noyau n’arrive pas à monter les partitions en UUIDs 🙁

C’est le genre de bug qui m’est arrivé aujourd’hui. Ce matin, je vois arriver le noyau 6.3.8. Je ne redémarre pas étant donné que je ne comptais utiliser l’ordinateur plus d’une quarantaine de minutes.

Hors, en revenant et en démarrant mon PC, j’ai droit à une erreur comme quoi ma partition root ne pouvait pas être détectée.

J’arrivais sur l’erreur suivante :

You are now being dropped into an emergency shell.
sh: can't access tty: job control turned off

J’ai appellé à l’aide BabaOrhum pour qu’il m’aide à débloquer la situation à distance. En démarrant depuis un live USB de Manjaro, il a été possible d’entrer dans le système installé via un manjaro-chroot -a.

Continuer la lecture de « Les bugs à la con, la suite : le noyau qui ne retrouve plus les UUIDs, quelle plaie ! »

Message de service concernant EndeavourOS et mon implication dans le projet.

Sur les vidéos françaises qui paraissent sur Youtube, quand on évoque EndeavourOS, je suis parfois invoqué. Cependant, mon implication est plus que réduite.

Cela fait près d’un an que je n’ai plus posté le moindre sujet par moi-même, en dehors des traductions de notes de publication d’une nouvelle version.

Je ne participe plus aux bêta-tests du projet depuis 18 mois au bas mot. Cela reste un projet de haut vol pour découvrir le monde archlinuxien sans trop se prendre la tête et sans oublier une caractéristique : c’est centré autour du terminal et de la ligne de commande.

Pour la 50 000e fois – environ – je précise que les bases Archlinux pures se gèrent sur le long terme en passant par la ligne de commande. Même si des outils comme pamac sont bien pratique par moment 🙂

Vouloir ignorer ce point, c’est se condamner à de mauvaises surprises. J’ai pondu une vidéo il y a plusieurs années où je vous faisais prendre conscience de votre compatibilité potentielle avec le monde des archlinux pures :

Oui, c’est vieux, c’est sur peertube.fr 🙂

Il y a des points avec lesquels je suis en désaccord avec EndeavourOS : l’utilisation de dracut à la place de mkinitcpio et l’imposition de son dépôt tiers sur les dépôts officiels.

Mis à part ces deux points, c’est un projet que je conseillerai à une personne qui a vraiment envie de mettre les mains dans le cambouis et qui n’a pas peur de le faire.

Les autres ? Allez donc voir ailleurs si vous pouvez trouver votre bonheur. Il y a suffisamment de distributions sérieuses Ubuntu et ses dérivées et LinuxMint, Manjaro Linux (oui, même elle), OpenSuSE, Fedora Linux, Slackware, Debian GNU/Linux et ses dérivées comme MX Linux pour s’y retrouver. J’ai sûrement dû en oublier, mea culpa.

Inutile de prendre des projets perdus au fin fond du classement de curiosité de Distrowatch, vous serez immanquablement déçus.

Sur ce, je vous laisse, je retourne à l’écoute du deuxième album d’Opeth, « Morningrise ».

En vrac’ de milieu de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce troisième mercredi de mai 2023. Je n’ai pas trop de temps pour le blog en ce moment, désolé 🙁

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien cette fois ci.

Sur ce, bonne fin de semaine !

En vrac’ de milieu de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce troisième mercredi de mars 2023.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Dans le petit monde des distributions « immutables », il y a un nouvel entrant, le projet Xenia Linux qui prend pour base une Gentoo.
  • Dans le monde des distributions basée sur Archlinux, je demande la Parch Linux. Elle est d’origine iranienne, Parch signifiant Persian Arch
  • Dans le monde des distributions sérieuses, je demande la Fedora Linux 38 bêta.
  • Dans la série des ports de grand classique, je demande « Lemmings » pour le Commodore Plus/4, prévu pour le 1er avril. Poisson ou pas ?

Côté culture ?

Hubris. a annoncé la sortie de leur quatrième album, « The One Above ».

Sur ce, bonne fin de semaine !

Parfois, une clé USB avec Manjaro linux dessus, ça peut aider :)

Je vais vous raconter la mésaventure qui m’est tombée dessus. Ce matin – j’écris cet article le 21 février – je vois que le noyau Linux 6.2 est disponible.

Je laisse faire la mise à jour, et au démarrage suivant, un problème d’affichage fait que l’écran passe en veille sans autre forme de procès. Impossible d’avoir quoi que ce soit d’afficher. J’ai donc démarré sur une clé USB où se trouve une Manjaro Linux (que je gardais pour un cas de dépannage que ce soit chez moi ou chez quelqu’un d’autre).

Une fois en mode graphique, j’ai lancé la commande sudo manjaro-chroot -a ce qui m’a permis d’entrer sur mon système en dur. J’ai ensuite installé le noyau linux-lts qui est le 6.1.12.

Je passais ensuite par la commande grub-mkconfig -o /boot/grub/grub.cfg. Je fermais le terminal et je redémarrais… Pour me retrouver bloqué dans une boucle infinie de démarrages et d’arrivées sur l’interface de l’UEFI de ma carte mère.

C’est alors que je me suis souvenu que la dernière mise à jour du grub était chatouilleuse. Pour tout dire, je n’avais pas touché au grub depuis l’installation en février 2018. Pas bien, inutile de le préciser.

Continuer la lecture de « Parfois, une clé USB avec Manjaro linux dessus, ça peut aider 🙂 »

En vrac’ de fin de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce deuxième samedi de février 2023.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien pour cette fois.

Sur ce, bon week-end !

Que penser d’EndeavourOS en cette fin d’année 2022 ?

Je suis un contributeur sur le long terme pour cette distribution basée sur Archlinux, ayant dans un premier temps contribué en rapportant des bugs, mes contributions se limitant désormais à produire les traductions de notes de publication avec mon ami DeepL pour me simplifier la tâche.

Je ne parle que rarement du projet sur le blog, ayant compris depuis des années que les distributions GNU/Linux constituent un marché plus que mature. En dehors des projets publiés à la « va-comme-je-te-pousse » et qui ne vivent qu’un an ou deux, il n’y a plus grand chose à dire. Et encore moins de quoi remplir une vidéo de 10 minutes sur Youtube.

Sur l’année 2022, le projet EndeavourOS a été plutôt productif. Il y a cependant quelques points qui m’ont fait grincer des dents au fil des révisions. Le premier a eu lieu avec l’arrivée d’EndeavourOS Artemis Nova.

Je cite la modification en question :

[…]
Déplacement du dépôt d’EndeavourOS

Historiquement, le dépôt endeavouros se trouvait en dessous des dépôts Arch dans la liste des dépôts de /etc/pacman.conf. Cela présente quelques défis :

* Lorsque nous devons créer des versions personnalisées de paquets, nous faisons dépendre nos outils de ces versions personnalisées, comme c’est le cas avec eos-yad. Cela crée des défis de dépendance comme on l’a vu dans le passé.
* Si nous avons besoin de remplacer temporairement quelque chose dans les dépôts Arch, nous ne pouvons pas. Par exemple, si nous avions pu retenir temporairement grub jusqu’à ce que nous comprenions ce qui se passait, nous aurions pu réduire considérablement l’impact de ce problème.

Nous voulons être clairs, nous déplaçons simplement notre petit dépôt existant vers le haut et cela ne signifie pas que nous prévoyons d’augmenter la taille de notre dépôt ou de commencer à remplacer des paquets critiques par des versions personnalisées. Ceci est cohérent avec ce que font de nombreuses autres distros basées sur Arch.
[…]

Même si je ne suis pas une personne qui apprécie l’imposition d’un dépôt tiers sur les dépôts officiels. Il n’y a cependant aucun paquet officiel – mis à part yad – qui soit remplacés, ce qui fait qu’EndeavourOS est toujours aussi propre en ce qui concerne les installations.

Continuer la lecture de « Que penser d’EndeavourOS en cette fin d’année 2022 ? »

Quand la frappadinguerie frappe, ça donne des envies bizarres…

Je dois dire qu’en ce moment, l’informatique libre m’ennuie sur certains plans. Par exemple, le développement au point mort pour dosbox-x depuis une dizaine de jours au moment où je rédige ce billet. Même avec la vraie vie qui intervient, ça commence à faire long, surtout avec 5 modifications de code en attente d’être appliquée.

Ce qui tombe mal étant donné que j’apprécie cet émulateur et que je crains qu’il ne finisse par être abandonné 🙁

La curiosité et une machine virtuelle de test plus tard, j’ai franchi le Rubicon et j’ai activé le dépot gnome-unstable sur mon Archlinux réelle pour avoir en avance Gnome 43. J’ai quand même attendu que la quasi-totalité des paquets soient disponibles avant de tenter la migration. J’ai quand même un restant de prudence 🙂

Je dois dire que pour le moment, je suis super content de l’ensemble. Bon, ça ne fait – au moment où je rédige ce billet – qu’une petite heure que Gnome 43 est installé. Je pense que la migration vers les dépôts de tests se fera d’ici la fin du mois avec une arrivée sur les dépôts stables vers le 5 ou 10 novembre.

Continuer la lecture de « Quand la frappadinguerie frappe, ça donne des envies bizarres… »

Ah, la quête sans fin de la distribution GNU/Linux ultime…

Je dois dire que je ris à me faire péter les côtes quand je vois un article ou une vidéo sur Youtube qui parle de la « distribution (GNU/Linux) ultime ». Cette quête est comme celle du Graal : sans fin car il ne peut pas exister de distribution ultime.

Si c’était le cas, il ne devrait plus rester qu’une poignée de distributions, que ce soit les distributions mère (Archlinux, Debian, Fedora, OpenSuSE et Slackware) ou les distributions filles comme Manjaro, Gecko Linux ou encore la plus célèbre de toutes – toutes proportions gardées – Ubuntu et sa floppée de saveurs officielles ou pas.

Ce que l’on peut avoir au mieux, c’est une distribution qui corresponde le plus à un cahier des charges précis, établi plus ou moins consciemment.

Que ce soit le format de publication (en continu ou semestriel, annuel voire bisannuel), l’environnement graphique (Environnement de bureau ou gestionnaire de fenêtres), le navigateur internet, la gestion des paquets logiciels (interface graphique ou ligne de commande), le noyau Linux (LTS ou court terme), etc.

Je pourrai rajouter encore d’autres caractéristiques, mais je pense avoir cité les principales. La zone des commentaires est présente pour rajouter des critères. Je dois dire que je n’avais pas le choix pour des raisons techniques, ni l’envie, de changer d’écosystème quand j’ai eu mon Ryzen3 2200G en février 2018.

J’ai galéré durant plusieurs mois, en gros jusqu’en octobre 2018 pour pouvoir enfin accéder à une gestion potable du GPU intégré au processeur d’AMD. Il m’était indispensable de toujours avoir le dernier noyau pour être tranquille. L’utilisation aurait été horrible si j’étais resté avec le dernier noyau LTS de l’époque, le 4.14 si mes souvenirs sont bons.

Continuer la lecture de « Ah, la quête sans fin de la distribution GNU/Linux ultime… »

Gnome 43, grosse évolution plus que révolution.

Gnome 43 est officiellement sorti fin septembre 2022 et il n’est toujours pas – au 18 octobre 2022 – disponible sur Archlinux.

En attendant, il est possible de passer par un dépôt tiers, mais il n’y a aucune garantie de stabilité. Le mieux est de faire « mumuse » avec cette version dans une machine virtuelle que sur votre vrai ordinateur sous peine de perdre des données.

Après avoir installé une Archlinux avec les outils de Matmoul (ArchFI et ArchDI), j’ai réussi à truander Pamac pour que le dépôt tiers de Fabian Bornschein ne vienne se mettre en travers.

Continuer la lecture de « Gnome 43, grosse évolution plus que révolution. »

En vrac’ de milieu de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce premier mercredi d’octobre 2022.

  • Dans la série « je me base sur Archlinux pour pondre une sombre daube », je demande la CachyOS, une base Archlinux avec KDE et 9 autres environnements de bureau.
  • Prenez une base Debian (ou Devuan ?), rajoutez-lui Lxde, secouez le tout et vous obtiendrez l’espagnole Loc-OS. Locos, ça veut dire fous en espagnol, non ?
  • Haplo a sorti fin septembre – début octobre la version de démo de Tenebra 2, suite de l’excellent Tenebra, pour les ordinateurs C64 et Plus4 sans oublier les émulateurs 🙂

Côté culture ?

Collapse, groupe grenoblois de post-rock, annonce la sortie de son 4e album, « Ἀνάγκη » pour le 4 novembre. En attendant, un premier extrait est disponible sur leur page youtube.

Ajout au 7 octobre : l’album « Ἀνάγκη » est disponible en pré-commande.

Pour finir ce billet, le longplay quasi-complet de la démo de Tenebra 2 auquel ne manque que le 9e niveau. Bon visionnage.

Sur ce, bonne fin de semaine !