En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce premier samedi du mois de juin 2023.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien cette fois.

Sur ce, bon week-end !

Message de service concernant EndeavourOS et mon implication dans le projet.

Sur les vidéos françaises qui paraissent sur Youtube, quand on évoque EndeavourOS, je suis parfois invoqué. Cependant, mon implication est plus que réduite.

Cela fait près d’un an que je n’ai plus posté le moindre sujet par moi-même, en dehors des traductions de notes de publication d’une nouvelle version.

Je ne participe plus aux bêta-tests du projet depuis 18 mois au bas mot. Cela reste un projet de haut vol pour découvrir le monde archlinuxien sans trop se prendre la tête et sans oublier une caractéristique : c’est centré autour du terminal et de la ligne de commande.

Pour la 50 000e fois – environ – je précise que les bases Archlinux pures se gèrent sur le long terme en passant par la ligne de commande. Même si des outils comme pamac sont bien pratique par moment 🙂

Vouloir ignorer ce point, c’est se condamner à de mauvaises surprises. J’ai pondu une vidéo il y a plusieurs années où je vous faisais prendre conscience de votre compatibilité potentielle avec le monde des archlinux pures :

Oui, c’est vieux, c’est sur peertube.fr 🙂

Il y a des points avec lesquels je suis en désaccord avec EndeavourOS : l’utilisation de dracut à la place de mkinitcpio et l’imposition de son dépôt tiers sur les dépôts officiels.

Mis à part ces deux points, c’est un projet que je conseillerai à une personne qui a vraiment envie de mettre les mains dans le cambouis et qui n’a pas peur de le faire.

Les autres ? Allez donc voir ailleurs si vous pouvez trouver votre bonheur. Il y a suffisamment de distributions sérieuses Ubuntu et ses dérivées et LinuxMint, Manjaro Linux (oui, même elle), OpenSuSE, Fedora Linux, Slackware, Debian GNU/Linux et ses dérivées comme MX Linux pour s’y retrouver. J’ai sûrement dû en oublier, mea culpa.

Inutile de prendre des projets perdus au fin fond du classement de curiosité de Distrowatch, vous serez immanquablement déçus.

Sur ce, je vous laisse, je retourne à l’écoute du deuxième album d’Opeth, « Morningrise ».

Mémoires télévisuelles d’un enfant des années 1970, épisode 49 : « Les sous-doués passent le bac ».

Oui, je suis d’accord, ce n’est ni une série, ni une émission mais ce film a tellement de fois été rediffusé sur les différentes chaînes de télévision qu’il fait partie de mes mémoires.

Nous sommes en 1980. Un jeune débutant, Daniel Auteuil incarne Bébel, forte tête dans une boite à bac connu pour ses résultats médiocres, le cours Louis XIV qui affiche un zéro pointé au bac en terme de réussite.

Avec les autres cancres de la classe de terminale, ils mènent la vie dure à Maria Pacome, la directrice qui n’hésite pas à investir dans la dernière nouveauté en provenance des États-Unis pour leur faire décrocher le bac, même contre la volonté farouche des élèves à ne rien vouloir apprendre.

Ce film est une vraie source à gags et à situations plus que comique. Que ce soit la bombe, la machine à apprendre, le professeur de sport qui ressemble à un gorille de boite de nuit, les crasses faites à la fille de la directrice, on n’arrête pas de rire. Sans oublier l’élève qui couche avec tous les garçons de la classe, si possible en plein cours…

Je dois dire que la machine à apprendre, donneuse de gifles et d’uppercuts, est un de mes moments préférés.

Vous comprenez pourquoi, maintenant ?

Je vous laisse (re)découvrir ce classique du début des années 1980. Sa suite, « Les sous-doués en vacances » n’est pas aussi bonne, c’est même de mon point de vue, un ratage complet.

Ah, le faux calme de l’actualité linuxienne…

Par actualités linuxienne, je pense essentiellement aux distributions qui sont souvent les projets qui font parler le plus d’eux.

Après la tempête des ubuntus et apparentées fin avril, on vit une sorte de creux jusqu’à la sortie prévue de la Debian GNU/linux 12 alias Bookworm pour le 10 juin 2023. Merci à Seb pour l’information.

Il y a bien eu de l’agitation avec la sortie de la Fedora 38 plus tôt cette année, mais mis à part la grosse sortie du mois de juin, tout sera relativement calme jusqu’à la deuxième série annuelle des Ubuntus et apparentées fin octobre.

Sur distrowatch, le site qu’on aime à détester, la dernière actualité en date – je rédige ce billet le 25 mai 2023 – c’est la gazette hebdomadaire, publiée le lundi précédent. Mageia a sorti sans grand bruit l’étape beta 2 de sa Mageia 9.

En effet, il faut aller sur la version anglophone du blog de Mageia pour être au courant. Pas franchement intuitif.

Côté Archlinux, c’est la migration des dépots de développement de subversion vers git qui a donné du grain à moudre.

Une version spécifique de la gestion du fichier /etc/pacman.conf si on utilise EndeavourOS a été postée sur Reddit et non sur le forum officiel… Bizarre.

C’est pour tout cela que je parle d’un faux calme. Car il y a toujours quelque chose qui bouge dans le petit monde doucéreux des distributions GNU/Linux.

Vieux geek, épisode 338 : After Dark, le plus célèbre des économiseurs d’écran.

En décembre 2020, je parlais de l’économiseur d’écran « Johnny Castaway ».

Cependant, dans le petit monde des économiseurs d’écran, il y a aussi – et surtout – eu un certain After Dark, sorti en 1989 pour le Mac et en 1991 pour le PC.

Il est spécialement connu pour ses grilles pains volants, mais pas uniquement. Il y avait d’autres économiseurs d’écran, moins connus.

Pour montrer After Dark en action, j’ai créé une machine virtuelle dans PCEM avec un MS-Windows 3.11 de la grande époque 🙂

Vous avez pu le voir, il y avait de tout, surtout du déjanté. De quoi passer des heures à s’amuser avec un module non testé auparavant.

En vrac’ de milieu de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce troisième mercredi de mai 2023. Je n’ai pas trop de temps pour le blog en ce moment, désolé 🙁

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien cette fois ci.

Sur ce, bonne fin de semaine !

En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce deuxième vendredi du mois de mai 2023.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Dans le sillage de la sortie de la Red Hat Enterprise Linux 9.2, je demande la Alma Linux 9.2.
  • Ou encore la moins connue Eurolinux en version 9.2.
  • Fan du jeu « Pang » ? Ajoutez-y une légère touche de « Space Invaders », secouez-le tout et vous aurez un petit jeu sympathique pour Commodore 64, « The Last Defender ».
  • Toujours sur Commodore 64, le jeu « Cursed Tomb » nous propose de récupérer tous les trésors en un temps limité à la seconde prèsavec quelques pièges plus ou moins vicieux. C’est publié par Protovision, synonyme de qualité.

Côté culture ?

Rien cette fois ci.

Sur ce, bon week-end !

Vieux geek, épisode 337 : Dungeon Master, la référence des « dungeon crawler ».

Nous sommes en 1987, et les jeux d’exploration de donjons existent déjà. Ce sont les Rogue-like qui utilisent des caractères ASCII pour dessiner le monde dans lequel évolue le joueur.

L’équipe de FTL décide d’aller plus loin et de reprendre les bases utilisées par la série des Ultima pour afficher les donjons, avec une vue à la première personne dans un affichage entièrement texturé. Ici, on va gérer une équipe de 4 champions qu’on peut récolter dès le début du jeu dans le « Hall of Champions ».

Rajoutez-y des bruitages, des monstres plus ou moins terrifiants, des objets par dizaine à récolter, gérer la faim de chaque personnage ainsi que leurs équipements et vous aurez un jeu mythique.

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Confession : Je suis archlinuxo-manjaristo-debianiste et c’est pas plus mal.

Derrière ce titre un peu bizarre, je décris les différents systèmes linux – GNU/Linux pour satisfaire les pisse-froid – que j’ai installé sur mes ordinateurs et autres Raspberry Pi.

Pour Archlinux, j’ai mon PC fixe qui me sert au quotidien et dont l’installation d’Archlinux date de plus de 5 ans.

J’ai aussi un Raspberry Pi 4 – 2 Go qui me sert à diverses tâches et qui fonctionne avec Archlinux ARM.

Pour Manjaro, c’est une installation d’une Tux’n’Vape Mate transformé par la suite en station sous Gnome. L’ordinateur en question date de l’époque de fin MS-Windows Vista début MS-Windows 7. Autant dire qu’il fait son âge.

Pour Debian, c’est la Debian unstable qui fait fonctionner un Asus eeePC 1005 HAG, le tout avec Xfce pour des raisons de mémoire.

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Il se passe quoi dans la blogosphère francophone ?

Du moins dans celle qui est geekesque et potentiellement abordable par monsieur et madame Tout-Le-Monde. Ce qui limite le nombre de blogs concernés.

Avec mon blog qui sera majeur au mois de septembre – et oui 18 ans déjà ! – je fais partie des vieux de la vieille. Un peu comme le StandBlog de Tristan Nitot.

C’est via mon agrégateur de flux RSS – oh, une technologie qui sent bon les années 2010 – que j’ai appris qu’Oliveyeah comptait mettre fin à son aventure bloguesque au bout de 10 ans.

Ça me fait tout drôle de l’apprendre. Car c’est un des blogs que je suivais malgré ses publications  parfois aléatoire.

Cet article m’a appris que Didier alias Iceman comptait mettre lui aussi la clé sous la porte en fin d’année 2023.

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En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce dernier vendredi du mois d’avril 2023.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Vous aimez les distributions ultra-légères, quitte à jouer du clavier ? La Peropesis 2.1 est pour vous.
  • Ikey Doherty qui avait laissé tomber Solus pour le projet SerpentOS revient à sa case de départ. Solus sera désormais basée sur SerpentOS à compter de sa version 5. J’espère que ce sera « indolore » pour les utilisateurs de la distribution.
  • Fan de shoot’em’up ? « Zeta Wing 2 » pour Commodore 64 vient de sortir et c’est du grand art avec entre autres chose un scrolling parallaxe. Le jeu payant est disponible aux formats disquette et cartouche.

Côté culture ?

Vous aimez le jazz et l’improvisation ? Alors le dernier album d’Anti RubBer BrAiN fAct0rY est pour vous. Le nom de l’album ? « Musiques de Rêves et de Démences »

Pour finir, un nouvel épisode des pitreries du libre, concernant la maltraitance imposée à Archlinux.

Sur ce, bon week-end !

Ah, les joies de la virtualisation.

Même si je n’ai plus fait de vidéos de présentation de distributions GNU/Linux depuis le mois de novembre 2018 – p’tain bientôt 5 ans ! – je continue d’utiliser régulièrement Qemu avec sa surcouche graphique Virtual Machine Manager alias VMM.

J’ai goûté de nombreuses fois à la ligne de commande avec Qemu et je dois dire que j’adore la simplicité de mise en place apportée par VMM. Évidemment, quand je récupère la dernière DGLFI en date comme la GetFreeOS par exemple (ne me remerciez pas, c’est cadeau), je pars d’une image ISO hybride pouvant être gravée sur un DVD ou écrite sur une clé USB.

En 2023, il est plus fréquent d’utiliser une clé USB prête à l’emploi qu’une galette plastifiée. Mais il reste un point crucial. Comment vérifier que l’écriture de la clé USB s’est bien passée ?

C’est en faisant quelques essais que j’ai réussi à trouver une solution de test basée sur le duo Qemu/VMM. On peut assez facilement indiquer à VMM de démarrer sur une clé USB réelle. J’ai fait une vidéo pour montrer un démarrage sur clé USB.

Je pense qu’il doit exister une ligne de commande pour faire la même chose depuis un terminal, mais je dois dire que je n’ai pas eu le courage de la chercher. Peut-être qu’un jour, je m’y mettrai… Ou pas 🙂

En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce troisième vendredi du mois d’avril 2023.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Le guitariste du groupe Lethian Dreams vient de sortir un album de son projet solo, When Colors Are Fading. L’album s’intitule « Journey Through Sand And Stones ».

Sur ce, bon week-end !

En vrac’ de milieu de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce troisième mercredi d’avril 2023.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Karen Vogt vient de sortir un album de musique électronique intitulé « Le Mans ».

Sur ce, bonne fin de semaine !

Mémoires télévisuelles d’un enfant des années 1970, épisode 49 : les petits papiers de Noël.

Ici, on revient dans la décennie qui a couru de 1975 à 1985. Si de nos jours des émissions comme le téléthon ou encore le sidaction sont devenus des classiques, il ne faudrait pas oublier une émission qui a servi de précurseur aux émissions « bonne pour se nettoyer la conscience ».

Durant les vacances de Noël, sur FR3 qui deviendra plus tard France 3, une émission basée sur le don principalement pour l’UNICEF, permettait à des artistes de récolter des bulletins de dons. En échange d’un titre joué en playback, les artistes se faisaient ainsi de de la publicité pour eux et leur dernier album.

Être charitable d’accord, mais si on peut y rajouter un peu de promotion quasiment gratuite, c’est mieux 🙂

L’émission était ouverte par le maire de la commune concernée animant un orgue de barbarie. Je n’ai pas trouvé de générique en vidéo, mais j’ai toujours trouvé la mélodie complète.

L’émission a été présenté par des vedettes de la télé de l’époque : Jean-Pierre Descombes, Jean-Pierre Foucault ou encore Harold Kay.

Si on peut trouver des émissions complètes sur youtube – je vous laisserai les rechercher – c’est devenu incroyable kitsch et même surjoué par moment. Mais bon, les artistes y trouvaient leur bonheur et les personnes qui donnaient avaient le sentiment de faire une bonne action.

Tout le monde y trouvait son compte, et c’était bien cela le principal !