En vrac’ de fin de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce deuxième samedi de juillet 2022.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Pour finir, une petite gâterie, un épisode des pitreries du libre pas piqué des hannetons.

Sur ce, bon week-end !

« Embryo » d’Altesia… Un deuxième album réussi.

Un des albums de 2021 que j’attendais depuis plusieurs mois, c’était le deuxième opus studio des Bordelais d’Altesia.

Après le très bon « Paragon Circus », et un financement participatif plus que réussi sur Ulule, accueillons généreusement « Embryo ». J’ai participé au financement et au moment où j’écris cet article – le 16 octobre 2021 – j’attends avec impatience non dissimulée la galette plastifiée.

Techniquement, 7 pistes pour un peu moins de 58 minutes, avec un piste finale énorme de 21 minutes découpée en 4 mouvements.

Après un démarrage en douceur, on sent les influences Opethiennes (époque « Pale Communion ») prendre le relai avec le très bon et très rythmé « Mouth of the Sky ». Du pur sucre !

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« Parangon Circus » d’Altesia : attention, c’est du lourd :)

Il y a parfois des découvertes que l’on fait par pur hasard. Le premier album d’Altesia en fait partie. Pour l’apprécier, il y a plusieurs pré-requis : si on aime Opeth, toute la carrière (y compris le transitionnel et très moyen « Heritage »), la carrière solo de Steven Wilson et les morceaux qui explosent les compteurs en terme de durée, c’est bon.

Altesia est un groupe de Bordeaux qui se définit comme étant du metal progressif. Progressif c’est certain. Sur un album qui arrive à environ 57 minutes avec 3 pistes qui dépassent allègrement les 10 minutes, c’est difficile de dire le contraire. Metal ? Si on considère que le métal, c’est du chant guttural et point barre, partiellement.

Les inspirations « Wilsonniennes » se font entendre dès la piste d’introduction avec « Pandora ». Une guitare acoustique suivi de chants clairs franchement calmes. Le calme avant la tempête… Car un premier morceau plat de résistance vous attends au tournant.

Dès que « Reminiscence » commence on sent qu’on va s’en prendre plein la… Une ambiance à la « Porcelain Heart » d’Opeth mélangée avec des rythmes du rock progressif des années 1970 arrive… Une introduction d’environ 4 minutes, c’est du grand art.

La voix du chanteur qui arrive comme une fleur, ça fait bizarre ! Il y a bien entendu des bonnes grosses guitares saturées, mais aussi du saxophone qui donne un côté jazzy à la piste. Miam !

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En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Bon week-end 🙂

En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac’ 🙂

Côté logiciel libre, informatique et internet. Je profite d’un peu de fraîcheur pour mettre en ligne l’article !

Côté culture ?

Bon week-end !

En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac’ 🙂

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • La DGLFI de la semaine : prenez la Manjaro Linux KDE, remplacez bash par zsh, réactivez le thème breeze, ajoutez un assistant de post-installation au premier démarrage, secouez-bien. Vous aurez la NuRunner Linux.
  • La réécriture de MS-Windows sous forme de logiciel libre, ReactOS vient de sortir une nouvelle version de stabilisation de sa branche 0.4. Au menu, la possibilité de lancer MS-Office 2010 ?! Plus d’informations sur les notes de publication.
  • Pour les amateurs d’interfaces castrées à la MacOS-X, je demande ElementaryOS 0.4.1.
  • Le projet OBRevenge propose désormais des saveurs avec Mate Desktop et KDE. Plus d’infos sur le site de la distribution en question.
  • Ajouté le 20 mai 2017 : j’avais oublié de parler la mise à jour mineure de la Emmabuntüs 3 1.04. Au menu des réjouissances ? Des corrections de bugs, le support du moteur de recherche Lilo. Ça sent la mise à jour de maintenance plus qu’autre chose.

Côté culture ?

Bonne week-end !

« The Splinter of Light We Misread » : Un deuxième opus plus sombre des Defying ?

Si vous me suivez depuis plus ou moins longtemps, vous savez que j’aime les musiques sombres, celles qui vous emportent au plus profond des tréfonds de votre âme. Le metal progressif en fait partie. Avoir été initié au metal progressif par Opeth, ça aide un brin 🙂

Le deuxième album des polonais de Defying en fait partie. J’avais adoré leur premier album, « Nexus Artificial », dont j’avais parlé en avril 2015

« The Splinter of Light We Misread » est sorti le 20 mai 2016. Je l’avais précommandé, et je dois dire que je ne regrette pas mon achat. Une demi-heure de musique sombre en quatre pistes, qui commence par « The Sunlight Recedes ».

Si vous n’aimez pas le chant gutural, passez votre chemin. La première piste qui dure une dizaine de minutes est constituée pour moitié d’un chant gutural, accompagné d’une ambiance lourde, imposante.

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En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’obligatoire billet en vrac’.

Pour le logiciel libre, monde gangréné par les idéologues enfermés dans leurs tours d’ivoire…

Côté musique ?

  • Vous aimez le metal progressif bien technique à chant clair ? Alors, le deuxième album des Dissona « Paleopneumatic » sera pour vous.
  • Le rock plus classique teinté de stoner à votre préférence ? Alors le premier EP de Savahah, « Deep Shades » sera pour vous.
  • Vous aimez le Power Metal assez inspiré Iron Maiden ? Essayez l’album d’Altair, « Lost Eden »

En vrac’ musical du mercredi.

Un en vrac’ musical assez copieux – pour une fois – en ce mercredi.

C’est tout pour ce mercredi, et c’est déjà pas si mal !

En vrac de fin de semaine.

Un petit en vrac’ pour finir la semaine. Qui reprend le duo logiciel libre et culture. Commençons par le panier de crabes informatique.

Côté culturel ?

Commençons par le coup de gueule d’Agnès sur le monde de l’auto-édition et des auteur(e)s qui se croyent tout permis et qui se la joue copinage à fond… Plus dure sera la chute !

Et pour finir en musique ?

Voila, c’est tout et c’est déjà pas mal !

En vrac musical et mercurien.

Pour continuer la tradition du billet musical du mercredi, voici quelques liens en rapport avec la musique.

En relation avec mon billet d’hier, Péhä a fait un dessin rapide que j’ai vraiment aimé et que je vous fait partager.

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Bon mercredi !

« The Moutain Ghost » de Kylver : Un LP plus que costaud.

Dans un en vrac’ récent, j’ai abordé le premier album de Kylver. Ce groupe britannique est spécialisé dans le metal progressif instrumental, teinté de post-rock.

Sur le plan pratique, « The Moutain Ghost » c’est un LP assez court, presque un EP, car il n’y a que 4 pistes. Mais la durée le fait entrer dans la catégorie des LP, car les pistes vont de 6 à 14 minutes, pour un total d’un peu plus de 38 minutes. Autant dire qu’il y a de quoi se mettre dans les oreilles.

Chaque piste est très travaillée, et on sent que le groupe a pris le temps de ciseler chaque morceau. La piste la plus longue commence l’album.

L’intro de cette piste me fait penser à celle d’un titre de Black Sabbath, tiré de l’album « Dehumanizer » du nom de « After All (the dead) ». Après une douce introduction, le morceau rentre très vite dans le vif du sujet. Même si on peut dire que la piste est un brin répétitive, cela ne la dessert pas le moins du monde.

Les deux pistes suivantes respectent le schéma de la première, avec un montée en puissance progressive. Pour tout dire, les deux pistes se complètent très bien.

L’ultime piste, qui ne fait que 8 minutes est plus inspiré psychédélique, assez teinté des années 1970, époque reine des tendances progressives.

C’est un album que je pourrais conseiller aux amateurs de mélodies progressives, surtout si on apprécie le rock bien lourd et la metal progressif. Ce premier opus est très réussi. À vous d’écouter, maintenant 🙂

« Dramatis Personæ » des Rise of Avernus : un nouvel EP qui dépote !

Début février 2015, je parlais du premier LP du groupe de metal australien Rise of Avernus, « L’appel du vide », sorti en 2014.

Sorti en mars 2015, la composition du groupe a été modifié. La chanteuse et organiste a été remplacée par Mares Refalaeda, qui devait relever un sacré défi.

C’est donc curieux que j’ai lancé la lecture de l’album sur la page bandcamp du label qui produit Rise of Avernus.

Le nouvel EP propose 5 pistes, le tout pour un peu moins de 30 minutes. Mais ce sont 30 minutes qui sont très bien employées.

Dès le début de la première piste, on retrouve l’ambiance de l’album précédent. On est en « terrain conquis ». La maitrise et la montée en puissance sont un vrai délice. Le growl est mélodieux, on ne tombe pas dans la facilité du « growl pour le growl ». On sent la maitrise de la nouvelle organiste dans les parties qui lui sont consacrées.

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« Nexus Artificial » de Defying : quand la Pologne s’attaque aux monstres sacrés du metal progressif :)

S’il y a un domaine musical où on trouve à boire et à manger, c’est bien celui du metal progressif. Mon collègue blogueur, Stéphane Gallay a parlé d’un groupe « Last Scattering » dont il a déclaré ceci sur la production en question :

[…]ça s’éparpille dans tous les sens et, si j’aime bien les groupes qui sortent des sentiers battus, je suis moins enthousiaste pour ceux qui font du hors-piste avec un tank mutant abreuvé au nitrométhane.[…]

Inutile de dire que j’ai vraiment ri aux éclats en lisant cette phrase, et je me demande à quoi ressemblerait un tel tank. Vous me pardonnerez cette digression, mais je dois dire que quand je navigue dans la catégorie metal progressif de bandcamp, le résultat est parfois à l’image de celle qu’utilise Stéphane.

Revenons-en à l’album de l’article. « Nexus Artificial » est sorti en mars 2014. Produit par les polonais de Defying, c’est un album de metal progressif classique, donc certaines pistes sont assez techniques sans tomber dans la facilité de la distorsion des guitares.

Pour un album dit progressif, les pistes sont relativement courtes. La plus longue ne fait que 9 minutes, et des pistes très courtes, comme « Nigma » ou « Ab Originis » font moins d’une minute ! On arrive quand même à un album de près de 50 minutes.

On est introduit en douceur dans l’album, les chants n’intervenant qu’au milieu de la deuxième piste. J’ai beaucoup aimé cet album, dès sa première écoute. On sent l’influence post-rock avec les textes parlés du début de la première piste. Pour les vieux de la vieille, ça m’a fait me souvenir du début de l’introduction en vidéo d’un certain… Quake II d’id Software sortit en 1997. On a les références vidéo-ludiques qu’on peut avoir après tout 😀

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« L’Appel du Vide » de « Rise of Avernus » : un mélange explosif.

Dans un billet « en vrac' » de début janvier 2015, je parlais en vitesse du premier LP des australiens du groupe « Rise of Avernus« .

L’album est sorti en 2014 et peut être écouté sur la page bandcamp du groupe. Inutile de préciser que je l’ai acheté pour me faire un petit cadeau d’anniversaire avec un peu d’avance.

Le groupe est australien, propose un titre d’album en français et est produit par un label italien. Vive la mondialisation ! 🙂

Le groupe mélange plusieurs influences : du chant growl (pour l’influence death metal), du chant féminin clair (pour l’influence symphonique) et des pistes qui sont tout de même assez longues, la plus courte, éponyme de l’album durant moins de deux minutes, la plus longue arrivant à 7 minutes 30. Autant dire que l’on peut rajouter une influence progessive très marquée.

La première piste nous propose déjà le mélange qui teinte la plupart des pistes : le metal (guitares, batteries) avec un chant growl. Si le chant growl est seul durant une ou deux minutes, rapidement le chant clair arrive et se marie à la perfection.

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