En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’obligatoire billet en vrac’. Commençons par le logiciel libre.

Côté littéraire ?

Côté musique ?

Bon week-end.

En vrac’ libre.

Un en vrac’ libre pour calmer la semaine qui a été particulièrement épicée.

Josh Woodward - The Beautiful Machine

En vrac’ culturel de fin de semaine

Comme je ne compte pas poster de nouveaux billets avant lundi voire mardi prochain, un « en vrac’ culturel » de fin de semaine.

Voila, c’est tout pour aujourd’hui ! Bon week-end.

Et un mercredi musical, un :)

Y a des jours on se dit : bah, j’aurais aucun courrier intéressant, ou au mieux que de la publicité. Ce matin, je m’étais levé avec cette idée… Mais après avoir attendu le passage du facteur, j’ai du conclure le contraire…

Et c’est très varié : du rock progressif déjanté, de l’electro-pop gipsy ou encore de la folk-rock classique 🙂

J’ai reçu, par ordre alphabétique :

Autant dire que 5 albums d’un coup, ça fait vraiment plaisir, surtout que je n’ai plus de CDs en attente, enfin presque… J’ai acheté un album « mythique » de la fin des années 1970, d’un certain Gary Numan, « The Pleasure Principle ».

Dont voici l’un des morceaux principaux en live, en 1979, « Down in the park ».

En gros, la même période (à deux ou trois ans près) d’un certain… Klaus Nomi. Autre extraterrestre musical 🙂

Concours « Josh Woodward » : les résultats

Le concours a pris fin il y a quelques heures, et donc, ce matin, j’ai enregistré deux vidéos, l’une contenant les réponses en images, l’autre étant celle du tirage au sort.

Désolé pour le coté un peu moche des vidéos, la webcam de l’ordinateur portable que j’utilise n’est pas extraordinaire, surtout vu la qualité de la luminosité aujourd’hui.

Et le tirage au sort, je me suis fait mal au coude à secouer le sac contenant les noms des gagnants.

Voila, et encore merci aux personnes qui ont participées !

« The Wake » de Josh Woodward, un retour en fanfare !

J’avoue que je connais depuis des années le chanteur américain Josh Woodward. Ayant entendu parler de son projet sur Kickstarter pour financer son prochain album, j’ai déposé une option pour avoir un CD dédicacé.

Et finalement, pour remercier le financement qui a dépassé ses attentes, Josh Woodward a offert 2 CDs à chaque demande de support physique. Et comme ses autres créations, le CD est sous licence Creative Commons CC-BY.

L’album commence en fanfare avec « I Will Not Let You Let Me Down », très rythmé, très entraînant. L’album propose plusieurs ballades acoustique comme « Hollow Grove », « Lafayette », mais aussi des titres plus rock, comme « Invisible light » par exemple. Il y a des morceaux qui font penser à des contes chantés, comme « Crazy Glue » ou encore « Little Tomcat ».

C’est un très bon album, à l’image de « The Simple Life ». Très varié, il va des morceaux assez pop-rock à des morceaux plus folk dans leur composition.

Donc, il me reste un CD sous cellophane. Comment l’offrir au mieux ? Un concours m’est donc venu à l’esprit.

Il est ouvert pour une semaine. Voici les questions auxquelles répondre. Il suffit de cliquer sur « Concours Josh Woodward ». Toute réponse postée dans les commentaires sera effacée et considérée comme non avenue 😉

  1. Comment s’appelle le premier album de Josh Woodward ?
  2. Il y a un artiste d’origine espagnole et compositeur de musique électronique dont je suis fan. Quel est son nom ?
  3. Ce groupe néerlandais est spécialiste de morceau de folk intimiste. Est-ce « The Black Atlantic » ou « The Black Pacific » ?
  4. « Breathe » est un des titres les plus connus de ce groupe formé sur internet. Mais comment s’appelle ce groupe ?
  5. Strange Zero et Zéro Project sont originaire du même pays. Lequel ?

Voila. Je tirerais au sort parmi les bonnes réponses la personne qui gagnera l’album. Et je contacterais la personne gagnante directement par courrier électronique.

Modification au 28 août : le concours est terminé.

Point rapide sur les artistes / groupes de musique libre de ma musicothèque.

Ce matin, après avoir acheté un album conseillé par Toine du site @diffuser.net, j’ai voulu voir sur les 199 artistes / groupes de ma musicothèque la proportion d’artistes produisant des albums sous licences Art Libre et Creatives Commons.

Musicothèque au 20 août 2012

Voici donc la liste alphabétique que j’ai pu tracer. J’ai essayé de mettre un lien pour chaque ligne. Et de nombreux genres sont représentés. La liste est assez longue, et j’espère ne pas en avoir trop oublié… 🙂

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300ième album dans ma musicothèque. Bonne idée pour faire un bilan ;)

Passionné de musique depuis que je suis tout petit, aujourd’hui ma musicothèque a atteint un stade symbolique : le 300ième album.

Et le 300ième album en question ? C’est l’Shenandoah and The Night EP« . Je l’ai payé 5$, et ça en vaut le coup. Merci au passage au webmestre d’@adiffuser.net de m’avoir fait connaître ce groupe.

J’ai donc fait quelques statistiques, sur les 300 albums. Cela représente 132 artistes et ou groupes, et 3230 morceaux de musiques (soit 10 jours, 8 heures et 35 minutes).

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Bilan culturel de l’année 2011.

J’ai toujours été un passionné de musique. Et sur les 280 albums de ma musicothèque, voici ce que j’ai acheté cette année, une partie que je n’aurais jamais surement daigné écouté voire acheter sans le prêt d’amis, l’écoute en flux ou de manière moins avouable 😉

rhythmbox - près de 3000 morceaux !

Collection 2011

Sans oublier de nombreux artistes et groupes qui publient sous licence art libre ou creative commons comme Garmish, Goodbye Kumiko, Bats On A Swing, et tout ceux dont j’ai parlé en cette année 2011. Et je tiens à remercier « Au Bout Du Fil » et « @diffuser.net » pour certaines découvertes.

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De l’art et de la manière de montrer l’inutilité flagrante de l’Hadopi.

Hadopi, la loi rédigée pour les majors du disque, pour les quelques artistes richissimes qui planquent leurs argent dans des paradis fiscaux, et qui coûte 12 millions d’euros à l’Etat français pour être un simple machine à envoyer du spam, est une loi plus qu’inutile, et surtout le premier pas vers la mise en place du filtrage du réseau, tout cela pour faire ressembler internet à une gigantesque galerie commerciale.

Des artistes ont depuis longtemps compris que le modèle de vente de galettes plastifiées est moribond, et cela fait 10 ans que le changement vers la dématérialisation est en route. En gros, depuis l’épopée de Napster vers 2000 – 2001.

Des artistes établis ayant même franchis le pas de proposer leurs musiques sous contrats Creative Commons : Nine Inch Nails pour ne citer que le plus célèbre, et qui avec son album Ghost I-IV dont la première partie était librement disponible a été une des meilleures ventes sur Amazon en 2008.

Mon prof de maths préféré l’a déjà écrit, dans un excellent billet dans laquelle il montre les limites de l’offre légale de la musique dématérialisée.

Une autre méthode pour prouver l’inutilité de l’Hadopi ? Ecouter des artistes indépendants, qui seront certains de recevoir plus qu’une aumone sur chaque vente faites de galette / mp3.

Dans cette catégorie, je classe des artistes comme ceux sur Dogmazic franchement peu connu du grand public, habitué à avoir les oreilles lessivées par la soupe que les radios et télés à clip passent à longueur de journée : Lady Gaga, Christophe Maé, Christina Aguilera, les artistes « made in » Massacr’Academy, etc…

C’est en fouillant sur la toile que j’ai trouvé des artistes comme Frau (et son sublime coffret deluxe dont je sais que les 15$ qu’il m’a couté, iront directement dans sa poche, pas dans celle d’une société de répartition des droits qui n’enrichit que les plus riches), ou encore Josh Woodward, Roger Subirana.

Des plateformes comme Noomiz m’ont fait connaitre des groupes comme Bats On A Swing, Pique La Lune!, des artistes comme Moon Rambler.

En sautant de liens en liens, on peut tomber sur des artistes comme Agnès Méric ou encore Semper Eadem.

Bref, sans avoir besoin de copier illicitement le top 50 qui monopolisent les radios car sponsorisés par un des géants des galettes plastifiées, on peut se faire une culture de qualité, largement plus variée que ce que l’on entend.

Et puis, il y a une autre méthode, franchement improductive, c’est de parler sur un média, ayant pas mal de passage, d’un outil en java (donc pas franchement léger) qui permet d’utiliser le « successeur » des réseaux en pair-à-pair pour faire des copies illicites de contenus protégés.

Cyrille Borne a expliqué ceci dans son billet, donc, je ne m’attarderai pas dessus, si ce n’est sur un effet collatéral qui risque de faire passer les utilisateurs de logiciels libre pour des contrefacteurs.

Surtout quand on s’aperçoit que le billet a été rédigé par une personne ayant pas mal de pouvoir sur le média en question. Et à grand pouvoir, grande responsabilité !

Cela risque de détruire les efforts des autres rédacteurs de ce média, ainsi que des libristes qui comme moi en ont fait partie. L’article en question n’est rien  de moins que – à mes yeux – une incitation à copier illicitement. Ce qui est une bétise, car cela va renforcer, mathématiquement, la volonté de filtrer l’internet.

A croire que certaines personnes oublient que l’on peut faire du mal au logiciel libre avec un seul article… Le genre de mal qu’il est très dur après de soigner.

Avis personnel que je partage entièrement ! 🙂