En vrac’ de fin de semaine…

Ou de début de mois, c’est vous qui voyez. Un petit billet pour alimenter le blog qui va fêter – ou aura fêté – ses 13 ans d’ici une vingtaine de jours.

Côté informatique et internet.

Côté culture ?

C’est tout pour aujourd’hui. Et n’oubliez pas : « Ce qui est affirmé sans preuve peut être nié sans preuve. » (Euclide).

Un petit jeudi culturel, oui un en seul mot, ça vous tente ? :)

La dernière fois que j’ai fait un billet culturel assez long, cela remonte au mois de mars dernier.

Ayant été occupé par la publication de mon premier roman entre temps (au format papier et électronique), j’avais fait une pause dans les longs billets culturels. Compensons cela avec un livre, un film et deux albums.

Le livre en question, c’est « Kitchen » de Banana Yoshimoto, nom d’écriture de l’auteure japonaise Mahoko Yoshimoto. J’aime bien de temps en temps me plonger dans la littérature nippone, surtout avec des auteures comme Yoko Ogawa ou encore le célèbre Haruki Murakami, 1Q84 étant un bijou que je vous conseille chaudement, et dont j’ai parlé en mai 2012.

« Kitchen » est un recueil de deux nouvelles sorties en 1987. Dans la nouvelle principale, l’auteure nous raconte les aventures de Mikage Sakurai, agée d’une vingtaine d’années qui vient de perdre sa grand-mère, seule famille qui lui restait et qui se réfugie dans la cuisine de son appartement pour se couper du monde. Un jour, une connaissance, Yûichi Tanabe l’invite à venir vivre avec lui et sa mère, Eriko.

Couverture de Kitchen

C’est un roman très spécial, et même si je l’ai presque fini (il doit me rester une vingtaine de pages à lire), c’est un texte intrigant, qui nous fait réfléchir sur comment supporter la perte d’êtres proches.

Continuons avec une énorme déception cinématographique, qui nous vient aussi du pays du Soleil Levant, je veux parler de l’adaption de Space Pirate Captain Harlock en images de synthèse.

Affiche de Space Pirate Captain Harlock - 2013

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Point rapide sur les artistes / groupes de musique libre de ma musicothèque.

Ce matin, après avoir acheté un album conseillé par Toine du site @diffuser.net, j’ai voulu voir sur les 199 artistes / groupes de ma musicothèque la proportion d’artistes produisant des albums sous licences Art Libre et Creatives Commons.

Musicothèque au 20 août 2012

Voici donc la liste alphabétique que j’ai pu tracer. J’ai essayé de mettre un lien pour chaque ligne. Et de nombreux genres sont représentés. La liste est assez longue, et j’espère ne pas en avoir trop oublié… 🙂

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En vrac’ rapide et libre.

Pour finir la semaine, un petit en vrac’ rapide et libre.

C’est tout pour aujourd’hui !

Bilan culturel de l’année 2011.

J’ai toujours été un passionné de musique. Et sur les 280 albums de ma musicothèque, voici ce que j’ai acheté cette année, une partie que je n’aurais jamais surement daigné écouté voire acheter sans le prêt d’amis, l’écoute en flux ou de manière moins avouable 😉

rhythmbox - près de 3000 morceaux !

Collection 2011

Sans oublier de nombreux artistes et groupes qui publient sous licence art libre ou creative commons comme Garmish, Goodbye Kumiko, Bats On A Swing, et tout ceux dont j’ai parlé en cette année 2011. Et je tiens à remercier « Au Bout Du Fil » et « @diffuser.net » pour certaines découvertes.

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Botany Bay : quand un groupe allemand sort un album inclassable de qualité… Et c’est aussi bien ainsi !

J’ai reçu ce matin le dernier LP en date du groupe Botany Bay, « No Excuse ». Je l’ai commandé sur la page Bandcamp du groupe.

Bien qu’il publie leur création sous licence Creative Commons, j’ai payé mon obole après avoir pu écouté l’album, grace au lecteur sur la page de l’album. Car j’ai vraiment eu un coup de coeur.

Coffret dédicacé de l'EP "No excuse" de Botany Bay

Le groupe se présente tout seul lui même, je copie-colle donc le premier paragraphe ici :

Emotional and intensive pop songs, influenced by Pink Floyd and Coldplay up to Massive Attack… sometimes richly instrumented, then again reduced to the essential; sometimes electric and next time a little more acoustic…

Ce qui donne traduit :

Des chansons émotionnelles et intensives, influencées par Pink Floyd et Coldplay jusqu’à Massive Attack… Parfois enrichie d’instruments, et puis réduite à l’essentiel ; parfois électrique et après un peu plus acoustique…

Le titre éponyme emporte l’auditeur dès le départ. Suit le titre « A better way » plus doux, plus dansant que le premier. C’est l’un des meilleurs titres de la galette.

Le titre « How Am I To Know ? », est plus électro dans la composition, tout en restant écoutable, car ce n’est pas du bête « je mets la boite à rythme à fond sur des paroles passe-partout »…

Le titre qui suit « Oh, robbie » est beaucoup plus « classique », et nous offre des sonorités type piano, et une balade qui s’en suit. Sortez vos mouchoirs 😀

Suit l’acoustique et relative joyeux « Your diary ». Par moment, le titre a quelques influences avec les travaux d’un groupe du nom de Portishead.

Suit le titre « How much can you take », avec toujours des petites touches à la Portishead.

L’album se termine avec 5 remix de « A better way ». Je ne suis pas super fan des Remix, donc je n’en parlerais pas ici.

Pour finir cet article, sachez qu’il existe un autre album, un EP sorti l’année dernière, plus sombre que cet album, « Stupid Summer Dreams« .