En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce deuxième dimanche du mois de juin 2023.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Le troisième album et le deuxième EP d’Alwaid, groupe de metal mélodiques à chant clair féminin, sont disponibles sur la page Bandcamp dédiée.

Sur ce, bon fin de week-end !

En vrac’ de milieu de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce troisième mercredi d’avril 2023.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Karen Vogt vient de sortir un album de musique électronique intitulé « Le Mans ».

Sur ce, bonne fin de semaine !

En vrac’ de fin de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce chaud samedi de mai 2022.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien cette fois.

Sur ce, bonne fin de week-end !

Confession d’un vieux geek : je n’ai jamais vraiment été un grand fan de l’Amiga !

Oui, je sais, je vais me faire tomber dessus à bras raccourcis par pas mal d’ancien(ne)s amigaistes qui vont vouloir allumer un bûcher pour me faire rotir dessus.

J’ai parlé de nombreuses fois de jeux qui m’ont marqué quand j’ai eu l’opportunité de m’équiper d’un Amiga 1200 en 1993-1994, période qui a correspondu à la descente aux enfers de Commodore.

Voici quelques articles où j’ai pu parlé de jeux sur Amiga qui m’ont donné du plaisir à être lancé de nouveau :

Mais aussi des logiciels plus sérieux comme PC-Task en juin 2020 ou le Magic Workbench en août 2020.

Mais je dois le dire, je ne regrette pas tant que ça ma période Commodore Amiga. J’étais bluffé par les captures d’écran dans les magazines vidéoludiques, et je bavais d’envie sur les images dans les publicités des jeux qui montraient toujours soit la version Amiga, soit la version Atari ST.

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Deux nouveaux ports pour « Attack of the Petscii Robots »… Et pas des moindres…

Début novembre 2021, je parlais des ports pour les Commodore Plus 4 et 128. On avait donc 7 ports au total, sachant qu’on était parti du trio Pet, Vic20 et C64.

  1. Commodore Pet, la version originale
  2. Commodore Vic20
  3. Commodore 64
  4. Apple II (en avril 2021)
  5. Atari 8 bits (en août 2021)
  6. Commodore Plus 4 (en novembre 2021)
  7. Commodore 128 (en novembre 2021)

Deux nouveaux ports viennent d’arriver, aux deux extrêmes des ordinateurs personnel des années 1980. Avec un point commun : ne pas utiliser un processeur MOS 6502 ou apparenté des autres ports disponibles.

  1. Le ZX Spectrum 48K (1982) qui utilise un Z80
  2. Amiga 500 (1987) qui utilise un Motorola 68000

Pour la version Amiga, il faut au minimum 512 Ko de mémoire vive. Pour des raisons de place, il faut avoir 1 Mo de mémoire vive pour avoir la musique. J’ai donc fait une vidéo qui montre les deux ports auquel j’ai participé en tant que bêta testeur.

Avec l’arrivée du port sur ZX Spectrum, il ne manque plus beaucoup d’ordinateurs 8 bits des années 1980, avec principalement les CPC d’Amstrad ou encore les TRS CoCo ou le BBC Micro.

Des ports pour la SNES et la NES sont en cours de développement. Deux ports qui ne m’intéresse pas, étant plus un joueur sur ordinateur que sur console.

Vieux Geek, épisode 264 : Rick Dangerous, ou quand Prince of Persia rencontre Indiana Jones.

Nous sommes en 1989, et un tout jeune studio du nom de Core Design (qui lancera la franchise Tomb Raider en 1996) propose un jeu de plateformes d’une dureté sans nom : j’ai nommé Rick Dangerous.

Sorti sur Amiga, Amstrad CPC, Atari ST, Commodore 64, MS-Dos, MSX2 et ZX Spectrum, c’est un jeu qui nécessite de connaitre par coeur chaque niveau. En effet, on commence le jeu avec 6 vies, 6 bombes et 6 balles. On peut récupérer des munitions, mais pour les vies, je ne me souviens pas si elles augmentent avec le score.

Il y a quatre mondes à visiter :

  1. L’amérique du Sud
  2. Égypte
  3. Le chateau Schwarzendumpf
  4. La base de missile

Ce qui rend le jeu ultra difficile, c’est que l’on perd une vie dès qu’on tombe dans un piège ou qu’un ennemi nous touche. C’est pour cela qu’il faut connaitre les niveaux par coeur, un peu comme dans Prince Of Persia, sauf qu’il n’y a pas de temps limité pour finir le jeu.

J’ai connu uniquement le jeu sur CPC, et je me souviens d’un titre qui m’a fait m’arracher les cheveux par poignées entières et qui m’a fait plusieurs fois éteindre mon vieux CPC de rage.

J’ai décidé cependant de montrer la version Commodore 64 du jeu qui est semble un brin plus complète que la version Amstrad CPC.

Vous avez pu le voir, c’est un jeu d’une dureté redoutable. J’ai pu voir un longplay de la version améliorée pour la gamme Amstrad CPC+ et qui ressemble pas mal à la version Commodore 64. Vous allez comprendre à quel point ce jeu est une purge.

Une suite sera développée et sortira en 1990, sortant pour les mêmes plateformes mis à part le MSX2. Il était encore plus dur que le premier volet, mais il y avait un truc en plus. Un monde supplémentaire que l’on ne pouvait débloquer qu’à condition d’avoir fini les quatre autres mondes dans l’ordre.

Inutile de dire que je n’y ai jamais touché 🙂

Double Sided Games, un nom à suivre pour le rétro-ludique ?

Je dois l’avouer, je n’aime pas les jeux modernes, ceux qui vous en foutent plein les yeux à grand coups d’images superbes au détriment de la jouabilité et de la durée de vie. Je préfère largement des jeux plus modestes, souvent proposés par des petits studios voire des petites équipes – comme Planet X3 – ou encore les jeux qui sortent sur des plateformes abandonnées comme les Amiga, les Amstrad CPC ou encore le C64.

Pour cette machine, je dois dire que j’ai été agréablement surpris par les réalisations du studio canadien Double Sided Games. Spécialisé dans les Commodore Vic20, C64 et Amiga, ils ont sortis des petits bijoux qui parfois ne payent pas de mine.

Le port de « L’abbaye des morts » est un bijou, aussi bien sur le plan graphique que sur le plan de la durée de vie. Il est librement téléchargeable.

Mais ils ont aussi sorti un petit clone de Candy Crush Saga, « Vegetables Deluxe » qui s’il ne paye pas de mine est fortement addictif. Il est aussi librement téléchargeable. Une petite vidéo de présentation suit ci-après.

Mais le studio ne s’arrête pas là. Il y a un projet qui m’a parlé quand je l’ai vu, c’est le port de l’excellent « The Shadows of Sergoth » sur Amiga. Apparemment, il faudra 1 Mo de mémoire pour le faire tourner.

Sa sortie est prévue actuellement pour le troisième trimestre 2020. Il y a de fortes chances que je me laisse tenter par la version numérique du jeu quand il sortira. Rien que la vidéo sur la page de présentation, ça fait envie !

Si vous aimez les jeux récents sur des vieux bousins abandonnés, suivez de près ce studio !

Vieux Geek, épisode 215 : PC-Task, l’émulateur de PC pour Amiga.

Quand j’étais utilisateur d’un Amiga 1200 dans les années 1993-1995, il y avait un logiciel qui était un peu spécial, car il permettait d’émuler un PC. Son nom ? PC-Task. Cependant, il ne fallait pas s’attendre à des miracles.

La différence des microprocesseurs étaient telles qu’émuler un 8088 à 4,77 Mhz – en gros celui du premier IBM PC – tenait presque du miracle sur un Amiga 1200 sans aucune accélération matérielle. Quant à faire fonctionner MS-Windows 3.1, il fallait sortir la très grosse artillerie, du genre l’Amiga 4000 gonflé au maximum en mémoire vive, et encore, je ne suis pas certain 🙂

Il y avait d’autres facteurs qui rentraient en compte : l’incompatibilité des disquettes sur le plan du formatage… Bref, il fallait vraiment avoir besoin d’un logiciel n’existant pas sous Amiga. La dernière version, la 4.4 est sortie en 1997. En recherchant l’outil pour l’article, j’ai appris qu’en 2010, l’auteur l’avait libéré sous la forme d’un freeware.

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Vieux Geek, épisode 199 : Les aventures de Maddog Williams.

Il y a des jeux qui ont tendance à vous marquer, même si ce n’était pas des chefs d’oeuvre indépassables. Quand j’ai eu en 1996 mon premier kit multimédia (cf l’épisode 32 de la série vieux geeks publié en avril 2015), j’avais eu droit avec ma carte dite compatible sound blaster – hum ! – et son lecteur de CD 4x à un CD de jeux en shareware.

Dedans, il y avait un jeu qui ne payait pas franchement de mine, c’était un titre au nom à rallonge : « The Adventures of Maddog Williams in the Dungeons of Duridian » ou « Les aventures de Maddog Williams dans les donjons de Duridian ». Sorti en 1992 sur Atari ST, Amiga et PC, ce titre développé par Game Crafters est un jeu d’aventure mi textuel, mi graphique.

Un peu à l’image des premiers King Quest et Space Quest. En gros, on dirige le personnage principal au clavier ou au joystick et on entre des ordres au clavier. À mi-chemin entre les jeux à analyseur de textes et les point’n’click où tout se fait à la souris.

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Vieux Geek, épisode 97 : Scorched Tanks, un jeu de tanks à vous rendre dingo :)

Dans l’épisode 44 de la série « Vieux Geek », je parlais d’un des mes souvenirs vidéo-ludiques sur Amiga, avec le premier Civilization. Dans l’épisode 14 de la série « vieux geek » consacré au rogue-like, je parlais du port de Moria pour Amiga.

Mais il y a un autre souvenir qui m’est revenu en mémoire, c’est Scorched Tanks. Le principe du jeu était hyper-simple : de deux à quatre tanks sur un terrain devant se détruire mutuellement. Outre le fait qu’il y a eu dans l’ultime version quelques 70 armes différentes, on pouvait régler l’intelligence artificielle et l’agressivité des tanks contrôlés par l’Amiga.

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