Je sais que je vais me mettre à dos la blogosphère linuxienne francophone…

…Mais je m’en bats la bijouterie familiale à un point. Quand le plus méchant prof de maths français avait son blog, il crachait volontiers sur le logiciel libre sur le plan bureautique et il avait parfaitement raison.

Du peu que je peux lire de la blogosphère linuxienne francophone, en dehors des articles qui intéressent trois pelés et un tondu fondus de technique – avec du vent dans le dos – sur l’agrégateur qu’est le journal du Hacker, ou le zombiesque Planet-Libre (du moins quand il sera de nouveau en fonctionnement), c’est d’un ennui mortel.

On voit des articles qui sont des recyclages de textes qui auraient pu être écrits en 2015-2016. On ressort ad nauseam les mêmes arguments, les mêmes auto-congratulations dans les commentaires, etc…

Comme si le monde du libre bureautique n’avait pas changé d’un iota en 5 ans. Comme si entre temps des projets n’étaient pas morts, d’autre n’étaient pas nés.

Comme si rester dans des recettes qui font que le monde du libre bureautique restera dans les 2% de parts de marché jusqu’à la fin des temps en pensant qu’un jour cela fonctionnera, ça faisait avancer le schmilblick.

Comme si croire qu’on pourrait avoir la même interface avec des écrans de 6 pouces (téléphones portables), 15 à 24 (ordinateurs) voire 30 à 35 (télévisions connectées) alors que tous les acteurs qui l’ont tenté ont fait marche arrière…

J’ai jadis critiqué les libristes puristes qui ne voyaient l’informatique qu’avec des oeillères et en psalmodiant « liberté, liberté, liberté » et peu importe si la moitié du matériel n’était pas fonctionnel.

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Le fantasme du « c’était mieux avant »…

J’ai sorti récemment le 318e épisode ma série de billets « vieux geek ». Oui, 318 en l’espace de 9 ans environ. Le premier billet a été publié en août 2012.

Même si j’ai dû accidentellement sauter un ou deux épisodes dans la série, cela fait plusieurs centaines de billets que je parle de l’informatique d’avant. Qui n’était pas meilleure – car les temps de chargements de logiciels depuis une cassette ou une disquette, c’était looooooooong ! – juste différente.

Je ne regrette pas l’époque des jeux sur disquettes pour mon Amstrad CPC qui valait environ 150 francs au début des années 1990. Ajustée pour l’inflation, cela donne environ 35,50€ trois décennies plus tard.

Bref, c’était pas donné à l’époque non plus. Je suis aussi désormais à environ 810 jours – au 18 novembre 2021 – de mon cinquantième anniversaire, le 10 février 2024. Autant dire que cela va arriver très vite.

De mon surnom « Tonton Fred », il va falloir que je le change par « Vieux Fred » à un moment ou à un autre. Cependant, même si je regarde avec un brin de nostalgie les années passées – même si s’en regrette certaines – je ne suis pas enfermé dans un « c’était mieux avant » fantasmé.

Je n’ai que peu de souvenirs des années 1970 et des années 1980 jusqu’en 1982. De la première diffusion d’un certain UFO Robot Grendizer (alias Goldorak), de Captain Future (alias Capitaine Flamme), de Uchūkaizoku Kyaputen Hārokku (alias Albator 78) ou de Kyandi Kyandi (Candy) et de Ie naki ko (alias Rémy sans Famille). Même si les deux dernières séries à la suite aurait donné des envies de suicide à la personne la plus résistante mentalement, je n’en ai gardé que des bribes de souvenirs, et c’est tant mieux.

J’en ai revu certaines en tant qu’adulte – merci les réseaux de pair à pair – et je dois dire que je ne pouvais que remercier ma mémoire d’avoir fait un tri sélectif.

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Ah, le distro-hopping… Quelles justifications peut-on lui apporter en 2021?

Octobre 2018. À quelques jours de mon départ de Youtube, j’ai rédigé un article assez long sur le distro-hopping et la difficulté de le justifier, surtout avec un niveau de maturité plutôt poussé dans le monde des distributions GNU/Linux.

J’écrivais ceci en 2018 :

[…]
Depuis le milieu des années 2010, les distributions « grand public » sont arrivées à un degré de perfectionnement et de ressemblance qui justifie de moins en moins le fait de sauter d’une distribution à une autre au moindre « pet de travers ».

J’ai depuis rajouté les environnements de bureau dans la liste des logiciels à la maturité certaine, même si en ce moment dans quelques milieux bien informés, cracher sur Gnome est tendance. J’ai eu aussi une période où j’ai craché sur Gnome, critiquant la tabletisation de l’interface. Mais la lenteur de l’évolution de Mate-Desktop à laquelle se rajoutent des manques criants comme un outil de renommage de masse m’a fait retourner sur Gnome.

Début novembre 2021, je parlais de ce qui restait d’intéressant au niveau de la sphère linuxienne francophone sur Youtube. C’est en suivant d’un oeil et d’une oreille distraite que j’ai appris qu’un des grands noms de la dite sphère avait fait une espèce de distro-hopping. En effet, pour diverses raisons qu’il a expliqué, Adrien a quitté Calculate Linux pour revenir sur Gentoo. Pas un distro-hopping monstre, mais pour celui qui a défendu durant des années la Gentoo précompilée qu’est Calculate, ce n’est pas anodin.

Cela m’a étonné et m’a fait me dire qu’il était parfois difficile à justifier de sauter d’une distribution à une autre.

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Quand les clichés ont la vie dure : l’archlinuxien élitiste.

Vous me permettrez de laisser le terme archlinuxien au masculin singulier. Nulle volonté d’invisibiliser la moitié de l’humanité – certains mouvements se déclarant progressistes le font très bien – mais il serait étonnant que beaucoup de personnes dit du beau sexe s’intéresse à une distribution GNU/Linux qui est un gigantesque jeu de mécano ou de légo pour les personnes peu adepte du bricolage.

Car s’il y a une image qui colle à la peau de la personne dont l’ordinateur est motorisé par une Archlinux, c’est celle de l’élitiste qui se prend pour le nombril du monde après avoir réussi à installer Archlinux.

Car ce genre de petits cons – désolé, le clavier est en mode automatique dans ce cas – ça existe. C’est le même genre qu’on pourra trouver dans le monde des distributions à compiler comme une Gentoo ou une Funtoo. C’est le genre de personnes qui roule des mécaniques et qui chialent toutes les larmes de son corps dès qu’une opération de maintenance demandant un petit peu de concentration arrive.

Certaines personnes considèrent la position des archlinuxiens comme élitistes quand des critiques sont émises sur des projets comme EndeavourOS, Anarchy Installer ou encore ArchlinuxGUI. Le problème, ce n’est pas d’installer une Archlinux – à la main ou en mode automatisé – c’est de maintenir l’installation en vie.

Car Archlinux est une distribution exigeante en terme de maintenance parfois. Les développeurs font tout pour que les mises à jour majeures du genre bibliothèque C, compilateurs comme GCC ou encore Mesa passe sans problème. Mais parfois, il faut faire une intervention manuelle. Ce qui peut nécessiter d’avoir un minimum de connaissance technique. Si les connaissances manquent, les personnes qui ont installé Archlinux pour se la péter, ils sont dans la mouise jusqu’au cou et ce n’est pas suffisant.

Vous allez me dire que je suis méchant, mais désolé. Je ne fais qu’exprimer une vérité. Si la ligne de commande fait peur, foutez-moi le camp d’Archlinux.

J’avais jadis sur ma chaine youtube, puis importé sur Peertube.fr une vidéo concernant 5 questions à se poser par rapport à l’installation d’une archlinux.

Un point qui revient souvent dans les critiques, c’est AUR. C’est un énorme livre de cuisine. Après, il peut très bien y avoir des recettes dégueulasses. Mais il ne faut pas oublier que la modération est faite par l’équipe des Trusted Users pour trier le bon grain de l’ivraie.

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Il y a des jours, tu sens que tu deviens un ancêtre…

Je dois dire que ça fout la trouille quelque part. En ce 3 octobre 2021, deux annonces m’ont foutu un coup de vieux monstrueux.

La première, c’est qu’il y a 40 ans, jour pour jour, sur FR3 (devenu France 3 en 1992) était diffusé en intégralité – c’était un samedi – le premier épisode d’une série animée franco-japonaise, « Ulysse 31 », « Uchū Densetsu Yurishīzu Sātīwan » pour les japonais.

Oui, 40 putain d’années. Désolé pour la malpolitesse, mais je me souviens d’avoir connu la primo-diffusion de la série. La voix de Jean Topart pour Zeus, la musique pesante, lourde, limite effrayante. J’avais déjà parlé de cette série en juillet 2016.

C’est via un excellent podcast de France Inter du mois d’août 2021 que j’ai pu me souvenir que c’était les 40 ans de la série. Une série qui a vraiment très bien vieilli. Largement mieux que d’autres séries des années 1980-1985. Il suffit de revoir un épisode de « GI Joe » par exemple 🙂

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Mate-Desktop 1.26, 18 mois d’attendre pour pas grand chose visible au final ?

En tant qu’ancien utilisateur de Mate-Desktop, j’attendais par curiosité l’arrivée de la version 1.26 qui se faisait attendre depuis au moins février-mars de cette année.

Elle est finalement sortie en août 2021, soit 18 mois jour pour jour après la version 1.24.

Les notes de publications sont copieuses, mais les nouveautés vraiment visibles ne sont pas franchement très nombreuses.

On sent dès le départ que la majorité du travail a été effectué dans les tripes de l’environnement. La première entrée donne le ton : Atril (le lecteur de PDF), le moniteur système, Pluma (l’éditeur de texte), Mate Terminal et d’autres composants fonctionnent avec Wayland !

Pluma s’est largement complexifié avec l’ajout des pluma-plugins qui permettent d’avoir un Emacs allegé à la sauce Mate-Desktop 🙂

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La migration vers Chromium tourne court ?

Cela fait plusieurs jours que je teste Chromium en lieu et place de Mozilla Firefox, dans le but d’évaluer la migration qui s’imposera à terme. Je dois dire que je suis assez déçu sur certains plans.

La liste des griefs ? Voici les principaux :

  • Impossible de désactiver le surlignage des liens hypertextes sans passer par une extension
  • Pas de mode lecture par défaut, comme sous Mozilla Firefox, depuis au minimum octobre 2017. Pour Chromium, il faut soit une extension, soit passer par les flags pour avoir le dit mode
  • Plus de synchronisation possible en dehors de Google Chrome, et ce depuis le mois de mars 2021.
  • À moins que j’ai mal cherché, mais il est impossible de vider le contenu de l’historique et du cache quand on ferme Chromium.
  • Les réglages au niveau des thèmes pour les différents sites sont réinitialisés à chaque nouvelle visite.

Comme je ne suis pas comme la plupart des personnes sur le réseau à l’oiseau bleu qui affirme des choses sans preuves, voici des captures d’écran qui prouve ce que j’avance. Que ce soit pour les extensions minimales nécessaire pour le mode lecture et le retrait du surlignage des liens hypertextes.

Ou encore pour le fait de devoir passer par la page chrome://flags et l’option « Enable Reader Mode » pour activer le mode lecture qui existe au bas mot depuis 4 ans sur Mozilla Firefox en natif.

Résultats des courses ? Même si Chromium est un peu plus rapide que Mozilla Firefox, les éléments que j’ai listés sont pour moi des paramètres bloquants.

Je retourne donc sous Mozilla Firefox, histoire d’avoir un navigateur qui me laisse un peu plus de contrôle que le navigateur de Google. Inutile de me parler d’un de ses enrobages, que ce soit Brave, Vivaldi ou encore Opera. J’applique un principe de base : à la copie, je préfère l’original.

Message de service : Conky, c’est bien. En abuser, ça craint…

Bien que n’utilisant pas de Conky, je sais qu’il contient pas mal de fonctionnalités… Je me demande même s’il n’y a pas une extension pour piloter une cafetière.

Cependant, comme tout outil puissant, il faut savoir régler les fonctionnalités finement. Une qui peut être intéressante, c’est la gestion des flux RSS.

Selon la bible qu’est le wiki d’Archlinux, si on veut récupérer un flux rss, il y a une syntaxe du genre dans le fichier conky.conf :


${rss https://planet.archlinux.org/rss20.xml 300 item_titles 10 }

En gros, on insère le flux rss, suivant du rafraichissement en secondes, suivi du nombre de lignes à afficher.

Par défaut, c’est 15 minutes, soit 900 secondes.

Mais il y a des personnes qui règle très mal cette fonctionnalité, ce qui fait que mon blog est spammé de requête à la vitesse de 4 par secondes !

Un extrait du log, où j’ai volontairement caché l’IP :

xx.x.xxx.xx – – [18/Aug/2021:11:05:57 +0200] « GET /?feed=rss2 HTTP/1.1 » 301 178 « – » « conky-curl/1.1 »
xx.x.xxx.xx – – [18/Aug/2021:11:05:58 +0200] « GET /?feed=rss2 HTTP/1.1 » 301 178 « – » « conky-curl/1.1 »
xx.x.xxx.xx – – [18/Aug/2021:11:05:59 +0200] « GET /?feed=rss2 HTTP/1.1 » 301 178 « – » « conky-curl/1.1 »
xx.x.xxx.xx – – [18/Aug/2021:11:06:00 +0200] « GET /?feed=rss2 HTTP/1.1 » 301 178 « – » « conky-curl/1.1 »
xx.x.xxx.xx – – [18/Aug/2021:11:06:01 +0200] « GET /?feed=rss2 HTTP/1.1 » 301 178 « – » « conky-curl/1.1 »
xx.x.xxx.xx – – [18/Aug/2021:11:06:02 +0200] « GET /?feed=rss2 HTTP/1.1 » 301 178 « – » « conky-curl/1.1 »
xx.x.xxx.xx – – [18/Aug/2021:11:06:03 +0200] « GET /?feed=rss2 HTTP/1.1 » 301 178 « – » « conky-curl/1.1 »
xx.x.xxx.xx – – [18/Aug/2021:11:06:04 +0200] « GET /?feed=rss2 HTTP/1.1 » 301 178 « – » « conky-curl/1.1 »
xx.x.xxx.xx – – [18/Aug/2021:11:06:05 +0200] « GET /?feed=rss2 HTTP/1.1 » 301 178 « – » « conky-curl/1.1 »

Vous pouvez imaginer les conséquences en terme de consommation de ressources. Consommation plus qu’inutile. On est à la limite de l’attaque sur le serveur.

Quel est l’intérêt de rafraîchir un flux RSS 4 fois par secondes ? Même des webzines comme Clubic ou NextInpact publie un article au minimum toutes les 5 à 10 minutes. Demander des infos toutes les 5 secondes, c’est le minimum acceptable.

Si ça continue ? Bannissement pur et simple de Conky au niveau de mes flux RSS.

Maintenant, vous êtes au courant. Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que le ban sera rapidement mis en place… Mais je peux me tromper 😀

Vers un abandon à terme de Mozilla Firefox ?

Je suis un utilisateur de très longue date du navigateur de la Fondation Mozilla. J’avais en septembre 2002 – p’tain, 19 ans déjà ! – utilisé le lointain ancêtre qui s’appelait alors Phoenix avant de devenir Firebird puis Firefox pour sa version 1.0 en novembre 2004.

Autant dire que côté durée d’utilisation, je suis inscrit dans la longue durée. Je me souviens de la longue maturation de Mozilla Firefox 4.0 en mars 2011 (j’avais d’ailleurs rédigé un article, supprimé par la suite), des forks plus ou moins justifié à cause de l’interface avec PaleMoon en mai 2015, ou encore la fin de vie de technologie comme XUL et XPCOM en novembre 2017 avec l’arrivée de Quantum… Bref, j’ai connu je ne sais combien de fois des gueulantes de la part des personnes censées aider le logiciel et qui l’enfonçaient comme des enfants gâtés auxquels on enlevait leur jouet préféré.

Le résultat est très net. Une perte de la masse d’utilisateurs du navigateur d’environ 50 millions de personnes, comme le précise cet article de developpez.com.

C’est la goutte d’eau qui fait presque déborder le vase en ce qui me concerne. Je suis donc en train de tester la migration vers Chromium, qui sera à terme le seul moteur de rendu, étant donné que la part de marché de Mozilla Firefox va descendre au pourcent symbolique d’ici la fin de l’année 2022 voire 2023.

Je ne fais pas ces essais de gaieté de coeur, mais simplement car j’utilise ma masse cérébrale et que j’essaye d’estimer le temps qu’il reste à vivre à un excellent navigateur desservi par une politique brouillonne et des soutiens qui jouent plus souvent dans le registre du lynchage.

J’ai quelques articles et vidéos qui montreront l’utilisation de Mozilla Firefox. La première étape a été d’importer mes données dans Chromium. J’ai aussi virer le lien du navigateur de la Fondation Mozilla de ma barre de favoris.

Je vais donc voir si la migration est faisable et surtout si je supporterai un tel changement. Si oui, il me faudra trouver un remplaçant pour Mozilla Thunderbird. Et cela, ce sera largement plus chiant.

Rendez-vous dans 15 jours pour un premier bilan ?

Youtube, c’est comme un champignon : il pourrit par la queue.

Je constate la lente dégradation de Youtube qui s’amplifie d’années en années. J’ai quitté Youtube en tant que créateur en novembre 2018. J’avais à l’époque quelque chose comme 4900 abonnés, puis des personnes se sont abonnées, ce qui fait qu’en 3 ans, je suis à pas très loin de 5800 abonnés. Bizarre pour une chaine au point mort depuis fin 2018.

J’avais déjà parlé de cette montée en abonnements dans un article de novembre 2020.

Je concluais l’article ainsi :

[…]
Que ce soit sur peertube.fr ou tux’n’tube, j’ai retrouvé le plaisir de faire des vidéos sans me soucier des dévaliseurs de bijouterie familiale. Ou je n’ai plus rien à craindre du robot copyright de Youtube qui peut balancer des avertissements qui peuvent entraîner au final la destruction de ta chaine.

Même si je ne fais plus que quelques dizaines voire quelque centaines de vues par vidéo, ce n’est pas grave. Je suis revenu à la création de vidéo pour le plaisir et quand j’ai envie d’en faire. C’est aussi simple et bénéfique que cela. Peertube ne sera jamais un concurrent dangereux pour youtube, mais ne plus dépendre de cette plateforme du monde de Google, ça fait plaisir 🙂

Sur ce, je vous laisse et je vous souhaite une bonne fin de journée.

Ce sont les dernières mésaventures arrivées à Frédéric Molas alias le Joueur du Grenier qui me font penser que vouloir conserver des vidéos monétisées, c’est un vrai chemin de croix.

Note en passant : Je sais par avance que des personnes appartenant au « camp autoproclamé du bien » vont me taxer de fasciste ou d’extrême-droite car j’ose reprendre une vidéo de Psyhodelik qui revient sur les déboires du JDG. Avec ce genre de personnes, 98% de la population mondiale est d’extrême-droite 🙂

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