AcreetionOS, ce qu’il ne faut pas surtout pas faire pour une distribution GNU/Linux.

Je reviens dans le monde des distributions GNU/Linux pour un billet plutôt rapide qui va parler de la pire distribution GNU/Linux que j’ai pu croiser au fil des années. Loin des clones ratés de MacOS (Souvenez-vous de PearOS il y a une bonne demi-douzaine d’années ou encore du merdique Micro-R OS en 2014).

Pour les personnes qui me suivent depuis des années, ça doit rappeler quelques souvenirs… D’une époque que je croyais révolue. Mais est arrivé AcreetionOS dont j’ai parlé dans la vidéo DGLFI ci-dessous.

Si on devait faire un résumé des erreurs, il y aurait, liste non exhaustive :

  1. Une base soi-disant Archlinux alors que les dépôts utilisés n’ont aucun lien direct
  2. Des dépôts injoignables la moitié du temps, ce qui peut faire planter l’installation ou la prise en compte des mises à jour !
  3. L’utilisation d’archive.org pour y laisser une copie de l’image ISO principale. Pas franchement le but du site à l’origine…
  4. Le lien forum qui pointe sur ceux d’Archlinux… Et quand on sait comment les distributions autre qu’Archlinux pure et dure ne sont pas supportées, imaginez la gueule des mainteneurs d’Archlinux avec ce projet médiocre (pour rester gentil)…
  5. Quand le site qui héberge les dépôts est fonctionnel, on peut accéder à pas mal d’informations des développeurs, auquel ne manque que les mots de passe en clair ! Et encore, je n’en suis pas complètement certain sur ce plan !

Et j’ai dû oublier encore un ou deux problèmes au passage. Mais c’est le genre de projets qu’il faut fuir comme la peste… Mais si vous essayez cette distribution, laissez-la dans une machine virtuelle. Ce n’est pas utile de torturer du matériel avec cette… chose !

Maintenant, je considère que vous êtes suffisamment grands pour faire vos propres choix, mais ne venez pas vous plaindre en cas de problèmes.

Allez, bonne fin de journée !

Donc Intel a mis à mort sa distribution GNU/Linux…

Et le petit monde des distributions GNU/Linux a été pris par surprise par la nouvelle, annoncée sur le forum de la distribution. Alors que le projet existait depuis plus de 10 ans, Intel l’arrête du jour au lendemain.

Ce qui en dit long sur l’instabilité chronique qui règne dans le petit monde des distributions GNU/Linux. À l’époque où je présentais avec une régularité d’horloge helvète des distributions GNU/Linux, je donnais toujours le conseil suivant : éviter comme la peste les distributions qui sont des projets mono-personnel – à l’exception de la mythique Slackware Linux – ou qui ont une petite équipe pour s’en occuper.

Un exemple récent de projet mono-personnel – du moins c’est que l’on peut comprendre en fouillant le GitHub du projet – c’est la ShaniOS, une distribution immuable basée sur Archlinux comme la Arkane Linux… Qui doit sentir mauvais du bec pour proposer un projet concurrent, au lieu de mutualiser les efforts. Des efforts de mutualisation ont déjà eu lieu… Faudra que j’en parle d’un qui me vient à l’esprit dans un billet vieux geek à écrire.

Je dois dire que la fin de la Clear Linux prouve qu’avoir une grosse boite à laquelle s’adosser n’est pas forcément synonyme de longévité « éternelle », c’est à dire dépasser les 10 ou 15 ans de durée de vie. 15 ans dans le monde linuxien, c’est énorme… Il y a 15 ans, la Ubuntu principale, c’était la 10.04 alias « Lucid Lynx », qui proposait un noyau Linux 2.6.32, Gnome 2.30 et OpenOffice.org 3.2. Et oui, ça fait vieux maintenant !

Si je devais conseiller une distribution, ce serait une des distributions mères (Archlinux, Debian, Fedora, OpenSuSE, Slackware), à la limite les distributions filles (EndeavourOS, Manjaro, Ubuntu et ses saveurs officielles, SalixOS entre autre), et une seule petite fille, la LinuxMint.

Autant dire qu’on est loin des quelques 328 distributions encore actives listées sur Distrowatch en ce 21 juillet 2025. Autant dire qu’il y a encore de quoi faire du nettoyage pour avoir quelque chose de plus gérable.

Le rétroludique a-t-il un avantage sur les jeux vidéo modernes ?

Depuis environ 4 ou 5 ans, j’ai commencé à me plonger dans le rétroludique. Un peu avant qu’il ne soit à la mode. Il faut dire que je n’avais pas l’équipement nécessaire niveau matériel pour me permettre des jeux modernes… Et après avoir eu l’occasion de jouer un peu à Doom (celui de 2016), je me suis à nouveau éloigné du vidéoludique moderne.

De plus, j’avais l’impression de toujours voir les mêmes déplacements, les mêmes effets spéciaux… Dépenser plusieurs centaines d’euros dans une carte graphique dédiée, ce n’était pas à l’ordre du jour… Ma carte bleue m’aurait mordu jusqu’au sang !

Je me suis d’abord tourné vers mon passé informatique, avec l’Amstrad CPC avant de m’apercevoir que la scène CPC n’était pas aussi dynamique que je l’aurais voulu. C’est tout naturellement que je me suis tourné vers le Commodore 64. Et c’était le jour et la nuit.

Depuis, j’ai reçu en don un C64 de 1985. Et j’ai dû dépenser 150€ à 175€ en périphériques et jeux en boîte. 175€ sur environ 4 ans, c’est pas excessif. Mais j’ai ainsi un avantage sur les jeux vidéo modernes. Les jeux que j’ai acheté en physique ou en numérique m’appartiennent.

Je ne suis pas à la merci d’un serveur qu’un éditeur peut débrancher quand bon lui semble.

Oui, le son et les graphismes piquent les oreilles et les yeux. Mais au moins, les jeux qui sortent la plupart du temps bel et bien terminés. Il peut arriver que des versions corrigées soient publiées. Mais les images de disquettes ou de cartouches m’appartiennent. Je ne loue pas un jeu dans le monde rétroludique.

Et c’est vraiment bien. Ensuite, quand le rétroludique sera passé de mode, et bien les plus accrocs dont je fais partie continueront de jouer à des titres qui ne sont pas photoréalistes, mais qui ont le bon goût de ne pas disparaitre du jour au lendemain.

Allez, passez une bonne journée quand même 🙂

Les principaux manques du linux bureautique pour être autre chose qu’une niche.

Je sais qu’on va dire que cet article est du réchauffé, et pourtant… Via mon ami le chat qui pète et qui pue, j’ai pu me faire générer une image avec ce que je considère être les 4 principaux manques qui font que Linux, malgré toutes les meilleures volontés du monde, ça restera une niche pour le ludique et le bureautique.

On va y aller dans un ordre que je qualifierai de bazardesque.

Un des gros morceaux, c’est la compatibilité. Que ce soit au niveau des formats de fichiers – et même si LibreOffice a fait d’énormes progrès – nombre de fichiers au format microsoftien (docx, xlsx, ppsx, etc) resteront amochés voire complètement illisibles.

C’est aussi le cas de la compatibilité de l’applicatif. Même si j’ai un MS-Windows 11 avec nombres d’applications libres (LibreOffice, Mozilla Firefox et Thunderbird, VLC, OBS Studio, Notepad++), je ne peux pas tout faire avec du 100% libre. Ce qui me fait aborder le manque d’applicatif digne de ce nom. Revenons-en à la compatibilité. Ou comment faire d’une pierre deux coups !

Vous me direz : on peut toujours utiliser Wine pour certains gros logiciels, comme Photoshop. Au mieux, la dernière version – la CC2024 est qualifiée comme « silver ». En gros, le troisième niveau, après le Platinum et le Gold. Je n’ai rien trouvé de probant sur la base de données de Wine concernant MS-Office dans son ensemble.

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Ce qui me gonfle dans le logiciel libre actuel, épisode 6 : l’intense drague des utilisateurs de MS-Windows 10.

Depuis plusieurs mois, nombre de projets de distributions GNU/Linux sont mis en avant pour permettre l’accueil de migrant(e)s de MS-Windows 10 abandonné par Microsoft en octobre 2025.

En me basant sur le site d’agrégation d’articles de webzines et de blogs du nom de TuxMachines, on tombe au moins une fois par semaine sur un article qui dit que telle distribution est idéale pour migrer… Et ça devient gonflant. Voici un florilège d’articles publiés reprenant cette idée, entre début mai 2025 et mi-juin 2025. Liste non exhaustive, bien entendue.

Et j’aurai pu continuer longtemps, mais rien qu’avec cette poignée de liens, vous pouvez voir que la drague fonctionne à fond… Mais il restera un problème : l’applicatif spécifique qui est souvent difficile à remplacer. Vous me direz qu’on peut toujours passer par Wine pour certains logiciels. Mais est-ce le cas pour MS-Office ? Photoshop Elements (car un Photoshop complet pour retoucher 3 photos par an…) ? Pour nombre de jeux, même avec les progrès de Vulkan ?

Maintenant que j’ai un pied dans les deux mondes (PC fixe sous MS-Windows 11, ordinateur portable sous Archlinux), je m’aperçois à quel point les promoteurs zélotes du libre ne voit pas plus loin que le bout de leurs museaux ou que de leur utilisation spécifiques. Sans vouloir jouer les cassandres, vous allez vous casser les dents et la migration ne se fera qu’à la marge.

On va dire que 2 ou 3% des personnes franchiront le pas linuxien. Les autres se débrouilleront pour installer MS-Windows 11 via des contournements que Microsoft ne comblera pas, histoire d’avoir une base maximale de personnes utilisant son OS.

Car passer sous Linux, ça veut dire tout réapprendre, comme moi j’ai dû le faire en sens inverse en revenant sous MS-Windows après l’avoir quitté à l’époque de XP.

Maintenant, certaines personnes vont me voir comme un traitre à la cause. J’ai donné 19 ans de ma vie informatique au logiciel libre, je pense savoir de quoi je parle et les procès d’intention ne me font ni chaud ni froid.

Ce qui me gonfle dans le logiciel libre actuel, épisode 5 : les guerres intestines du logiciel libre.

C’est le genre de guerres qui ne servent à rien. Ce sont souvent des communautés arcboutées sur leurs positions extrémistes et qui cherchent à imposer leur vérité au détriment du reste du monde du libre.

Cela donne naissance à des forks de distributions ou de logiciels complètement rageux. Outre les classiques et ancestrales guerre comme vi contre Emacs – qui remonte en gros avant la naissance du logiciel libre en 1983 – on a eu droit au fil des années aux guerres Gnome contre KDE ou la plus vivace et la plus violente guerre des inits, à savoir systemd contre SysVinit/OpenRC/Runit/S6/dinit (et désolé si j’en oublie au passage)… Avec des sites plutôt « collector » côté haine comme systemdfree. Attention, c’est du lourd !

Quand j’étais un linuxien à poils durs, j’avais une posture précise : peu importe le système d’init et de gestion des services. Tant que ça fonctionne, c’est le principal. En clair, un point de vue purement pragmatique et utilitaire. Durant ma période de mono-démarrage linuxien (qui s’étale sur près de 19 ans), j’ai tout connu : sysVinit, upstart (lors de ma période Ubuntu) et systemd.

Actuellement, mon ordinateur portable tourne avec Archlinux, mon ancestral eeePC avec une Void Linux 32 bits, étant donné que c’est une des dernières distributions à proposer encore du 32 bits à l’installation. Void Linux qui utilise Runit, système d’init alternatif que j’aime bien.

Pour les pro-systemd comme pour les anti-systemd, je suis un traitre de la pire espèce. Dans le premier cas, j’utilise autre chose que systemd. Dans l’autre, j’ose utiliser systemd. Autant dire que ce n’est pas une position des plus confortables ! Le meilleur moyen de se retrouver sur un bûcher à court ou moyen terme 🙂

Je me mets ici dans la peau de l’utilisateur / utilisatrice de base qui ne veut qu’une chose : que tout fonctionne. Si un jour Archlinux abandonne systemd pour un autre système d’init, je suivrai le wiki pour l’adapter à mon installation sur mon ordinateur portable. C’est aussi simple que ça.

Allez, passez une bonne journée et à la prochaine !

Ce qui me gonfle dans le logiciel libre actuel, épisode 4 : les intégristes du logiciel libre.

Je l’ai déjà dénoncé plusieurs fois durant la longue vie de ce blog, mais les intégristes du logiciel libre, c’est limite plus insupportable par moment que les extrémistes religieux, quelle que soit la religion concernée. Ne faisons pas de jaloux.

Car pour ces personnes, on entre dans le logiciel libre comme on entre en religion. Avec le zèle du nouveau converti qui explose à fond les gonades aux autres personnes.

Je pense aux personnes qui ne jurent que le logiciel libre, traque le moindre logiciel non libre comme quand sous le régime collaborationniste d’un vieillard grabataire, pardon je voulais dire de Philippe Pétain, on recherchait le juif jusqu’à la troisième génération. C’est le même genre de comportement, même si c’est appliqué au logiciel libre, cela ne veut pas qu’on connaîtra un fin précoce, et encore heureux aurais-je tendance à dire.

C’est au nom de cette pensée que le moindre micrologiciel non libre, pourtant indispensable au fonctionnement correct de certains composants d’un PC, est expulsé sans coup férir.

J’ai toujours considéré ce genre d’actions comme contre productives, et on finit par se retrouver avec des logiciels finies à l’urine frelatée de coureur cycliste, avec parfois des ergonomies insupportables, ou des fonctionnalités qui ne fonctionnent qu’une fois sur trois ou quatre. Le meilleur moyen de faire à une personne qui débute dans le monde du logiciel libre : « Putain, mais c’est quoi ce logiciel ? On m’a vendu du rêve et je me retrouve avec une merde puante et purulente. Et on m’a fait quitter Windows pour ça ? »

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PewDiePie a migré sous Linux… Quel impact en terme d’adoption du bureau libre ?

Donc le youtuber PewDiePie vient de migrer sous Linux via la distribution Linux Mint. Je comprends aisément ce choix. C’est une distribution parmi les plus abordables qui existe. Il y a aussi une vraie équipe derrière qui a fait preuve de sa solidité au fil des années.

D’ailleurs, si je ne me trompe pas, Linux Mint remonte à l’année 2006, du moins selon l’historique de Distrowatch dont la première version listée est la 2.0 en novembre 2006. Il a aussi installé une Archlinux sur un autre PC qui lui appartient. Pourquoi pas ? 😀

Avec presque 20 ans au compteur, on peut se dire qu’on est tranquille. Donc le youtubeur aux 110 millions d’abonnés – loin derrière Mr Beast au presque 390 millions en ce 29 avril 2025 – vient de sauter le pas et quitte le monde Microsoftien.

Grand bien lui fasse. Certaines personnes pensent que la migration va sûrement aider à une migration de masse. Le problème n’est pas de migrer, c’est de rester sur le long terme sur un OS libre. Car il est certain qu’au premier problème technique, pas mal de personnes se diront : « C’est quoi cette merde ? Je retourne sous Windows. Au moins, ça fonctionne ! »

La première emmerde, c’est un jeu mal supporté par Wine – cf les anti cheat – et son compagnon proton. Ou encore un document MS-Office mal supporté par Libre Office… Ou l’import d’un fichier Photoshop dans Gimp. Je pourrai multiplier les exemples, mais vous avez les grandes lignes.

Et cela, aussi puissant youtubeur que l’on puisse être, on ne peut pas y échapper. Donc un effet d’aubaine pour une minorité qui fera sûrement le trajet inverse au bout d’une poignée de jours ou de semaines.

Bref, inutile de s’emballer. Le Linux bureautique et est restera un marché de niche. Et de cela, j’en ai l’intime conviction. Mes quasiment 19 années de mono-démarrage linuxien m’en a fait prendre conscience.

Cassons quelques idées reçues sur Tiny11, le Windows 11 allégé.

Il existe pas mal d’idées reçues sur Tiny11. On ne peut pas le mettre à jour, on ne peut pas le monter en version, etc. Pour combattre toutes les idées reçues de ce type, Baba a montré l’installation d’un Tiny11 pour montrer que nombre de bêtises ont été racontées. Des idées propagées par Monsieur Voldemort version Wish. La vidéo est un peu longue, mais elle en vaut la peine.

Je dois dire que je suis utilisateur de Tiny11, et je n’ai aucun problème pour recevoir les mises à jour classiques ou encore celles de sécurité. Côté mises à jour régulières, il y a les bases de définitions de Windows Defender ou pour l’accroc au terminal que je suis – mon passé archlinuxien revient en force – oh-my-posh qui est un peu le oh-my-zsh du PowerShell qui est presque mis à jour quotidiennement !

Pour la petite anecdote, j’ai conservé en machine virtuelle un Tiny11 basé sur MS-Windows 11 23H2 qui était passé sans casse en 24H2. Mon installation est basée sur un Tiny11 en partant MS-Windows 11 24H2. Et tout roule très bien, surtout avec ma logithèque au dessus de l’OS qui est à 90% libre environ. Autant dire que je suis tranquille. Après, si vous commentez sans regarder la vidéo auparavant, c’est votre problème, pas le mien 🙂

Après 19 ans de mono-démarrage linuxien, je retourne sous MS-Windows.

Attention, article plutôt copieux. Donc prenez votre temps pour le lire tranquillement.

Oui, après 19 ans sous Linux uniquement, je suis – par la force des choses aussi bien sur le plan personnel que professionnel – obligé de migrer vers MS-Windows 11. Oui, ça fait étrange, surtout pour moi qui était habitué à Linux et qui avait déjà pas mal perdu la main sous MS-Windows. J’avais parlé de cette perte dans un article de janvier 2022. Mais ça revient vite si on y consacre quelques soirées. J’atteins aussi un certain âge où j’ai moins envie de bidouiller un peu trop souvent.

De plus, j’ai rapporté un bug concernant un problème de ports USB mal géré le 11 février et qui est toujours ouvert au moment je publie cet article. Autant dire que la confiance que j’avais dans le noyau linux s’est un peu errodée, malgré toutes les informations que j’ai pu rapporter et les tests demandés effectués. Et bousiller la partition d’un support de sauvegarde, je ne suis pas vraiment fan…

Oui, je suis cash et je ne cache rien. Cependant, lors de cette migration forcée, je n’ai pas perdu au change côté logithèque. En effet, sauf de rares cas, je n’ai subi aucune perte. Les logiciels suivants que j’utilisais sous Linux fonctionne avec MS-Windows. Et la liste est quand même longue.

  1. LibreOffice
  2. Mozilla Firefox
  3. Mozilla Thunderbird
  4. Quodlibet pour la musique
  5. Gimp pour le peu de retouche d’images que j’ai besoin de faire
  6. OBS Studio
  7. Vice (pour les ordinosaures Commodore) dont il existe des compilations à chaque nouveau commit (ou presque), ce qui m’évite de recompiler l’ensemble à la main
  8. AppleWin pour l’émulation Apple II
  9. RetroVirtualMachine pour l’émulation Amstrad et ZX Spectrum
  10. VLC pour les vidéos
  11. Discord pour le papotage 🙂
  12. Anydesk pour le dépannage à distance

Pour les remplacements ?

  1. 86Box pour remplacer PCem qui refuse de démarrer
  2. Qemu par HyperV et VMWare Workstation, en fonction des besoins du moment
  3. Shotwell par ACDSee Photo Studio
  4. Gnome-text-editor par Notepad++
  5. NanaZip pour la gestion des archives
  6. CDex pour remplacer Soundjuicer pour les deux CDs que je reçois par an pour les rajouter à ma musicothèque
  7. Fedistar à la place de Tuba pour tout ce qui est Mastodon
  8. VSDC Free Video Editor pour remplacer Pitivi
  9. Altirra pour remplacer Atari800 pour l’émulation des ordinosaures Atari 8 bits

Autant dire que mise à part l’OS, je suis toujours en terrain conquis. Évidemment, ne plus avoir à faire un yay quotidien, ça va me faire bizarre. Mais bah, au moins, je ne serais plus victime des changements à la con qui m’ont parfois un peu compliqué la vie.

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