Confession d’un vieux geek : je n’ai jamais vraiment été un grand fan de l’Amiga !

Oui, je sais, je vais me faire tomber dessus à bras raccourcis par pas mal d’ancien(ne)s amigaistes qui vont vouloir allumer un bûcher pour me faire rotir dessus.

J’ai parlé de nombreuses fois de jeux qui m’ont marqué quand j’ai eu l’opportunité de m’équiper d’un Amiga 1200 en 1993-1994, période qui a correspondu à la descente aux enfers de Commodore.

Voici quelques articles où j’ai pu parlé de jeux sur Amiga qui m’ont donné du plaisir à être lancé de nouveau :

Mais aussi des logiciels plus sérieux comme PC-Task en juin 2020 ou le Magic Workbench en août 2020.

Mais je dois le dire, je ne regrette pas tant que ça ma période Commodore Amiga. J’étais bluffé par les captures d’écran dans les magazines vidéoludiques, et je bavais d’envie sur les images dans les publicités des jeux qui montraient toujours soit la version Amiga, soit la version Atari ST.

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Vieux Geek, épisode 323 : le double visage de MS-Windows 95

Le temps passe très vite. Il y a 27 ans en cette année 2022 que le révolutionnaire MS-Windows 95 sortait. Attendu comme le messie par nombre de personnes, il proposait l’interface qui serait la sienne jusqu’à nos jours, modulo la période de MS-Windows 8.x.

Cependant, ce qui est peu connu, c’est que MS-Windows 95 pouvait avoir deux visages. Un peu comme le chevalier d’or des Gémeaux dans Saint Seiya… Point culture geek ? Fait 🙂

Loin de la méchanceté de ce personnage de l’animé et du manga, les deux visages étaient soit l’interface nouvelle génération (avec le menu démarrer et tout le tintouin) soit l’interface de MS-Windows 3.x.

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Y a pas à dire, c’est du rapide la Final Cartridge III+ pour Commodore 64.

Depuis que j’ai reçu gracieusement un Commodore 64, je m’équipe petit à petit des composants indispensables pour le faire fonctionner. Que ce soit un bloc d’alimentation, un cable composite pour le brancher à un vieux téléviseur, une carte SD2IEC pour pouvoir lancer des jeux sur images de disquettes.

Il ne manquait plus qu’une cartouche de chargement rapide. Ayant été agréablement surpris par le sd2iec de Faszination, j’ai donc décidé de rester avec ce fournisseur et je me suis pris une version pré-montée (je suis nul à pleurer avec un fer à souder) d’un clone de la cartouche Final Cartridge III de 1987.

C’est un modèle dit « plus » qui outre le fait qu’elle propose un chargement accéléré, on peut geler les logiciels en cours d’exécution, avoir un moniteur système, et plein de bonnes choses que je découvrirai avec le temps.

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« Tenebra », suite et fin.

Dans une billet du 14 janvier 2022, je revenais sur l’excellent casse-tête « Tenebra » sorti pour Commodore 64 et Plus/4 (sans oublier Vice).

Je m’étais lancé dans une quête assez simple dans le principe : montrer les solutions idéales pour les 25 niveaux peuplant le jeu.

Dans le précédent billet, j’avais terminé les 15 premiers niveaux. Dans le « en vrac’ de fin de semaine » du 15 janvier 2022, j’avais rajouté les niveaux 16 à 20.

Après une bonne prise de tête et un entrainement préalable à l’enregistrement, voici donc les 5 derniers niveaux, et vous verrez à quel point certains niveaux de fin sont quand même assez vicieux, spécialement le dernier avec ses deux wagonnets…

Je dois dire que j’apprécie vraiment ce genre de torture de méninges qui n’ont pas besoin de la dernière carte nVidia pour fonctionner. Ensuite, je peux très bien comprendre que certaines personnes préfèrent les bons vieux FPS.

Cela m’arrive aussi, mais quand je tombe sur un titre de cette qualité dans le monde de la rétro-informatique, je ne boude pas ma joie.

« Tenebra », le casse-tête qui ne paye pas de mine, suite.

Le 12 décembre 2021, je parlais de la version de démonstration de « Tenebra », un jeu de casse-tête développé sur Commodore 64 et 128.

À l’époque, c’était une démonstration avec les 8 premiers niveaux sur les 25 prévus à l’origine.

Le 23 décembre 2021, la version finale est annoncée. Elle est suivie le 1er janvier 2022 d’une version pour Commmodore Plus/4.

J’avais déjà montré une partie des niveaux de « Tenebra » dans le précédent article. Je me suis alors dit que ce serait sympathique de montrer les niveaux par lots de 5, qui sont d’une difficulté assez croissante. Cela aurait été dommage de ne pas proposer les (??) solutions de chaque puzzle.

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Les jeux rétro-ludique, supérieurs sur bien des points aux jeux vidéo modernes ?

Je sais ici que certaines personnes vont froncer les sourcils en se demandant si je n’ai pas abusé de substances plus ou moins illicites. En quoi des jeux sortis dans les années 1980-1990 ou beaucoup plus récemment comme le port de « Sonic the Hedgehog » – version Sega Master System – sur Commodore 64 avec une extension mémoire de 256 Ko, ou encore l’excellent clone de Zelda (avec des combats à la Final Fantasy), j’ai nommé « Briley Witch Chronicles » (transférable sur le format Easy Flash 3) sont supérieurs à un jeu sorti sur les dernières consoles à la mode ou le dernier PC de la mort qui tue ?

Je pourrais aussi citer les scènes Atari 8 bits avec le port de « Prince Of Persia », Amstrad CPC avec un port réussi de Puzzle Bobble.

Il est vrai que je cite le haut du panier et que toutes les productions ne sont pas aussi avancées. Ce genre de jeux ont un avantage : fonctionner soit sur un émulateur, soit sur le vrai matériel modulo quelques extensions par moment. Pour les jeux tournant sous MS-DOS, rien ne vaut – si on a pas un vieux PC sous la main – l’excellent Dosbox-X dont la version 0.83.22 qui sera – ou aura été – celle de février 2022 apporte le support du Pentium 3 !

La preuve en image.

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« Briley Witch Chronicles » : suite et fin… Déjà ?

Dans un article du 3 janvier 2022, je faisais le bilan du jeu au bout d’une dizaine d’heures.

Je viens de le terminer en environ 14 heures. Je dois dire que j’ai été surpris d’atteindre aussi rapidement la fin.

Au final ? Le jeu a une fin excellente, ouvrant la voie pour le deuxième volume des aventures de Briley. Sur la carte du jeu – qui me fait penser à Iron Lord sorti en 1989 par Ubisoft sur CPC, C64, ZX Spectrum, MS-DOS, Atari ST et Amiga – on peut voir qu’il y a une bonne douzaine de lieux à explorer. J’ai pensé que cela ne gâcherai pas trop le contenu riche du jeu.

Sur la quête annexe de la récupération des renards, sur les 56 à retrouver, j’en ai récupéré 51. Soit 91,07%, la preuve en image. Pas mal au final 🙂

Que dire pour conclure ? Je pense que je retenterai l’aventure au niveau de difficulté normal d’ici quelques semaines. Que ce jeu vaut largement les 9,99$ de sa version numérique. Un bijou rétro-ludique comme j’aimerais en avoir plus souvent sous la main. Moralité ? Dès que le deuxième volet sort, je l’achèterai sans hésitation !

Bref, je vous recommande chaudement ce jeu.

« Briley Witch Chronicles » : Quel bilan après une dizaine d’heures de jeu ?

Dans un article du 28 décembre 2021, je parlais du RPG à la japonaise pour Commodore 64, « Briley Witch Chronicles ».

Pour éviter de finir trop vite le jeu, je me mets une heure de jeu par jour. Sur la page officielle du jeu, la durée de vie annoncée est de 16 heures minimum. Dans les commentaires, on peut lire que certaines personnes ont fini le jeu en 20 heures.

Je serais donc en gros à la moitié de l’aventure. À chaque jour, il y a une voire deux quêtes à remplir, certaines étant assez laxative, surtout quand on doit supporter une demi-douzaine de combats pour considérer une mission comme remplie.

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10, 15, 20, 25 ans voire plus. Quel anniversaires fêtera-t-on cette année dans la micro-informatique personnelle ?

Début janvier 2021, j’avais écrit deux articles, consacrés aux logiciels et aux matériels fêtant leur 25 ans en 2021. Pour bien commencer cette année 2022 – bonne année au passage si vous lisez cet article en janvier 2022. – je vais faire un billet unique, non exaustif pour les logiciels et matériels fêtant un anniversaire de 10, 15, etc… ans. 5 ans, c’est trop peu 🙂

L’informatique personnelle n’a qu’une grosse cinquantaine d’années. Si vous avez des ajouts à me proposer, les commentaires sont là pour ça 🙂

Pour des raisons pratique, je vais rester sur les années concernées.

45 ans :

En 1977, trois ordinateurs mythiques voyaient le jour : l’Apple II, le Commodore Pet et le TRS 80.

Une console mythique de la deuxième génération sort, une certaine Atari VCS renommée par la suite Atari 2600.

40 ans :

En 1982, c’est la sortie du Commodore 64 (produit jusqu’en 1993-1994 !), mais aussi du ZX Spectrum. C’est aussi l’année de naissance de Compaq qui sortira l’année d’après le premier PC portable de l’histoire. Dans les jeux vidéos, « Zaxxon » et « Pitfall » sont deux titres marquants.

35 ans :

En 1987, c’est l’année où Microsoft lance MS-Windows 2.0, IBM annonce le standard PS/2 pour reprendre la main en parallèle avec OS/2 1.0 qui ne propose qu’une interface textuelle. Le mythique « Dungeon Master » sort sur Atari ST, Lucas Arts propose « Maniac Mansion », C’est aussi l’année de « Shinobi », « Arkanoid II : Revenge of Doh », du premier « Leisure Suit Larry » ou encore de l’impressionnant shoot’em’up, « R-Type ». Une franchise voit aussi le jour, « Final Fantasy ».

30 ans :

En 1992, Microsoft sort MS-Windows 3.1, IBM essaye de répliquer avec OS/2 2.0. La Super Nintendo arrive en Europe. Côté jeu, un petit studio, id Software frappe deux grands coups avec « Wolfenstein 3D » et « Spear of Destiny ».

Commodore lance ses deux derniers ordinateurs, l’Amiga 1200 pour le grand public et le 4000 pour les professionnels.

Mon bilan pour 2021 : une année un poil plus mouvementée que 2020 :)

Il y a un an, alors que le blog était encore sur un espace personnel du FAI Free, je faisais un bilan de l’année écoulée.

Sur le plan du permis, je me suis inscrit fin juin après plusieurs mois de report. Pour le moment, étant un élève à l’apprentissage plutôt lent, je suis bien loin d’espérer tenter ma chance à la pratique pour le mois de février 2022 comme je me l’étais promis. Décrocher le permis pour mes 48 ans aurait été un beau cadeau. Maintenant, je vise plutôt le printemps ou le début de l’été 2022. Croisons les doigts… Et les orteils 😉

Sur le plan littéraire, c’est une année plutôt bof. Je parlais du projet « M » il y a un an… Et depuis plusieurs mois, l’envie d’écrire et l’inspiration ont disparu de mon environnement.

Voici où en est le projet « M » en cette fin 2021. Oui, 9 mois sans avoir réussi à rajouter la moindre ligne, ça commence à faire long.

Je dois dire que cela fait des années que je n’ai pas connu de telles périodes vides. Mais d’autres plaisirs ont pris le relai, comme la rétro-informatique à laquelle j’ai consacré quelques billets, entre autres, liste étant loin d’être complète !

J’aurais pu rajouter les nombreux billets concernant des jeux sortis pour les ordinosaures et qui ont peuplé mon blog cette année au point de modifier le sous-titre du blog en rajoutant : « et la rétro-informatique ! »

Ce fut aussi une année de migration, quittant l’espace Free qui avait hébergé bon an mal an le blog depuis sa naissance en 2005. Avoir une connaissance administrateur serveur et réseau, ça aide pas mal !

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