Rétroludique, et si on passait en dur ?

Comme je l’ai déjà précisé, je suis un grand amateur de rétroludique. J’ai reçu en cadeau un Commodore 64 de 1985 qui se porte comme un charme malgré son grand âge.

Outre le rétroludique commodoresque je m’intéresse au rétroludique sur PC. C’est une autre paire de manches ici.

Outre le fait que les offres sont peu nombreuses et souvent pour du matériel bien trop récent pour entrer dans la catégorie ordinosaures, il y a des limites techniques. Dans l’idéal, le grand maximum pour une bonne partie de la logithèque MS-DOS, c’est l’époque de MS-Windows 98/98Se. En gros des ordinateurs flirtant avec les 25 ans.

Autant dire qu’avec un tel âge, les disques durs ont tendance à être irrécupérables. On entend des claquements, sifflements et autres bruits qui ne laisse présager rien de bon. Il faut aussi se replonger dans les réglages manuels, à coups de jumpers (cavaliers pour nos amis d’outre-Atlantique).

Il faut se souvenir que le disque dur doit être le premier sur sa nappe et en réglage master (maître), toute unité optique ou deuxième disque devant être en slave (esclave).

Sans oublier les joyeusetés du genre processeurs sur slot 1 (Intel) ou slot A (AMD) – qui s’enfichaient comme des cartouches – la mémoire vive constitué de barrettes de SDRAM (oui, ça date). J’ai pu mettre la main sur un ordinateur professionnel (sans « beeper » ou carte son) que j’ai retapé avec l’aide non négligeable de Baba Orhum. Vous trouverez ci-dessous une vidéo avec pas mal de détails franchement croustillants.

Bon visionnage !