Bilan : trois projets, tous en vie bien que Frugalware ne bouge plus trop. Comme pour le mois d’avril, on est dans un mois très creux. Facile d’arriver à 100% de survie dans ce cas.
Cela fait des mois – pour ne pas dire plus – que je n’ai plus parlé des installateurs pour Archlinux. Si on veut une installation légère et vivable de la distribution pour élite linuxienne, il n’y a pas franchement grand chose à se mettre sous la souris.
Dans le domaine des jeux de rôle informatique des années 1980, il y a une série qui marqua, c’est bien Ultima qui publia 5 de ses 9 épisodes entre 1981 et 1988. À savoir :
Ultima I: The First Age of Darkness (1981)
Ultima II:The Revenge of the Enchantress (1982)
Ultima III: Exodus (1983)
Ultima IV: Quest of the Avatar (1985)
Ultima V: Warriors of Destiny (1988)
La saga a commencé sa vie sur les ordinateurs Apple II, bien que les premiers titres furent portés sur Commodore 64, PC, Atari 8 bits (pour les 4 premiers) et ST, Amiga (à partir du troisième) principalement.
Autant dire que la saga est fortement ancrée dans cette période vidéo-ludique. Cependant, il y eut un titre précurseur, développé en 1979 et publié en 1980 par Richard Garriot via California Pacific Computer Co. À partir d’Ultima III, le jeu sera publié par Origin Systems la société de Richard Garriot.
« Akalabeth, World of Doom » est un jeu développé en Basic pour des Apple II ayant un minimum de 48 Ko de mémoire vive.
S’il y a un titre mythique des jeux vidéos casse-tête, c’est Tetris. Ce qui le popularisa auprès du plus grand nombre, c’était sa présence avec tout achat de console GameBoy de Nintendo à partir de 1989.
Je vous conseille ce longplay pour voir à quoi ressemblait cette borne d’arcade sortie en 1988. Des versions pour micro-ordinateurs dès 1986 pour PC, et par la suite pour Amiga, Atari ST, ZX Spectrum, Commodore 64 et Amstrad CPC entre autres vers 1987-1988.
Le jeu est né en 1984, quand Alexei Pajitnov – employé à l’académie soviétique des sciences – voulut recréer sur ordinateur un jeu qu’il adorait enfant, les pentominos, des formes qu’il faut assembler. Il eut l’idée de prendre des polygones à quatre côtés. Ensuite, il se dit que ce serait bien de les entasser dans un puits, et de supprimer les lignes complètes. D’ailleurs, Tetris tient son nom du mot grec pour dire quatre, tetra.
Dans la série « on joue sur la nostalgie », je demande l’Amiga Mini, une version miniaturisée de l’Amiga 500 fourni avec 25 jeux, un peu comme ce que proposait le C64 Mini. L’Amiga Mini sera disponible à la fin de mars 2022 pour 129,99€… Ça coûte combien un vrai Amiga 500, déjà ? 🙂
Côté culture ?
Rien, la rentrée sera je l’espère un peu plus remplie. Je dois avouer que j’attends les albums de Collapse, d’Altesia et de Persona que j’ai financé durant la première moitié de l’année 2021.