En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’obligatoire billet en vrac’. Court mais costaud, avec ce qu’il faut de vacherie par endroit 🙂

Côté logiciel libre et informatique :

Côté livres ?

Côté musique ? Pas grand chose 🙁

Bon week-end prolongé !

Que devient la distribution GNU/Linux Q4OS ?

Il y a un an et demi, en avril 2015, je parlais de cette distribution basée sur la Debian GNU/Linux Jessie avec le « fork » de KDE 3.5.x, Trinity Desktop Environment. Début novembre 2016, la version 14.0.4 du Trinity Desktop Environment étant sortie, pour prendre en charge par exemple CUPS 2.2, gstreamer 1.x ou encore gcc 6.x et ffmpeg3, l’équipe de Q4OS en a profité pour proposer des nouvelles images ISO live et d’installation.

Petite parenthèse en passant : cet article aurait très bien pu faire partie de la série « Les projets un peu fous du logiciel libre », ne serait-ce que pour l’utilisation de Trinity Desktop Environment. Mais passons 😀

J’ai donc récupéré l’énorme image ISO d’installation… Un peu moins de 300 Mo…

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://netix.dl.sourceforge.net/project/q4os/stable/q4os-1.8.1-x64.iso
–2016-11-11 13:24:07– http://netix.dl.sourceforge.net/project/q4os/stable/q4os-1.8.1-x64.iso
Résolution de netix.dl.sourceforge.net (netix.dl.sourceforge.net)… 87.121.121.2
Connexion à netix.dl.sourceforge.net (netix.dl.sourceforge.net)|87.121.121.2|:80… connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse… 200 OK
Taille : 294649856 (281M) [application/octet-stream]
Sauvegarde en : « q4os-1.8.1-x64.iso »

q4os-1.8.1-x64.iso 100%[===================>] 281,00M 981KB/s in 5m 20s

2016-11-11 13:29:28 (898 KB/s) — « q4os-1.8.1-x64.iso » sauvegardé [294649856/294649856]

Mon ami VirtualBox a été mis à contribution, avec les caractéristiques habituelles : 2 Go de mémoire vive, 128 Go de disque virtuels, et 2 CPUs.

Comme pour l’article précédent, l’installateur est en mode texte, que l’on peut passer dans la langue de Molière. La version live propose un installateur, mais je ne suis pas fan de ce dernier.

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Dis tonton Fred, ça ressemblait à quoi le monde du libre, il y a un an ? Épisode 8 : novembre 2015

Ah, le mois des rhumes et des célébrations toutes plus tristes les unes que les autres… J’aime pas le mois de novembre !

Que se passait-il donc dans le monde du logiciel libre en ce triste et maussade mois de l’année 2015 ?

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Écrire via l’auto-édition ? Oui, mais pour la passion avant tout !

Si j’avais sorti ce court billet un vendredi, on aurait crié au troll. Même un autre jour d’ailleurs !

Je compte bientôt publier – ou j’aurais publié – un court texte d’une quarantaine de pages (au format A4). Un projet qui traine sur mon disque dur et accessoirement sur la plateforme d’autoédition indépendante Atramenta depuis début janvier 2016. J’y reviendrai dans un billet dédié.

Au moment où je rédige ce billet, j’ai une machine virtuelle pour un article « projet fou du logiciel libre » qui mouline du vieux code source. Si tout se passe bien, j’aurai un superbe billet geek jusqu’au bout des ongles à présenter. Mais fermons cette parenthèse, et revenons à l’écriture.

Si j’ai mis un de mes textes directement sur Amazon en me débrouillant pour le rendre gratuit – pour une fois que la Fnac m’a été utile ! – c’est pour le plaisir de partager. Je sais très bien que pour gagner un tant soit peu d’argent avec l’écriture, il n’y a que deux possibilités : soit être journaliste (ou pigiste), soit être sous contrat temporaire ou long terme avec une maison d’édition.

Dans le deuxième cas, le plus gros des gains, ce sont les avances. Ce n’est pas avec les 4% – en moyenne – du prix hors taxe qu’on arrive à accumuler des droits d’auteur au point de pouvoir se payer un appartement dans le XVIe arrondissement de Paris 🙂

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OBRevenge OS : une distribution entre la DGLFI et l’utilisable ?

Ajout au 29 novembre 2016 : Le dépot github est mort. Seule une page sourceforge existe desormais : https://sourceforge.net/projects/obrevenge/

En ce moment, la mode est aux distributions GNU/Linux non plus basées sur Ubuntu (c’est tellement « 2015 »), mais sur Archlinux et Manjaro Linux. DGLFI ? Distribution GNU/Linux Franchement Inutile.

Après la SwagArch Linux dont j’ai parlé fin octobre 2016, voici la OBRevenge OS, découverte grace à la liste d’attente de Distrowatch. Son crédo est la légèreté tout en restant fonctionnelle. Donc l’utilisation d’OpenBox. Vous imaginez une distribution qui se voudrait légère et qui dirait : « Je vais utiliser Plasma ? » 🙂

Bref, je l’ai récupéré via son site web, et j’ai fait chauffé mon ami VirtualBox. Si j’en crois le nom de l’image ISO, elle a dû être généré aux alentours du 26 octobre 2016. Il est vrai qu’avec le nom de « obrevenge-2016.10.26-x86_64.iso », les doutes sont limités 🙂

On peut surtout admirer le fond d’écran qui fait penser au dragon du projet Kali Linux.

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« Quand la pâtisserie s’en mêle… » de Marylin Masson : une comédie romantique qui ne tombe pas dans le mièvre !

L’actualité linuxienne manquant franchement d’attrait en ce moment, j’ai eu envie de vous parler d’un livre que m’a indiqué Agnès de Destinations Passions. J’ai profité d’une offre éclair à 0€ sur ce roman qui est à 1,50€ autrement.

Et ici, je dois vous faire un aveu. Un aveu qui va me coûter nombre de railleries. Je suis un indécrottable romantique. J’adore « Orgueils et Préjugés », spécialement l’adaptation avec Colin Firth et Jennifer Ehle. Voila, ma confession diabolique étant terminée, autant passer au roman de Marylin Masson.

On dit souvent que les comédies romantiques sont stéréotypées, que c’est dédié aux indécrottables sentimentaux, et qu’il n’y a pas un livre sur la question pour rattraper l’autre.

Pour reprendre une phrase politique française prononcée avril 1995, « Je vous demande de vous arrêter ! ».

Ici, nous avons le classique duo des deux personnages qui font une rencontre fracassante avant que la situation n’évolue en faveur des dits personnages.

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Youtube, ce n’est pas que Cyprien et Squeezie ! ;)

Dernier billet d’une série plus ou moins culturel qui ont émaillé le week-end. Je dois dire que j’adore passer des heures sur youtube… Non pas pour regarder Squeezie hurler comme un goret qu’on égorge devant un jeu qu’il démontera ou pas.

Non, pour moi, youtube est une source de connaissances et de partage. Voici donc la liste des youtubeurs et youtubeuses que je vous conseille.

Une sorte du meilleur de youtube en quelque sorte. Liste tout sauf exhaustive !

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Vieux geek, épisode 71 : ah, les compteurs de visites des sites web.

Comme la plupart de billets de cette série vieux geek, j’ai tendance à fredonner un titre de 1965 enregistré par Shahnourh Varinag Aznavourian. Oui, ça commence par le vers « Je vous parle d’un temps… »

Bref, n’ayant pas envie de faire pleuvoir dans mon appartement tel un Assurancetourix dans l’album « Astérix chez Rahàzade », passons au sujet du billet.

Je l’ai déjà abordé, je suis un vieil internaute. J’ai connu l’internet d’avant l’ADSL, d’avant la bulle de 2001. Celui qui était utilisé par « trois pelés et un tondu » comme le dit si bien une expression familière. Quand j’ai monté mon premier site web (en HTML 3.2 !) sur la mygale.org avant qu’il ne fusionne avec « The (virtual) Baguette pour devenir Multimania, il y a avait un élément incontournable : le compteur de visites.

Un compteur qui souvent ne prenait pas encore compte les adresse IP utilisées par tranche de 24 heures, mais le nombre de fois que telle ou telle page était vue. Autant dire qu’il suffisait que la connexion internet soit coupée ou qu’on ait besoin de rafraichir la page en cours, et boum, le compteur gonflait son total.

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Un peu d’auto-promotion, ça n’a jamais tué personne… Du moins pas encore, j’espère :)

Je ne parle que peu souvent de mes écrits non techniques. Je suis un humble gratteur de papier qui essayent de (se) faire plaisir en racontant des histoires. Je suis loin d’avoir le talent de, en commençant par les représentantes du beau sexe :

Et encore j’ai dû oublier des noms dans cette liste qui donne à l’auto-édition des lettres de noblesse méritées. Je tiens à m’excuser pour les oublis ! Mea culpa ! Ne vous inquiétez pas, j’ai prévu le cilice et le fouet pour me punir de ma mémoire défaillante 😀

Je travaille depuis le début de l’année 2016 sur un projet qui s’appelle « Allez sans rancunes » qui d’un petit projet qui a pris du poids. J’ai déjà publié sur Atramenta les trois premières parties, qui couvre des chroniques cyniques et je l’espère humoristique pour les périodes de Janvier à Mars, Avril à Juin et Juillet à septembre.

Début 2017, je publierai une version regroupée sur Amazon (et Kobo ?) en complément des 4 parties sur mon espace Atramenta. Je pense que je mettrai le tout à 0,99€ au pire. De quoi financer en 4 à 5 millénaires un appartement dans le XVIe à Paris, non ? 🙂

Bref. Mais je me suis dit qu’il serait intéressant que je vous partage sur le blog une des dernières entrées, rédigées à la va-vite en fin de nuit, car mon cerveau faisait des siennes 🙂

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« L’ombre du papillon » de Marilyse Trécourt : encore un changement de genre réussi ?

Ce roman, sorti le 4 novembre 2016, est le troisième que je lis de Marylise Trécourt. Après le comique et le thriller psychologique, voici qu’elle s’attaque à un genre franchement casse-gueule si mal maîtrisé, le fantastique avec deux thèmes plus que classiques : le voyage dans le temps et son camarade, le monde parallèle.

L’histoire commence le 21 avril 2015. Thomas, 38 ans, retombe par hasard sur la maison de ses grands parents où il a passé les meilleures années de son enfance. Alors qu’il rentre dans la maison abandonnée depuis une vingtaine d’années, sa grand-mère lui apparaît et lui propose un marché : revivre les 20 dernières années de sa vie, tout en gardant les souvenirs de sa « première » vie. Il y a une condition à ce marché : revenir le 21 avril 2015 à la maison, et faire un choix cornélien : soit garder sa nouvelle vie, soit choisir la deuxième qu’il vient de vivre.

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