Le eeePC 1005HAG et Debian GNU/Linux, premier rapport au bout de 15 jours

Il y a deux semaines, j’installais une Debian GNU/Linux testing sur mon ancestral eeePC 1005HAG.

J’ai eu envie de faire un premier bilan au bout de 15 jours d’utilisation. Utilisation seulement bureautique, Mozilla Firefox ramant horriblement si je veux ouvrir le moindre site.

Autant dire que pour écrire dessus – modulo le minuscule clavier – c’est une machine idéale. LibreOffice doit mettre une bonne minute à se charger, mais vu l’âge du bousin, je ne m’en plains pas trop.

Côté Debian, elle est passée des dépôts testing vers le dépot unstable. J’espère ainsi éviter un ralentissement des mises à jour durant le gel des dépots de testing.

L’écran reste malgré tout lisible, il faut dire que je suis resté avec Xfce de base avec un thème sombre pour ne pas m’arracher la rétine.

Tous les deux jours, allumage du bousin et exécution des deux commandes sudo apt-get update suivi de sudo apt-get full-upgrade

Pour le moment, tout se passe bien, mais il est vrai que 15 jours pour tester un environnement logiciel autre que celui que j’utilise au quotidien, ça peut paraître comme court.

J’ai quelques souvenirs de mon époque sous Ubuntu, et cela me sert un petit peu. Ce qui n’est pas plus mal au final !

Le seul truc qui me manque, c’est zsh que j’utilise au quotidien. Rien de bien grave, donc.

En vrac’ de fin de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce troisième samedi d’août 2022.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien pour cette fois.

Sur ce, bon week-end !

Que sont devenues les distributions de 2017, 5 ans après, partie 1 : Janvier à juin 2017.

Je m’étais promis de ne pas faire une série de billets concernant les distributions GNU/Linux de 2017, mais après avoir réfléchi, je me suis dit pourquoi pas, ça pourrait être intéressant 🙂

Janvier 2017 :

  1. 23 janvier : Calculate Linux
  2. 28 janvier : Debian GNU/Linux

C’est cours pour le mois de janvier. Passons à Février 2017 :

  1. 10 février : Mageia Linux
  2. 13 février : Manjaro Linux

Creux, très creux… 🙂

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Et si les grands projets du logiciel libre étaient des êtres humains…

…dans quelle catégorie d’âge se trouveraient-ils ? Je parle des projets à destination bureautique et grand public, pas des langages de programmation, des serveurs web ou autres. Ce billet m’est venu à l’esprit alors que je fouillais le blog et que je suis retombé sur deux billets écrits en janvier 2021 :

  1. Les jeux vidéos de 1996
  2. L’informatique matérielle et logicielle de 1996

La liste que je vais faire sera non exhaustive, bien entendue. Je prendrai comme catégories les tranches suivantes : adultes (25 ans et plus), jeunes adultes (18 à 24 ans), adolescents (13 à 17 ans), enfants (moins de 13 ans).

Les adultes :

  • Le noyau Linux (30 ans) : Annoncé en 1991, linux 1.0 sortant en 1994
  • Slackware Linux (28 ans) : juillet 1993.
  • Debian GNU/Linux (28 ans) : Commencée en 1993, la version 1.1 est sortie en 1996
  • Red Hat Linux (27 ans) : La première version de la distribution 1.0 est sortie en 1994
  • SuSE Linux (25 ans) : La première version à s’appeller SuSE Linux fut la 4.2 sorti en 1996
  • KDE (25 ans) : Annoncé en 1996, première version stable en 1998
  • Gnome (24 ans) : Annoncé en 1997, première version stable en 1999
  • GIMP (25 ans) : Annoncé en 1996, première version stable en 1998

Les jeunes adultes :

Les adolescents :

  • Ubuntu (17 ans) : La première version, la Warty Warhog est sortie en octobre 2004
  • Mozilla Firefox (17 ans) : La version 1.0 est sorti en novembre 2004
  • OpenSuSE (16 ans) : la première version est sortie en octobre 2005
  • Linux Mint (15 ans) : La version « Ada » alias 1.0 est sortie en août 2006

Les enfants :

Il doit sûrement une tripotée de logiciels, mais j’ai pris ceux qui m’ont le plus marqué. Si vous avez envie de compléter la liste, je vous laisse le soin de le faire 🙂

En vrac de milieu de semaine…

Un court billet, posté mardi soir et non mercredi matin, cause emploi du temps chargé en ce moment.

Côté informatique :

Côté culture :

C’est tout pour aujourd’hui.

Chassez le naturel, il revient au galop :)

Oui, j’imagine déjà les commentaires qui vont dire que je suis à la recherche d’un bruit médiatique, que je veux me payer la trogne de Canonical. Mais je reste dans les faits et je suis dans le constat. Depuis sa naissance en 2004, Ubuntu a été connu pour avoir tenté plusieurs fois d’influencer le monde du libre en imposant des solutions logicielles faites maison. C’est de bonne guerre, surtout quand on voit que le monde du libre est plus proche du capitalisme (avec la concurrence parfois hargneuse entre les projets) que du monde soviétique.

Mais je n’ai pas envie de lancer un débat sur les systèmes économiques ici. Revenons aux faits. Dans un article de fin avril 2019, je disais ceci :

[…]
Il y a une boîte qui a fait énormément de bien pour la démocratisation du libre qui est l’exemple même de cette politique de cavalier, c’est Canonical. Oui, la maison mère d’Ubuntu. Avant que certaines personnes ne sortent les haches, les torches et les cordes pour me lyncher, je tiens à préciser que j’ai apprécié ce qu’à fait la boite de Mark Shuttleworth durant les années 2004-2009. Depuis c’est moins le cas.

On peut citer au moins trois tentatives pour imposer ses solutions qui se sont viandées. Chronologiquement ?

1. Upstart (2006-2014)
2. Unity (2010-2016)
3. Mir en tant que remplaçant de Wayland (2013-2017)
[…]

Je vous renvoie à la suite de l’article en ce qui concerne le remplaçant de sysVinit et l’interface graphique pour les outils de Gnome 3.

Depuis, on peut rajouter les paquets universels appelés snap contre les flatpak (poussés par IBM et RedHat) et les Appimages. Je ne trouve aucun intérêt à ce genre de logiciels sur une distribution à flux constant contrairement au modèle de publication à date donnée (que la date soit impérative ou qu’elle glisse en fonction de l’avancement).

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Je suis presque un libriste « puriste »… Au secours :)

Je sais, vous allez me dire : tu vas encore taper sur la tronche des libristes qui suivent les recommandations de la FSF au pied de la lettre. Il est vrai qu’il est facile de se moquer des distributions recommandées, surtout quand celles-ci ont un retard d’environ 2 ans sur la base qu’elle « librise ».

Mais il est vrai que pour les personnes utilisant la dite distribution, le plus important, ce n’est pas d’être à jour, mais d’être libre. J’ai déjà exprimé cela plusieurs fois sur le blog, mais bon, cela fait parfois plaisir de revenir sur un mode humoristique sur «  » »l’enfermement » » » des personnes dans un carcan qui prétend défendre la liberté des utilisateurs et utilisatrices d’informatique.

Il y a aussi des guerres intestines qui font que certaines distributions sont rejetées par la FSF car elles osent permettre l’accès – désactivé par défaut, mais peu importe – à des logiciels qui ne suivent pas à la lettre les recommandations listées par Richard Matthew Stallman en 1983-1984.

Ouvrons une rapide parenthèse.

Oui, je parle bien entendu d’une des distributions dont la descendance est énorme voire pléthorique : on y retrouve tout ce qui est Ubuntu et dérivées, comme la LinuxMint ou encore ElementaryOS par exemple, ou encore la MXLinux. Je parle de Debian GNU/Linux.

Je dirais bien qu’à vue de nez, sur le détesté Distrowatch sur les 275 distributions listées et marquées comme étant encore en vie, on doit pas être loin d’une bonne moitié qui est basée sur Debian ou Ubuntu, voire LinuxMint.

En effet, le format de paquet deb – créé à l’origine pour la Debian GNU/Linux – est utilisé par 125 distributions, peu importe leur place dans le classement de curiosité de Distrowatch. Soit 45,4% des 275 distributions marquées comme actives en ce milieu du mois de novembre 2020.

Sur les raisons officielles de la guerre intestine entre Debian et la FSF, je vous renvoie à la page dédiée sur le site de la Free Software Foundation. C’est assez tiré par la perruque il faut le dire ; Je cite le morceau de choix :

[…]
Debian est la seule distribution courante non agréée par la FSF qui garde les blobs non libres en dehors de sa distribution principale. Une partie du problème persiste cependant. Les fichiers de microcode non libre sont logés dans le répertoire non libre de Debian, référencé dans la documentation publiée sur debian.org, et l’installateur les recommande dans certains cas pour les périphériques de la machine.
[…]

Oh, mince ! C’est quand même bête de vouloir utiliser un équipement informatique dans sa totalité, par exemple certains circuits pour la connexion en wifi ou encore en bluetooth… Il est vrai qu’il faut rendre complexe la vie de l’utilisateur pour qu’il arrive dans le monde merveilleux du librisme selon les canons de la Free Software Foundation.

Fermons cette parenthèse qui a été plus longue que prévue !

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En vrac de milieu de semaine…

Un petit billet en pleine chaleur estivale… Vivement cet hiver 🙂

Côté informatique :

    • Elle est de retour. Qui ? Mais la Gecko Linux, voyons. Mais uniquement pour la OpenSuSE stable apparemment.
    • Le fork « agressif mais qui se veut bienveillant » de GIMP annonce la bêta de sa version 0.2.0.
    • La DGLFI de la semaine, la Laxer OS : prenez Archlinux, un Gnome minimalisé, Calamares, un thème d’icones et secouez-le tout. Le machin qui demande 10 minutes à être construit et 2 heures à être mis au point avec l’outil Archiso.
    • Pour les fans de Debian, le projet a annoncé la sortie de l’ultime révision de sa branche Stretch, la 9.13. Bientôt en LTS ?
    • Vous cherchez un clone de MS-Windows basé sur Linux et Cinnamon qui intègre Wine par défaut ? Essayez donc la LinuxFx 10.4.

Sur la LaxerOS (qui serait plutôt la Laxatif OS) :

Et sa reproduction à 95% (mis à part le thème d’icones) en moins de 15 minutes, montre en main :

Voila, c’est tout pour aujourd’hui.

Bonne journée !

N’ayons pas peur des mots : il faut une rationalisation des distributions GNU/Linux « bureautiques ».

Je parle de celles qui ont pour cible « monsieur et madame tout le monde. »

Je sais déjà que certaines personnes vont jouer les « vierges effarouchées » en psalmodiant : « il faut du choix, il faut de la liberté ». À ces personnes je répondrai deux choses :

  1. « Trop de choix tue le choix », cf cette conférence de Barry Schwartz sur le paradoxe du choix.
  2. « Ô liberté, que de crimes on commet en ton nom ! », citation attribuée à Manon Roland le jour de son exécution, le 8 novembre 1793 ou 18 brumaire an II.

Si on voulait arrêter la masturbation intellectuelle à chaque nouvelle publication d’un projet à destination bureautique, et rationaliser tout cela en ne prenant au maximum que 4 à 5 distributions GNU/Linux par famille ?

Cela donnerait quelque chose de ce style, par ordre alphabétique, en dehors de la distribution mère qui définit la famille en question :

Pour la famille Archlinux :

  1. Manjaro
  2. EndeavourOS
  3. Anarchy Linux en cas de défaillance de la EndeavourOS

Pour la famille Debian :

  1. Ubuntu et ses saveurs officielles : Kubuntu, Xubuntu, Lubuntu, Ubuntu Mate pour ne citer que les principales.
  2. Linux Mint
  3. Emmabuntüs DE (pour les vieilles machines)
  4. Q4os (pour les vieilles machines)

Est-ce que les Gentoo et distributions à base de code source peuvent être appliquées aux particuliers ? Idem pour la famille des Slackware ?

Pour la famille des RedHat :

  1. Fedora
  2. OpenSuSE

Oui, cela ne fait pas grand chose. En comptant les saveurs officielles d’Ubuntu, on arrive à quoi ? Une vingtaine de distributions ?

Je ne pense pas avoir oublié de distributions incontournables dans cette liste et qui apporte des fonctionnalités que leur disparition changerait la face de ce petit monde qu’est celui des distributions GNU/Linux.

Les premières distributions GNU/Linux remontent à 1992. Qu’est-ce qui n’a pas été inventé en presque 30 ans qui pourrait l’être ?

Je n’ai pas parlé des distributions 100% libres, car il n’y en a quasiment aucune qui tienne réellement le choc dans la réalité sans jongler au niveau du matériel à acheter.

Je sais que ces propos ne vont pas plaire, et je m’attends dans les commentaires à des réponses du genre : « oui, mais tu as oublié telle distribution » ou encore du « tu es un anti-insérez la distribution- primaire. »

Non, j’ai juste utilisé des distributions GNU/Linux depuis 1996 et au quotidien depuis 2006. C’est tout 🙂

En vrac’ de fin de semaine…

Ultime en vrac’ dominical pour 2019. Finissons l’année en beauté.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien qui me parle cette fois. Désolé !

Petit cadeau de fin d’année, car il faut bien se foutre de la gueule du logiciel libre !

Bon week-end et vous connaissez la phrase habituelle des fins d’années ! 🙂

Que sont devenues les distributions GNU/Linux de 2014 au bout de 5 ans ? Épisode 9

Après le massacre du mois de septembre, quel sera le bilan des distributions dont j’ai parlé en octobre 2014 ?

Petite digression rapide. Il est vrai que l’annonce de l’arrêt de la CondresOS (une Archlinux supportée par une équipe de deux personnes sauf erreur de ma part, imposant un dépôt tiers sur les dépots officiels, avec une dizaine d’images ISO n’était pas condamnée à échouer à court terme) ne m’a pas donné envie de publier cet article en brouillon depuis plusieurs mois.

Bref, retournons au mois d’octobre 2014.

Si on prend en compte le doublon, on arrive à 5 distributions et un BSD. Sur les 5 distributions, une morte et une renommée. Donc sur les 6 produits, 5 en vie. Encore 16% de perte. Décidément, mis à part le mois de septembre, les pertes sont plutôt limitées. Que nous dira le mois de novembre ?

En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac…

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien du tout cette fois, désolé 🙁

Bon week-end 🙂

Que sont devenues les distributions GNU/Linux de 2014 au bout de 5 ans ? Épisode 3

Après un bilan du mois de février en demi-teinte, que va nous donner le mois de mars 2014 ?

8 billets. EvolveOS est devenu Solus. Dans les décès, on peut citer la GigastrandOS dont le site officiel n’existe plus. J’aurai envie de rajouter la Cubuntu, inutile copie ratée de la LinuxMint qui n’a plus connu de version depuis le 18 février 2016. Mais restons prudent, on va dire seulement 1/8e de perte. Soit 12,5%

Un bon bilan donc. Le mois d’avril sera-t-il clément ou tempétueux ? Seul l’avenir nous le dira !

Petit bilan du mois de janvier pour ma participation au logiciel libre en général.

Pour nombre de personnes, je ne suis qu’un troll, un script kiddie, voir un complet malade mental à cause de ma chaine décalée « Clash of Fredo », voici ce que j’ai pu faire pour le monde du libre durant le mois de janvier 2019 ; il doit manquer des trucs, désolé 🙁

Pour Archlinux, un bug concernant zsh : https://bugs.archlinux.org/task/61533

Pour le projet Katana, une continuation du projet KDE 4.x que je chroniquerai dans un article à venir d’ici février ou mars 2019, du moins quand tout sera compilable sans trop de problèmes :

  1. https://github.com/fluxer/katana/issues/16
  2. https://github.com/fluxer/katana/issues/17
  3. https://github.com/fluxer/kde-workspace/issues/1
  4. https://github.com/fluxer/kde-extraapps/issues/1
  5. https://github.com/fluxer/kde-extraapps/issues/2

Sans oublier un rapport de bug pour le logiciel Pamac qui ne compilait pas avec Vala 0.42.5.

J’ai aussi rajouté le paquet grisbi-git, version de développement de Grisbi pour les utilisateurs d’Archlinux et sa famille dont la Manjaro Linux.

Pas grand chose, mais que voulez-vous, quand on n’a pas aucune formation académique en informatique, difficile de faire mieux !

Au moins, cela contredit certaines personnes qui disent que je ne suis que dans le clash et la destruction.

À plus en espérant qu’un jour le monde du libre francophone se débarrasse des personnes qui surestiment leurs niveaux techniques… Malheureusement, je crains que cela reste un voeu pieux 🙁

Neptune 5.4, une Debian GNU/Linux stable « déguisée » en testing ?

Neptune est un projet de distribution basé sur Debian GNU/Linux stable, qui descend du projet ZevenOS. Il suffit de comparer les logos de feu ZevenOS (une base Ubuntu avec un Xfce revampé à la BeOS) et celui de Neptune pour s’apercevoir de la parentée.

Ce qui frappe, c’est l’annonce de publication de la version 5.4 du projet Neptune. Même si c’est officiellement une base Debian GNU/Linux stable, on trouve des nouveautés digne de la branche testing de la distribution à la spirale : Plasma 5.12, un noyau linux 4.16 par exemple.

J’ai donc lancé la récupération avec mon ami wget de l’image ISO. Et oui, le serveur en face a franchement ramé du popotin…

fred@fredo-arch-mate ~/Téléchargements/ISO à tester % wget -c https://download.neptuneos.com/download/Neptune5-Plasma5-20180721.iso
–2018-07-23 09:35:37– https://download.neptuneos.com/download/Neptune5-Plasma5-20180721.iso
Certificat de l’autorité de certification « /etc/ssl/certs/ca-certificates.crt » chargé
Résolution de download.neptuneos.com (download.neptuneos.com)… 198.50.151.17
Connexion à download.neptuneos.com (download.neptuneos.com)|198.50.151.17|:443… connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse… 200 OK
Taille : 2222981120 (2,1G) [application/octet-stream]
Sauvegarde en : « Neptune5-Plasma5-20180721.iso »

Neptune5-Plasma5-20 100%[===================>] 2,07G 96,1KB/s ds 5h 17m

2018-07-23 14:53:11 (114 KB/s) — « Neptune5-Plasma5-20180721.iso » sauvegardé [2222981120/2222981120]

J’en ai profité pour créé une machine virtuelle pour lancer cette distribution qui reprend le nom romanisé de l’irrascible dieu de la Mer pour les grecs de l’Antiquité, Poséidon.

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