Un peu d’auto-promotion, ça n’a jamais tué personne… Du moins pas encore, j’espère :)

Je ne parle que peu souvent de mes écrits non techniques. Je suis un humble gratteur de papier qui essayent de (se) faire plaisir en racontant des histoires. Je suis loin d’avoir le talent de, en commençant par les représentantes du beau sexe :

Et encore j’ai dû oublier des noms dans cette liste qui donne à l’auto-édition des lettres de noblesse méritées. Je tiens à m’excuser pour les oublis ! Mea culpa ! Ne vous inquiétez pas, j’ai prévu le cilice et le fouet pour me punir de ma mémoire défaillante 😀

Je travaille depuis le début de l’année 2016 sur un projet qui s’appelle « Allez sans rancunes » qui d’un petit projet qui a pris du poids. J’ai déjà publié sur Atramenta les trois premières parties, qui couvre des chroniques cyniques et je l’espère humoristique pour les périodes de Janvier à Mars, Avril à Juin et Juillet à septembre.

Début 2017, je publierai une version regroupée sur Amazon (et Kobo ?) en complément des 4 parties sur mon espace Atramenta. Je pense que je mettrai le tout à 0,99€ au pire. De quoi financer en 4 à 5 millénaires un appartement dans le XVIe à Paris, non ? 🙂

Bref. Mais je me suis dit qu’il serait intéressant que je vous partage sur le blog une des dernières entrées, rédigées à la va-vite en fin de nuit, car mon cerveau faisait des siennes 🙂

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Lire des auteur(e)s auto-édité(e)s ? J’arrête.

J’avoue que c’est le genre de billets doux et amer à la fois que je n’aime pas vraiment écrire.

Je croyais naïvement que le monde de l’auto-édition était moins vermoulu que le monde de l’édition classique. Que le copinage, les dessous de tables, les échanges de bons procédés n’avaient pas encore touché le monde de l’auto-édition.

Je me trompais lourdement. Outre l’existence de comptes plus ou moins corporatistes sur des réseaux sociaux, qui prétendent représenter d’une manière ou d’une autre l’auto-édition francophone et qui ressemblent plus au final à des « honeypots » et qui attirent toutes les personnes grattant du papier avec plus ou moins de réussite, plus ou moins de bonheur et plus ou moins de talent, et surtout plus ou moins de chance, car il y a quelque chose comme 300 000 sorties chaque trimestre sur Amazon.

Outre le fait qu’on trouve à boire et à manger, comme dans cet article au titre « Bruno Masuresque », j’avoue que j’ai perdu le goût de farfouiller dans ce gigantesque comité de lecture pour « grosses écuries » qu’est l’auto-édition.

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