En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac… Il va être copieux, on sent que la rentrée est passée 🙂

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Vieux motard que j’aimais… La « Elive » 3.0 est disponible : elle est basée sur Debian GNU/Linux Wheezy (la 7.x abandonnée) et Enlightenment 17… Pour la curiosité essentiellement… On est en face d’un produit qui sort avec 3 ans de retard au bas mot.
  • La DGLFI de la semaine ? Une distribution orientée jeux sous Linux… Son nom ? La « Drauger OS ». Encore une Xubuntu revampée si on en croit le pdf fourni comme fichier « readme »… Cool, non ? 🙂

Côté culture ?

Bon week-end 🙂

En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac. En cette avant-veille du jour le plus gerbant côté joie obligatoire, quoi de neuf ?

Côté logiciel libre, informatique et internet.

    • Alors que l’on attend toujours la Trisquel GNU/Linux 8, la distribution PureOS – basée sur la Debian GNU/Linux – est adoubée comme 100% libre par la Free Software Foundation.
    • Vous aimez les distributions GNU/Linux qui offre un environnement directement prêt à l’emploi sans bidouilles dès l’installation ? Alors EndlessOS 3.3.5 sera pour vous !

Côté culture ?

Bon week-end !

« SAD QUEEN » des CHEAP WINE : ou comment l’attente prolongé de l’album du groupe m’a fait découvrir une pépite…

Parfois Bandcamp est une source de découvertes musicales qui changent de la merdissime production mainstream que nous offre de Kevin Bonnet, Anne Peichert, Ghandi Djunna, Kendji Maillé ou jadis des Rémi Ranguin et des Christophe Le Friant.

Si vous ne voyez pas de qui je parle, votre moteur de recherche préféré vous mettra sur la voie. Donc, comme je le disais au tout début de l’introduction, je me promenais sur Bandcamp et je regardais sur la page de Moutain Thrower si leur deuxième opus était enfin disponible en galette plastifiée.

Un peu déçu, j’ai cliqué sur les recommandations, et sur la page, au milieu, je tombe sur « Mystic Crow » des CHEAP WINE où on peut lire en légende : « Blue Cheer and Rory Gallagher had a baby… » qu’on peut traduire par « Blue Cheer et Rory Gallagher ont eu un bébé… »

Aimant bien les guitaristes des années 1970, j’ai donc suivi le lien. J’ai vu que ce groupe d’origine picarde avait sorti en mai 2016 un album, « SAD QUEEN ». Rien que la pochette très stylée années 1960-1970 donne le ton : « Heavy Soul Psychedelic Blues ».

Autant dire que j’ai eu tout de suite envie d’enclencher la lecture de l’album… Et ce fut une sacrée claque ! Pas pour la longueur, car l’album est assez court : 7 pistes pour environ 23 minutes… Côté durée, on est plus proche du EP que du LP 🙂

Continuer la lecture de « « SAD QUEEN » des CHEAP WINE : ou comment l’attente prolongé de l’album du groupe m’a fait découvrir une pépite… »

Orotoro : une autre preuve que Bordeaux est une ville très intéressante, musicalement parlant.

Même si c’est une région connue pour les opportunités de s’éclater la panse dans la bonne humeur, il y a des groupes qui valent le détour. Pour les fans de folk metal, j’avais déjà parlé d’Aequinoctium Sanguinis dans un billet en vrac’ d’octobre 2015.

Pour du rock plus classique, il y a Here[in] dont j’ai parlé en juillet 2011.

Bref, que du beau linge. En septembre 2016, dans un billet « en vrac' », je parlais rapidement du premier EP du quartet bordelais Orotoro. Il mélange habilement le stoner, le metal et le progressif.

Fouillant dans mes archives, je suis retombé sur le billet parlant d’Orotoro, et j’ai appris avec grand bonheur qu’un deuxième EP était sorti en novembre 2016, et qu’en février 2017, un CD compilant les deux premiers EP était sorti. L’occasion était trop belle pour ne pas l’écouter… Et l’acheter 🙂

Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le terme progressif n’est pas usurpé. La plus petit piste dépasse les 5 minutes 30, la plus longue frôle les 11 minutes… 8 pistes pour un total de 63 minutes. Bonne moyenne, non ? 😀

Continuer la lecture de « Orotoro : une autre preuve que Bordeaux est une ville très intéressante, musicalement parlant. »

Missine+Tripstoic : où comment découvrir le tripoprock !

Vous le savez sûrement, j’ai toujours été fasciné les sous-genres que certains genres musicaux peuvent proposer. Dans la famille du metal, c’est bien simple, une araignée n’y retrouverait pas ses petits même en cherchant durant des années.

En fouillant sur le réseau encore plus fantomatique que Google Plus, j’ai nommé diaspora* et spécialement son pod qu’est la framasphere*, je suis tombé sur un billet qui m’a interpellé en utilisant l’étiquette #musique.

Je suis donc allé sur le site officiel qui permet de télécharger gratuitement et librement le premier album d’un groupe qui propose un mélange qu’on peut définir ainsi : un tiers de trip-hop, un tiers de pop et un tiers de rock.

D’ailleurs, j’aurai pu penser en regardant le nom du groupe à une formation digne du post rock, étant donné que la dénomination complète est : « Missine + Tripstoic and 2 Ghosts From The Orchestra »

Suffit de prendre une bonne inspiration et on y arrive 😀

Continuer la lecture de « Missine+Tripstoic : où comment découvrir le tripoprock ! »

SxSW édition 2017 : Encore une mine d’or musicale en direct du Texas ;)

Chaque année, entre le 10 et le 20 mars, Austin, capitale du Texas, accueille le festival SxSW qui accueille des centaines d’artistes dans tous les genres disponibles. En 2015, j’avais fait un article, puis j’avais parlé d’une artiste découverte via le fichier torrent des extraits musicaux, Cleopatra Degher.

Cette année, j’ai renouvellé l’expérience via le site « The (UNOFFICIAL) SXSW Torrents« . Sur les 1201 extraits écoutables – en dehors du rap, de la rnb et de la techno qui sont pas ma tasse de thé et qui doivent représenter pifométriquement un bon tiers de la liste – voici ce qui a retenu mon oreille.

J’ai dû manquer quelques pépites dans mon écoute, mais vous avez la liste de ce qui m’a vraiment parlé dès le départ. Elle est vraiment des plus copieuses 😉

Par ordre alphabétique des catégories :

Americana / Country / Country rock :

Blues-Rock :

Classique / Ambient :

Continuer la lecture de « SxSW édition 2017 : Encore une mine d’or musicale en direct du Texas 😉 »

En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’obligatoire billet en vrac’. Cette semaine, il va être assez copieux 🙂

Côté logiciel libre et informatique :

Côté musique ?

Bon week-end.

Confession d’un amateur de musique, épisode 2 : Genesis et le rock progressif.

Après un épisode consacré à Dead Can Dance et aux musiques médiévales, passons à un autre grand amour de ma vie musicale, le rock progressif.

Quand j’étais tout petit, dans les années 1980, Genesis avait déjà amorcé son tournant pop-rock. Ce n’est que dans les années 1990, avec une émission musicale de M6 qui m’a beaucoup aidé à mon éducation culturelle que j’ai pu découvrir ce qui allait mettre des années à germer dans mon esprit : l’amour du rock progressif des années 1970.

C’est vers 1991 ou 1992, que dans un numéro de « Culture Rock » consacrée à l’année 1973 que j’ai vu apparaître une séquence de l’introduction du titre « Dancing with the Moonlit Knight » interpreté par Peter Gabriel.

Ma première et seule réaction à l’époque fut de me dire : « C’est quoi ça ? »

Mais la graine était plantée, il fallait lui laisser le temps de germer. Cela a pris une bonne douzaine d’années, durant lesquelles j’ai écouté la bonne sousoupe commerciale des maisons de disques, avec des exceptions notables comme quelques albums des Who (« Tommy » et « Who’s Next ») ou encore des Beatles.

Continuer la lecture de « Confession d’un amateur de musique, épisode 2 : Genesis et le rock progressif. »

« One Big Sky » de Celestial Teapot : Du rock progressif instrumental de haut vol.

Il m’arrive parfois d’espionner – je sais c’est mal – la page Bandcamp de Stéphane Gallay. Collègue blogueur dont j’apprécie la plume et dont je partage de temps à autres les coups de coeur musicaux, je dois dire que je m’inspire de ces découvertes pour m’en mettre plein les oreilles.

Cela a été encore récemment le cas, avec la découverte d’un groupe de rock progressif instrumental indien, « Celestial Teapot ». Oui, vous avez bien lu, et si mon anglais n’est pas trop rouillé, on peut traduire par « théière céleste ». J’avais déjà abordé l’album du groupe dans un billet en vrac’ du 14 mai 2016.

Intrigué, j’ai lancé la lecture. Après une intro toute aérienne, « Closure » nous envoie des guitares qui n’ont rien à envier au heavy metal des années 1970. Je dois dire que le début me parlait déjà bien. Mais le meilleur restait à venir.

Continuer la lecture de « « One Big Sky » de Celestial Teapot : Du rock progressif instrumental de haut vol. »

« A place to dream », le deuxième album réussi de Syncatto.

Au moment où j’écris cet article, le 7 mai 2016, l’album n’est pas disponible sur la page bandcamp de Syncatto, nom du projet solo de Charlie Robbins. À ceci une explication, elle tient en un tweet posté le 22 avril 2016 :

En tant que passionné de musique, j’ai contacté Charlie Robbins qui m’a finalement envoyé un code pour récupérer l’album en avant-première… Dès que l’album sera officiellement disponible, je rajouterai – ou j’aurai rajouté – le lecteur de Bandcamp pour l’album en question.

Je tiens à remercier Chris Robbins pour l’accès en avant-première. C’est très gentil de sa part.  De plus, cela n’exclue pas l’achat d’une copie de l’album lors de sa sortie officielle.

Ajout au 14 mai 2016 : voici donc l’arrivée de l’album en écoute sur l’article 😉

Continuer la lecture de « « A place to dream », le deuxième album réussi de Syncatto. »