En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce troisième samedi du mois de février 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Ajout au 17 février, 13 h 00 :

Une vidéo pour montrer Progman en action :

Sur ce, bon week-end

En vrac’ de milieu de semaine…

Petit en vrac’ en ce deuxième mercredi de février 2024. Et bonne Saint Valentin aux amoureux et amoureuses.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien cette fois ci.

Pour finir, une vidéo sur le port pour Tesla Ondra SPO 186 du jeu « Tenebra Extended » avec les 8 premiers niveaux (sur les 31) résolus en direct.

Sur ce, bonne fin de semaine !

En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce deuxième samedi du mois de février 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien cette fois-ci.

Sur ce, bon week-end

Quel avenir pour mon équipement rétroludique ?

Ici, je ne vais parler que de mon équipement rétroludique principal, à savoir le Commodore 64 et les ajouts que je pourrais y faire. Mon PC ne nécessite plus qu’un investissement modique (un beeper à remplacer) pour être 100% fonctionnel.

Cela fait deux ans que j’ai reçu en cadeau un Commodore 64, sans câbles ni alimentation. J’ai donc dans un premier temps investi dans une alimentation moderne et un câble vidéo pour pouvoir brancher le Commodore 64 à ma vieille (7 ou 8 ans ?) TV avec un affichage LCD.

J’ai ensuite investi dans un SD2IEC (pour charger les images disques depuis une carte SD), une cartouche Final Cartridge 3+ (pour avoir un accélérateur de chargement entre autre), sans oublier un incontournable joystick à brancher sur le port 2.

J’ai pris une photo avec tous les périphériques que je possède branchés au « cul » de l’ordinosaure. À savoir de gauche à droite :

Quels sont les équipements que j’envisage de prendre d’ici la fin de l’année 2024 ? Une carte Kung Fu Flash qui est bien pratique pour lancer les jeux au format cartouche qui sont de plus en plus nombreux. Et si c’est possible, un lecteur de disquettes 1541 / 1541-II pour les quelques disquettes 5 pouces 1/4 au format Commodore que je possède. C’est quand même mieux de lancer un jeu depuis un format physique de temps à autres 😉

En gros, j’en aurai pour une grosse centaine d’euros, 150 en cumulé au pire. J’écume les annonces sur eBay donc je garde confiance, au moins pour la carte Kung Fu Flash.

C’est bien le rétroludique, surtout sur le matériel d’origine, même si quelques frais sont à prévoir régulièrement.

De l’ouverture du code source d’un jeu pour prolonger sa durée de vie…

C’est une méthode qui a été utilisée durant de nombreuses années par ID Software, ou encore par les créateurs de Marathon (le Doom du Mac) avec AlephOne pour que le jeu puisse être jouable plus facilement sur du matériel récent. Seul le code source des jeux sont ouverts, les fichiers de données restant commerciaux.

Bien que Doom soit sorti en 1993, 30 ans plus tard, il existe un sacré paquet de ports du code du jeu pour les MS-Windows, MacOS ou Linux modernes. On peut citer Gzdoom, Chocolate Doom, DoomRetro ou encore Woof-Doom.

Pour tout ce qui est Quake / Quake 2 / Quake 3 Arena, on a respectivement QuakeSpasm et DarkPlaces, Yamagi Quake 2 et Ioquake 3.

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Y en a marre des effets de mode dans le monde du logiciel libre.

S’il y a bien un truc qui me hérisse le poil et m’attaque la paroi stomacale par excès de sucs gastriques, ce sont les effets de mode dans le monde du logiciel libre.

Dès qu’une mode est lancée, on a droit à 15 projets différents sur le même principe, tout en sachant que 90% des projets en question ne soufflera pas sa deuxième bougie.

Il y a deux modes en ce moment. D’un côté, les distributions immuables comme la Fedora Silverblue (Gnome) et Fedora Kinoite (KDE), ou encore VanillaOS. De l’autre, les distributions déclaratives qui utilise un fichier de configuration unique pour gérer de manière souple les logiciels disponibles et de façon reproductible à l’infini ou presque. Ici, on peut citer NixOS ou encore GNU Guix pour les puristes.

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En vrac’ de milieu de semaine…

Petit en vrac’ en ce dernier mercredi de janvier 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Dans le petit monde des distributions basées sur Gentoo, je demande la Redcore Linux 2401 et ses paquets précompilés.
  • La DGLFI SDesk propose désormais son propre navigateur internet, Swirl qui n’est pas basé sur Chromium mais sur QTWebKit. Vu la parenté entre les deux, c’est « bonnet blanc » et « blanc bonnet ».
  • Vous aimez les jeux de démineur ? Under 4 Mhz a sorti « Minesweeper » pour Amstrad CPC, ZX Spectrum, C64, Atari 8 bits et je ne sais combien d’autres ordinosaures.

Côté culture ?

Le groupe de metal progressif polonais Defying annonce la pré-commande de leur nouvel album « Wadera » dont la sortie est prévue pour le 23 février 2024.

Pour finir, une vidéo sur Swirl, le navigateur pas trop basé sur Chromium 🙂

Sur ce, bonne fin de semaine !

Utiliser Linux, un acte militant devenu un choix parmi d’autres ?

Quand j’ai commencé à utiliser Linux, pardon une distribution GNU/Linux, en mono-démarrage vers 2006, c’était un acte purement militant. À cette époque éloignée (18 ans déjà !), il fallait avoir beaucoup de courage pour se lancer dans l’installation et l’utilisation d’un OS basé sur Linux.

La bureautique libre, c’était OpenOffice.org. Loin de la sophistication et du bon support des documents créés avec Microsoft Office, la galère était présente au quotidien. Avoir un bon support du greffon Flash – oui, je sais, ça va arracher quelques larmes ici ou là – tenait du parcours du combattant.

Les efforts de Canonical à l’époque se propageait un peu partout. On était loin de la politique du cavalier seul qui s’est imposée par la suite (Upstart, Mir, Unity, Snap). Il faut dire que depuis une petite demi-douzaine d’années, les distribution GNU/Linux sont de plus en plus faciles d’accès, avec un support toujours amélioré des fichiers aux formats non libres, que ce soit dans le domaine de la bureautique et du multimédia.

On attend encore et toujours Gimp 3.0 pour s’affranchir enfin de l’installation de gtk2 sur les distributions. Mis à part Gimp, qui utilise encore cette version obsolète de gtk ? Fermons la parenthèse.

De nos jours, et en dehors des distributions 100% libres à la Parabola GNU/Linux-libre, Trisquel GNU/Linux ou encore Guix, le militantisme a bel et bien disparu. Et ce n’est pas un mal.

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En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce dernier vendredi du mois de janvier 2024.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien cette fois-ci.

Sur ce, bon week-end !

« Huck on the Mississipi », un jeu pour Commodore 64 qui aura mis 37 ans à être publié…

Le monde du jeu vidéo est cruel. Chaque année, nombre de projets sont abandonnés à divers états de finition. Il y a un site qui s’appelle « Game That Weren’t » et que je visite de temps en temps. On tombe ainsi sur des projets de jeux vidéos à divers états de développement… Avec des niveaux de disponibilité variables. C’est toujours une adresse à avoir sous la main au cas où 🙂

C’est via IndieRetronews que j’ai appris l’existence d’un petit jeu où il faut faire le meilleur score possible, « Huck on the Mississipi ». C’est un jeu commencé en 1987 et terminer en 2024. Oui, il y a eu une pause de 35 ans dans le développement du jeu. Ce qui doit être facilement la plus grande pause jamais connu dans le monde du jeu vidéo.

C’est l’auteur du jeu, Frank Abbing qui le dit sur la page archive.org où on peut récupérer le jeu :

After a break of 35 years, I have finished programming this game for the C64.

Besoin de traduire ?

Le principe est simple : On est Huckleberry Finn et on est sur un tronc d’arbre au milieu du Mississipi. Il faut récolter les fruits en évitant d’être touché par les animaux qui s’y promène. On n’a qu’une seule vie et on ne peut être touché que 5 fois avant que la partie ne s’arrête.

J’ai enregistré une vidéo où je suis arrivé au 3e niveau des 10 qui existent. Le niveau de difficulté monte rapidement et c’est déjà bien d’arriver au niveau 3 !

Ce jeu est assez sympa, mais il est aussi un peu frustant au niveau difficulté. On se retrouve avec un titre qui aurait sûrement eu des bonnes notes dans les magazines des années 1980-1990. On y retrouve la difficulté classique des jeux de cette époque, et c’est un bon challenge que d’essayer d’arriver au niveau 4 🙂

Je vous laisse le découvrir… Faites attention, ça devient rapidement addictif 🙂