Et si on lançait une nouvelle expérience ?

Je dois dire que depuis la fin de l’expérience avec Void Linux, je m’ennuyais ferme, geekement parlant.

Je me suis dit « Quelle pourrait être la prochaine expérience intéressante à lancer ? » Après avoir réfléchi un peu, je me suis dit qu’il serait intéressant de tester Artix Linux avec un environnement de bureau disponible dans la logithèque. J’étais d’abord parti sur l’idée de mettre un Gnome. Mais après des mésaventures en utilisant le la page du wiki pour tester l’installation à l’ancienne.

J’avais d’abord pris runit comme système d’init, mais devant les problèmes pour faire fonctionner NetworkManager, je me suis replié sur OpenRC. Cependant, le son ne fonctionnait pas, et gdm spammait avec des logs allant jusqu’à la saturation de l’espace disque ! J’ai bien tenté de reprendra l’image ISO de Gnome publiée en 2021 et que j’avais utilisé dans une vidéo de début 2022.

Cependant, j’ai eu des emmerdes à ne plus compter, normal avec une image ISO ayant près de 4 ans au compteur. Principalement ?

  1. Devoir installer en premier les paquets artix-keyring et archlinux-keyring
  2. Désactiver la vérification des paquets lors de l’installation à cause d’une clé gpg manquante
  3. Supprimer plusieurs paquets et forcer l’installation avec un sudo pacman -Syyu --overwrite=*. Oui, je sais c’est dégueulasse, mais c’était la seule option pour être tranquille.
  4. GDM qui ne démarre plus après la mise à jour.

Je me suis donc replié sur un autre environnement et pour varier un peu les plaisirs, j’ai pris Cinnamon avec comme init OpenRC cette fois. Le support de runit étant très limite. Et surtout l’image ISO stable est plus fraîche, ne datant que d’août 2024. Après l’installation et l’ajout des mises à jour, j’ai rajouté le paquet cinnamon-translation pour avoir l’ensemble de l’interface en français. Sans oublier Mozilla Firefox et Libreoffice. Côté AUR – étant donné qu’à l’origine Artix Linux s’appellait Archlinux OpenRC – j’ai rajouté yay, dosbox-x-sdl2-git et vice-svn.

Donc, une nouvelle expérience est lancée et son bilan sera publié – sauf imprévu – le 23 février 2025.

En vrac’ de milieu de semaine…

Petit en vrac’ en ce quatrième mercredi de janvier 2025.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Si vous aimez le duo chant crié masculin avec chant clair féminin dans le black metal, alors le premier album du groupe Silhouhette est pour vous. Merci à Stéphane pour l’information.

Sur ce, bonne fin de semaine !

En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce troisième samedi du mois de janvier 2025.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Robin & The Woods vient de sortir le premier extrait de son deuxième album, « Disorder ».

Sur ce, bon week-end !

Un mois de Void Linux en machine virtuelle, le bilan.

Il y a un mois – à deux jours près, on va pas chipoter pour si peu – je lançais cette expérience, après avoir migré mon eeePC d’une Debian GNU/Linux unstable 32 bits vers une Void Linux 32 bits pour continuer le support technique de mon ordinosaure moderne.

Je dois dire que depuis son installation, et l’installation des paquets pour faire compiler Dosbox-X et Vice en version de développement pour les deux, j’ai été de bonnes surprises en bonnes surprises. La première bonne surprise a été la simplicité avec laquelle on peut enlever les noyaux obsolètes de son installation.

Il suffit d’entrer les commandes suivantes :


vkpurge list
sudo vkpurge rm

La première commande liste les noyaux obsolètes, la deuxième permet de les enlever. Si on utilise la valeur all, tous les noyaux listés comme obsolètes sont enlevés. Il suffit d’ajouter après le rm les références en question. La deuxième bonne surprise, c’est la facilité avec laquelle on peut enlever les paquets orphelins.

Il s’agit de la commande sudo xbps-remove -o. Par contre il faut bien vérifier si des paquets importants ne sont pas listés… Sinon, tout part en cacahuètes, donc commande à utiliser avec précaution.

Comme toute commande touchant aux paquets logiciels, soit dit en passant. L’ensemble est resté réactif, agréable à l’utilisation – runit est d’une vélocité redoutable – et je dois dire que j’ai pris du plaisir intellectuel à faire cette expérience.

J’ai du installe le paquet lightdm-gtk-greeter-settings pour avoir un avatar sur la page de connexion lightdm. Cela m’a pris deux minutes, montre en main.

Deux points noirs cependant : la vieillesse de l’image ISO d’installation (sortie en mars 2024) et le fait que Gnome soit encore en version 46, mais ça doit dépendre du temps libre de la ou des personnes qui s’occupe du port en question.

Comme disait Hannibal dans « L’Agence Tous Risques » : J’adore quand un plan se déroule sans accroc, ce qui a été le cas ici. Autant dire que tant que le 32 bits sera supporté par Void Linux, mon eeePC continuera d’être utilisable pour ce que j’attends de lui. Après, ce sera une pièce de musée ayant bien vécue 🙂

En vrac’ de milieu de semaine…

Petit en vrac’ en ce troisième mercredi de janvier 2025.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien cette fois-ci.

Pour finir, la solution complète de « The Key : Episode 2 » – un point’n’click à la troisième personne pour l’Amstrad CPC – avec sa version anglaise en attendant l’arrivée (prochaine ?) de la VF.

Sur ce, bonne fin de semaine !

Se lancer sur Linux en 2025 ? Bon courage :)

Avec la fin du support gratuit de MS-Windows 10 pour courant octobre 2025, les articles de blogs et de webzines ne cessent de parler de la possibilité de faire durer un PC quelques années de plus avec une distribution GNU/Linux, avec souvent les plus abordables (LinuxMint, Ubuntu, ZorinOS entre autres) qui ressortent.

Mais le problème est que l’on ne fait que gratter la surface du monde des distributions GNU/Linux qui a plusieurs centaines de représentantes, du moins si on en croit les statistiques d’indexation de Distrowatch.

Au 11 janvier 2025, les dernières statistiques sont les suivantes, dixit la gazette du 6 janvier 2025.

  • Distributions indéxées depuis 2001 : 972
  • Distributions en vie : 276
  • Distributions « dormantes » : 51
  • Distributions mortes : 645
  • Distributions en liste d’attente : 150
  • Distributions en attente d’évaluation : 33

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En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce deuxième vendredi du mois de janvier 2025.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien cette fois-ci.

Pour finir, la résolution des 12 premiers niveaux de « Golf Dash Extended ».

Sur ce, bon week-end !

Peertube, une alternative honnête à Youtube ?

J’ai quitté Youtube en tant que créateur de vidéos en novembre 2018, pour migrer dans un premier temps sur peertube.fr puis sur Tux’n’Tube devenu par la suite Ourtube.

Je sais que j’ai énormément perdu en audience potentielle, étant donné que je ne suis plus présent – activement parlant – sur le réseau n°1 de partage de vidéo.

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Vieux geek, épisode 364 : Les années 2000, grande époque de la documentation éparpillée façon puzzle.

Si j’ai retenu une chose de la première décennie du 21e siècle, c’est que quand on recherchait de la documentation, spécialement pour les distributions GNU/Linux, c’était la mouise la plus totale. Chaque distribution un tant soit peu sérieuse conservait précieusement une section sur son site à apporter de l’aide en ligne… Ce qui était pratique quand on avait un problème de réseau à éliminer. Mis à part conserver un double démarrage avec le MS-Windows de l’époque, vouloir être en simple démarrage relevait du parcours du combattant.

Tout comme la configuration de XFree86 et son outil en ligne de commande. Qui à l’époque n’a jamais craint d’entrer des mauvais paramètres au niveau de l’affichage sous peine d’endommager son moniteur, cathodique durant ses années. Ou encore comment configurer le son, une fois qu’on avait résolu les problèmes de réseaux et d’affichage.

Je me souviens des versions de Wine à l’époque qui se limitait souvent à un support du 32 bits de Microsoft des plus rudimentaires.

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Fedora 41 sur 6 mois, deuxième point d’étape.

Nous voici donc au deuxième point d’étape, publié dans la journée du 1er janvier. Après un premier billet plutôt positif, que donne celui-ci ?

Sur le plan pratique, la distribution a été comme un bon gros chat qui ronronne après avoir fait un bon repas. J’ai fait toutes les mises à jour sans la moindre casse, la montée en version du noyau Linux vers une version 6.12 ayant été l’élément le plus marquant.

Les émulateurs compilés maison continuent de pouvoir l’être sans que j’ai la moindre pétouille qui se mette en travers du chemin. C’est vraiment trop tranquille, et dire que je m’attendais à quelque chose de plus mouvementé. Je suis sur ce plan précis un peu déçu, il faut le dire !

Même si la capture d’écran est de la veille pour le lendemain – pour la parution du billet, à savoir midi le 1er janvier – il n’y a pas eu de mises à jour majeure à dénoter.

Donc pour le moment, tout va bien. Espérons que ce soit le cas par la suite… À suivre donc dans un billet pour début février 2025.