« Tenebra », le casse-tête qui ne paye pas de mine, suite.

Le 12 décembre 2021, je parlais de la version de démonstration de « Tenebra », un jeu de casse-tête développé sur Commodore 64 et 128.

À l’époque, c’était une démonstration avec les 8 premiers niveaux sur les 25 prévus à l’origine.

Le 23 décembre 2021, la version finale est annoncée. Elle est suivie le 1er janvier 2022 d’une version pour Commmodore Plus/4.

J’avais déjà montré une partie des niveaux de « Tenebra » dans le précédent article. Je me suis alors dit que ce serait sympathique de montrer les niveaux par lots de 5, qui sont d’une difficulté assez croissante. Cela aurait été dommage de ne pas proposer les (??) solutions de chaque puzzle.

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« Briley Witch Chronicles » : suite et fin… Déjà ?

Dans un article du 3 janvier 2022, je faisais le bilan du jeu au bout d’une dizaine d’heures.

Je viens de le terminer en environ 14 heures. Je dois dire que j’ai été surpris d’atteindre aussi rapidement la fin.

Au final ? Le jeu a une fin excellente, ouvrant la voie pour le deuxième volume des aventures de Briley. Sur la carte du jeu – qui me fait penser à Iron Lord sorti en 1989 par Ubisoft sur CPC, C64, ZX Spectrum, MS-DOS, Atari ST et Amiga – on peut voir qu’il y a une bonne douzaine de lieux à explorer. J’ai pensé que cela ne gâcherai pas trop le contenu riche du jeu.

Sur la quête annexe de la récupération des renards, sur les 56 à retrouver, j’en ai récupéré 51. Soit 91,07%, la preuve en image. Pas mal au final 🙂

Que dire pour conclure ? Je pense que je retenterai l’aventure au niveau de difficulté normal d’ici quelques semaines. Que ce jeu vaut largement les 9,99$ de sa version numérique. Un bijou rétro-ludique comme j’aimerais en avoir plus souvent sous la main. Moralité ? Dès que le deuxième volet sort, je l’achèterai sans hésitation !

Bref, je vous recommande chaudement ce jeu.

« Briley Witch Chronicles » : Quel bilan après une dizaine d’heures de jeu ?

Dans un article du 28 décembre 2021, je parlais du RPG à la japonaise pour Commodore 64, « Briley Witch Chronicles ».

Pour éviter de finir trop vite le jeu, je me mets une heure de jeu par jour. Sur la page officielle du jeu, la durée de vie annoncée est de 16 heures minimum. Dans les commentaires, on peut lire que certaines personnes ont fini le jeu en 20 heures.

Je serais donc en gros à la moitié de l’aventure. À chaque jour, il y a une voire deux quêtes à remplir, certaines étant assez laxative, surtout quand on doit supporter une demi-douzaine de combats pour considérer une mission comme remplie.

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« Briley Witch Chronicles », un excellent clone de Zelda pour Commodore 64.

Je dois l’avouer dès le départ : je n’ai joué aucun Zelda, n’étant pas un grand amateur des jeux pour consoles.

Cependant, courant octobre 2021, Sarah Jane Avory a publié le premier volet d’une trilogie – si tout se passe bien – de jeux reprenant les mécaniques de Zelda, « Briley Witch Chronicles ». Sur la page itch.io du jeu, on est tout de suite prévenu que ce n’est pas un jeu qui se torche en 5 minutes…

Entre autres :

  • Au minimum 16 heures de jeu en mode normal
  • Des combats en tour par tour faisant penser à ceux de Final Fantasy
  • Un défilement fluide en plein écran
  • Des dialogues longs et complets
  • Compatible avec Vice, un Commodore 64 réel ou une réplique mini/maxi
  • Les sauvegardes sur disquette ou sur la cartouche

Sans oublier l’indispensable chat grognon qui aidera Briley dans ses aventures. L’histoire ? On joue le rôle de Briley, une développeuse qui rentre chez elle après une journée pourrie. À la suite d’événements surnaturel, elle se retrouve dans un village médiéval dénomme Meapole. Sa mission ? Revenir à son époque de départ, ce qui n’est pas une mince affaire.

Mais le mieux est de vous présenter rapidement le jeu.

Je dois dire que c’est pour moi une bonne surprise. Le jeu a sa dose d’humour, les personnages non joueurs sont parfois intelligents. Les premières quêtes sont assez courtes, et en l’espace d’une heure de jeux, j’en ai résolu quatre ou cinq. Je ne sais pas combien de temps je mettrai pour finir le jeu, mais je ne vais pas jouer jusqu’à l’écoeurement, car ça serait dommage.

Ah, les joies du SD2IEC sur les Commodore 64…

Dans un article du 16 décembre consacré au C64 Maxi, je terminais ainsi :

Ce sera le dernier billet consacré au Commodore 64 durant quelques jours, le temps de recevoir mon sd2iec et ne plus me limiter à saisir des listings en Basic sans rien pour les stocker !

Cet après-midi, en allant vérifier mon courrier, je suis tombé sur une grande enveloppe avec à l’intérieur un SD2IEC fabriqué par Faszination, il était fourni avec une minuscule carte SD de 16 Mo.

Après avoir déballé l’ensemble, monté les pieds sur le PCB, j’ai galéré durant 15 bonnes minutes avant de m’apercevoir qu’il y avait un interrupteur marche-arrêt à côté de ceux qui permettent de définir le numéro du lecteur de disquettes. J’avais pourtant lu la documentation, mais ce point précis me crevait les yeux…

Après avoir transférer le contenu de la carte SD de 16 Mo vers une de 4 Go (apparemment la taille maximale gérée), mais avec des images disquettes de 170 Ko (soit de quoi stocker plus de 24600 images disquettes, de quoi voir venir !), j’ai enfin pu lancer certains jeux… Et apprécier la lenteur légendaire du port série de connexion vers les lecteurs de disquettes.

Je dois dire que la première fois que j’ai vu un de mes jeux chouchous démarrer sur le vrai Commodore 64, j’étais content… Mis à part que la sortie composite sur le jeu donnait un résultat franchement dégueulasse. Je pense qu’un adaptateur composite vers HDMI règlera ce problème de sortie composite parfois limite. Sur la photo ci-après, c’est une version amélioré par rapport à la réalité 🙁

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Je suis tombé sur le popotin… Un port de Sonic The Hedgehog pour Commodore 64 existe !

Même si j’étais au courant depuis quelques jours, je dois dire que j’attendais de pouvoir récupérer l’image disquette du jeu pour voir si je ne rêvais pas tout éveillé.

Mais non. Il y a deux ans, le jeu Super Mario Bros était porté sur Commodore 64.

Il était normal de se demander si l’ennemi juré de Mario allait avoir droit à son adaptation sur Commodore 64. C’est désormais le cas.

En ce 19 décembre 2021, Sonic The Hedgehog est disponible pour Commodore 64 avec une extension mémoire (ou REU) de minimum 256 Ko.

Sur la page de téléchargement du jeu, on trouve des images disquettes (au format d64 et d81) prête à être utilisé sur les Commodore 64 Mini et Maxi. Si vous utilisez Vice, il faut activer dans la section cartouches des préférences un RAM Expansion Module de minimum 256 Ko.

Deux photos du jeu sur mon C64 Maxi :

Et un écran du premier niveau.

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Le C64Maxi, concurrent ou complémentaire du vrai Commodore 64 ?

Comme je l’avais précisé dans un précédent article, j’ai pu acquérir en septembre dernier, un C64 Maxi, la réplique grandeur nature du Commodore 64.

[…]
Je parle d’expérience, ayant pu trouver à petit prix un C64 maxi au mois de septembre et d’en tirer pas mal de plaisir presque original du Commodore sans avoir besoin de me prendre la tête pour charger des jeux. Je peux vous dire que Turrican sur le C64 maxi avec sa manette, ça donne un coup de vieux.

La réplique a plusieurs avantages :

  1. Un rendu vidéo parfait, loin des couleurs qui peuvent baver sur une sortie composite.
  2. Un joystick assez précis, quoiqu’un peu dur à l’utilisation.
  3. La possibilité de charger des logiciels au format cartouche ou cassette en peu de manipulation.
  4. Être une réplique 4 en 1 : on peut lui dire d’être un C64 en PAL ou en NTSC, un Vic20 (et oui !) en PAL ou en NTSC.

Por les couleurs qui bavent, une photo de mon vrai Commodore 64 avec le rouge qui a tendance à souffrir de quelques artéfacts de la sortie composite.. Et encore la photo a amélioré la réalité 🙁

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Le monde de la rétro-informatique n’est pas uniquement peuplés de profiteurs…

Au mois de mai 2021, je sortais un article pour exprimer mon exaspération par rapport au prix des ordinosaures qui étaient ridicules tellement qu’il était élevé. Que ce soit sur eBay ou sur LeBonCoin, les prix relevant presque de l’arnaque sont monnaie courantes.

Comme je le disais dans l’article de mai 2021 :

[…]
Je cherche l’exotisme technique et donc un Commodore 64.

Recherche qui restera sans le moindre doute du domaine du rêve, faute de finances et d’une offre raisonnable… De plus, comme l’émulation de cette machine est de haute qualité, ça permet d’éviter de se ruiner 🙂
[…]

Je pensais que posséder un Commodore 64 – que ce soit la version d’origine dite « huche à pain » ou la version modernisée sortie après le Commodore 128 – resterait du domaine du rêve.

Cela fut le cas jusqu’à un message instantané envoyé début novembre 2021 par un membre du groupe Facebook « Attack of the Petscii Robots » qui me proposera de me faire parvenir un Commodore 64 « huche à pain » fabriqué en 1985 pour me remercier de ma participation quasi-quotidienne au groupe. Je répondis positivement et j’eus la surprise une semaine plus tard de voir débarquer dans son carton un Commodore 64 nu.

En effet, le donateur m’indiqua qu’il fallait mieux ne pas trop compter sur l’alimentation d’origine. Il me conseilla l’offre de C64PSU qui me permit d’avoir pour 40€ une alimentation neuve… Qui ne risquerait pas de griller l’ordinosaure – ce qui me faciliterait franchement le transit intestinal, faut-il le préciser.

J’achetais ensuite un cable vidéo pour la sortie composite pour une dizaine d’euros. Je comptais me prendre un sd2iec (émulateur de disquettes basé sur une carte SD) depuis la boutique en ligne « The Future was 8bit », mais j’ai préféré prendre un autre modèle qui était environ 10€ moins cher que celui proposé par défaut.

En effet, 42,99£/50,47€ nu (sans carte SD), 51,98£/61,03€ avec une carte SD de 8 Go, énorme quand on sait qu’une image disquette C64 ça pèse 170 Ko environ, ça pique un peu. Le modèle Faszination de base avec un carte SD de 16 Mo – ce qui me suffit largement ! – fera largement l’affaire. En rajoutant l’adaptateur pour manette SNES, à moi « Attack of the Petscii Robots » grandeur nature ! Ça aura une autre gueule que sur Vice, c’est certain 🙂

Le seul truc qui va me manquer, une fois reçu le sd2iec ? Un joystick au format DB9. Autant dire que je vais fouiller les tréfonds des sites d’annonces pour trouver le bâton de joie à prix raisonnable 🙂

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« Tenebra », ou il est prouvé qu’il n’y a pas besoin de graphismes de la mort qui tue pour faire un titre prenant.

Je l’ai déjà dit plusieurs fois, j’adore la vitalité des scènes ludiques des ordinosaures (Atari, Amstrad CPC, Commodore ou Apple 8 bits). En me baladant sur Facebook – je sais, c’est mal d’y être ! – je suis tombé sur l’annonce de la sortie d’une démo d’un jeu mélangeant des ingrédients de Rogue-like (les donjons, torches et autres clés) et de l’action-réflexion.

Ce jeu s’appelle « Tenebra » et sa démo propose 8 niveaux à la difficulté croissante sachant que l’explorateur que l’on incarne a un gros point faible : il a peur du noir et refusera de se déplacer dans une zone non éclairée par sa torche.

Ajoutez à cela des passages qu’on ne peut emprunter que les mains vides, des objets qu’il faut faire chauffer – en sacrifiant une torche – pour ouvrir des portes verrouillées autrement et vous obtiendrez un casse-tête digne de ce nom.

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Les scènes rétroludiques ne cesseront jamais de m’étonner…

Mis à part les prix honteusement gonflés – que ce soit pour le matériel ou le logiciel d’époque – les differentes scènes rétroludique continuent d’envoyer du lourd, comme avec le très récent jeu typé Zelda sorti le 26 octobre et créé par Sarah Jane Avory.

C’est en suivant IndieRetroNews que je suis une nouvelle fois tombé sur le cul. Prince of Persia premier du nom a été porté sur Atari 8 bits. J’avais parlé de ce jeu développé à l’origine pour Apple II et dont le code source avait été publié en 2012 sur Github par Jordan Mechner.

Mais d’autres titres arrivent sur des ordinateurs qui sembleraient être incapables de gérer les dits jeux. Par exemple, un port de Puzzle Bobble pour Amstrad CPC par l’équipe de Crazy Piri.

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