Que sont devenues les distributions GNU/Linux de 2016, huitième épisode, septembre 2016.

Après un mois d’août 2016 dans les clous, quel va être le bilan de septembre 2016 ?

Bilan : trois projets, tous en vie bien que Frugalware ne bouge plus trop. Comme pour le mois d’avril, on est dans un mois très creux. Facile d’arriver à 100% de survie dans ce cas.

Que sont devenues les distributions GNU/Linux de 2016, septième épisode, août 2016.

Après un mois de juillet 2016 franchement clément, quel va être le bilan d’août 2016 ?

Bilan : sept projets, deux morts (Nolubuntu et Fast Computer Linux), un dans un coma profond (Viperr). Donc en comptant la Viperr, on est encore dans un taux de survie de 71,4%… Pourquoi cette impression de déjà-vu ?

Que sont devenues les distributions GNU/Linux de 2016, sixième épisode, juillet 2016.

Après un mois de juin 2016 assez clément, quel va être le bilan de juillet 2016 ?

Bilan : quatre projets, tous en vie, même si la MicroLinux Desktop Environment a changé de base et que la Frugalware semble tourner au ralenti, on est donc avec un taux de survie de 100%. C’est la deuxième fois cette année, non ?

Ma dé-GAFAM-isation… Quel bilan au bout de 4 ans et demi ?

En octobre 2016, je publiais un billet intitulé : « Ah, la dé-GAFAM-isation… Plus facile à dire qu’à faire :(« . Depuis, pas mal d’eau a coulé sous les ponts comme on dit, et j’ai voulu faire un bilan de ma dé-GAFAM-isation.

À l’époque, ma position était la suivante :

  • Diaspora* pour avoir un réseau social à la Facebook.
  • Linux pour l’informatique au quotidien
  • Un compte chez Amazon pour tout ce qui est achat en ligne.
  • Pour Google : plusieurs comptes de courriers, le réseau social Google Plus, l’agenda, la musique, les images et Youtube pour les vidéos. Sans oublier un smartphone sous Android.
  • Un compte sur Twitter et un autre sur une instance Mastodon dont j’ai changé entre temps.

Faisons le bilan. Côté abandons :

Diaspora* ? Je l’ai quitté en juin 2020, m’apercevant qu’on tournait en rond et je partageais aussi le constat d’Arpinux sur ce que devenait le réseau social décentralisé.

J’ai honteusement ouvert un nouveau compte chez Facebook (une dizainz d’années après la fermeture du premier compte), pour une simple et bonne raison : voir d’autres personnes que des geeks rotant leurs sodas et leurs pizzas. Oui, je pousse un peu la caricature, mais qui aime bien châtie bien.

Pour tout ce qui est Google : abandon de l’agenda pour un Davical auto-hébergé sur un Raspberry Pi 2. Pour la musique, j’ai migré de Google Music à sa mort vers Youtube Music. Google Plus a été mis à mort en 2019.

Sans oublier l’arrêt de publication de vidéos sur Youtube au profit des instances peertube.fr et tux’n’tube. Pour plus de détails, je vous renvoie à l’article des deux ans datant de novembre 2020.

Le reste n’a pas bougé, même si j’envisage fortement – j’ai un serveur qui héberge le blog et qui peut me laisser entrevoir l’hébergement d’une copie de ma musique en ligne en utilisant un service comme Funkwhale.

Projet à l’étude pour le moment. Je reviendrai sur ce sujet en temps et en heure. Ça sert d’avoir une connaissance qui est administrateur serveur et réseau de formation 🙂

Se débarrasser de l’ensemble des services des GAFAM n’est pas si évident que cela. Cela aurait pu être mieux. Mais je ne vais pas faire la fine gueule.

Que sont devenues les distributions GNU/Linux de 2016, troisième épisode, mars 2016.

Après un mois de février 2016 assez vide, quel va être le bilan de mars 2016 ?

Bilan : sur les 6 projets, un est mort : UbuntuBSD, un autre a changé de nom, passant d’Arch-Anywhere à Anarchy Linux. 83% de survie, un très bon bilan au final.

Que sont devenues les distributions GNU/Linux de 2016, deuxième épisode, février 2016.

Après un mois de janvier 2016 assez clément – 60% de survie à 5 ans – attaquons le court mois de février 2016. Et le moins que l’on puisse dire, ce fut un mois des plus calmes dans le domaine des distributions GNU/Linux.

Bilan : sur les trois distributions, une a disparu : Antergos. 66% de survie, c’était prévisible avec seulement trois articles.

C’était sûrement une époque où je commençais à m’apercevoir – sans l’admettre – qu’il fallait mettre de côté les articles sur les distributions GNU/Linux dont les évolutions ne se faisait plus désormais qu’à la marge…

Que sont devenues les distributions GNU/Linux de 2016, premier épisode, janvier 2016.

Je m’étais dit au début que je ne prolongerai pas cette série d’articles pour savoir comment les distributions GNU/Linux de 2016 s’en tirait. Finalement, j’ai changé d’avis. Plongeons-nous donc dans les articles de janvier 2016.

Bilan : sur les cinq distributions, deux ont disparu : ApricityOS et la MicroLinux Enterprise Desktop. La Handy Linux est devenue la DFLinux par la suite. 60% de survie, c’est bien pour commencer le bilan de l’année 2016 🙂

Imperial Mahjong pour Amstrad CPC : ça, c’est du retro-computing !

Je dois dire que j’ai toujours aimé l’Amstrad CPC. Étant donné que cela a été mon premier ordinateur, ce n’est pas difficile à comprendre.

Comme j’ai déjà pu le dire dans d’autres articles, je suis toujours autant étonné de l’ingéniosité des développeurs qui continuent de faire sortir les tripes à cet ordinateur qui est techniquement obsolète depuis 1990-1991.

Il y a bien sûr des bijoux comme « The Shadows of Sergoth », le casse-tête « Baba’s Palace » ou le sublime « Orion Prime ».

Mais un jeu qui était hors de mon radar à sa sortie, j’ai nommé Imperial Mahjong, vient se rajouter à cette liste.

Continuer la lecture de « Imperial Mahjong pour Amstrad CPC : ça, c’est du retro-computing ! »

« SAD QUEEN » des CHEAP WINE : ou comment l’attente prolongé de l’album du groupe m’a fait découvrir une pépite…

Parfois Bandcamp est une source de découvertes musicales qui changent de la merdissime production mainstream que nous offre de Kevin Bonnet, Anne Peichert, Ghandi Djunna, Kendji Maillé ou jadis des Rémi Ranguin et des Christophe Le Friant.

Si vous ne voyez pas de qui je parle, votre moteur de recherche préféré vous mettra sur la voie. Donc, comme je le disais au tout début de l’introduction, je me promenais sur Bandcamp et je regardais sur la page de Moutain Thrower si leur deuxième opus était enfin disponible en galette plastifiée.

Un peu déçu, j’ai cliqué sur les recommandations, et sur la page, au milieu, je tombe sur « Mystic Crow » des CHEAP WINE où on peut lire en légende : « Blue Cheer and Rory Gallagher had a baby… » qu’on peut traduire par « Blue Cheer et Rory Gallagher ont eu un bébé… »

Aimant bien les guitaristes des années 1970, j’ai donc suivi le lien. J’ai vu que ce groupe d’origine picarde avait sorti en mai 2016 un album, « SAD QUEEN ». Rien que la pochette très stylée années 1960-1970 donne le ton : « Heavy Soul Psychedelic Blues ».

Autant dire que j’ai eu tout de suite envie d’enclencher la lecture de l’album… Et ce fut une sacrée claque ! Pas pour la longueur, car l’album est assez court : 7 pistes pour environ 23 minutes… Côté durée, on est plus proche du EP que du LP 🙂

Continuer la lecture de « « SAD QUEEN » des CHEAP WINE : ou comment l’attente prolongé de l’album du groupe m’a fait découvrir une pépite… »

« Chascade » des bordelais d’Itzamna : que c’est bon le jazz fusion :)

D’accord. Je l’avoue. J’adore la musique – sauf les immondices commerciales qui emplissent les rayons comme les productions de… entrez votre artiste savonnette préféré ici – et donc, me plonger dans le jazz fusion comme je l’avais déjà fait dans l’article concernant les artistes de free jazz des Anti RubBer brAiN fAct0rY & HmAdchA était une évidence.

Fouillant dans les archives sans fond de bandcamp, je suis tombé sur le premier LP des bordelais d’Itzamna, « Chascade », sorti en octobre 2016.

Pour la faire simple : prenez une dose de jazz, une de math rock, une de progressif, une de metal, mettez le tout dans un shaker, et remuez bien avant de verser dans un verre à cocktail 🙂

Continuer la lecture de « « Chascade » des bordelais d’Itzamna : que c’est bon le jazz fusion 🙂 »

Cédons à la tradition : le billet de bilan de fin d’année.

Ce sera un article court. Dans le billet du 30 décembre 2015, je postais mes statistiques de visites annuelles, arrivant à un peu plus d’un demi-million de pages vues. Sur ce domaine, je reste dans la stabilité, avec au moment où je rédige ce billet un peu plus de 523 000 vues pour 217 540 visiteurs uniques.

Et non, je ne peux pas faire monter artificiellement le nombre de vues, j’ai une adresse IP fixe 🙂

Autant dire une nouvelle fois que je suis tout sauf le blogueur influent que certaines personnes veulent bien s’amuser à décrire. De cette année, je retiens les collaborations avec Péha, donc l’excellente planche qu’il a dessiné pour fêter mes 42 ans.

Continuer la lecture de « Cédons à la tradition : le billet de bilan de fin d’année. »

2016, l’année où une partie de mon enfance et de mon adolescence est morte.

Chaque année apporte son lot de disparitions de personnes célèbres que ce soit dans le domaine de la télévision, du cinéma ou de la musique.

Mais 2016 a été une année qui a été une vraie hécatombe en ce qui me concerne. Si on peut dire que devenir adulte c’est faire le deuil de son enfance et de son adolescence, cette année j’ai été servi.

Commençons par le plan musical.

Je dois commencer par un aveu. J’ai été biberonné avec des radios comme Nostalgie. J’ai été bercé par les chanteurs français des années 1960 et 1970. C’est cela que d’être un enfant du milieu des années 1970.

L’annonce de la mort de Michel Delpech a été déjà une claque pour moi, qui avait eu droit à du « Wight is Wight » ou encore à la ballade des « Divorcés » (1973).

8 jours plus tard, c’est la mort de David Bowie. Comment passer à côté du sublime « Space Oddity » qui lança la carrière du chanteur ?

Continuer la lecture de « 2016, l’année où une partie de mon enfance et de mon adolescence est morte. »

Voyons si ma boule de cristal a tenu le choc : le bilan de mes prédictions pour 2016.

Nous sommes donc début décembre 2016, et il est temps de faire le bilan de mes prédictions pour l’année 2016. Après tout, j’ai envie de voir à quel point je me suis planté… Ce qui fait donc de moi un non-expert, car je peux me planter et que je reconnais mes erreurs.

J’écrivais mon billet prédiction le lendemain de Noël 2015.

Quel est le résultat ? Voyons, voyons… Premier point :

Selon moi, ce sera l’année du quitte ou double pour au moins une distribution : la Devuan. En effet, alors que je rédige cet article, à moins d’une semaine du nouvel an 2016, toujours aucune nouvelle de la version béta de la première Devuan officielle.

En effet, 2016 a été une année prospère pour le fork idéologico-technique de Debian. Elle a vu l’arrivée d’une première béta en avril 2016, puis d’une deuxième béta fin novembre 2016. La version 1.0 basée sur Jessie est prévue pour 2017, à quelques mois de la sortie de la Debian GNU/Linux Stretch. Pas mal, donc !

Continuer la lecture de « Voyons si ma boule de cristal a tenu le choc : le bilan de mes prédictions pour 2016. »

Prédictions 2016 : deuxième bilan :)

Avec quelques heures d’avance sur le premier juin 2016, j’écris ce billet le 31 mai vers 17 h 10, je m’attaque au deuxième bilan d’étape de mes prédictions pour 2016. Je comptais publier le billet un peu plus tard courant juin, mais je me suis décidé à le faire un peu plus tôt que prévu.

Après un premier billet bilan intermédiaire le 9 mars 2016, voici donc le deuxième bilan d’étape.

Dans mon billet de décembre 2015, j’abordais en premier lieu la Devuan, et l’absence d’une première béta. L’attente aura été longue, et la première béta est sortie entre temps, fin avril 2016. Vieux motard que j’aimais 🙂

Sur ce plan, cela confirme ce que je disais, à savoir : « Selon moi, ce sera l’année du quitte ou double pour au moins une distribution : la Devuan. »

Reste à savoir comment l’équipe de la Devuan va arriver à sortir une nouvelle béta et soyons fou une version finale d’ici noël 2016. Si elle n’y arrive pas…

Sur le plan de la téléphonie mobile, je disais : « Le marché des OS pour smartphones l’a montré : il est verrouillé de chez verrouillé. Même Microsoft est un nain sur ce marché. »

L’annonce de l’abandon de la création de smartphone dédiés pour Windows Phone est un autre signe que vouloir s’introduire sur ce marché est pour le moment (et pour longtemps ?) un sacré casse gueule.

Quant à Ubuntu Touch, y a du progrès, mais la route est encore longue… Dixit ce test sur « Les Androides » de début mai 2016.

Continuer la lecture de « Prédictions 2016 : deuxième bilan 🙂 »

Premier bilan pour mes prédictions concernant l’année 2016.

Le 26 décembre 2015, je sortais ma boule de cristal et je donnais mes prédictions pour l’année 2016.

Je concluais l’article ainsi :

Voila, c’est tout pour cet article de prédictions en ce qui concerne 2016. Premier bilan ? En mars 2016, si le blog est encore vivant 🙂

Chose promise, chose due. Commençons par les sujets qui fâchent, donc la Devuan GNU/Linux. J’écrivais en décembre 2015 :

Selon moi, ce sera l’année du quitte ou double pour au moins une distribution : la Devuan. En effet, alors que je rédige cet article, à moins d’une semaine du nouvel an 2016, toujours aucune nouvelle de la version béta de la première Devuan officielle.

Force est de constater que pour le moment, en ce 9 mars 2016, toujours aucune nouvelle de la version béta de la Devuan GNU/Linux 1.0.

Sur le site officiel, on peut lire que la version la plus avancée actuellement disponible est l’alpha 4.

The current release series is ALPHA4 and despite this Devuan is already used with success in production by some of our developers and supporters.

Ce qu’on peut traduire par :

La version actuellement publié est l’alpha 4 et malgré cela, Devuan est déjà utilisée avec succès en production chez certains de nos développeurs et sympathisants.

Continuer la lecture de « Premier bilan pour mes prédictions concernant l’année 2016. »

Vous pouvez surfer l’esprit libre, il n’y a ni trackeurs ni cookies sur ce site. Plus d’informations

Les paramètres des cookies sur ce site sont définis sur « accepter les cookies » pour vous offrir la meilleure expérience de navigation possible. Si vous continuez à utiliser ce site sans changer vos paramètres de cookies ou si vous cliquez sur "Accepter" ci-dessous, vous consentez à cela.

Fermer