En vrac’ de fin de semaine…

Petit en vrac’ en ce dernier samedi du mois d’août 2023.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Pour les personnes aimant les distributions GNU/Linux orientées sécurité, je demande la Kali Linux 2023.3.
  • Dans la série des distributions GNU/Linux qui proposent leurs propres environnements de bureau, je demande la Bodhi Linux 7.0, une base Ubuntu avec Moksha Desktop, un fork d’enlightenment.
  • Le dernier jeu d’aventure textuel de Sakis, « RODOLFO SKYLARRIENTE, THE ARCHAEOLOGIST » est sortie en version grecque, anglaise, espagnole et française.
  • Avec un peu de retard, souhaitons un bon anniversaire à MS-Windows 95 sorti le 24 août 1995. 28 ans, déjà !

Côté culture ?

Sortez les fourches et les torches : Gaston Lagaffe revient en novembre 2023 avec un autre dessinateur que Franquin (décédé en 1997).

Sur ce, bon week-end !

En vrac’ de fin de semaine

Petit en vrac’ en ce samedi du milieu de mois de mai. Pas grand chose, mais c’est déjà pas si mal !

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Le label « Le fondeur de Son » vient d’annoncer la sortie du dernier album de Tikkun, « dawn ceremony for dreadful days ». C’est un mélange de jazz, d’improvisation et de musique traditionnelle.

Bon week-end 🙂

Que sont devenues les distributions GNU/Linux de 2015 au bout de 5 ans ? Épisode 2

Un billet qui prend la suite de celui publié le 18 juin, et qui va traiter des mois de juillet et d’août 2015.

Juillet 2015 :

Août 2015 ?

Pas grand chose, seulement 8 entrées. Dans les projets morts ? Point Linux, Tanglu, Semplice, Arquetype et PC-BSD. Soit 50% de pertes… La Viperr est en hibernation profonde, et cela me ferait mal au fondement d’apprendre son décès.

Prochain billet de la série, début septembre 2020.

Que sont devenues les distributions GNU/Linux de 2014 au bout de 5 ans ? Épisode 8

Après un été assez clément concernant les distributions dont j’ai parlé en 2014, la rentrée est-elle plus mouvementée ?

Le massacre est de mise ici. Entre la 0linux (malheureusement), la nullissime et cultissime Micro-R OS ou encore une des premières DGLFI basée sur Manjaro (VintOS), on arrive à 50% de casse, le pire depuis le premier billet de la série. Ça pique et pas qu’un peu ! Octobre va-t-il être plus clément ou au contraire carrément pire ?

Que sont-elles devenues les distributions GNU/Linux de 2013 ? Première partie.

Début décembre 2017, je terminais le bilan de l’année 2012 en terme de distributions GNU/Linux. Je voulais voir quel était le taux de mortalité des projets dans ce domaine précis du monde du logiciel libre.

Près de 6 mois – au moment où je rédige ce billet, le 22 mai 2018 – sont passés. J’ai décidé donc de m’y remettre avec un premier gros billet qui couvre la période qui court de janvier à mai 2013… Histoire de voir ce que les distributions GNU/Linux dont j’ai pu parler sont devenues… Je sens que ça va pas être triste à voir…

Janvier 2013 :

Continuer la lecture de « Que sont-elles devenues les distributions GNU/Linux de 2013 ? Première partie. »

En vrac’ de fin de semaine.

Avant la publication prévue le dimanche 3 septembre 2017 dans l’après-midi de la mise à jour du tutoriel d’installation pour Archlinux, voici quelques liens rassemblés pour finir cette semaine.

Dans l’informatique qu’elle soit libre ou pas 😉

Côté culture ?

Bon week-end 🙂

Et si on faisait un bilan au de bout de 5 ans des distributions GNU/Linux ? Première partie.

En faisant des recherches sur le taux de survie des entreprises sur 5 ans – dans le cadre d’une future activité professionnelle – j’ai pu lire que seulement 50% des projets lancés soufflaient leur cinquième bougie.

J’ai eu donc envie de me plonger dans les archives de mon blog de l’année 2012, et voir dans les distributions GNU/Linux dont j’ai parlé celles qui sont encore vivantes en 2017. Étant donné que je rédige ce billet en juin 2017, je vais me concentrer sur les distributions dont j’ai parlé entre janvier et juin 2012. J’ai fait sauter les doublons, étant donné qu’il y a eu quelques répétitions à l’époque 🙂

Commençons par Janvier 2012.

  1. 9 janvier 2012 : la DreamLinux 5.0Abandonnée en octobre 2012
  2. 13 janvier 2012 : l’alpha 3 d’une certaine Mageia 2… 🙂
  3. 13 janvier 2012 : la 0linux epsilon. Dont le site semble mort en ce 2 juin 2017 🙁
  4. 18 janvier 2012 : la Parabola GNU/linux avant l’arrivée du détesté systemd Houla 🙂
  5. 19 janvier 2012 : une pré-alpha 2 de la Ubuntu 12.04… 🙂
  6. 29 janvier 2012 : une préversion de la Frugalware Linux 1.6rc2

Donc déjà deux distributions dont j’avais parlé il y a 5 ans et qui nous ont quitté. Passons donc au mois de février 2012.

Continuer la lecture de « Et si on faisait un bilan au de bout de 5 ans des distributions GNU/Linux ? Première partie. »

En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac’. Et je serai presque en retard cette fois, postant le billet vers 21 h 00 le dimanche 29 janvier. Ah, les affres de la « chocolatomanie » 🙂

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ? Peu de choses 🙁

Bonne fin de semaine !

Dis tonton Fred, ça ressemblait à quoi le monde du libre, il y a un an ? Épisode 5 : août 2015.

Ah, le mois d’août… Son farniente, son ennui monumental, bref, le pire mois de l’année, sauf pour les natifs et natives du dit mois. Ayant pas mal d’ami(e)s né(e)s en août, donc toutes mes excuses pour le mois qui vous a vu arriver. C’est vrai qu’il faut se tenir au chaud courant novembre, après tout 🙂

Prenez un verre de thé glacé, et voyons donc comment se comportait la cour d’école maternelle géante qu’est le monde du logiciel libre.

Continuer la lecture de « Dis tonton Fred, ça ressemblait à quoi le monde du libre, il y a un an ? Épisode 5 : août 2015. »

En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’obligatoire billet en vrac’. Il sera très court, étant donné que je suis obligé d’utiliser mon Wiko 4G en tant que modem d’accès à internet… Ma FreeBox Server ayant décidé de me faire un coup de traviole… 🙁

Commençons par le logiciel libre.

Côté musique ?

  • De la musique alternative française trouvée par hasard : Hygon. Quelques EPs sont disponibles en téléchargement libre.
  • Fan de black metal et death metal mélodique (si, si, ça existe), alors le groupe français Helioss pourra vous parler. Même si je préfère le death growl d’un certain Mickael Ackerfeldt, cela reste écoutable 🙂

Bon week-end !

Bodhi Linux 3.1 : Comment survit la distribution revenue d’entre les mortes ?

Avec la vivacité de l’actualité en ce qui concerne les distributions GNU/Linux en ce mois d’août 2015, j’ai trouvé logique de faire un article sur la Bodhi Linux 3.1 qui sort 6 mois après la version de la résurrection de cette distribution à l’histoire mouvementée.

En février 2015, j’avais consacré un article à la Bodhi Linux 3.0.

Je le concluais ainsi :

[…]La Bodhi Linux est vraiment très légère, mais elle a cédé à la mode des icones aplaties. Il n’y a que peu d’outils, et devoir passer par le App Center est un peu contraignant, surtout avec l’absence des traductions dans LibreOffice par exemple.[…]Le gros point noir de cette version de la Bodhi sont les icones mochissimes. C’est d’ailleurs le seul point noir, mis à part la logithèque un peu légère, et certains logiciels mal traduits.

6 mois sont donc passés et dans l’annonce de publication de la nouvelle mouture de cette distribution basée sur la Ubuntu 14.04.1 LTS, à laquelle a été rajouté un noyau 3.16.x, on apprend l’existence de deux versions. La version dite legacy et qui propose Enlightenment e19. La deuxième propose l’environnement maison, dit Moksha, dérivé d’Enlightenment e17. Dans une page du site, les développeurs de la distribution explique le pourquoi du comment de la naissance de l’environnement.

En gros, Moksha Desktop est né pour trois raisons :

  1. La volonté d’avoir une base stable et sans bugs non corrigés par les développeurs d’Enlightenment qui sont déjà focalisés sur la version suivante.
  2. La course à l’échalotte des versions depuis la sortie d’e17. Trois versions en l’espace de 3 ans, c’est trop rapide pour rendre serein un environnement.
  3. La version d’Enlightenment e18 a été une horreur pour les développeurs de la Bodhi Linux.

Même si pour le moment l’environnement n’est qu’en version 0.1.0, il bénéficie du travail développé sur les 12 années nécessaires pour voir naître Enlightenment e17. En gros, ce sont les mêmes principes qui ont été invoqués pour la naissance de Mate Desktop et Trinity Desktop Environment.

J’ai donc récupéré l’ISO de la version officielle, et j’ai créé dans VirtualBox une machine virtuelle prenant comme base une Ubuntu avec 2 Go de mémoire vive, 128 Go et 2 CPUs virtuels. Au premier lancement, on sent que l’on est face à une ISO créée avec un outil à la RemasterSys.

Le démarrage est assez rapide et Moksha nous accueille, avec une présentation à la MS-Windows comme on a pu avoir depuis 1995, modulo le passage des versions 8.x de l’OS de Microsoft.

Continuer la lecture de « Bodhi Linux 3.1 : Comment survit la distribution revenue d’entre les mortes ? »

Repose en paix, Bodhi Linux… Quelle sera la prochaine à mettre la clé sous la porte ?

La nouvelle est tombée il y a quelques jours. La Bodhi Linux, pour schématiser une Ubuntu LTS avec l’environnement Enlightenment, vient de voir son mainteneur mettre un terme à son projet.

Pour citer les propos du créateur de la distribution, il met le projet de côté pour diverses raisons :

I am sure anyone who has been following the Bodhi project has taken note that the 3.0.0 release timeline has not happened as expected. Due to a variety of reasons I would like to announce today that I will no longer be actively developing Bodhi Linux.

Ce qu’on peut traduire par :

Je suis sûr que tous ceux qui ont suivi le projet Bodhi ont pris note que la feuille de route de la version 3.0.0 n’a pas eu lieu comme prévu. À cause de plusieurs raisons, je voudrais annoncer aujourd’hui que je developperais plus activement Bodhi Linux.

Cependant, ce n’est pas un arrêt sec, et le mainteneur laisse le code disponible pour les personnes désirant reprendre le projet, pour reprendre les termes du créateur :

So if you are reading this and have an interest in picking up where I am leaving off, please contact me. All Bodhi related code can be found on my GitHub page and I am more than happy to help guide you in the right direction with how things work as you are getting started.

Ce qu’on peut traduire par :

Donc, si vous lisez ceci et que vous désirez reprendre là où je me suis arrêté, s’il vous plaît contactez-moi. La totalité du code de la Bodhi peut être trouvé sur ma page GitHub et je suis plus qu’heureux de vous guider dans la bonne direction sur comment l’ensemble fonctionne si vous êtes sur le point de démarrer.

Continuer la lecture de « Repose en paix, Bodhi Linux… Quelle sera la prochaine à mettre la clé sous la porte ? »

En vrac’ rapide et libre.

Avec une actualité du monde linuxien qui ressemble à un électroencephalogramme plat en ce moment, j’ai décidé de faire un en vrac’ rapide et libre.

Désolé, mais je n’ai pas trop le temps ni d’inspiration pour un billet plus long en ce moment.

Ah, la complexe généalogie des distributions GNU/Linux… :)

S’il y a bien un sujet non technique qui est d’une complexité assez importante dans le petit monde des distributions GNU/Linux, c’est leur généalogie.

Autant dans le monde privateur, c’est assez simple. Par exemple, pour Microsoft : Windows 8.1 est le « fils » de Windows 8, lui même « fils » de Windows 7, qui est « fils » de Vista, « fils » de XP, « fils » de 2000 Professionnel, « fils » de NT4, « fils » de NT 3.5x, lointain parent des premiers OS/2 co-développé avec IBM.

Pour Apple c’est simple : Tous les versions OS-X descendent les unes des autres, la première version étant un lointaine descendante de NeXTStep.

Mais si on regarde les distributions GNU/Linux, c’est moins simple. Prenons l’une des familles les plus representée, celle des paquets deb.

Continuer la lecture de « Ah, la complexe généalogie des distributions GNU/Linux… 🙂 »

Bodhi Linux 2.2.0 : pas de quoi rester Zen, malheureusement :(

e17 est sorti le jour du bug du calendrier Maya, et j’ai attendu une des premières distributions à l’intégrer officiellement pour me faire une idée. J’ai eu la flemme de l’installer à la main dans une machine virtuelle. Quoique la flemme est parfois mauvaise conseillère…

La Bodhi Linux est celle qui m’est venu à l’esprit, l’ayant déjà abordé en avril 2012, car elle proposait une préversion d’e17 à l’époque.

C’est donc avec l’annonce de la version 2.2.0 de la distribution qui m’a permis d’éviter une installation à la main.

La Bodhi Linux est basée sur la Ubuntu 12.04.x LTS, et pour la version 64 bits (celle que j’ai testée ici, le noyau linux 3.7 est de la partie). Il y a deux versions en 32 bits, une sans le PAE, bloquée sur le noyau linux 3.2 et une avec le PAE et qui est disponible avec le noyau linux 3.7. Dixit l’annonce officielle, bien entendu.

J’ai récupéré l’image ISO 64 bits, histoire de ne pas me prendre la tête.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://freefr.dl.sourceforge.net/project/bodhilinux/2.2.0/bodhi-2.2.0-64.iso
–2013-01-09 15:03:23– http://freefr.dl.sourceforge.net/project/bodhilinux/2.2.0/bodhi-2.2.0-64.iso
Résolution de freefr.dl.sourceforge.net (freefr.dl.sourceforge.net)… 2001:1b48:10f::7, 158.255.96.7
Connexion vers freefr.dl.sourceforge.net (freefr.dl.sourceforge.net)|2001:1b48:10f::7|:80…connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse…200 OK
Longueur: 600834048 (573M) [application/octet-stream]
Sauvegarde en : «bodhi-2.2.0-64.iso»

100%[======================================>] 600 834 048 960KB/s ds 8m 22s

2013-01-09 15:11:46 (1,14 MB/s) – «bodhi-2.2.0-64.iso» sauvegardé [600834048/600834048]

Et j’ai lancé l’environnement de test habituel : CPU 64 bits, 2 Go de mémoire, 128 de disque dur virtuel.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 128G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=137438953472 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -no-frame -cdrom bodhi-2.2.0-64.iso -boot order=cd &

Continuer la lecture de « Bodhi Linux 2.2.0 : pas de quoi rester Zen, malheureusement 🙁 »