Souvenirs de film de SF, « Le trou noir » de 1979.

La fin des années 1970 a été marqué par un retour en grace de la Science Fiction, grandement aidé par le succès de Star Wars en 1977. Dans ce film produit par Disney qui se permet de proposer des jurons et des scènes un tant soit peu violentes, on sent qu’une époque se termine. Fini les films qui dégoulinent de bons sentiments. Ici, on a droit à un film assez sombre.

Le synopsis ? On est à la fin XXième siècle. Au coeur d’une lointaine galaxie, à bord du vaisseau d’exploration Palomino qui retourne vers la Terre, Vincent détecte la présence d’un puissant « trou noir ». Au bord du gouffre, une gigantesque station spatiale défie le trou noir. C’est l’USS Cygnus, disparut 20 ans plus tôt.

Vincent reprend le rôle du gentil robot parfois cabochard qui était celui de R2D2 dans le premier Star Wars.

Dans le rôle du grand méchant, il y a le robot rouge volant, Maximilian qui fout les chocottes à chacune de ses apparitions, chien de garde fidèle du Docteur Reihhardt, le seul humain à bord de l’USS Cygnus.

La musique d’introduction du film donne rapidement le vertige. John Narry sait inspirer de la peur et de l’inconnu avec ce rythme balançant et terriblement efficace. Le Cygnus cache bien des sombres secrets que l’équipage du Palomino découvre petit à petit pour sa plus grande horreur.

Le casting est bien fourni avec Antony Perkins et Ernest Borgnine pour ne citer les deux acteurs les plus connus. Maximilian Schell joue à la perfection le rôle du Docteur Reinhardt.

Évidemment, les effets spéciaux ont un brin vieilli, et certaines incohérences arrivent parfois dans le film, mais cela ne gâche pas outre mesure le plaisir. Même si le démarrage est un peu long, la fin est haletante et un peu… spéciale !

Pas le meilleur film de science fiction que j’ai pu voir, mais les presque 100 minutes du film passent agréablement.

« Maddie, si tu savais… », le nouveau roman réussi d’Isabelle Rozenn-Mari.

S’il y a une auteure que je suis depuis pas mal d’années, c’est bien Isabelle Rozenn-Mari. En janvier 2018, je parlais de son précédent roman, orienté suspense « Les larmes d’Alyssa ».

J’ai été contacté par Isabelle au mois d’avril 2019. Elle m’avait demandé si je voulais être un des bêta-lecteurs de son nouveau roman. Après la fantaisie de son cycle « Les enfants de Dana », Isabelle s’est lancé dans une histoire teintée de science-fiction. Ici, nul extra terrestre à peau verte ou vaisseau spatial.

Le quatrième de couverture est plutôt parlant et intrigant :

Un regard, et tout bascule.
Entre Matthieu et Maddie, c’est le coup de foudre immédiat. Ce que Maddie ignore, c’est que Matthieu connaît son avenir. Un avenir terrifiant, douloureux, pire que la mort.
La préoccupation principale de Matthieu, journaliste scientifique, sera dès lors de sauver Maddie. Mais le temps se dresse entre eux telle une barrière infranchissable.
Une lettre pourrait tout changer. Mais parviendra-t-elle à temps à Matthieu ?

Comment un scientifique qui est guidé par la raison peut-il connaître le futur d’une chanteuse de cabaret ? C’est tout le noeud de l’intrigue.

Je dois avouer que j’ai dévoré la version presque terminée du texte en l’espace de trois jours tellement l’histoire est passionnante et qu’on veut savoir ce qu’Isabelle nous cache.

Je ne vous gâcherai pas le plaisir, mais tout ce que je peux dire est qu’ici on a une revisite d’un grand classique de la science-fiction. Inutile de m’en demander plus, je ne parlerai qu’en présence de mon avocat !

Allez, bonne lecture !

En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac’. Et je serai presque en retard cette fois, postant le billet vers 21 h 00 le dimanche 29 janvier. Ah, les affres de la « chocolatomanie » 🙂

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ? Peu de choses 🙁

Bonne fin de semaine !

« Chroniques de la Nouvelle-Arkaïa », mon deuxième roman auto-édité disponible en version papier… Et bientôt en électronique.

Il y a 6 mois, je parlais de la publication en auto-édition de mon premier roman, « Arkaïa ». Ce que je n’avais pas précisé, à l’époque, ignorant l’accueil de celui-ci, c’est qu’une suite avait été extraite de mon cerveau, écrite en l’espace de quatre à cinq mois, toujours sur mon temps libre, et en parallèle à mes publications en libre accès.

L’histoire pouvait être considérée comme terminée à la fin du roman déjà publié, et il n’était pas nécessaire de savoir que j’avais rédigé une suite. Avec les retours positifs, bien que peu nombreux, sur mon premier gros texte, j’ai pris mon courage à deux mains, et après 4 mois de relectures entrecoupées de pause (c’est long et laxatif de relire un texte), scrupuleusement vérifié l’orthographe et la grammaire, voici donc le tome 2 de mon récit de science-fiction dystopique.

La version électronique devrait être disponible d’ici début novembre 2014, avec le même principe : non aux DRMs. Je rajouterais les liens vers les versions électroniques dès sa disponibilité.

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Mon premier roman en auto-édition : bilan rapide au bout de 6 mois.

Il y a 6 mois, je publiais en auto-édition via Atramenta mon premier roman, que ce soit au format papier ou électronique.

Au bout de 6 semaines, je faisais un premier bilan, histoire de voir comment mon roman qui n’avait eu aucune publicité mise à part le bouche à oreilles, un petit passage sur twitter et sur mon fil google+.

Ne pas avoir de compte chez le fesseur de caprin, ni ne faire aucune publicité dans la presse régionale n’a pas vraiment aidé.

Au bout de 6 mois, et alors que mon prochain roman écrit entre avril et août 2013, sur mon temps libre le soir, va sortir à la fin du mois d’octobre 2014, j’ai voulu faire un bilan de cette première expérience en auto-édition. Voici donc le total des ventes, auxquelles il faut rajouter 5 volumes au format papier achetés pour des personnes ne voulant pas payer sur internet.

atramenta-6mois28 ventes « officialisées » plus 5 en parallèle, soit 33 ventes sur 6 mois, sans aucune publicité tapageuse. C’est pas si mal que cela, non ?

Et le nouveau roman ? Il est en cours d’ultime relecture, la cinquième ou sixième (j’ai perdu le compte). Un travail des plus rébarbatifs qui existent. Seules informations disponibles pour le moment ? Il sera aussi gros que le premier livre, soit dans les 400 pages au format papier, et donc pas loin du double en électronique.

Je tiens à remercier toutes les personnes qui ont eu la confiance d’acheter mon premier livre, en espérant que le second leur plaira tout autant.

Mon premier livre, « Arkaïa ». La suite !

Dans un article du 22 avril 2014, je parlais de la disponibilité au format papier de mon premier roman, « Arkaïa ». Je vous renvoie à l’article pour les détails, comme le quatrième de couverture. Pour résumer, c’est de la science fiction dystopique reprenant le mythe de l’Arche de Noé avec une pincée d’Age de Cristal saupoudrée au-dessus.

J’ai voulu faire un article pour annoncer sa disponibilité au format électronique. Il coute 5,99€ et fait dans les 800 pages, la preuve en images :

Et pour le format mobi (kindle) :

Voici les adresses où vous trouverez le roman. Pour les boutiques Amazon, Fnac et Kobo, les fichiers sont malheureusement entravés par des DRMs. Je ne suis pas responsable pour un tel verrouillage. Inutile de me hurler dessus, compris ?

Je tiens à préciser que je suis désolé pour la présence des DRMs pour les quatre derniers magasins listés. Et voici les trois premiers (et uniques ?) exemplaires papiers du livre :

Voila, maintenant, je n’ai plus qu’à attendre vos retours 😀

Mon premier livre, « Arkaïa ».

On dit souvent que l’on est jamais mieux servi que par soi-même. Je profite donc de l’existence de mon blog pour vous parler de mon premier livre, publié avec Atramenta, qui s’appelle « Arkaïa ».

C’est un très vieux projet, dont j’avais tracé les premières ébauches en… 1999 ! Puis, la vie étant ce qu’elle est, j’ai dû mettre en pause ce projet. De plus, je sentais qu’à l’age de 25 ans, je n’avais pas la maturité nécessaire, ni le style qui s’imposait pour un tel roman.

En juin 2012, sur les conseils d’une personne que je tiens à remercier, j’ai repris la rédaction de l’histoire qui était resté en plan durant une douzaine d’années. De 100 pages que je comptais rédiger à l’origine, je suis arrivé à plus de 300 en l’espace de huit long mois d’écriture, uniquement effectué sur mon temps libre. Ensuite, j’ai mis le texte en repos, le cerveau aussi durant quelques semaines, et j’ai rédigé quelques textes plus courts que vous trouverez sur mon espace Atramenta.

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Mémoires télévisuelles d’un enfant des années 1970, épisode 2 : « Temps X ».

En 1979, sur TF1 qui était encore à l’époque une chaine de télévision publique, un ovni apparaît sur les écrans : Temps X. Cet émission de vulgarisation scientifique présentée par les jumeaux Igor et Grishka Bogdanoff présente des reportages de vulgarisation et d’anticipation dont certains sont devenus avec le recul du temps kitsch à souhait, comme ce reportage trouvé sur le site Eighties.fr.

Mais c’était aussi l’occasion de découvrir certaines séries devenues mythiques par la suite : The Twilight Zone alias « La Quatrième Dimension », Le Prisonnier de et avec Patrick McGoohan (diffusé en continue et en intégralité pour la première fois).

Mais aussi de diffuser des ovni télévisuels comme Astrolab 22. En faisant quelques recherche, j’ai pu trouver une vidéo. Merci à Jean-Manuel Costa pour m’avoir permis de remettre la main sur ces archives 😉


Astrolab 22 par JeanManuel_Costa

J’ai encore le souvenir du générique où on voyait le vaisseau de l’émission sur un fond spatial.


TEMPS X par JeanManuel_Costa

Bien sûr, tout cela apparait comme kitchissime, mais il faut se replonger dans l’ambiance de l’époque, quand l’an 2000 était une date mythique et encore lointaine.

« La porte des mondes » : rien n’est impossible ;)

Je ne suis pas un grand amateur de roman uchronique, mais je dois dire encore une fois merci à Robert Silverberg.

Mais qu’est-ce qu’une uchronie ? Dixit le wiktionnaire :

Récit imaginaire prenant comme base de départ une évolution alternative de l’Histoire.

Dans ce monde alternatif, Robert Silverberg imagine ce qui se serait passé si l’épidémie de Peste de 1348 (qui balaya 25 à 30% de la population européenne en quelques mois) avait été largement plus meurtrière : l’empire Turc ayant conquis des pays jusqu’à l’Angleterre, l’Allemagne émiettée en une multitude de petits états, les Aztèques controlant l’Amérique centrale et les Incas l’Amérique latine.

Nous suivons dans ce court roman de Robert Silverberg l’épopée d’un jeune homme anglais, Dan Beauchamp qui quitte une Angleterre en 1963 qui s’est libéré du joug turc quelques décennies auparavant pour les Hespérides.

J’avoue que j’étais un peu sceptique au départ, mais l’écriture de Robert Silverberg nous propose un univers alternatif intéressant… Et qui laisse à penser 😉

« Les monades urbaines » : quand Robert Silverberg nous raconte un avenir vertical…

Je ne connaissais pas trop l’auteur Robert Silverberg. « Les Monades Urbaines » (sorti en 1971) nous amène dans un 24ième siècle où pour des raisons pratiques, les humains vivent dans des tours de 1000 étages de hauteur.

On y suit les histoires croisées d’un socio-computeur, d’un jeune couple, d’un historien, d’un musicien, d’un futur administrateur et d’un technicien.

Dans ce futur, la sexualité est libérée, l’intimité inexistante, et le « croissez et multipliez » est la règle. Une sorte de dictature du plaisir et de la sensualité.

C’est un court roman qui vaut largement le détour. D’ailleurs c’est le quatrième de couverture qui m’a attiré vers ce livre. De la science fiction dystopique comme seul les années 1970 pouvait en produire.

« Rendez-vous avec Rama »… Merci Arthur C.Clarke.

D’Arthur C.Clarke, je ne connaissais que le cycle de « 2001, l’odyssée de l’espace » (du moins le tome d’origine).

C’est par hasard que je suis tombé sur un roman du même auteur, « Rendez-vous avec Rama », sorti au début des années 1970.

Le quatrième de couverture est assez parlant :

2130. Un objet spatial non identifié est localisé dans le système solaire : c’est un cylindre aux proportions extraordinaires – 30 km de long -, et qui se déplace au tiers de la vitesse de la lumière – 100 000 km/h. Il sera baptisé Rama. La curiosité cède cependant le pas à l’effarement quand l’équipage du vaisseau spatial « Endeavour » parvient à pénétrer dans son habitacle. Car cet « Artefact », qui semble n’avoir jamais subi la moindre altération du temps, contient en son sein un véritable monde miniature. Son exploration minutieuse révèle en effet une mer, des reliefs, des routes, des villes… Un univers de silence et de non-vie, où tout semble d’une haute technologie et pourtant vieux de millions d’années ! Qui peut bien être aux commandes de Rama ?

J’avoue que j’ai été un peu étonné en le voyant, puis je me suis dit, pourquoi pas ? Et la surprise a été excellente. Ici, nul besoin de théories tordues, d’armes laser et de vaisseaux à la Stargate.

C’est une science fiction simple (même si elle est de nos jours « préhistorique »), mais l’histoire tient la route, et jusqu’à la fin on se dit qu’Arthur C.Clarke a su attiser la curiosité du lecteur.

Dommage qu’il n’existe pas en version électronique, cependant, car c’est un bon roman pour les longs trajets 😀

Après Pioneer One, L5.

Après que Pioneer One ait fini par boucler sa première saison au bout d’un an et demi de récolte de fonds et de travail, montrant qu’il était possible de produire une mini-saison en se basant sur un financement communautaire, un autre série de science-fiction, L5 vient de proposer son épisode pilote. Et le morceau de choix est le budget : seulement 15000$ pour l’épisode pilote et un an de travail.

Our goal with L5 was to create a compelling, high-production-value science fiction on a small budget. After endless hours in post production were volunteered by a talented team of visual effects artists all over the world, and with the spit and vinegar of home grown construction methods for building props, sets and costumes, as well as the unrelenting support of our families and the local art and business community in the Chicago area, the result was accomplished inside a budget of $15,000.

Ce qui donne traduit :

Notre objectif avec L5 était de créer une série de science fiction de qualité avec un petit budget. Après d’innombrables heures dédiées à la post-production effectuée par une équipe d’artistes talentueux dans les effets visuels situés partout sur la planète, et en faisant les bâtiments, équipements et costumes à la main, ainsi qu’avec le support continu de nos familles et des entreprises locales artisanales et commerciales de la région de Chicago, le résultat a été accompli avec un budget de 15.000 $.

Le scénario est classique d’apparence : suite à la destruction croissante des capacités de la planète, une équipe d’explorateurs sont envoyés vers un monde, en vain, pour un voyage dont l’aller simple dure 20 ans. Mais, malheureusement, le retour sera plus long que prévu, et durera 200 ans. Et quand ils reviennent vers la Terre, une mauvaise surprise les attend. Une colonie spatiale massive, baptisée L5 flotte près de la Terre, et deux membres d’équipages sont envoyés y jeter un oeil.

Les effets spéciaux ne sont pas aussi réussi que ceux des séries à gros budgets, mais cependant, la série vaut le coup d’oeil. Maintenant, un appel aux dons a été fait pour que le deuxième épisode soit tourné et monté. J’ai donné 10$, c’est pas grand chose, mais au moins j’apporte mon humble pierre à l’édifice du financement de projets alternatif à ceux de l’industrie de l’inculture.

La Fondation d’Isaac Asimov. Bilan de la lecture des trois tomes centraux du cycle.

J’avoue que je n’ai jamais été un grand fan d’Isaac Asimov, n’ayant pas encore réussi à finir « Les robots ».

C’est donc avec un peu de curiosité que j’ai attaqué vendredi dernier le tome 1 du cycle, à savoir « Fondation ».

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Films vus cette semaine, première édition ;)

J’ai décidé de faire un article hebdomadaire – ou à tendance hebdomadaire – sur les films que j’aurais vu. Deux à trois films par semaine, cela n’est pas si mal que cela, surtout sur une année.

Cette semaine, trois films.

1) P.R.O.F.S

Avant que Patrick Bruel n’explose dans la chanson, il a été acteur, et un de ses meilleurs rôles fut dans la comédie P.R.O.F.S de 1985.

Jeune prof de français, entouré d’une bande de joyeux lurons, il intègre un lycée aux profs plus caricaturaux les uns que les autres. Charles Max (qui ressemble à Marx), un prof de maths sorti du giron militaire, une prof de chimie violente et limite nostalgique des années 1930, une documentaliste un peu coincée, bref, une sacrée galerie de portraits.

Avec sa bande de profs déjantés, le film montre des profs qui sont parfois plus mômes que les élèves. Surtout quand la bande des profs déjantés décident de faire « la loi »…

Un film dont on a du mal à se lasser, pour passer une heure et demie de franche rigolade. Et dans lequel on apprend une figure de rhétorique, l‘épanadiplose.

2) District 9

Afrique du Sud. Depuis 20 ans, un vaisseau extra-terrestre flotte au dessus de la ville de Johannesbourg. Les extra-terrestres – surnommé mollusques – sont expulsés par une multinationale, la MNU. Le film joue sur le coté « embarqué » de l’expédition qui finit par mal tourner… Le tout sur un mode documentaire qui rend l’histoire encore plus envoutante.

Avec des extra-terrestres faisant pensé à certains monstres du jeu Half-Life, on pourrait se croire dans un navet de série Z de science-fiction. Ce qui est loin d’être le cas. Et nous fait poser des questions sur la tolérance, la différence, et jusqu’où l’appat du gain peut aller.

Une agréable surprise, car je m’attendais à un sacré navet, autant le dire ainsi ! En espérant que la suite qui semble être logique ne soit pas purement commerciale !

3) Capricorn 1 :

Dernier mais non des moindres, ce film sorti en 1978, reprend une thèse – fumeuse ? – des complotistes, comme quoi la mission Apollo 11 n’a jamais alunie. En déplaçant la cible de la Lune vers Mars, ce thriller montre une mise en scène d’une arrivée sur Mars tournée en studio.

Thriller haletant, sûrement un des meilleurs dans son genre, il vaut le coup d’être vu, même si certaines longueurs sont parfois notables. J’ai bien aimé, ayant gardé le souvenir d’un passage à la télévision il y a une grosse dizaine d’années. Sur certains aspect, cela fait même penser à « North by Northwest », plus connu sous le nom de « La mort aux trousses » d’Alfred Hitchcock.

« Le dernier restaurant avant la fin du monde »…

J’ai fini il y a quelques jours le deuxième volume de la trilogie en cinq volumes de Douglas Adams.

Autant le premier volume m’avait enchanté, autant celui-ci m’a laissé un peu sur ma faim.

Il est vrai qu’on rit beaucoup dans ce volume, mais la loufoquerie est parfois un peu excessive. Il est vrai que la poésie vogonne vaut son pesant de torture, et que la bureaucratie des Golganfricheux vaut largement « La maison qui rend fou » du film « Les douzes travaux d’Astérix ».

Marvin est toujours autant dépressif, Zaphod toujours autant déjanté. Il est vrai que le Restaurant est un bonheur de loufoquerie.

Si je donnais un 19/20 au premier volume, celui-ci aurait seulement un petit 15/20.

J’ai reçu le troisième volume aujourd’hui, et j’espère que le niveau sera aussi bon que le premier volume.

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