« The Splinter of Light We Misread » : Un deuxième opus plus sombre des Defying ?

Si vous me suivez depuis plus ou moins longtemps, vous savez que j’aime les musiques sombres, celles qui vous emportent au plus profond des tréfonds de votre âme. Le metal progressif en fait partie. Avoir été initié au metal progressif par Opeth, ça aide un brin 🙂

Le deuxième album des polonais de Defying en fait partie. J’avais adoré leur premier album, « Nexus Artificial », dont j’avais parlé en avril 2015

« The Splinter of Light We Misread » est sorti le 20 mai 2016. Je l’avais précommandé, et je dois dire que je ne regrette pas mon achat. Une demi-heure de musique sombre en quatre pistes, qui commence par « The Sunlight Recedes ».

Si vous n’aimez pas le chant gutural, passez votre chemin. La première piste qui dure une dizaine de minutes est constituée pour moitié d’un chant gutural, accompagné d’une ambiance lourde, imposante.

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« One Big Sky » de Celestial Teapot : Du rock progressif instrumental de haut vol.

Il m’arrive parfois d’espionner – je sais c’est mal – la page Bandcamp de Stéphane Gallay. Collègue blogueur dont j’apprécie la plume et dont je partage de temps à autres les coups de coeur musicaux, je dois dire que je m’inspire de ces découvertes pour m’en mettre plein les oreilles.

Cela a été encore récemment le cas, avec la découverte d’un groupe de rock progressif instrumental indien, « Celestial Teapot ». Oui, vous avez bien lu, et si mon anglais n’est pas trop rouillé, on peut traduire par « théière céleste ». J’avais déjà abordé l’album du groupe dans un billet en vrac’ du 14 mai 2016.

Intrigué, j’ai lancé la lecture. Après une intro toute aérienne, « Closure » nous envoie des guitares qui n’ont rien à envier au heavy metal des années 1970. Je dois dire que le début me parlait déjà bien. Mais le meilleur restait à venir.

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C’est officiel : Le logiciel libre est devenue une religion…

Au sens classique du terme. Vous allez dire, pourquoi est-ce qu’il pousse une gueulante ? Pourquoi une autre ? Parce que… c’est nécessaire. Au début je ne comptais pas rédiger de billet, mais vu le niveau atteint, il n’y a pas d’autre choix.

Tout commence avec un article sur la Parabola GNU/Linux dont je critiquais le manque d’utilisabilité pour le monde moderne. Ne serait-ce qu’avec l’utilisation du greffon LibreJS qui fait passer GNU Gnash pour une implémentation utilisable d’Adobe Flash… Oui, c’est ironique 🙂

Un commentaire d’une personne que l’on ne peut que qualifier de puriste du libre vient me faire la morale, gentiment. Puis, ça part un peu plus en cacahuètes, jusqu’au point où je déclare que cette personne est une intégriste. Au sens entendu du terme, celui de l’intégrisme religieux.

Ne voulant pas perdre plus de temps avec un dialogue de sourds, j’ai clos les commentaires.

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« Le Bon Dieu sans confession »… Faut se méfier des apparences :)

Via Agnès de Destination Passions sur le réseau à l’oiseau bleu, j’ai appris l’existence du deuxième livre de Marylise Trécourt. J’ai donc récupéré l’extrait et je dois dire que j’ai tellement ri que j’ai directement acheté le livre.

L’histoire ?

Odette, mamie dynamique ayant du mal à prendre sa retraite et fan inconditionnelle du King, arrive dans une résidence appellée « Les Jardins d’Eden ». Les personnages plus truculents les uns que les autres. Entre l’ancien militaire, la bimbo blonde qui ne brille pas par son QI, un quincagénaire abusant de la bouteille, elle se demande ce qu’elle est venue faire dans cette galère… Surtout qu’un corbeau sème la zizanie…

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Cub Linux ? Chromixium OS, le retour :)

Le réseau à l’oiseau bleu n’est pas seulement celui des clashs et de l’information jetable, c’est aussi celui où je découvre des artistes et où je suis parfois contacté pour qu’on me demande mon avis sur des distributions GNU/Linux.

Merdre, serais-je donc devenu un blogueur influent sans les revenus juteux qui vont avec ? 🙂

C’est ainsi qu’on m’a demandé mon avis sur la distribution Cub Linux. Énième dérivée d’Ubuntu, c’est en réalité la suite du projet Chromixium OS, qui pour des raisons de sonorité a été obligé de changer son nom à la demande d’une petite entreprise peu connue, Google. Faut pas se mettre à dos cette petite boite 🙂

Le principe est simple : Reprendre l’idée des Chromebook, ressucée moderne des Network Computers dont j’avais parlé dans un billet vieux geek en octobre 2012.

Un ordinateur équipé du strict minimum vital, avec un SSD pour stocker le système, les données étant gérée sur du stockage à distance, avec les principaux outils résumé à des applications web, sauf le navigateur internet.

D’ailleurs, Cub Linux annonce la couleur :

[…]
Cub Linux is an operating system that combines the best of aspects of the Chromium browser (speed, Google integration, web apps) with the best of Ubuntu Linux (hardware compatibility, thousands of mainstream applications) to create a user experience that is as familiar as Chrome OS and as powerful as Ubuntu Linux.
[…]

Une traduction rapide ?

[…]
Cub Linux est un système d’exploitation qui combine le meilleur des aspects du navigateur Chromium (vitesse, l’intégration de Google, des applications web) avec le meilleur d’Ubuntu Linux (compatibilité matérielle, des milliers d’applications grand public) pour créer une expérience utilisateur qui est aussi familière que Chrome OS et aussi puissant qu’Ubuntu Linux.
[…]

Wow ! Ça promet, non ? J’ai donc récupéré la version 1.0rc, seule disponible au 18 mai 2016, basée sur la Ubuntu 14.04.4 et j’ai fait chauffé mon VirtualBox pour faire « mumuse » avec la distribution.

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JeudiAutoEdition ou JeudiAutoPromotion ? Comment l’auto-édition montre un visage pas franchement des plus agréables !

Tout a commencé il y a quelques semaines quand j’ai laissé un commentaire « moyen » – à savoir un 3 étoiles – donc une insulte sur un livre auto-édité payé 2,99€ et publié par Celine Barre :

commentaire-celinePuis, j’ai été contacté par un compte twitter JeudiAutoEdition pour suivre d’autres auteur(e)s auto-édité(e)s que j’apprécie dont j’ai découvert une partie via ce compte twitter : Mickaël Paitel, Jérome Dumont, Christelle Morizé, Isabelle Rozenn Mari ou encore Wendall Utroi.

Cependant, j’ai l’impression que ce compte twitter a fini par tourner à l’auto-promotion d’une minorité des membres. Le compte typique qui part d’une bonne idée mais qui finit en eau de boudin.

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Ah, l’idolâtrie liée aux gros vidéastes sur YouTube…

Je parle de l’idolâtrie au sens moderne du terme à savoir : « L’amour excessif pour une personne ou pour une chose. »

En gros, pour les quadragénaires francophones, le terme de BruelMania correspond bien à l’idolâtrie telle qu’on peut la retrouver de nos jours sur le réseau de vidéo en ligne racheté en novembre 2006 par Google.

J’ai eu envie d’écrire ce billet suite à une mésaventure arrivée à Fabien alias ElectronikHeart qui a mis le pied dans une fourmilière enragée sans le vouloir. Celle des fans aveugles de deux stars vidéastes sur Youtube, j’ai nommé le duo Cyprien Iov alias Cyprien et son camarade Lucas Hauchard plus connu sous le pseudonyme de Squeezie.

Les vieux de la vieille en informatique, en gros les personnes qui ont eu un ordinateur aux début des années 1990 n’auront pas manqué de noter que le pseudonyme de Lucas Hauchard n’est qu’une déformation de la prononciation du terme SCSI qu’on prononçait « Squeuzie » à sa grande époque de gloire.

Je tiens à préciser que les deux vidéastes en question me laissent froid, même si j’ai apprécié les vidéos de Cyprien il y a deux ou trois ans.

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« Une retraite sous de mauvais auspices » de Mickaël Patel : Qui a tué grand-maman ?

En reprenant ce titre de Michel Polnareff, on arrive à la question centrale de ce court roman. Ghislaine Troadec, c’est Tatie Danielle dans tout sa… splendeur. Acariatre, méchante, avide de vengeance, elle se fait enlever pour son plus grand malheur.

Dans ce court roman, tous les personnes ont des raisons de vouloir faire la peau de cette Tatie Danielle. Aussi bien son beau-fils, que sa fille ou encore que son voisin.

Il faut dire que les personnages sont gratinés. Entre notre Tatie Danielle qui ment comme une arracheuse de dents, son voisin de la même tranche d’âge qu’elle qui est veuf et encore très vert, sa fille qui a tendance à aimer plus la bouteille que son compagnon, Mickaël Patel n’a pas hésité à sortir l’artillerie lourde.

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En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’obligatoire billet en vrac’. Billet court en prévision du seul week-end prolongé du mois de mai 2016.

Commençons par le logiciel libre. Pas de nouvelle Manjaro Linux communautaire ? Bon, on fera sans 🙂

Côté musique ?

Bon week-end prolongé 🙂

« Un mois d’octobre sans fin… » : Quel bilan un mois après la sortie de mon roman en accès gratuit ?

Il y a un mois je publiais mon roman uchronique (qui m’avait occupé une bonne partie de l’année 2015) en gratuit pour faire un pied-de-nez aux auteur(e)s auto-édité(e)s restant dans le rêve de se fabriquer des gonades en or 24 carats en passant par Amazon.

J’ai voulu donc faire un bilan financier, car oui, le roman a été payant à 0,99€ sur Amazon durant une quinzaine de jours et surtout en nombre de téléchargements avec une publicité minimale. En clair, je n’ai pas été jusqu’à la proposition de gâteries buccales en dessous de la ceinture auprès des blogueuses et autres blogueurs littéraires pour faire la promotion de mon roman.

Voici donc le bilan au bout d’un mois, sans presque aucune promotion.

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