En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac… Et non, je ne vais pas revenir sur la sortie d’Ubuntu 18.04 LTS qui doit pulluler un peu partout 🙂

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

  • Le groupe polonais de post rock instrumental « Beyond The Event Horizon » a publié le 18 mars 2018 un EP intitulé « FAR ». Un article à venir sur le blog.
  • La cagnotte de Péhä pour l’aider à financer des travaux liés à la maladie de son fils, souffrant d’un syndrome cérébelleux continue. Et déjà près d’un tiers de la somme espérée a été récoltée. Plus d’infos sur la page Leetchi.

Bon week-end 🙂

Dis tonton Fred, ça ressemblait à quoi le monde du libre, il y a un an ? Épisode 4 : juillet 2015.

Voici donc le quatrième épisode de la série, que je continue même si certaines personnes considèrent que c’est de la bouillie pour chat mal digéré. Ma réponse pour les personnes en question est simple : « La toile est assez grande pour que vous puissiez trouver quelque chose qui vous sied. Le masochisme, il y a des clubs pour adultes pour l’exprimer. »

Mais revenons-en au logiciel libre, et voyons ce qu’il se passait il y a un an, mois pour mois. Prenez un bon verre de thé glacé ou un diabolo menthe, on est parti 🙂

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Quel bilan pour les distributions GNU/Linux basées sur Arch, en dehors de Manjaro Linux ? Première partie.

L’article sur la BlueStar Linux qui est sûrement la pire dérivée d’Archlinux que j’ai pu tester depuis des mois, m’a donné envie de faire un bilan sur les distributions basées sur Archlinux. J’avais déjà fait un premier billet de de ce genre en juin 2014. Mais vu la popularité croissante (hum !) d’Archlinux comme base, j’ai décidé de faire un nouveau billet, ou plutôt une nouvelle série de billet qui va s’étaler tout le long du mois d’octobre 2015.

Petite précision : je ne parlerais ni de la Chakra Linux (qui s’est séparée d’Archlinux courant 2010), ni de la cousine lointaine d’Archlinux, la KaOS, ni encore des installateurs plus ou moins étoffés du genre Antergos ou Architect Linux (anciennement connu sous le nom d’Evo/Lution).

Je voudrais parler des distributions à part entière. Donc par ordre alphabétique : Archbang, bbqLinux (spécialisée dans la conception des roms tierces pour Android), Bridge Linux, Kademar et PoliArch. Donc, si tout se passe bien, il y aura 5 billets dans cette série.

La BlueStar ayant déjà vu son cas traité, j’ai décidé de commencer par la ArchBang qui est reprise en main par sa communauté, du moins si l’on en croit ce billet du forum des utilisateurs de la ArchBang. Le but étant de conserver des images ISO à publication trimestrielle.

J’avais pour la dernière fois parlé de la ArchBang en décembre 2012, et je n’avais pas été super enchanté par le résultat.

Je concluais l’article ainsi :

Et même si je suis un grand fan d’Archlinux, j’en arrive à préférer CrunchBang pour avoir une distribution proposant un environnement basé sur Openbox. Ou encore l’excellente Viperr 02.

Archbang ? En progrès, mais peut mieux faire, ne serait-ce que proposer des outils de bureautique basique.

Près de trois ans sont passés, et j’ai récupéré la dernière ISO en date, proposée par la communauté. Comme d’habitude, mon ami VirtualBox avec la configuration habituelle (2 Go de mémoire, 128 Go de disque dur, 2 CPUs virtuel) m’a bien aidé dans cette tâche 🙂

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La BusenLabs Linux va-t-elle mettre un terme à la difficile succession de la Crunchbang Linux ?

Dans un billet de juillet 2015, je parlais de plusieurs héritières potentielles de feu la Crunchbang Linux, à savoir la Crunchbang++ et la Crunchbang Monara.

Je concluais l’article sur une note assez négative :

Le bilan n’est pas des plus folichons. Autant la Crunchbang++ est utilisable et le script de post-installation fonctionnel, autant la Crunchbang Monara se vautre à moitié sur la deuxième partie, ce qui montre le béta-test n’a pas été très poussé.

Cela ne laisse pas grand espoir pour le moment en ce qui concerne la succession de la Crunchbang. Il reste encore l’option de passer par un tutoriel en partant d’une Debian GNU/Linux Jessie, comme celui proposé par Coyotus, mainteneur actuel de la Viperr, sur son forum.

Un peu artisanal, mais avec un résultat qui sera sûrement plus facile à maintenir qu’une CrunchBang++ ou une Crunchbang Monara. Ça ne sent pas très bon pour les fans de la Crunchbang Linux… Dommage 🙁

Dans la gazette du 21 septembre 2015 du site Distrowatch, dans la série des distributions ajoutées à la liste d’attente, on peut lire ceci :

BunsenLabs Linux. BunsenLabs Linux is a Debian-based distribution offering a light-weight and easily customizable Openbox desktop. The project is a community continuation of CrunchBang Linux.

La question est donc : est-ce que la BunsenLabs s’en tirera mieux que la Crunchbang++ et la Crunchbang Monara ? J’ai donc récupéré la BunsenLabs rc1 en 64 bits via le réseau BitTorrent.

Une fois l’ISO récupérée, j’ai créé une machine virtuelle dans VirtualBox en prenant comme base le modèle Debian GNU/Linux en 64 bits, mais en gonflant un peu l’ensemble : 2 Go de mémoire dédiée, 2 CPUs virtuel et 128 Go de disque.

Pour mémoire, la page de téléchargement recommande 1 Go de mémoire vive et 10 Go d’espace disque pour l’utilisation.

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La difficile succession de la Crunchbang Linux… Quelle galère…

S’il y a une distribution basée sur la Fedora Linux que j’aime beaucoup, c’est la reptilienne Viperr. Elle reprend une idée développée par une distribution décédée depuis, la Crunchbang qui veut proposer un environnement basé sur OpenBox aussi léger et rapide que possible, avec une base de Debian GNU/Linux Wheezy.

En février 2015, le père de la Crunchbang Linux annonçait la fin du projet.

Depuis, ce sont au moins 3 projets qui ont voulu prendre le relai. Par ordre alphabétique :

Il y a aussi le projet de BusenLabs, mais il ne propose aucune ISO téléchargeable, uniquement des scripts à appliquer.

J’ai donc récupéré les ISOs des trois projets et j’ai décidé de voir ce que cela donne. Je n’ai pas pu télécharger l’ISO de la GoBang, étant donné qu’elle est hébergé par SourceForge et qu’au moment où je rédige cet article, le site est à moitié planté.

Un point à noter : si à l’époque de la CrunchBang 11, une traduction française avait été mise en place sur le site CrunchBang-fr, ce n’est plus d’actualité apparemment.

Donc, ce seront des OS en anglais qui accueillera l’utilisateur. Ouille !

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En vrac’ rapide et libre, un brin méchant :)

Un article en vrac’ consacré à 99,99% au logiciel libre et apparenté. En ce moment, je suis plus occupé par la publication de mon troisième roman, et l’écriture de ce qui pourrait être le quatrième si tout se passe bien.

C’est tout pour aujourd’hui !

Bon week-end !

Ma quête pour une distribution GNU/Linux idéale pour un Asus eeePC 1005, partie 2.

Dans ce deuxième article, je vais lister et tester en version LiveUSB les distributions proposées dans les commentaires du précédent article de cette série.

Par ordre alphabétique, les voici donc :

Pourquoi ai-je mis de coté l’excellente HandyLinux ? Pour la simple et bonne raison que je considère que c’est plus une distribution pour ordinateur portables et fixes. Quant à la Ubuntu Valombre, j’avoue qu’avoir une LinuxMint sur un Netbook ne m’inspire pas vraiment 🙂

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En vrac’ rapide et libre :)

Alors que les deux prochains jours seront fériés (8 mai et Jeudi de Pentecôte), j’en profite pour faire un en vrac’ rapide et libre, étant donné que je ne compte rien poster jusqu’à vendredi 😉

Bons jours fériés et au vendredi 10 mai 🙂

ArchBang 2012.12 : en progrès, mais c’est pas encore ça.

Un an après une première tentative assez décevante, j’ai voulu donner une deuxième chance à la ArchBang Linux, qui est une Crunchbang à la sauce Archlinux.

J’ai donc récupéré l’ISO la plus récente, la 2012.12, et j’ai lancé une machine virtuelle.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 128G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=137438953472 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom archbang-2012.12.03-x86_64.iso -no-frame -boot order=cd &

L’interface d’installation uniquement en anglais, reprenant celle de l’ISO archboot.

Le partitionnement à faire à la main. Et à moins que je n’ai pas trouvé la bonne option, par défaut, le clavier utilise un agencement Qwerty. En clair, faut faire gaffe au niveau des touches utilisées, surtout pour le mot de passe sous peine de ne pas pouvoir ouvrir sa session.


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En vrac’ rapide et libre.

En ce pluvieux mardi, un petit en vrac’ rapide et libre.

C’est tout pour aujourd’hui.

Bonne journée avec la pluie :]

Viperr 02 : le retour du serpent :)

Viperr 02, la nouvelle version du projet de distribution basée sur Fedora Linux créé par Alexandre Singh alias Darthwound vient d’arriver en version de test.

Les longues notes de publications disponibles liste les modifications apportées à la Fedora Linux 17.

Dans l’ensemble : une nouvelle présentation graphique, une intégration améliorée de LibreOffice et Dropbox, un script de post-installation amélioré, exaile a été rajouté, et plein d’autres bonnes choses.

J’avais vraiment aimé la première version de Viperr, basée à l’époque sur la Fedora Linux 16, en concluant ainsi :

Pour faire un rapide bilan de la distribution, je dirais qu’elle est très sympathique – bien que basée sur du RPM, rapide, légère. Même si le script post-installation doit être modifié avec une machine virtuelle, il fait un excellent travail. Seul minuscule problème, l’entrée de gnumeric n’est pas supprimée…

On se retrouve avec un environnement travail léger, assez beau si on apprécie les dégradés de gris, simple. J’avoue que comme j’apprécie beaucoup le minimalisme du gnome-shell sur certains plans, ce remix de la Fedora Linux avec juste ce qu’il faut de bling-bling est un coup de coeur pour moi.

C’est donc avec grande curiosité que j’ai récupéré l’iso de test de la Viperr 2, et je dois le dire : c’est du pur sucre à l’utilisation ! J’ai donc lancé VirtualBox pour la suite des évènements. Pour l’installateur, il faut faire gaffe, le simple clic étant l’option utilisé par défaut pour activer les icones dans Thunar…

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Mes prévisions pour 2012…

Puisque les plus grands experts font en fin d’année pour l’année suivante des prévisions – avec un niveau d’échec parfois impressionnant, spécialement en cas d’année électorale (souvenez-vous d’un certain mois d’avril il y a 10 ans environ) – j’ai envie de me lancer à cet exercice qui est toujours marrant.

Sur le plan des distributions Linux : c’est l’année de tous les dangers pour la distribution reine. Coiffée en fin d’année par une de ses dérivées célèbres, Ubuntu et donc sa maison mère Canonical vont devoir convaincre les personnes rebutées par Unity du bien fondé de cet environnement graphique par rapport à ce qui a été l’interface depuis… 2002 🙂

Je pense que le mois d’avril prochain sera un bouleversement. Non seulement car la prochaine version d’ubuntu sera supporté au minimum 5 ans, soit jusqu’en avril 2017, car c’est un LTS, comme jadis le furent les 10.04, 8.04 et 6.06.

C’est un peu le quite ou double. Car les utilisateurs restés sur la version 10.04 se verront proposer la migration. Et ces derniers seront-ils la copie conforme des personnes qui ont accueillis de manières variées l’interface nouvelle generation fabriquée par Canonical ?

Sans trop m’avancer, je pense que Linux Mint et son projet Cinnamon vont connaître un regain de popularité. Et avant qu’on me traite d’anti-ubuntu primaire, voici la photo de ma collection de CDs officiels d’Ubuntu. Le premier exemplaire ? Une version 5.04…

Collection de CDs d'installation d'ubuntu de la 5.04 à la 10.10 avec quelques trous ;)

Linux Mint : ce sera son année. Car le projet Cinnamon qui a fait couler pas mal d’encre numérique sera surement un appeau à utilisateurs conchiant la nouvelle génération d’interface.

Du duo fraticide Mageïa contre Mandriva, j’ai du mal à savoir laquelle des deux passera le cap de la fin d’année 2012.

Coté distributions, la tendance des distributions en .deb de passer d’ubuntu vers debian va continuer. Elle avait commencé jadis avec le passage de Crunchbang vers une base debian, d’autres distributions suivent ce chemin. La dernière en date : La Bodhi Linux, au moins pour sa version pour processeur ARM. Le reste des architectures va suivre ou pas ?

Je pressens aussi que ce sera une année assez faste pour… la Pomme. Suivant la tradition qui veut que depuis l’époque reculée de Windows 3.1 (20 ans déjà), une version sur deux du Windows grand public est pas franchement réussie.

Donc, les réussites ont été : Windows 3.1, 98 (alias 4.1), XP (alias NT 5.1) et 7 (alias NT 6.1). Les échecs : Windows 95 (je l’ai connu…), Windows Millenium (alias 4.90), et bien entendu Windows Vista (alias NT 6.0).

Comme jadis avec le fiasco Vista, la tendance sera en premier lieu à la rétrogradation de version, au passage vers le Mac (pour les plus aisés) ou vers Linux (pour le restant). Le problème ? C’est de vouloir imposer son interface à la Windows Phone 7 sur des écrans non tactiles. J’avais exprimé mon point de vue sur ce problème dans un billet du mois de septembre dernier.

Côté navigateurs, 5% à 10% de plus de parts de marché pour Chrome, grignotés à Internet Explorer et Mozilla Firefox. Cela compensera l’échec qui s’annonce pour ChromeOS et les Chromebook, car un OS castré comme l’est ChromeOS, c’est pas la joie à utiliser, surtout que sans réseau à proximité, il est inutile.

Je sens aussi que ce sera une année douloureuse pour les tablettes à plusieurs centaines d’euros. Quand HP avait liquidé ses stocks à 99 €, il avait montré le vrai prix des tablettes. Car quand on voit les tablettes à la Pomme n’ayant que 16 Go de stockage à près de 500 €, cela fait mal quelque part…

Dernière prévision ? La fin de la belle histoire de Facebook. Car avoir 800 millions voire 1 milliard de membres s’est bien. Mais avoir des membres assidus, c’est mieux non ? Et je suis près à parier que petit à petit Google Plus – que j’ai connu à l’époque de la béta fermée – grapillera des utilisateurs à Facebook. A force de croire que les arbres montent au ciel…

Bilan dans un an, ou d’ici trois mois pour un premier bilan intermédiaire, d’accord ? 😉

Viperr 1.0 : quand Fedora Linux rencontre Openbox.

Parfois, quand je recherche des distributions à présenter et à tester, on peut tomber sur de très bonnes surprises comme sur de très mauvaises, comme ce fut le cas récemment avec PearOS 3.0.

J’ai fait une série de billets récemment sur des distributions proposant Openbox car j’avoue que si j’ai passé une période creuse avec ce gestionnaire de fenêtre, je recommence à m’y intéresser.

J’ai donc décidé de voir ce que Viperr, un remix de la Fedora Linux avec Openbox proposé par Alexandre Singh alias Darthwound a dans le ventre. La distribution est disponible aussi bien en anglais qu’en français, en 32 qu’en 64 bits.

J’ai donc pris l’iso française 64 bits, et j’ai lancé mon environnement habituel.


[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 32G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=34359738368 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom Viperr-1-64FR.iso -boot order=cd &

Une fois l’environnement lancé, on a une interface minimaliste, léchée, avec l’ensemble des raccourcis clavier, et une barre de tâche en bas, minimaliste. On sent une volonté d’intrusion et de bling-bling minimisée au maximum. Une flèche à coté de l’heure permet de cacher les icones du réseau et du réglage du volume.

Il faut préciser que l’auteur de cette version remixée de Fedora est aussi un administrateur du site francophone de la distribution CrunchBang… Et c’est une très bonne distribution 🙂

Cependant, le bling-bling existe ici aussi et proposé un effet d’ombre sympathique sous les fenêtres. L’installateur est Anaconda, simple, mais qui fait son travail, que demander de plus ? 😉

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CrunchBang Linux : quand le duo Debian GNU/Linux et OpenBox est crousti-explosif ;)

J’ai entendu dire pas mal de bien de la CrunchBang de la part de la personne qui s’occupe du site de la communauté francophone de la distribution, j’ai nommé DarthWound. Crunchbang, dans sa version courante, c’est une base de Debian GNU/Linux Squeeze (la version stable au moment où je rédige cet article) avec Openbox.

J’ai donc en bon tipiak, selon les critères de l’industrie des moines copistes de galettes plastifiés, récupéré l’ISO via bittorrent.

Et j’ai créé un environnement de test avec Qemu-kvm.


[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk-cb.img 32G
Formatting 'disk-cb.img', fmt=qed size=34359738368 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm -hda disk-cb.img -cdrom crunchbang-10-20111125-amd64.iso -boot order=cd &

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