Vieux Geek, épisode 259 : Mystery House, l’ancêtre des jeux d’aventures graphique.

Il y a plusieurs genres de jeux vidéo que j’aime : les FPS (Doom, Quake, Duke Nukem 3D…), les jeux d’énigmes (sauf quand il y a des épreuves musicales), les RTS (assez récemment grace à « Planet X3 » de David Murray alias The 8 Bit Guy), ou encore les jeux d’aventures.

Mon adolesence a été bercée par des classiques de l’Amstrad CPC comme « Sram », « Sram II »« Orphée, Voyage aux enfers » ou encore « L’île » du regretté Alain Massoumipour, Poum dans les colonnes du mythique magazine Amstrad Cent Pour Cent.

Si le genre a vraiment explosé en 1984 avec la sortie du premier épisode de la longue saga King Quest (7 épisodes sauf oubli de ma part), ce n’était pas cependant le premier à sortir. En 1980, Sierra publie son premier titre, un jeu d’aventure « graphique » scénarisé par Roberta Williams et développé par son époux, Ken Williams.

Jusqu’en 1980, les jeux d’aventure sont purement textuels. Il y a Colossal Cave développé en 1975-1976, et la série des Zork qui fera la fortune d’Infocom.

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En vrac’ de fin de semaine

Petit en vrac’ en ce milieu du mois de mars 2021.

Côté logiciel libre, informatique et internet. Pas grand chose à se mettre sous la souris cette semaine. Le calme avant la tempête courant avril avec la sortie de la nouvelle génération d’Ubuntu 🙂

Côté culture ?

Pour finir ce court billet, une vidéo où je montre que les opposés informatiques et idéologiques ne sont pas complètement incompatible dans l’absolu.

Bon week-end 🙂

Il faut savoir faire des choix parfois onéreux : mon passage à un clavier mécanique, le G-Lab Rubidium.

J’utilise des claviers depuis que j’ai l’âge de 15 ans, et j’ai tout connu : les claviers à touches bien prononcées, comme ceux des Amstrad CPC, Commodore Amiga, mais aussi des claviers aux touches plutôt plates, comme celles de mon ordinateur portable.

Cependant, j’arrive à un âge où les ennuis de santé vont commencer à s’accumuler. Déjà, quand j’avais été faire le bilan de ma vue, l’ophtalmologiste qui m’avait ausculté m’avait balancé tout de go et sans aucune malice que j’avais coupé de peu au passage à des verres progressifs.

Il est vrai que je suis myope et que j’approche petit à petit de la cinquantaine, il est donc normal que je passe un jour par la case verre progressif. Mais il y a une autre partie de mon corps qui a souffert des années passées derrière un écran et un clavier : mes poignets.

J’ai connu il y a de nombreuses années le bizarroïde et pourtant si agréable clavier Microsoft Natural keyboard qui permettait d’avoir un confort de frappe comme rarement auparavant. Oui, il avait une drôle de tronche avec son clavier coupé en deux pavés, chacun adapté à une main.

J’étais donc à la recherche d’un clavier qui me permettrait d’éviter d’ici quelques années le passage sur la table d’opération pour déboucher mes canaux carpiens. Lorsque j’ai demandé conseil, on m’a dit d’essayer des claviers orientés gamer. Je n’y croyais pas trop, mais j’ai pu goûter chez un ami à ce genre de clavier… Et ce fut le coup de foudre.

Mon choix s’est orienté vers un clavier G-Lab Rubidium. Par chance, il y a pas très loin de chez moi une boutique LDLC… Autant dire que je n’ai pas eu besoin de passer apr Internet pour une fois. Il coûte environ 80€, mais pour reprendre une scène du cultissime « Les tontons flingueurs », « Le prix s’oublie, la qualité reste. »

Je sais, les deux tueurs à gages parlent de flingues, mais l’idée reste la même. J’avoue que le gros point noir, c’est l’obligation de passer par un outil développé pour MS-Windows pour configurer le rétroéclairage du clavier.

Voici le point de départ :

Et le point d’arrivée, même si j’aurais bien aimé avec les touches gamers en rouge et le reste du clavier dans ce dégradé de blanc.

Je ne vais pas m’en plaindre. Le clavier est certifié pour résister à 50 millions de frappes. Autant dire que j’ai de longues années à passer avec ce clavier.

Évidemment, le clavier est un peu cher, mais le confort qu’on a avec est vraiment excellent. J’ai pu voir des claviers gamers à plus de 150€, mais je les laisse aux personnes engagées professionnelement dans l’e-sport 🙂

Si vous pouvez essayer ce clavier sur un stand de démonstration, ne laissez pas passer l’occasion… Vous ne le regretterez pas !

Vieux Geek, épisode 258 : Ah, les Game & Watch de Nintendo…

J’ai connu les premières générations de jeu vidéo portables. Je ne parle pas de la mythique GameBoy – que je n’ai jamais eu – mais d’un autre projet développé par Nintendo, les « Game & Watch ». C’était des mini-consoles avec un seul jeu à deux variantes qui donnait aussi l’heure.

Le concept est né au Japon et est rapidement arrivé en Europe, vers 1981-1982. Je n’ai eu qu’une seule Game & Watch, celle avec « Popeye ». Je vous renvoie à cette vidéo sur Youtube pour vous donner un ordre d’idée de la console en question :

En 2020, Nintendo a sorti une console hommage à cet énorme succès des années 1980, mis à part que c’est Super Mario Bros et que c’est en couleur. Deus Ex Silicium a fait une excellente vidéo à laquelle je vous renvoie.

Mais revenons aux productions des années 1980. Je me souviens qu’elle coutaît dans les 80 francs dans les années 1983, ce qui ajusté avec l’inflation nous donne quelque chose comme 25 € en 2020. Loin des 50 ou 60€ de l’édition hommage sortie en 2020 🙂

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Message de services aux personnes ayant l’insulte facile.

Un minuscule billet pour montrer à quel point les insultes sont faciles. Je reçois en moyenne, un message d’insultes ou d’injures par semaine.

Durant des mois, les personnes voulant m’insulter passait par le réseau anonymisant TOR où on peut trouver en deux clics de souris tout ce qu’il y a de pire chez l’humain.

Maintenant, ça passe par des VPNs, histoire de changer un peu.

Voici donc la dernière prose, qui laisse penser qu’un professionnel de l’informatique – du moins c’est ce que ce message laisserait penser – vient de pondre dans mes commentaires. J’ai laissé l’IP et le faux mail non cachés. Pour une simple et bonne raison : les insultes et injures, il ne faut pas les censurer. Les montrer dans leur plus simple appareil.

Je vous laisse apprécier le côté fleuri des propos. Il y a quelques années, j’aurai fait une vidéo où ma colère se serait exprimée. Mais maintenant, je n’en vois plus l’intérêt. Je ne ferai pas don de ma colère à des individus incapables d’assumer leurs propos. En vieillissant, on devient plus modéré et on sait comment répondre à des tombereaux de merde.

Je n’ai jamais prétendu être un professionnel de l’informatique. Je laisse cela aux personnes qui ont suivi des cursus adaptés. J’ai toujours parlé d’informatique personnelle, la plus sale et la moins intéressante du point de vue du professionnel qui ne jurent que par des serveurs ou encore par du développement dans des langages parfois incompréhensibles.

Celle qui rapporte le moins d’argent et la plus sale car il faut s’adresser aux personnes « incultes en informatique », la lie pour certains professionnels du domaine.

Désormais, les injures, je les envoie ad patres sans autre forme de procès. J’ai juste voulu vous montrer ce que je reçois parfois. Un aperçu de la bêtise humaine qui est réellement infinie.

Allez, bon week-end, même à toi, l’insulteur professionnel qui dit que je suis un trou du cul.