Vieux geek, épisode 329 : Outlaws, un FPS à la sauce western.

Lucas Arts est connu pour ses jeux d’aventures de la série Monkey Island, mais aussi pour ses FPS se déroulant dans le monde de Star Wars (Dark Forces, Jedi Knight I et II). En 1997, le studio change son fusil d’épaule et nous propose un FPS à la sauce western.

C’est ainsi qu’Outlaws voit le jour. Basé sur un moteur qui n’a rien à envier au Build Engine de Duke Nukem 3D, on est plongé dans l’époque de la conquête de l’ouest. On joue le rôle d’un marshall à la retraite qui part venger sa famille assassinée. Bref, le scénario classique pour casser du méchant cow boy à tour de bras 😀

Il y a un point distinctif sur ce fps, c’est sa présentation en bande dessinée. Faut accrocher, mais je dois dire qu’en 1997 des FPS en 2.5D et les titres en 3D réelle jouait plus sur un réalisme croissant qu’autre chose.

C’est grace à PCem – dans lequel est émulé un MS-Windows 95 – que j’ai pu installer Outlaws et que j’ai pu enregistrer la vidéo ci-dessous.

Vous avez pu le voir, on est dans le monde du far west. Un bon point est la présence d’un mode histoire et d’un mode où on peut jouer des missions précises. Cela permet de varier le plaisir. Mais je dois dire qu’en 1997 je n’avais pas accroché. Et 25 ans plus tard, c’est toujours le cas. Mais c’est un FPS qui a marqué son temps, il aurait été dommage de l’oublier.

Vieux geek, épisode 328 : « Turok : Dinosaure hunter », un des premier FPS de la Nintendo 64.

Si je vous dis Nintendo, vous allez me répondre Mario, Luigi, Peach, bref tout l’univers du plombier moustachu qui a permis au jeu vidéo de reprendre des forces après la crise de 1983-1984.

Le monde de Nintendo n’est pas trop orienté FPS, même si le mythique GoldenEye 007 est paru pour la Nintendo 64 en août 1997. Cependant, ce n’était pas le coup d’essai de la console dans le domaine des FPS, car en janvier 1997, « Turok : Dinosaure hunter » était publié sur Nintendo 64 et PC.

On joue le rôle d’un amérindien, Turok, un guerrier aussi voyageur dans le temps. Dans le jeu, on doit traverser 8 niveaux dans le but de se débarrasser du Campaigner qui est venu mettre le bazar.

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Vieux Geek, épisode 287 : HacX, la conversion totale pour Doom 2 sortie en 1997 !

Dans le monde des FPS, il y a une catégorie intéressante, ce qu’on appelle les « TC » pour Total Conversion, une espèce de modification complète au niveau graphisme, cartes et ambiance sonore.

Évidemment, c’est mieux de sortir une conversion totale tant que le moteur d’origine n’est pas obsolète. Ce n’est malheureusement pas le cas du projet HacX. Développé par Banjo Software, cette conversion totale pour Doom 2 (jeu de 1994) est sortie en 1997, deux mois avant que Quake II ne soit publié.

Autant dire qu’il a subi le même sort que Strife, en pire. Si Strife est sorti peu après Duke Nukem 3D, la claque liée à l’obsolescence était moindre. Mais en 1997, Duke Nukem 3D et Quake premier du nom avait été publiés.

Pour installer HacX, il faut obligatoirement avoir Doom 2. En effet, la conversion totale s’installe sur une version complète de Doom 2. La conversion tenait soit sur un CD, soit sur neuf disquettes.

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Les années 1990, la décennie qui a vu naître et se développer les FPS.

Dans un article de fin juin 2021, j’évoquais « La rétro-informatique ludique : le grand écart facial technique des micro-ordinateurs des années 1980. »

En 1990, le haut de gamme ludique, c’est le trio Atari ST, Amiga et compatibles PC. La mort de Commodore en 1994 avec un article repris par le site Obligement du magazine Joystick en 1994 marque la fin de l’époque des ordinateurs 16 bits au profit du quatuor compatibles PC, la PS1 de Sony, la SNES de Nintendo et la Megadrive de Sega.

À la fin des années 1990, le marché ludique c’est principalement : compatibles PC, la GameCube de Ninendo, la DreamCast de Sega, la première Xbox de Microsoft et la mythique PS2 de Sony.

Sur le plan des jeux, les années 1990 vont voir naître ce qui est considéré comme un genre majeur de nos jours, le FPS (first person shooter).

En effet, si on regarde au niveau des années, il y a plusieurs jeux qui ont marqué le genre durant les années 1990. Chaque année, un titre ou deux ont repoussé les limites sur le plan graphique et sonore. Je vais rester dans les succès du genre, ce sera plus simple.

Oui, je sais, il en manque beaucoup, mais la liste précédente est déjà bien chargée : Blake Stone, Dark Forces, Dark Forces 2 : Jedi Knight, Chasm : The Rift, Shadow Warrior, Redneck Rampage, Hexen II, Heretic, Strife et combien d’autres ?

Je pense qu’on pourrait largement en rajouter une dizaine tant les années 1990-1999 ont été celles qui ont vu naître et exploser le genre FPS. J’ai évoqué la plupart d’entre eux sur le blog, la fonction de recherche sera votre amie.

Je dois dire que le FPS le plus récent auquel j’ai joué sur mon propre ordinateur, c’est « Quake 4 » sorti en 2005, même si j’ai pu apprécier et tâter un petit peu la version 2016 de Doom chez un ami.

Replongez-vous donc par curiosité dans ces vieux FPS où le plus important n’était pas le réalisme, mais la jouabilité et la volonté de casser du monstre après une longue journée bien éprouvante nerveusement.

C’est vrai que ça piquera les yeux et les oreilles, mais vous verrez à quel point l’écart technique est grand entre Hovertank (1990) et Unreal Tournament (1999). Seulement 9 ans, mais sur le plan technique c’est incroyable… Un peu à l’image de la décennie des années 1980 pour les ordinateurs personnels.

Vieux Geek, épisode 276 : H.U.R.L ou comment rater complètement un FPS pour enfants.

S’il y a un domaine qui a connu de sévères étrons logiciels – en dehors des distributions GNU/Linux bien entendu – c’est celui des FPS.

En mai 2017, je parlais de l’infâme « Depth Dwellers ». En juin 2020, c’était au tour de l’infâme « Terminator Rampage ». Bien que le genre FPS fut à destination d’un public d’adolescents ou de jeunes adultes au minimum, cela n’empêcha pas l’arrivée de l’excellent « Chex Quest » en 1996 dont j’ai parlé en juillet 2016.

Un an plus tôt, un autre titre plus inspiré Wolf3D dans l’apparence générale sortait de la part d’un studio qui ne fit plus parler de lui par la suite, « Deep River Publishing ». Le nom de l’étron en question ? H.U.R.L.

Dans ce jeu, le but est simple : nettoyer les niveaux après que Bob the Slob ait laissé traîner des ordures partout. Le jeu est simple. On récupère les ordures qui nous donne de l’argent, puis on échange cette argent contre des bombes à eau, savons et autres déodorants que l’on balance sur les ennemis pour les immobiliser.

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Vieux Geek, épisode 270 : Marathon, le Doom d’Apple.

Quand Doom est sorti en 1993, il a mis une claque au jeu en vue subjective. Déjà que son père spirituel, Wolfenstein 3D avait fait son effet, on est dans une claque monstrueuse.

Dans le monde Apple, à l’époque sous le système 7.1.1, le choc est grand. Le jeu d’id Software ne sera jamais porté dans le monde de la pomme.

Mais cela n’empêche pas un studio de développement, Bungie Software qui développera plus tard la saga Halo, de proposer un FPS, « Marathon », qui sort fin 1994.

Uniquement sorti sur Apple à l’époque, on y joue le rôle d’un officier de sécurité à bord du vaisseau colonial « Marathon ». Celui-ci est attaqué par une race extra-terrestre, les Pfhor. Contrairement à Doom qui est plus nerveux et qui se résume à finir chaque niveau puis épisode en un seul morceau, Marathon propose une expérience plus interactive avec des ordinateurs de bords qui servent d’informateurs.

Il y a deux suites qui sortent, « Marathon 2 : Durandal » et « Marathon : Infinity » respectivement en 1995 et 1996. Seul « Marathon 2 : Durandal » sort sur PC.

En 2000, juste avant que Bungie ne soit racheté par Microsoft, le code source de « Marathon 2 » est libéré. C’est ainsi que nait le projet du nom d’Aleph One qui permet de jouer la trilogie officielle de Bungie sur d’autres plateformes que le Mac.

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Vieux Geek, épisode 257 : Doom press release beta, une étape importante du premier Doom.

En novembre 1992, id Software commença à travailler sur le successeur de Wolfenstein 3D. John Carmack veut pousser le réalisme plus loin. Tom Hall travailla sur le document connu sous le pseudo de Doom Bible et id commence à laisser courir le bruit qu’un jeu développé par eux va rendre Wolfenstein3D obsolète. L’annonce est faite dès janvier 1993. J’ai pu retrouver une page avec l’annonce officielle annonçant le jeu à l’origine pour le troisième trimestre de 1993.

Les mois passent, et après plusieurs versions alpha destinées aux testeurs du jeu, id Software envoie à la presse vidéoludique une bêta non sonorisée du jeu, avec des versions quasi-finales de trois niveaux : la demo map 1 alias E1M2, « Nuclear Plant », la demo map 2 alias E3M5, « Unholy Cathedral » et la demo map 3 alias E2M2, « Containment Aera ». Nous sommes le 4 octobre 1993 et le jeu doit sortir le 31 octobre, soit 27 jours plus tard.

Bien que la bêta dédiée à la presse ait une date limite de fonctionnement, celle du 31 octobre 1993, on peut récupérer cette préversion avec un outil appellé fakedate qui trompe le moteur du jeu.

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Vieux Geek, épisode 249 : Doom 1.25, une version spéciale Sybex.

En 1994, Doom premier du nom était à peine sorti que l’équipe d’id Software travaillait d’arrache-pied pour créer Doom 2. Cependant, certains éditeurs avaient bien compris que ce titre avait révolutionné le monde du jeu vidéo et Sybex demanda à Jonathan Mendoza de prendre contact avec l’équipe d’id Software pour écrire un livre consacré à Doom premier du nom, listant tous les secrets disponibles et en mettant au point des stratégies de survie pour chaque niveau.

Le livre est sorti en mars 1994 sous le nom de « The Official DOOM Survivor’s Strategies & Secrets » traduit en français par « Doom Stratégies et secrets ». Il était fourni avec deux disquettes, celle de la version 1.25 du titre phare d’id Software.

J’ai possédé à cette époque ce livre que j’ai depuis longtemps perdu et qui est désormais limite introuvable, spécialement sur eBay où il est effroyablement cher. Non, je ne dépenserai pas une petite fortune pour ce bouquin. Être nostalgique ne veut pas dire être un portemonnaie ambulant !

J’ai pu dénicher un pdf de la version anglaise et j’ai apprécié un passage du livre qui parlait de la violence dans les jeux vidéos. La tuerie de Columbine par Eric Harris et Dylan Klebold, deux fans de Doom, n’aura lieu qu’en 1999. Je ne résiste pas au plaisir de vous copier la version originale puis sa traduction par la suite.

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25 ans déjà… Quand les jeux vous donnent un coup de vieux…

Avant toute chose, pour les personnes qui liront ce billet durant le mois de janvier 2021, tous mes voeux.

Je me suis posé la question en jettant un oeil à des vidéos sur les jeux pour MS-DOS sortis entre 1981 et 1997. Quand l’année 1996 est arrivée, je me suis pris plusieurs coups de vieux.

Puis je me suis dit : il faut que j’en fasse profiter les personnes qui me suivent depuis parfois plusieurs années sur le blog. Je me contenterai du monde PC que je pratique depuis l’année 1995.

Voici donc les titres qui m’ont marqué en 1996 par ordre chronologique de publication. C’est bien entendu une liste qui sera tout sauf complète :

Janvier : Duke Nukem 3D. Oui, le seul, l’unique. Il poussa les doom-like dans leurs derniers retranchements. J’en ai parlé en février 2018 via LameDuke qui était une version de Duke Nukem 3D un an avant sa sortie… Et dire qu’on devra attendre 15 ans pour voir arriver Duke Nukem 4 Ever…

Février : Civilisation II. Je l’avais acheté à l’époque, et c’était le premier à tourner sous MS-Windows. Faudra que j’en parle un jour 🙂

Mai : Strife, mélange de fps et de jeu de rôles dont j’ai parlé en juillet 2017

Juin-juillet : Quake, premier du nom. Celui qui proposera un Doom-like réellement en 3D et finira par ringardiser les FPS à base de sprites, même si d’excellents Duke-like comme Blood ou Shadow Warrior sortiront en 1997.

Septembre : Death Rally, un jeu de voiture en vue du dessus complètement déjanté, où on peut devenir le temps d’une course Duke Nukem. Il faudra que j’en parle un jour sur le blog 🙂

Octobre : Tomb Raider, premier du nom. Le début des aventures de Lara Croft. Ou comment une pilleuse de tombe est devenue une des icones du jeu vidéo de la fin des années 1990.

Octobre / Novembre : Command & Conquer, Alerte Rouge. Je n’avais pas accroché à l’époque, mais après avoir été initié au RTS par Planet X3, sait-on jamais ? 😉

Decembre : Diablo, premier du nom. Même si le développement a été terminé en 1996, le jeu est officiellement sorti en 1997. J’en ai parlé en octobre 2019.

Pour les jeux dont je n’ai pas retrouvé la date de sortie exacte :

Évidemment, certaines personnes rajouteront d’autres titres, mais j’ai surtout parlé des jeux qui m’ont marqué et dont certains sont encore joués en 2021.

Et vous, quels sont les titres de 1996 – ou saga né en 1996 – auquel vous jouez encore ?

Vieux Geek, épisode 244 : Hexen II, fin de la trilogie de Raven Software.

Note préliminaire : je comptais publier cet article le 2 janvier 2021, mais je me suis dit que ce serait un bon billet pour finir 2020 en beauté. Donc acte !


Nous sommes en 1997. Quake est sorti l’année précédente quand Raven Software annonce puis sort Hexen II, l’ultime volet de sa trilogie entamée par Heretic et continuée par Hexen.

Après avoir combattu D’Sparil dans Heretic et Korax dans Hexen, nous allons affronter le dernier des trois chevaucheurs de serpent, Eidolon.

Sur le plan technique, on a droit à une version améliorée du moteur de Quake (on peut s’accroupir), il y a des lumières colorées. Mais surtout, on a droit à un jeu de rôle mélangé à du FPS de haut vol. Ici, on a quatre mondes à visiter : un médiéval, un méso-américain, un égyptien antique et un dernier inspiré par l’empire romain.

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Vieux Geek, épisode 239 : les FPS nuls basés sur le Build Engine, deuxième partie.

Voici donc la suite de l’épisode 238. Si Witchaven était mauvais, on pouvait trouver pire en utilisant la célébrité d’un acteur pour essayer de vendre le produit. J’ai nommé Tekwar, de son nom complet William Shatner’s Tekwar. Oui, l’acteur qui a joué le rôle du capitaine Kirk dans la série originale de Star Trek (1966-1969).

Sorti à la même époque que Witchaven encore une fois par le studio Capstone Software, il se base sur l’univers de Tekwar soi-disant écrit par William Shatner mais en réalité par Ron Goulart. J’avoue ne pas connaitre l’univers, donc je ne m’y pencherai pas plus.

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Vieux Geek, épisode 238 : les FPS nuls basés sur le Build Engine, première partie.

C’est un épisode divisé en deux que j’ai envie de faire ici. Si on parle du Build Engine, on pense tout de suite à des titres comme Duke Nukem 3D (janvier 1996), Blood (mai/juin 1997), Shadow Warrior (mars 1997) ou encore Redneck Rampage (avril 1997).

Les quatre titres en question se base sur une version finalisé du moteur de rendu, le Build Engine. Et ce sont des titres qui sont d’un bon niveau, même si j’ai rapidement apprécié les jeux vraiment 3D avec l’arrivée du premier Quake en 1996.

Cependant, il y a d’autres titres qui ont utilisés des versions préliminaires du moteur de rendu et qui sont graphiquement, ergonomiquement, et en terme de jouabilité des ratages complets.

Je vais donc parler de deux titres, sorti par le même développeur, Capstone Software. On va y aller par ordre chronologique de sortie en commençant par Witchaven.

Il est sorti en septembre 1995, et c’est un FPS un peu spécial. Car il reprend des éléments de jeu de roles et surtout tous les combats se font au corps à corps. Ce qui est un peu déroutant, même si l’excellent Hexen, publié en octore 1995 utilise les mêmes principes, sauf que lui, il a de la gueule ! J’en ai rapidement parlé dans l’épisode 16 de la série vieux geek.

On a droit à un scénario assez classique. On joue le role de Grondoval, un chevalier choisi par son maître, Lord Verkapheron d’aller détruire la menace du diabolique Illwhyrin, dans son antre, le royaume de Witchaven.

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Vieux Geek, épisode 212 : Nitemare-3D, énième Wolf3d-like, ni le meilleur, ni le pire !

Dès qu’un jeu vidéo connait le succès, les clones arrivent et se multiplient comme des bactéries dans un bouillon de culture. Cela a été le cas avec Wolfenstein3D sorti en 1992.

On a eu droit à de bonnes surprises, comme Blake Stone et Corridor 7 ou encore Ken’s Labyrinth, mais aussi de sombres merdes comme Terminator The Rampage.

En 1994, pour suivre la mode, David P. Gray, plus connu pour sa série de jeux d’aventures « Hugo » se lance à son tour et propose son clone de Wolfenstein 3D. Ici, pas de méchants nazis à combattre. On est juste propulsé dans le monde d’Hugo qui doit sauver sa petite amie Pénélope des griffes d’un docteur du nom de Hammerstein.

On est plus dans le registre des films d’horreur. Au lieu d’avoir une action constante, on est plus dans la – mauvaise – surprise et dans les puzzles.

Cependant, on se perd très facilement, et les adversaires font très mal, même au niveau de difficulté le plus bas.

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Vieux Geek, épisode 208 : Terminator The Rampage, le pire Wolf3D-like jamais sorti ?

Les franchises à succès sont souvent déclinées en jeu vidéo : que ce soit Star Wars, Star Trek, Marvel, les titres sortent avec une régularité d’horloge helvétique, et ce, depuis le début de l’ère vidéo-ludique.

Dans la franchise Terminator, il y a eu de très bons jeux, comme Terminator 2 pour Amiga.

Mais aussi de sombres daubes – et c’est méchant pour cet excellent plat de la gastronomie française – comme le titre Terminator The Rampage sorti en novembre 1993 par Bethesda Softworks. Soit quelques jours avant la sortie d’un certain… Doom, le 10 décembre 1993.

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