Que sont devenues les distributions de 2017, 5 ans après, partie 3 : Septembre et octobre 2017.

Début juillet 2022, je continuais le bilan des billets consacrés aux distributions GNU/Linux au bout de 5 ans. Voyons maintenant le bilan de septembre et d’octobre 2017.

4 septembre : La Redcore Linux

Pour le mois d’octobre ?

Quel bilan au final ? Un projet renommé, Archmerge étant devenue ArcoLinux. Le reste est aussi en vie, ce qui fait un bon bilan pour les mois de septembre et d’octobre 2017. Rendez-vous début novembre pour l’ultime billet de cette série.

En vrac’ de milieu de semaine…

Minuscule en vrac’ en ce premier mercredi d’août 2022..

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Prenez une dose de metal progressif, une de post-metal, une dose de stoner, secouez le tout longuement. Vous obtiendrez le premier album « LP01 » des parisiens de Homecoming.

Sur ce, bonne fin de semaine !

Que sont devenues les distributions GNU/Linux de 2016, dixième épisode, novembre 2016.

Après un mois d’octobre dans la bonne moyenne, quel va être le bilan de novembre 2016 ?

Bilan : six projets, tous en vie même si OBRevengeOS est désormais devenu le Zen Installer, dont la dernière mise à jour remonte à mai 2020.. Un des rares mois sans la moindre casse.

En vrac de milieu de semaine…

Un très court billet, pour ce dernier mercredi de septembre 2021.

Côté informatique :

Côté culture :

Voici le clip officiel du nouvel extrait de l’album « Embryo » d’Altesia qui sort le 16 octobre 2021.

Miam 🙂

Bonne fin de semaine 🙂

En vrac de milieu de semaine…

Un court billet, en ce dernier jour du mois de juin, entre deux averses…

Côté informatique :

Côté culture :

Bonne fin de semaine 🙂

En vrac de milieu de semaine…

Un court billet pour se relancer en ce doux mois de septembre. Mais on va y aller doucement, faut pas se brusquer non plus !

Côté informatique :

Côté culture :

C’est tout pour aujourd’hui.

Bonne fin de journée 🙂

N’ayons pas peur des mots : il faut une rationalisation des distributions GNU/Linux « bureautiques ».

Je parle de celles qui ont pour cible « monsieur et madame tout le monde. »

Je sais déjà que certaines personnes vont jouer les « vierges effarouchées » en psalmodiant : « il faut du choix, il faut de la liberté ». À ces personnes je répondrai deux choses :

  1. « Trop de choix tue le choix », cf cette conférence de Barry Schwartz sur le paradoxe du choix.
  2. « Ô liberté, que de crimes on commet en ton nom ! », citation attribuée à Manon Roland le jour de son exécution, le 8 novembre 1793 ou 18 brumaire an II.

Si on voulait arrêter la masturbation intellectuelle à chaque nouvelle publication d’un projet à destination bureautique, et rationaliser tout cela en ne prenant au maximum que 4 à 5 distributions GNU/Linux par famille ?

Cela donnerait quelque chose de ce style, par ordre alphabétique, en dehors de la distribution mère qui définit la famille en question :

Pour la famille Archlinux :

  1. Manjaro
  2. EndeavourOS
  3. Anarchy Linux en cas de défaillance de la EndeavourOS

Pour la famille Debian :

  1. Ubuntu et ses saveurs officielles : Kubuntu, Xubuntu, Lubuntu, Ubuntu Mate pour ne citer que les principales.
  2. Linux Mint
  3. Emmabuntüs DE (pour les vieilles machines)
  4. Q4os (pour les vieilles machines)

Est-ce que les Gentoo et distributions à base de code source peuvent être appliquées aux particuliers ? Idem pour la famille des Slackware ?

Pour la famille des RedHat :

  1. Fedora
  2. OpenSuSE

Oui, cela ne fait pas grand chose. En comptant les saveurs officielles d’Ubuntu, on arrive à quoi ? Une vingtaine de distributions ?

Je ne pense pas avoir oublié de distributions incontournables dans cette liste et qui apporte des fonctionnalités que leur disparition changerait la face de ce petit monde qu’est celui des distributions GNU/Linux.

Les premières distributions GNU/Linux remontent à 1992. Qu’est-ce qui n’a pas été inventé en presque 30 ans qui pourrait l’être ?

Je n’ai pas parlé des distributions 100% libres, car il n’y en a quasiment aucune qui tienne réellement le choc dans la réalité sans jongler au niveau du matériel à acheter.

Je sais que ces propos ne vont pas plaire, et je m’attends dans les commentaires à des réponses du genre : « oui, mais tu as oublié telle distribution » ou encore du « tu es un anti-insérez la distribution- primaire. »

Non, j’ai juste utilisé des distributions GNU/Linux depuis 1996 et au quotidien depuis 2006. C’est tout 🙂

En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac…

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Bon week-end 🙂

Q4OS 2.4 « Scorpion » : attention au dard du scorpion ?

Q4OS est une distribution GNU/Linux basée sur la Debian GNU/Linux avec comme environnement principal la continuation de KDE 3.5, j’ai nommé Trinity Desktop Environment.

La dernière fois que j’ai parlé de cette distribution un brin atypique, c’était à l’époque de sa version 1.8.1 en novembre 2016. Je concluais l’article ainsi :

Il est vrai qu’il est intéressant de voir des outils comme LibreOffice 5.x dans une interface qui a été celle de KDE entre 2002 et 2008. Mais si vous cherchez une distribution légère, rapide et conçue comme telle, elle restera toujours un choix à envisager. Avec DFLinux ou encore la MX-16.

En ce début octobre 2017, la version 2.4 de la distribution GNU/Linux a été annoncée. Contrairement à sa branche 1.x, la branche 2.x est basée sur la Debian GNU/Linux Stretch avec Trinity 14.0.5 comme interface par défaut, même si des options comme KDE5, Xfce, Lxde, LXQt et Cinnamon sont annoncées. J’ai donc récupéré via wget l’immense image ISO, un peu plus de 600 Mo. Par défaut, le projet vous demande de donner un petit quelque chose pour le soutenir, mais on peut clairement sauter l’étape sans prise de tête.

fred@fredo-arch ~/Téléchargements/ISO à tester % wget -c https://netix.dl.sourceforge.net/project/q4os/stable/q4os-2.4-x64.r1.iso
–2017-10-10 14:51:42– https://netix.dl.sourceforge.net/project/q4os/stable/q4os-2.4-x64.r1.iso
Certificat de l’autorité de certification « /etc/ssl/certs/ca-certificates.crt » chargé
Résolution de netix.dl.sourceforge.net… 87.121.121.2
Connexion à netix.dl.sourceforge.net|87.121.121.2|:443… connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse… 200 OK
Taille : 635437056 (606M) [application/octet-stream]
Sauvegarde en : « q4os-2.4-x64.r1.iso »

q4os-2.4-x64.r1.iso 100%[===================>] 606,00M 3,37MB/s ds 5m 3s

2017-10-10 14:56:46 (2,00 MB/s) — « q4os-2.4-x64.r1.iso » sauvegardé [635437056/635437056]

Continuer la lecture de « Q4OS 2.4 « Scorpion » : attention au dard du scorpion ? »

Que devient la distribution GNU/Linux Q4OS ?

Il y a un an et demi, en avril 2015, je parlais de cette distribution basée sur la Debian GNU/Linux Jessie avec le « fork » de KDE 3.5.x, Trinity Desktop Environment. Début novembre 2016, la version 14.0.4 du Trinity Desktop Environment étant sortie, pour prendre en charge par exemple CUPS 2.2, gstreamer 1.x ou encore gcc 6.x et ffmpeg3, l’équipe de Q4OS en a profité pour proposer des nouvelles images ISO live et d’installation.

Petite parenthèse en passant : cet article aurait très bien pu faire partie de la série « Les projets un peu fous du logiciel libre », ne serait-ce que pour l’utilisation de Trinity Desktop Environment. Mais passons 😀

J’ai donc récupéré l’énorme image ISO d’installation… Un peu moins de 300 Mo…

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://netix.dl.sourceforge.net/project/q4os/stable/q4os-1.8.1-x64.iso
–2016-11-11 13:24:07– http://netix.dl.sourceforge.net/project/q4os/stable/q4os-1.8.1-x64.iso
Résolution de netix.dl.sourceforge.net (netix.dl.sourceforge.net)… 87.121.121.2
Connexion à netix.dl.sourceforge.net (netix.dl.sourceforge.net)|87.121.121.2|:80… connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse… 200 OK
Taille : 294649856 (281M) [application/octet-stream]
Sauvegarde en : « q4os-1.8.1-x64.iso »

q4os-1.8.1-x64.iso 100%[===================>] 281,00M 981KB/s in 5m 20s

2016-11-11 13:29:28 (898 KB/s) — « q4os-1.8.1-x64.iso » sauvegardé [294649856/294649856]

Mon ami VirtualBox a été mis à contribution, avec les caractéristiques habituelles : 2 Go de mémoire vive, 128 Go de disque virtuels, et 2 CPUs.

Comme pour l’article précédent, l’installateur est en mode texte, que l’on peut passer dans la langue de Molière. La version live propose un installateur, mais je ne suis pas fan de ce dernier.

Continuer la lecture de « Que devient la distribution GNU/Linux Q4OS ? »