Quand l’écologie « de comptoir » se met à mentir en informatique, c’est pas triste.

Par écologie « de comptoir », je parle de l’écologie punitive et donc de l’écologie dite politique qui est représenté par des mouvements comme EELV par exemple. Leur politique punitive envers les classes les plus pauvres qui fait que bientôt des millions de personnes n’ayant pas les moyens de conduire autre chose qu’une voiture diesel vieille de moins de 15 ans seront exclues des métropoles. Quels salauds les pauvres !

Mais ce n’est pas de cette politique anti-pauvre que je veux évoquer ici. C’est un article outrageusement biaisé paru sur ZDNet qui critique le coût écologique de l’arrivée de MS-Windows 11. Selon cet article à charge et partiellement biaisé on apprend qu’une part non négligeables des ordinateurs type PC produits avant 2017 ne seront pas éligibles à MS-Windows 11 pour cause de pré-requis systèmes, dont la puce TPM.

Je cite :

[…]
Avec Windows 11, GreenSI a donc l’impression que Microsoft vient de décider de mettre au rebut une partie des PCs sortis avant 2017 – qui n’ont pas de puce TPM 2.0 avec l’un des processeurs acceptés par Microsoft.
[…]

Cela est techniquement vrai. Mais est-ce que pour autant MS-Windows 10 va être abandonné du jour au lendemain, laissant des dizaines de millions d’utilisateurs dans la mouise ?

On peut lire par la suite :

[…]
Si la durée de vie réelle d’un PC est de 6-7 ans, fin 2020 on peut estimer, a grosses mailles, l’impact à 40% (3/7) des 1,2 milliard de PC concernés soit 480 millions. Tous ne seront pas remplacés et resteront sous une ancienne version non maintenue ou passeront en open source. Mais si cela force 30% d’entre eux à être remplacés avant l’heure, c’est 144 millions de PC que l’on va produire pour rien, soit 22 mégatonnes de CO2 en plus. C’est à peu près l’émission de tout le transport aérien français en 2019 évalué par la DGAC.
[…]

Et si on parlait du coût en carbone de la production des smartphones ? Des services de vidéos en flux à la Netflix ? D’audio en flux à la Spotify ? Je pense que l’on serait facilement dans les mêmes ordres de de grandeur.

Surtout, l’article ment par omission. Il oublie -involontairement ? – de préciser que la fin de vie technique de Microsoft Windows 10 (dont la première version date de juillet 2015) est… octobre 2025 ! Dixit Microsoft qui doit savoir de quoi elle parle. Mieux que les propagandistes de toutes obédiences !

C’est via un article de The Verge de juin 2021 que j’ai pu trouver l’information en question.

Donc, l’article publié sur ZDNet est tronqué. Une machine incompatible avec MS-Windows 11 continuera de fonctionner avec MS-Windows 10 jusqu’en 2025. Il est dommage qu’un site aussi sérieux que ZDNet laisse passer de tels billets qui omettent des informations qui mettent en perspective le contenu. Mais peut-on en demander plus de l’écologie « de comptoir » ? Non.

Quand Microsoft se casse violemment les dents pour promouvoir le dernier Internet Explorer…

Microsoft nous la joue encore une fois « Get The Facts », mais se casse violemment les dents. Sur le site Your Browser Matters, Microsoft montre que son navigateur est le meilleur dans le domaine de la sécurité… En faisant simplement du browser-sniffing !

En effet, ma version de développement de Mozilla Firefox (une pré-alpha 10) est reconnu comme étant Internet Explorer 9. Comment ai-je fait ce « miracle » ? J’ai juste installé l’extension User Agent RG,  et j’ai demandé à ce que mon navigateur soit reconnu comme étant Internet Explorer 9.

L'extension magique !

On modifie le nom du navigateur.

Les résultats en images, qui prouvent la non-fiabilité totale de ce site.

Score parfait...ement truqué ;)

IE9 ou Mozilla Firefox 10.0 pré alpha ?

Combien de temps avant un rétropédalage en quatrième vitesse de l’entreprise de Redmond ?

En vrac’ rapide en petite tenue…

Car il fait bien 28°C dans l’appartement, rideaux baissés… Je hais le mois d’août !

C’est tout pour aujourd’hui… Je retourne chercher la fraicheur !

Le mensonge est-il dans le génome de l’industrie nucléaire ?

Depuis l’accident nucléaire au Japon (qui est peu ou prou identique à celui de Tchernobyl coté gravité) de la centrale de Fukushima Daiishi, les mensonges de Tepco, l’exploitant de la centrale en question ne cesse de se compléter.

Souvenez-vous, c’était il y a 25 ans… Et tout cela pour éviter de jeter des tonnes de nourritures contaminées…

Ou encore l’exercice de style du professeur Pellerin :

Une petite envie de pousser une gueulante…

J’ai envie de copier le mètre étalon dans ce domaine, Seb Sauvage. Du moins, lui rendre hommage, de manière bien humble.

Ah, la vache, ça fait du bien !

L’industrie musicale malade du « piratage » ou de son manque d’innovation ?

Les moines copistes de phonographes… euh, les industries de vente de disques aussi appellées majors du disque nous sortent chaque année des yeux remplis de larmes la même rengaine : le piratage copie illicite des musiques entrainent la mort lente de l’industrie musicale, ou il serait déjà plus honnête intellectuellement d’employer le terme d’industrie du disque.

C’est ainsi depuis des années qu’avec des ministres de la culture successifs, les lois DADVSI, et les deux Hadopi ont été votées, même si techniquement, ce sont des lois mortes nées.

Il est tellement facile d’accuser des vilains internautes de copier pour le plaisir de copier des albums entiers, et déclarer – sans la moindre preuve scientifiquement affermie – qu’un morceau téléchargé serait un morceau perdu au niveau de la vente.

L’industrie du disque fait penser à la tirade du poumon du Malade Imaginaire de Jean-Baptiste Poquelin :

Continuer la lecture de « L’industrie musicale malade du « piratage » ou de son manque d’innovation ? »

Et si les vrais ennemis de la musique, c’était les maisons de distribution de disque et les majors ?

En ces temps de lois inutiles, couteuses et usine à gaz comme DADVSI ou sa petite soeur, promue par Vivendi Universal, Sony Music, EMI et les autres maisons de disques plus ou moins importantes, à savoir HADOPI, la question vaut la peine d’être posée.

En mettant en place une présomption de culpabilité et un corollaire « faux cul » qu’est la négligence caractérisée de non sécurisation de son accès internet, les majors ont montré à quel point elles sont à cran et sont en train de prendre conscience que leur durée de vie est désormais bien limitée, et telles que les dinosaures qu’elles sont, le météorite qui les fera disparaître s’appelle… dématérialisation de la musique.

Jusqu’à preuve du contraire, la musique n’a été matérialisée que tard dans l’histoire, à la fin du 19ième siècle… Bien entendu, il existait une forme de matérialisation, celle des partitions musicales. Mais rien d’industriel, comme cela sera le cas avec l’arrivée des moyens d’enregistrements, comme les rouleaux de cires, les vyniles. Puis plus récemment, les cassettes stéréos et les baladeurs numériques que nous utilisont actuellement.

Car l’industrie du disque est essentiellement une industrie de vente de copies d’enregistrements. Car quand on achète un disque dans le commerce, tant qu’il est lisible (cf le CD illisible « X&Y » de Coldplay), on achète juste le droit d’écouter ce qui est contenu sur la galette. Rien d’autres.

Industrie connue aussi pour ses contrats léonins, qui laminent les artistes, ne leur laissant que quelques miettes. L’exemple le plus flagrant, c’est celui de « La Poule », qui montre que les maisons de disques ne sont là que pour une chose : presser les citrons et les jeter quand ils sont vides… Des voyous, on vous dit…

Si de plus en plus d’artistes se passent de maisons, ce n’est pas pour rien. Quand Trent Reznor a voulu enregistrer son deuxième album, il l’a fait en cachette, ne voulant pas que sa maison de disque, TVT, ne prennent la direction du groupe fondé par Trent Reznor, NiN.

En effet, Trent Reznor n’aime pas se faire marcher sur les pieds, ni dicter sa conduite. D’ailleurs, pour l’album qui suivit, un certain « The Downward Spiral », Trent Reznor monta sa propre maison de disque, pour être sur de maintenir le contrôle sur ses créations.

La brouille entrainée par Broken a par la suite eu des conséquences. Une double vidéo, VHS, « Closure », jamais sortie officiellement en dehors des Etats-Unis et qui reprend aussi bien un documentaire déjanté sur le « Self Destruct Tour » que des clips en version non censurées (pour ceux qui connaissent, je conseille « Happiness in Slavery » avec Bob Flanagan, devait sortir en double DVD aux alentours de 2006. Cependant, à cause d’ennuis juridiques, le coffret ne sortit jamais.

Trent Reznor décida de frapper un grand coup, et proposa via un célèbre site de partage de fichiers les versions de travail les plus aboutis à sa disposition… D’ailleurs, près de quatre ans plus tard, on peut toujours récupérer le double DVD, si on sait bien cherché !

Les maisons de disques, dans le but de contrôler l’internet pour ne pas voir disparaître leur modèle économique moribond, font tout et n’importe quoi.

Et tant pis si cela emmerde l’utilisateur honnête. Il est désormais trop tard pour revenir en arrière. La seule offre légale d’achat en ligne qui tienne le choc ? Itunes d’Apple, même si l’un des plus célèbres groupe de pop anglaise n’est toujours pas disponibles sur iTunes…

Non, le plus important est de dire qu’internet, c’est le mal, que les personnes qui récupèrent de la musique commerciale sur les réseaux d’échanges sont des voleurs, même si le vol ne concerne que des biens matériels si on se sert un peu de sa masse cérébrale fonctionnelle.

Ne pas se remettre en cause, c’est se condamner à disparaître. La musique existait avant les marchands de copie sur cire ou plastique. Elle existera après.

La musique est-elle en crise coté vraie nouveauté et création ?

Derrière cette phrase volontairement provocatrice, il faut préciser que je suis né en 1974 vers la fin d’une époque bénie pour la musique. Il faut l’admettre, après la période flower-power, la musique anglophone a été une source de mouvements musicaux et de groupes dont certains existent encore de nos jours.

Petit listing qui est tout sauf exhaustif :

  • Deep Purple de l’époque Mark II : « In Rock » (Child in Time, Speed King), « Fireball » (The Mule), « Machine Head » (Smoke on the Water, Lazy, Highway Star ou encore « Maybe I’m a Leo »)
  • Led Zeppelin : Album I à IV (Communication Breakdown, Whole Lotta Love, Moby Dick, Immigrant Song, Gallows Pole, Starway to Heaven, Black Dog entre autres), et Houses of the Holy (The Song Remains The Same, The Rain Song, No Quarter)
  • Barclay James Harvest avec le sublime « Everyone Is Everybody Else »
  • Pink Floyd : Atom Hear Mother, Dark Side of The Moon (avec le trop connu Money), Wish You Were Here
  • Lou Reed : Transformer, Berlin et aussi Coney Island Baby

Cette période bénie a pris fin avec l’arrivée du mouvement punk en pleine lumière. Depuis, la musique est devenue tellement commerciale qu’il n’y a rien eu de vraiment très intéressant ou d’aussi transcendant que les productions des Deep Purple, Pink Floyd, Barclay James Harvest, Jethro Tull, Genesis (époque de Peter Gabriel), Led Zeppelin, ZZ Top (jusqu’à l’album Eliminator) ?

Je pense que c’est un manque d’un grand foisonnement de ce style qui peut expliquer en partie la baisse de la vente de la musique matérialisée au début des années 2000. Au lieu d’accuser les vilains internautes qui téléchargent illégalement de la musique de tous les maux de l’industrie musicale, il serait peut-être temps qu’une nouvelle période comme celle de 1969-1977 arrive sur la scène musicale.

C’est mon avis, et je le partage 😉

Une sortie d’hibernation pour mieux y retourner.

C’est en écoutant l’album éponyme de Porthishead que je redige ce billet. Je sais que j’avais promis de ne plus rien poster jusqu’à début janvier, mais j’avais une envie d’écrire, un besoin oppressant d’écrire.

Ce billet va être un énorme coup de gueule. Enfin, plutôt une série de coups de gueule.

Le premier concerne l’autisme des grands pontes de l’économie ou encore de la politique. Alors que le système qu’ils ont patiemment construit depuis le milieu des années 1970 leur explosent à la tête, ils font tout pour le maintenir en place.

Il serait peut-être temps de s’apercevoir que la croissance « infinie » est incompatible avec une planète qui a des ressources en matière première définie depuis sa naissance il y a 4 milliards d’années.

L’annonce de la faillite de la pétro-monarchie de Doubaï annoncée récemment n’est que la première d’une longue liste : en gros, toutes les monarchies de la péninsule arabique passeront d’ici une vingtaine d’années à la casse elles-aussi.

Dans le genre « bulle qui va nous péter à la gueule », j’ai demandé le marché de l’immobilier et la folie irréaliste d’une France de propriétaires. Entre les différentes options de maisons à petit prix achetées par des personnes qui s’endettent jusqu’à la soixantaine passée (en moyenne), pour un bien qui ne leur appartient que sur le papier.

Nombre de personnes de ma génération (années 1970) veulent devenir propriétaire de leur logement, arguant qu’elle ne payent plus de loyer…

Elles payent un autre loyer, à un propriétaire largement moins compréhensif : un organisme de prêt qui se fait des bijoux de famille en or massif avec les emprunts sur 30 ans…

Deuxième coup de gueule : la lente agonie de l’industrie du disque. Je pense qu’il a été démontré encore et encore que les majors du disque mentent comme des arracheuses de dents en faisant porter le chapeau de la baisse des ventes de galette en plastique à des « méchants pirates » sans remettre en question un modèle en voie d’obsolescence : celui de la rareté des biens de divertissement à une époque où la copie est presque instantanée avec une perte de qualité quasi-nulle et pour un prix très faible.

Comme jadis, à l’époque du mouvement luddiste, les ouvriers du tissu cassèrent des machines à tisser pour protéger leurs emplois, les majors du disque poursuivent des clients potentiels pour pouvoir proposer leur sou-soupe commerciale.

Plus dure sera la chute, et ce n’est pas des lois inapplicables comme la série des Hadopi qui rapportera un centime de plus aux créateurs. Loin de là.

A croire que dans leur monomanie, les majors oublient une chose : la taille des rayonnages des CDs diminue comme une peau de chagrin dans les grandes surfaces (50% de surface en moins en l’espace de deux ans et demi dans l’hypermarché proche de chez moi), au profit des consoles de jeux, de l’informatique, des films, etc…

Inutile de revenir encore une fois sur ce sujet… Sinon, je risque de devenir largement moins courtois dans mes propos.

Troisième coup de gueule : l’amalgame « Ubuntu = Linux ».

Je sens que je ne vais pas me faire que des amis par la suite, mais, je m’en contrefous un peu.

Marre ! Marre ! Marre ! Y en a marre des personnes qui limitent les systèmes à base de Linux (et de GNU tant qu’on y est) à Ubuntu. Ayant rejoint l’équipe des modérateurs du planet-libre, j’ai remarqué que 60 à 70 % des articles concernent Ubuntu ou ses dérivés. Même si ce sont des informations qui peuvent être appliquée de manière transversale, seul Ubuntu est traité.

J’ai été utilisateur d’Ubuntu de la Dapper Drake à la Jaunty Jackalope – après un bref premier passage dans le monde merveilleux d’Archlinux – et je reconnais que cette distribution a un énorme avantage : elle a démocratisé pas mal gnu/linux auprès du grand public.

Cependant, ce doit être – selon moi – une première étape. Ce serait une erreur de rester ad-vitam aeternam sur une seule distribution. Car ce serait développer une forme de monoculture à l’image du monde de Microsoft Windows.

En dehors de la très moyenne – quel beau pléonasmeOpenSuSE 11.2, il existe de nombreuses distributions de qualité : la Debian qui a donné naissance à la royale Ubuntu, mais aussi Fedora (même si SELinux me sort par les yeux et me donne de l’urticaire), Archlinux (bien entendu), et la Frugalware (dont je n’arrive jamais à installer correctement, je dois être inconsciemment allergique à cette distribution), ou encore la vénérable Slackware.

Pourquoi un tel retour à la monoculture alors que Linux et GNU (ah, vivement que Hurd sorte !) est par définition la diversité ?

Quatrième coup de gueule : KDE

Un petit coup de gueule concernant KDE. Non, je ne parle pas du coté technique, mais de la volonté de l’équipe de KDE de recentrer les choses… Et en voulant mieux défendre son image de marque, on tombe dans des subtilités et de complexités digne du roi Ubu(ntu)

KDE ne désignera plus l’environnement mais la communauté des développeurs. Pour l’environnement, il faut dire KDE Software Compilation 4.x.y… Joie, mais je me demande combien de temps il faudra pour faire entrer cette nouvelle appelation dans le cerveaux des utilisateurs…

Voila, cela fait du bien.

Je retourne en hibernation, en attendant la prochaine envie d’écrire qui viendra.

Les majors du disque hurleront à l’unisson : « Salauds de pauvres ? »

Lisant régulièrement Numerama, il se passe rarement une semaine sans une annonce judiciaire ou une annonce qui montre la chute de ventes de CDs (support qui a 25 ans !), ou une critique cinglante des DRMs.

Après que MSN Music, Sony Connect ou encore Yahoo Music eurent fermer leurs portes ou soit en train de fermer leur portes – laissant leurs utilisateurs sans possibiliter de lire la musique vérrouillée par des DRMs, on peut se demander si les majors du disque ne sont pas en train de creuser leurs tombes avec leur propres agissements.

Pour info, Leclerc qui s’était lancée dans la musique payante en ligne a été obligée de renoncer aussi.

L’ironique dans l’histoire de ses fermetures, c’est que des moyens de détourner les DRMs ce qui est potentiellement illégal en France – cf l’inappliquée car inapplicable DADVSI.

Récemment, un article annonçait que la vente des CDs avaient encore baissé, de quelque 22%. Etrange coïncidence que cette annonce alors que le projet qu’on pourrait surnommer DADVSI 2, plus connue sous le nom d’Hadopi doit être présentée d’ici la fin d’année au parlement.

Bien entendu, les mêmes mensonges seront proférés par les lobby du disque, qui oublieront volontairement au passage que les artistes se font un pognon monstre avec les concerts, que le pouvoir d’achat baisse, car nombre de personnes préfèreront sacrifier l’achat d’un CD pour s’acheter du pain, des oeufs, du beurre, etc… « Salauds de pauvres » pourrait-on dire.

Et les artistes qui gueulent ? Si on prend la célèbre liste des 52 lèches-culs, je voulais dire artistes qui soutiennent Hadopi, on trouve des exilés fiscaux, des personnes issues de la télé-réalité, mais étrangement aucun artiste ou presque spécialiste des coups de gueule : pas de Michel Sardou, par exemple. Ni d’artistes à voix, comme Chimène Badi, Nolwenn Leroy ou dans un autre genre Rose.

Bref, ce sera toujours ceux qui ont la bouche et les poches pleines qui se plaindront de ne pas gagner toujours plus de la part de leurs rentes musicales.

Voudrait-on pousser vers les réseaux d’échange du type pair à pair que l’on ne s’y prendrais pas aussi bien. A moins que ce soit un plan machiavélique des majors du disque pour museler internet et vendre leur merde infame à des consommateurs qui n’auront plus d’autres choix ?

Il est vrai que des artistes comme ceux de la Star’Ac – quelque soit la saison – ont toujours plus de talents qu’un Roger Daltrey, un Paul McCartney, un Mick Jagger, etc…