Confession d’un amateur de musique, épisode 9 : ma découverte du heavy-metal classique avec le Sabbat Noir…

Nouvel épisode ou nouvelle confession ? Les deux à la fois ! Pour ce nouvel épisode, je vais retourner à la grande époque du heavy metal, les années 1970. Même si les Beatles ont été des précurseurs avec « Helter Skelter » tiré de leur album blanc, pour moi, les fondateurs du heavy metal, c’est le trio Black Sabbath, Led Zeppelin et Deep Purple.

J’avoue ma préférence pour le groupe fondé par Ozzy Osbourne, Toni Iommi, Geezer Butler et Bill Ward. Je tiens à préciser que je n’ai pas découvert le groupe avec l’album éponyme, mais avec le jouissif « War Pigs ».

J’ai par la suite découvert la discographie du groupe, même si les deux derniers albums de la première période Ozzy Osbourne peuvent être ignorés sans mal.

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Tiens, un « best of » qui va me réconcilier avec le genre ;)

Généralement, je ne suis pas un super amateur des compilations qui regroupent les meilleurs titres d’un groupe ou d’un artiste. Le plus souvent, c’est de la bonne grosse diarrhée commerciale qui ne vaut rien du tout ou presque, et qui ne sert qu’à faire une chose : pomper encore plus d’argent aux personnes aimant l’artistes / groupe en question.

Dans ma modeste musicothèque (579 galettes plastifiées environ), je n’ai en tout et pour tout que 3… Ce qui n’est pas énorme.

J’ai un album qui s’appelle « Deep Purple : The collection » qui regroupe une douzaine de titres des formations Mark I à Mark IV du groupe, « Wake« , un double CD de 26 titres qui balaye la groupe de Dead Can Dance de 1981 à 1998 et l’album que j’ai reçu aujourd’hui, « The Best Of Lisa Gerrard« .

Cette compilation, composée de 15 titres, et dirigée par Lisa Gerrard elle-même (?) retrace aussi bien sa carrière solo que dans le groupe formé avec Brendan Perry, Dead Can Dance.

Couverture de la compilation « Best Of Lisa Gerrard »

Dans les 15 titres, dont la liste débute et finit avec des extraits de la bande originale de Gladiator, toutes les époques et disques de Lisa Gerrard sont balayés, sauf quatre disques sur les douze enregistrés : les deux premiers albums de Dead Can Dance (The Fatal Impact – 1984, Spleen and Ideal – 1985), son album en duo avec Patrick Cassidy et le dernier album studio sorti à l’époque, « The Silver Tree ».

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Y a des chansons qui m’arrachent des larmes…

Oui, je l’avoue, il y a des titres qui m’arrachent des larmes à chaque fois que je les entends, et parmi ceux-ci, le numéro 1, c’est une création de 1974, d’un petit groupe inconnu, Deep Purple à l’époque en « Mark III ».

C’est bien entendu « Soldier Of Fortune ». Il y a bien entendu la version originale de l’album « Stormbringer » (1974) :

La version acoustique de David Coverdale qui a co-écrit le titre avec Ritchie Blackmore, dans l’album « Starkers In Tokyo » (1997) :

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Le testament de Jon Lord : une sacrée claque.

Jon Lord, décéde en juillet 2012 était l’organiste d’origine et un des co-fondateurs d’un petit groupe de rock né en 1968, Deep Purple.

En 1969, au début de sa période faste « Mark II », le groupe enregistre un concert qui mélange musique classique et rock. C’est le « Concerto for Group and Orchestra« .

Au début des années 2010, Jon Lord a eu envie de revisiter ce concerto mythique, et en 2011, il recrute la crème des guitaristes : Joe Bonnamassa (que l’on entend dans le premier mouvement), Darin Vasiliev (deuxième mouvement) et un certain Steve Morse, guitariste actuel de Deep Purple (dans le dernier mouvement).

Sans oublier Bruce Dickinson, voix des Iron Maiden ou la sublime voix de Kasia Taska.

L’album en question s’appellant : « Jon Lord – Concerto For Group and Orchestra. »

Et quand on se le met sur la platine, on sent le travail qui a été fait pour dépoussiérer l’original qui était déjà d’excellente facture.

Les 46 minutes du Concerto passe sans qu’on s’en rende compte, car c’est un pur régal pour les oreilles.

Si vous ne connaissez pas ce Concerto, vous ne pouvez que vous régaler, et voir à quel point la musique classique peut se marier avec le rock de haute facture !

Je remercie au passage mon ami portraitiste et caricaturiste qui est aussi un fou de musique pour m’approvisionner toujours en album de qualité 😉

Si je vous dis Ritchie Blackmore, vous me répondez ?

La plupart des personnes diront « Deep Purple ». Les personnes un peu plus musicalement cultivées rajouteront « Rainbow ».

Mais j’avoue que je dois à un ami, et fan de musique devant l’éternel, la découverte de son dernier virage musical, même s’il est assez ancien. Celui du duo Blackmore’s Night qui joue du folk rock matinée d’ambiance médiévale.

J’avoue que je ne connaissais pas, et mon ami, fan de musique devant l’éternel, m’a fait écouter son dernier album « A knight in York ». Et ce fut la claque.

J’ai donc voulu écouter ses créations musicale, depuis son premier album en duo avec son épouse Candice Night, « Shadow Of The Moon ». J’avoue qu’à la première écoute, le titre qui m’a le plus accroché l’oreille, c’est : « No Second Chance », même si rien n’est à jeter.

Ecoutant la suite de la discographie, sur le troisième album « Fires At Midnight », j’avoue que j’ai bien aimé la reprise de ce titre de Robert Zimmerman, le toujours classique « The Times They Are A-Changin' »

J’avoue que j’étais resté à l’époque où Blackmore se produisait avec Deep Purple, comme sur « Made In Japan », mais cette découverte me fait dire : ma carte bleue va vraiment souffrir… Pour le plus grand plaisir de mon côté collectionneur fou de musique.