Et si les grands projets du logiciel libre étaient des êtres humains…

…dans quelle catégorie d’âge se trouveraient-ils ? Je parle des projets à destination bureautique et grand public, pas des langages de programmation, des serveurs web ou autres. Ce billet m’est venu à l’esprit alors que je fouillais le blog et que je suis retombé sur deux billets écrits en janvier 2021 :

  1. Les jeux vidéos de 1996
  2. L’informatique matérielle et logicielle de 1996

La liste que je vais faire sera non exhaustive, bien entendue. Je prendrai comme catégories les tranches suivantes : adultes (25 ans et plus), jeunes adultes (18 à 24 ans), adolescents (13 à 17 ans), enfants (moins de 13 ans).

Les adultes :

  • Le noyau Linux (30 ans) : Annoncé en 1991, linux 1.0 sortant en 1994
  • Slackware Linux (28 ans) : juillet 1993.
  • Debian GNU/Linux (28 ans) : Commencée en 1993, la version 1.1 est sortie en 1996
  • Red Hat Linux (27 ans) : La première version de la distribution 1.0 est sortie en 1994
  • SuSE Linux (25 ans) : La première version à s’appeller SuSE Linux fut la 4.2 sorti en 1996
  • KDE (25 ans) : Annoncé en 1996, première version stable en 1998
  • Gnome (24 ans) : Annoncé en 1997, première version stable en 1999
  • GIMP (25 ans) : Annoncé en 1996, première version stable en 1998

Les jeunes adultes :

Les adolescents :

  • Ubuntu (17 ans) : La première version, la Warty Warhog est sortie en octobre 2004
  • Mozilla Firefox (17 ans) : La version 1.0 est sorti en novembre 2004
  • OpenSuSE (16 ans) : la première version est sortie en octobre 2005
  • Linux Mint (15 ans) : La version « Ada » alias 1.0 est sortie en août 2006

Les enfants :

Il doit sûrement une tripotée de logiciels, mais j’ai pris ceux qui m’ont le plus marqué. Si vous avez envie de compléter la liste, je vous laisse le soin de le faire 🙂

Au secours, les apprentis sorciers reviennent sur Archlinux…

À moins que cette engeance putride fut toujours présente et qu’elle était restée sous le niveau de détection de mon radar ?

Dans un précédent article, je parlais de la migration douloureuse de Pacman envers certains outils enrobant soit pacman, soit la libalpm qui contient le coeur du gestionnaire de paquets. La victime la plus visible étant pamac-aur (le port de Pamac sur Archlinux) qui est désormais inutilisable jusqu’à ce que le développeur rende disponible une version compatible.

Mais cela n’a pas empêché des personnes qui auraient besoin de réfléchir et de lire un peu la documentation abondante d’Archlinux de proposer des solutions qui flingueront à coup sûr une installation.

J’avais déjà parlé de la solution complètement conne de bloquer la version de pacman proposée sur le forum de la Garuda Linux.

Mais c’était sans compter que le même conseil a été donné sur le forum de la RebornOS, un autre projet dérivé d’Antergos et aussi imbuvable que l’original. Avec des solutions un peu plus intelligentes comme l’utilisation de tkpacman (si vous voulez une interface qui fait penser à celle de MS-Windows 95), voire Bauh.

Mais le comble de la connerie – et je ne m’excuserai pas pour la crudité du terme utilisé – j’ai pu le voir sur le rapport de bug que j’ai ouvert.

Continuer la lecture de « Au secours, les apprentis sorciers reviennent sur Archlinux… »

En vrac’ de fin de semaine

Petit en vrac’ en cette fin de mois de mai 2021.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Bon week-end 🙂

En vrac’ de fin de semaine

Petit en vrac’ en cette veille de la Pentecôte. Pas grand chose, mais c’est déjà pas si mal !

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Bon week-end 🙂

Soyons geek : compilons des paquets AUR dans un chroot dédié.

Sur le service AUR, je maintiens un sacré paquet de logiciels. Un sacré paquet serais-je tenté de dire.

Oui, elle était facile celle-ci. Il faut dire que le mercredi soir, je n’ai pas trop d’idées pour les jeux de mots de qualité.

Alors que j’enregistrais cette vidéo sur l’excellent « Dehumanizer » de Black Sabbath, j’ai eu l’idée de parler d’un truc de geek archlinuxien.

Quand on a besoin de compiler un paquet en provenance d’AUR, le mieux est de passer par un chroot pour compiler proprement un logiciel. Le wiki d’Archlinux est assez clair sur ce sujet.

J’ai donc une rapide vidéo sur le sujet :

Oui, c’est du geek pur jus, et ça fait plaisir, ça change un peu 🙂