Un an chez Free Mobile, quel bilan ?

Cela fait un an aujourd’hui que je suis chez Free Mobile. J’ai eu envie de faire un petit bilan d’une année chez le quatrième opérateur de téléphone mobile.

Sur le plan financier, je suis plus que largement gagnant. Avant, j’étais chez BTP Bouygues Télécom, et j’avais pour 30 € par mois droit à 90 minutes et dans les 30 SMS. La minute supplémentaire devait être dans les 0,38 €, le SMS hors forfait dans les 0,25 € pièce. Je cite de mémoire, car j’avoue que je ne m’en souviens plus trop.

J’ai parfois dépenser jusqu’à deux heures, et mon record a été une facture de 65 €, la plupart du temps je tournais dans les 40 à 45 € liés aux dépassements. Et comme je ne voulais pas me réengager sur un an ou deux ans pour avoir changé la durée de voix de mon forfait…

Etant abonné FreeADSL, je ne paye plus que 15,99 € par mois. Donc, en l’espace d’un an, j’ai économisé en 20 et 25 € par mois ! Donc en gros, j’ai économisé entre 240 et 300 € au final… Pour une consommation téléphonique sans crainte d’une mauvaise surprise en fin de mois, arrivant à du 3 heures par mois en moyenne.

Quant on a un budget d’environ 700 € par mois, en économiser 20 à 25, c’est toujours cela de pris pour mettre dans l’alimentation, voir de côté par sécurité.

C’est vrai, quelle idée folle de privilégier son alimentation sur son téléphone mobile et le forfait qui y est associé ?

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Virgin et les grandes surfaces culturelles, victime du méchant Internet ? En partie…

Dans un excellent article, Sebastien Musset nous décrit les causes de la chute de Virgin Mégastore :

En gros : le manque d’innovation, ne pas avoir pris le virage internet ni de la vente par correspondance, les capitaux détenus par un fonds spéculatif, le coût artificiellement élevé des galettes plastifiées, la dématérialisation du contenu.

Il faut dire que je suis un grand consommateur de musique, spécialement avec des groupes qui serait introuvables sans internet. Allez demander à un vendeur de ce genre de grande surface culturelle s’ils ont le dernier Amanda Palmer, et vous aurez droit à des yeux exorbités par l’ignorance dans la plupart des cas. Ne parlez pas d’Hope Sandoval, vous ne voudriez pas avoir une tentative de suicide sur les bras, voyons…

Sur les photos suivantes, il y a environ 224 albums. Sachant que j’ai quelque chose comme 480 galettes, le calcul me donne environ 46,67% de ma musicothèque qui n’aurait pas lieu d’être sans Internet… Collection que j’ai constitué depuis le début de l’année 2010, en presque 3 années. Ce qui est énorme, et je pense avoir oublié une demi-douzaine d’albums dans mon recensement…

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Bodhi Linux 2.2.0 : pas de quoi rester Zen, malheureusement :(

e17 est sorti le jour du bug du calendrier Maya, et j’ai attendu une des premières distributions à l’intégrer officiellement pour me faire une idée. J’ai eu la flemme de l’installer à la main dans une machine virtuelle. Quoique la flemme est parfois mauvaise conseillère…

La Bodhi Linux est celle qui m’est venu à l’esprit, l’ayant déjà abordé en avril 2012, car elle proposait une préversion d’e17 à l’époque.

C’est donc avec l’annonce de la version 2.2.0 de la distribution qui m’a permis d’éviter une installation à la main.

La Bodhi Linux est basée sur la Ubuntu 12.04.x LTS, et pour la version 64 bits (celle que j’ai testée ici, le noyau linux 3.7 est de la partie). Il y a deux versions en 32 bits, une sans le PAE, bloquée sur le noyau linux 3.2 et une avec le PAE et qui est disponible avec le noyau linux 3.7. Dixit l’annonce officielle, bien entendu.

J’ai récupéré l’image ISO 64 bits, histoire de ne pas me prendre la tête.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://freefr.dl.sourceforge.net/project/bodhilinux/2.2.0/bodhi-2.2.0-64.iso
–2013-01-09 15:03:23– http://freefr.dl.sourceforge.net/project/bodhilinux/2.2.0/bodhi-2.2.0-64.iso
Résolution de freefr.dl.sourceforge.net (freefr.dl.sourceforge.net)… 2001:1b48:10f::7, 158.255.96.7
Connexion vers freefr.dl.sourceforge.net (freefr.dl.sourceforge.net)|2001:1b48:10f::7|:80…connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse…200 OK
Longueur: 600834048 (573M) [application/octet-stream]
Sauvegarde en : «bodhi-2.2.0-64.iso»

100%[======================================>] 600 834 048 960KB/s ds 8m 22s

2013-01-09 15:11:46 (1,14 MB/s) – «bodhi-2.2.0-64.iso» sauvegardé [600834048/600834048]

Et j’ai lancé l’environnement de test habituel : CPU 64 bits, 2 Go de mémoire, 128 de disque dur virtuel.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 128G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=137438953472 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -no-frame -cdrom bodhi-2.2.0-64.iso -boot order=cd &

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La vraie victime de l’#adgate, c’est la neutralité du réseau ou le modèle de financement de nombreux sites ?

Ceci sera mon dernier article sur l’#adgate, car j’avoue que je suis étonné devant les dérives de certaines personnes dont on peut se demander si elle ne tombe pas un panneau digne du mouvement #geonpi.

Ouvrons une rapide parenthèse :

Pour info, j’ai ce blog depuis 7 ans, j’ai en moyenne dans les 1000/1200 pages vues par jour, la moitié étant des humains. Et je n’ai jamais touché le moindre centime, refusant même de rédiger des articles sponsorisés. C’est ce qu’on appelle vouloir rester intègre.

Je tiens à préciser que je considère que le mouvement de Free a été maladroit, que je suis pour la neutralité de la toile. Mais qui se plaindrait, en tant qu’utilisateur final, d’avoir moins de publicités affichée à l’écran ?

Fermons la rapide parenthèse.

Parmi les premiers à hurler, nous avons les blogueurs influents dont les sites ressemblent au catalogue de la Redoute quand on y va sans un bloqueur de pub, à la AdBlock, activé.

Passons en vitesse sur la politique de certaines personnes qui attaquent les freenautes à cause de leurs fournisseurs d’accès. Ce qui est pire, non ?

Pour info, j’ai désactivé le filtre en question, donc c’est pas excessif comme réaction, de considérer qu’un freenaute est un censeur en puissance ? Et vous noterez qu’il y a 6 ou 7 mouchards au passage sur la page en question. Merci Ghostery !

Benjamin Bayard – qui s’y connait quand même pas mal dans le domaine de la neutralité du réseau – a déposé un point de vue qui contredit les cassandres.

Pour moi, il est évident que non, ce n’est pas une atteinte à la neutralité des réseaux. D’abord parce que le filtrage n’est pas fait par le réseau, mais par un équipement de périphérie. Les abonnés qui utilisent leur propre modem ADSL, en lieu et place du Frinitel officiel, ou ceux qui utilisent tout simplement une version plus ancienne, ne sont pas touchés. Ergo, ce n’est pas le réseau qui filtre.

Est-ce une atteinte à la neutralité des intermédiaires techniques, que j’appelle de mes voeux ? Oui, très clairement. Les abonnés qui ont fait le choix d’utiliser le Frinitel sont touchés, et changer de boîtier n’est pas une mince affaire: il faut re-configurer tout le réseau de la maison, il faut avoir un modem sous la main, etc. Cette atteinte est-elle acceptable ? Si je reprends la définition assez stricte que je donnais en conférence en juin, oui, c’est acceptable, parce que c’est sous contrôle de l’utilisateur.

Le problème – enrobé dans la neutralité du réseau pour faire bonne figure – est le modèle bancal de financements des sites internet. Est-il réaliste de ne dépendre que d’un seul fournisseur pour ses revenus ?

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Free #AdGate ou grand bal des hypocrites et des vierges effarouchées ?

La nouvelle version du micrologiciel de la FreeBox propose de bloquer les pubs. Benjamin Bayart, défenseur de la neutralité de la toile a précisé le point important dans un de ses messages : c’est une option que l’utilisateur peut désactiver en quelques secondes.

En gros, il suffit d’aller sur l’interface de gestion de la freebox, dans la configuration et de cliquer sur une simple option. Evidemment, c’est pas abordable par l’utilisateur lambda, ni complètement infaisable.

Oui, c’est un mouvement « dur ». Mais ceux qui gueulent ne sont-ils pas en partie hypocrite ?

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Ubuntu Phone : du buzz et rien d’autre pour le moment ?

Un nouvel arrivant dans le monde des OS pour smartphones. Outre les géants Android et iOS (Apple), on peut penser à Windows Phone, SailfishOS (dérivé de Meego), ou le projet de la Fondation Mozilla, FirefoxOS qui doit pointer le bout de son nez cette année.

Notre ami Canonical propose son Ubuntu Phone.

C’est un OS pour téléphone, proposant l’interface Unity déjà prosposée sur ubuntu. La page officielle est assez sèche coté détails, spécialement sur sa base technique. Base androïd ? Faite maison ?

On sait que les applications seront soit en HTML5 (coucou FirefoxOS) ou avec le toolkit QML.

Coté disponibilité ? C’est le flou. Quel appareil ? Flou idem.

L’article sur OMG Ubuntu qui reprend l’annonce officielle n’apporte pas grand chose de plus. Le point le plus inquiétant, c’est la date prévue avec des modèles prééquipés : la fin de l’année 2013. Je cite :

So when can you get one? Sadly not just yet. Although talks are taking place no major vendor has yet signed up to ship the device.

But there is hope.

Canonical are ‘confident’ a major manufacturer will ship Ubuntu for Android this year; that will be the first step. But the first pure Ubuntu Phone devices will appear towards the end of the year.

Donc, en gros, on nous annonce un OS dont personne ou presque n’a été capable de voir en fonctionnement, apparemment ce serait pour le CES 2013 pour le voir en vrai. Et dont la disponibilité pour le grand public est minimum dans un an…

Pas que je sois dubitatif, mais comment un OS qui est annoncé pour sortir dans un an en prééquipement – quelle proportion des utilisateurs de mobiles « roote » son téléphone pour le mettre à jour avec des OS non officiels du genre cyanogen mod ? – je ne donne pas cher de sa capacité à s’imposer sur le marché.

Celui-ci est déjà phagocyté par le duo Android / iOS. Windows Phone ramasse les miettes, et FirefoxOS, même s’il n’est pas sorti, va souffrir sûrement pour se faire une place au soleil.

Donc au lieu de m’exciter comme une puce saoûle sur ce projet, j’attends pour voir ce que sera vraiment cet OS en réel. Mais je ne suis pas très optimiste sur sa capacité à se faire une place au soleil.

J’espère cependant me tromper. Mais un tel départ n’augure rien de bon.

Une petite mise au point sur mes articles de présentations de distributions GNU/Linux.

Depuis des années, je présente et teste rapidement les distributions GNU/Linux qui me passent sous la souris. Et souvent, certaines personnes me font les mêmes remarques du genre : pourquoi pas d’installation en dur ? Pourquoi ne passes-tu pas plus de temps sur les distributions en question ?

J’ai donc décidé de faire un article qui tient de la mise au point et aussi du coup de gueule, car j’en ai marre de me justifier à chaque fois. C’est la première et dernière fois que je rédige ce genre d’articles.

Premier point : pourquoi utiliser Qemu / VirtualBox et pas une installation en dur ?

Réponse courte : parce que.

Réponse plus longue : car c’est plus souple, plus simple et largement plus rapide et pratique à mettre en oeuvre.

Qemu et VirtualBox propose des machines type, avec du matériel standardisé, et donc plus passe partout que le matériel réel qui équipe parfois les machines. Sans oublier, qu’en cas de problème – fausse manipulation au niveau de l’installation par exemple – je peux virer l’image disque et recommencer à zéro sans avoir à craindre pour mon vrai matériel. Car c’est étrange, mais je considère que les données de mon disque dur sont précieuses.

C’est certain, c’est moins rapide que sur une machine réelle. Mais, c’est tellement plus pratique. Sur une machine réelle, on fait comment pour enregistrer une vidéo depuis le démarrage ? Ma machine principale, je n’ai pas envie de la foirer car une distribution mal embouchée aura maltraité mon grub. Et dans ce domaine, les distributions mal embouchées, ça existe 😉

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Pour vouloir lire un classique de George Orwell, j’ai du devenir, à mon grand regret, un « tipiak »

L’approche de Noël m’a donné envie de vous raconter une mésaventure récente. J’ai eu envie de lire la « Ferme des Animaux » de George Orwell. La première étape, cela a été de tenter ma chance à ma bibliothèque municipale. Premier chou blanc : seul 1984 est disponible.

Je tente alors Amazon. Voulant limiter l’attente au maximum, et ayant une Kindle d’Amazon, je tente ma chance dans les livres électronique. Deuxième chou blanc. La seule réponse est une fiche de lecture… à 4 € !

D’ailleurs, comme la plupart des liseuses ont une boutique de livres électroniques dédiée, la démarche aurait la même avec une Kobo ou une Bookeen, modulo la boutique en question.

La seule réponse positive de la Fnac ? Une version au format Adobe DRM, donc en clair, vérouillée numériquement, et en anglais. J’arrive à lire l’anglais dans le texte, mais les DRMs ? Dans la cuvette et on tire la chasse. Plusieurs fois. C’est résistant ces sales bêtes.

D’ailleurs, concernant les menottes numériques sur les livres, de l’intégriste libriste Richard M. Stallman qui risque d’avoir vu juste, le texte « Le droit de lire« .

Et Google Books douche mes derniers espoirs : aucun livre numérique officiellement disponible !

Il ne me restait plus qu’une solution : passer dans le côté obscur de l’offre. Et j’ai pu trouvé un ePub que Calibre m’a converti.  Et devoir en arriver à l’utilisation de l’offre non légale, ça m’a franchement facilité le transit intestinal. Oui, j’avoue que je n’étais plus constipé par la suite 🙁

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Serais-je en train de devenir un « blogueur influent » ?

Il est vrai que mon blog avec en moyenne – et en dehors des coupures liées à des vagues des spams un peu forte, comme celle qui a rendue injoignable le blog durant une douzaine d’heures – tourne à 1000 – 1200 pages vues par jour, ce qui en fait un blog très influent.

Excusez-moi, je reviens, le temps de calmer un fou rire nerveux.

Donc, j’ai reçu hier dans la journée un petit courrier électronique dont déjà l’intitulé m’a fait tiquer. « Article sponsorisé pour le [nom d’un service de téléphonie] »

Et l’introduction m’a carrément horripilé, au sens étymologique du terme, à savoir : herrisser les poils. Je cite le morceau de choix, dans le chapeau du courrier électronique.

Nous sommes opérateur de téléphonie fixe et mobile, et proposons nos services à partir de la France Métropole et DOM. Nous serions intéressés par la publication au mois de novembre ou décembre d’un article sur votre blog, pour notre service [nom du service en question]

Ma réponse a été cinglante, mais très enrobée de sucre :

Je tiens à vous remercier de l’attention que vous avez  apporté à mon petit blog – dont j’ignore comment vous avez entendu parler.

Je tenais aussi à vous préciser que je ne suis pas interessé par la moindre « propagande » commerciale qui puisse exister. Après avoir lu votre laïus, j’ai fait quelques recherches qui m’ont informé du coté caché de l’offre.

 

De plus, par principe, je me refuse à proposer tout billet sponsorisé, car ce serait pour moi une violation de la confiance que m’exprime les quelques lecteurs et lectrices régulières de mon humble blog.

 

Vous comprendrez donc que vous recevrez de ma part une fin de non-recevoir pour rédiger un article qui serait de la publicité déguisée.

Pour faire court : je ne suis pas à vendre, même si vous m’offrez le dernier AilPhone en date. Je ne touche pas le moindre centime avec mon blog, et je n’ai pas l’intention de devenir un photocopieur de communiqué de presse.

Il y a une chose étrange qui s’appelle intégrité et qui motivent la rédaction de mes billets.

Alors, mesdames et messieurs les annonceurs, j’espère que vous comprendrez mon petit coup de gueule.

Dans le cas contraire, je risquerais de devenir comme Linus Torvalds avec Nvidia, tout en restant largement plus sociable dans mes propos et mes gestes.

Les forfaits de téléphonie mobile en voie de SFRisation avancée ?

Par SFRisation, je pense surtout à la boutade du maintenant « bouc émissaire pour tout et n’importe quoi dans la téléphonie mobile » de Xavier Niel quand il a présenté en janvier 2012 ses deux forfaits via son offre Free Mobile.

Il avait montré un catalogue SFR de l’époque qui montrait une palanquée de forfaits qui segmentaient à mort l’offre, histoire de rendre incomparable les différentes offres qui permettent une chose : communiquer.

Et plus je lis les annonces sur les forfaits de téléphonies mobiles, que ce soit pour les MVNOs (à quand le premier à disparaître dans ce domaine de faux-nez de l’ancien triumvirat ?), c’est encore et toujours plus illisibles.

Sans jouer le fanboy de Free Mobile, ce sont surement les forfaits les plus lisibles qui existent. Prenons le dernier MVNOs, Joe Mobile qui a quelques ratés aux démarrage, et qui nous sort encore une nouvelle version de ses forfaits, encore moins lisible qu’auparavant.

J’avoue que c’est plus complexe que des offres du style : voix + SMS / MMS illimités pour tant par mois (et non par période de 30 jours, car dans ce cas on se fait avoir pour Janvier, Mars, Mai, Juillet, Aout, Octobre et Décembre d’une journée), ou X minutes de voix + X sms pour tant par mois.

Qui arrive à déchiffrer ce genre d’offres sans faire un bac + 14 en maths ?

On va dire que j’ai une dent contre SFR, mais quid de Bouygues et de son offre B&You ? Uniquement 3 offres, c’est déjà mieux. Et c’est surtout assez simple à lire.

Sosh ? La SFRisation est en route. Il suffit de voir les grilles comparatives des 3 offres en question. Ce que j’aime, c’est le forfait le plus cher, avec ses 3 Go d’internet (version orange, bien entendue), et surtout le H+… Comme si tous les téléphones portables en profitait par défaut, et que tout le monde avait accès à cette génération de connexion…

Je passe sur les opérateurs du genre Zéro Forfait ou Prixtel, c’est complètement illisible.

D’ailleurs, il suffit de voir un site comme touslesforfaits pour se demander si Xavier Niel n’avait pas raison en critiquant les offres pléthoriques qui ne font qu’une chose : perdre le consommateur et le faire payer plus que de raison.

Si en plus de la baisse des prix – et donc des gonades en or de l’ancien triumvirat – un effet collatéral pouvait être la simplication des forfaits proposés, ce serait la moindre des choses… Allez, une dernière pique, jettez un oeil aux offres officielles de SFR, c’est mal de crâne assuré. Entre les forfaits bloqués, les non-bloqués, et les formules Red, j’en ai dénombré… 12 !