En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac…

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

  • Opeth annonce pour fin septembre 2019 leur nouvel opus, « In Cauda Venenum », album qui sera disponible en version anglaise et suédoise. Le clip bilingue du premier titre “Hjärtat Vet Vad Handen Gör” / “Heart In Hand » est disponible sur Youtube.
  • Alnea, groupe de postrock originaire de Turin, vient de sortir son nouvel album – uniquement en numérique – qui conclue le premier opus, sorti en juin 2014.

Petits cadeaux à mes amis libristes, deux épisodes de Clash of Fredo, un qui reprend mon dernier billet sur le fiasco du bureau libre à se faire une place au soleil, l’autre sur un argument sorti ad-nauseam, le choix. Il faut bien taper où ça fait mal, non ?

Bon week-end 🙂

Le bureau libre ? Une grande désillusion et 13 ans perdus.

Avant toute chose, je tiens à préciser que c’est un point de vue qui se base sur ma propre expérience, qui est constituée de 13 années et des bananes environ, d’utilisation de bureautique libre en mono-démarrage sur mes ordinateurs respectifs.

C’est un article qui est l’expression du dégrisement par rapport à un espoir que j’ai caressé à l’époque du très moyen MS-windows Vista. Quand celui qui avait été connu sous le nom de code de Longhorn est enfin sorti, Microsoft s’était pris une volée – justifiée – de bois vert en ce qui concerne le successeur de MS-Windows XP : lourd, lent, avec l’UAC qui se déclenchait au moindre gaz intestinal de travers.

À l’époque, l’offre libre n’était pas des plus joyeuses, mais il y avait des projets qui auraient pu faire du mal à MS-Windows Vista comme la première Ubuntu LTS, la 6.06 alias Dapper Drake. Évidemment, il y avait encore du travail à faire, mais le monde du libre avait déjà de quoi tenir la dragée haute.

C’était cependant un brin trop tôt. Je me disais alors qu’il faudrait une poignée d’années pour que cela change. Manque de pot, Microsoft ayant pris en compte les critiques sortait en 2008 un certain MS-Windows 7, et une avenue qui s’était ouverte se refermait tout aussi rapidement.

En 2011, c’est l’arrivée des interfaces nouvelles générations comme Unity et Gnome 3.x qui provoquent un rejet de la part des personnes utilisant le libre au quotidien à cause d’un trop grand chamboulement : arrive la naissance du duo Cinnamon/Mate-Desktop qui conservent une ergonomie qui a fait ses preuves depuis des années.

Après le fiasco de MS-Windows Vista, Microsoft tente le coup de l’interface unique avec MS-Windows 8.x et se prend une nouvelle volée de bois vert à l’image des développeurs d’Unity et de Gnome 3.x.

En 2012, le monde du libre avait pas mal avancé sur le plan technique, c’est la grande époque de LinuxMint comme distribution à conseiller. Mais déjà en 2012, il y a pas loin d’une centaine de distributions qui se battent pour le marché bureautique, alors que 6 ans plus tôt, c’était à peine la moitié qui se battait pour le même marché.

C’est vrai qu’il est prouvé qu’avoir 100 choix est mieux pour l’utilisateur au lieu de 50… À moins que ce ne soit complètement l’inverse ?

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En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac…

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Rien du tout cette fois, désolé 🙁

Bon week-end 🙂

Vieux Geek, épisode 153 : L’affaire Ravenhood, suite non officielle à l’excellentissime Manoir de Mortvieille.

En 1988, Lankhor sort un petit bijou en terme de jeu d’aventure policière : le Manoir de Mortvieille. Publié sur Amstrad CPC, Atari, Amiga, PC et Sinclair QL, du moins, selon la fiche du site Lankhor.net 🙂

Outre des graphismes assez fins et une utilisation à la souris, il y avait des voix digitalisées… En 1988, c’était suffisamment rare pour être noté. Il y a eu une suite officielle, « Maupiti Island » qui n’est sorti que pour Amiga, Atari et PC en 1990.

Une suite était prévue, Sukiya, mais ne vit jamais le jour. Dommage 🙁

En 1993 Bruno Fonters développa une suite non-officielle aux aventures de Jérome Lange, se situant entre les deux premiers épisodes de la saga, « L’Affaire Ravenhood ».

Même si c’est un jeu publié dans le domaine public, il n’en reste pas moins de qualité, malgré quelques lourdeurs.

Voici donc une petite vidéo du jeu en utilisant l’émulateur Caprice.

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