Culture – Page 144 – Le Weblog de Frederic Bezies

En vrac’ musical du mercredi.

Comme chaque mercredi – ou presque – quelques liens en relation avec la musique. Un billet qui sera assez court, faute de liens à proposer.

Mon détecteur d’infames daubes commerciales a failli exploser en tombant sur cet article : un album hommage à Daniel Balavoine sortira le 8 janvier 2016. Pourquoi tant de haine envers cet artiste qui nous a quitté en janvier 1986 ?
Heureusement, pour compenser, il y aura le 8 janvier 2016 la sortie du quatrième album du projet solo néoclassique et ambiant de Carline Van Roos, Aythis qui a pour titre : « The Illusion and The Twin ». Jusqu’au 1er janvier, vous pouvez le précommander avec les frais de ports offerts.
Un album de post-metal et post-rock bien sympa, en provenance de Chicago « And Endless Loop » des The Kahless Clone.
Si vous préférez le post-rock un peu plus méditatif, alors un album comme « Cetus » des italiens de Tails of Mira sera pour vous.

C’est tout pour ce mercredi. Je sais, ce n’est pas grand chose, désolé :/

En vrac’ dominical.

Après un samedi plutôt mouvementé, voici donc le billet en vrac’ dominical pour faire retomber la pression.

Commençons par le logiciel libre.

Au revoir, KDE 4.x et merci pour tout. C’est en substance le message des développeurs d’Archlinux qui débranchent le support de KDE 4.x en cette mi-décembre 2015. Avec un guide pour la migration vers Plasma 5.x.
Dans la série « Tiens cette distribution GNU/Linux est encore en vie ? », je demande la Rosa Linux R6 « Desktop Fresh LXQt ». C’est plus ou moins lié à la OpenMandriva. Plus d’infos sur les notes de publications.
Pour les amoureux du design avant tout, une nouvelle révision mineure de FerrariOS Elementary OS 0.3 est disponible. C’est la 0.3.2.
C’est Richard Matthew Stallman qui va être content. La Ubuntu 16.04 devrait désactiver par défaut l’utilisation de la recherche en ligne dans le bureau d’Unity.
Le BSD à la libellule vient de sortir une version correctrice de sa nouvelle mouture. Le but ? Intégrer la dernière révision en date d’OpenSSL. Faudra que je vois ce qu’à cette libellule entre les ailes, tiens 😉

Parlons culture maintenant.

Une artiste qui mélange le folk, les chants éthérées et la musique celte ? Caitlin Grey et son deuxième album « The Promise ».
Vous préférez la folk acoustique un peu plus « triste » inspirée par Joni Mitchell ? Alors, laissez trainer une oreille près de l’album « The Wrong Side of Blue » d’Elise Cabrét.

Bon dimanche !

En vrac’ musical du mercredi.

Quelques liens en vrac’ consacré à la musique. Les deux ou trois premiers ont été trouvés via le réseau à l’oiseau bleu.

Vous aimez le rock progressif qui envoie de la purée ? Essayez l’album « II » d’Arcade Messiah.
Si vous préférez le post-rock instrumental, dans ce cas, tournez-vous vers le groupe Last Builders of Empire.
Si vous préférez le post-rock en provenance du pays des kangourous, alors « Yamadori » des Bear The Mammoth est pour vous.
Fan du rock progressif avec une voix féminine derrière le micro ? Les allemands d’Ashby vous conviendront mieux alors.
Vous cherchez plutôt une bulle de douceur folk pop acoustique anglaise ? Le premier EP des Happy Endings sera pour vous.

Bon mercredi !

En vrac’ de fin de semaine.

Pour finir la première semaine du mois de décembre, un en vrac’ qui contiendra son lot de vachardises. C’est comme ça et pas autrement !

Commençons par le logiciel libre.

Dans la catégorie distribution GNU/Linux qui servent à quelque chose, je demande la Linux Mint 17.3 proposée en saveur Mate Desktop et Cinnamon.
Fan des distributions basée sur la Gentoo Linux ? Essayez donc la Pentoo Linux, spécialisée dans la sécurité informatique qui vient de sortir une nouvelle version de développement.
Dans la série distribution GNU/Linux qui ne vivront pas longtemps, je demande la ABXY Linux. Pour une fois, ce n’est pas Ubuntu qui sert de base, mais OpenSuSE dans sa version 13.2. Sinon, c’est avec Gnome ou KDE. L’inventivité ? Elle pointe aux abonnés absents.
Fan d’environnement qui se la pète ? Essayez donc enlightenment 0.20.0. Faut aimer se promener dans les menus de réglages aussi long qu’un soap opera.
Les libristes « purs et durs » ne vont pas pouvoir tenir leur jouissance très longtemps : les vignettes sponsorisées contenant de la publicité sont sur le point d’être abandonnées dans Mozilla Firefox. Dixit la personne qui s’en occupait.

Quelques autres liens divers et avariés.

Quand NextInpact parle de la pollution version internet… Devinez l’origine 😉
Vous le savez, je suis un amoureux de la musique. Voici donc le site officiel d’un artiste auquel j’ai donné pour financer le deuxième album via ulule, Erwan Stephan, dont les deux albums sont écoutables en ligne.

Voila, c’est tout pour aujourd’hui.

Demain, je serais un bête et méchant citoyen, j’irais voter au premier tour des régionales, mais je respecte les personnes qui ne votent pas. C’est leur choix, après tout.

Inutile de partir dans un débat sans fin dans les commentaires sur ce point précis, le recyclage ad-nauseam des arguments des deux camps n’ayant rien à envier aux guerres technologiques dans le logiciel libre… On peut faire mieux avec la bande passante, non ? 🙂

« Atlas Hands » de GrimLake : encore une pépite du post-rock français.

Il y a des albums qui tapent directement en plein dans les tympans. Qui vous font rager de devoir attendre le début du mois suivant pour vous le procurer car vos finances sont trop tendues en fin de mois. Le premier LP de Mathieu Legros alias GrimLake intitulé « Atlas Hands » fait parti de ceux-ci.

Tombé amoureux du post-rock après avoir écouté le premier « Have The Moskovik », comme j’ai pu tombé amoureux du metal progressif après avoir écouté « Blackwater Park » d’Opeth, j’ai rapidement accroché à la première écoute de « Atlas Hands ». Encore une preuve que la musique est une source de réjouissance et de bonheur.

Sur le plan technique, on reste dans les classiques : 9 pistes et 48 minutes au compteur.

<a href="http://grimlake.bandcamp.com/album/atlas-hands">Atlas Hands by GrimLake</a>

Dès la première piste, « Run Into The Night », on est dans les classiques du post-rock instrumental. Mélodie péchue, qui vous prend aux tripes et vous entraine de la première à la dernière note. Du pur sucre.

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