Opération transparence 2015… L’inutile donc indispensable billet du blogueur indépendant :)

En décembre 2014, je jouais l’ouverture et la transparence sur les dépenses du blog. Maintenant que l’année 2015 est bientôt finie, voici donc le billet récapitulatif des dépenses qui joue la transparence.

C’est le genre de billet inutile qui est cependant indispensable pour une seule et bonne raison : ils permettront de rétablir la confiance. Sauf contre indication, les achats concernent des albums en CD. Si certains résultats sonnent bizarre, c’est que ce sont des conversions depuis des £ ou des $ 🙂

De plus, cela ne concerne que les achats culturels dont j’ai parlé sur le blog de manière extensive.

Janvier 2015 :

Février 2015 :

Mars 2015 :

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Bilan culturel de l’année 2015 : bonnes surprises et déceptions.

Le mois de décembre est celui des bilans. Deux billets sur le plan des bilans. Le premier concerne la culture. Un deuxième à venir d’ici quelques jours sera consacré au logiciel libre.

Dans les bonnes surprises ? Que ce soit sur le plan lecture (j’avoue que j’ai du lire peut-être dix romans depuis janvier 2015), il y a eu trois très bonnes surprises dans les auteurs que je lisais déjà : Le premier volume de la nouvelle série de Jérôme Dumont « Le bout du tunnel » et le tome 7 des aventures de « Rossetti et MacLane » et le dernier opus d’Isabelle Rozenn Mari, « Souviens-toi Rose ».

Dans les découvertes, j’ai aussi apprécié le premier livre de Maurice Desborels.

Passons à la musique maintenant.

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« When comes the rains » des « The Orchid » : de la folk douce et planante.

Dans mon en vrac’ du samedi 3 octobre, j’avais parlé en vitesse de plusieurs albums. Le premier EP des Manceaux de « The Orchid » en faisait partie.

Leur premier EP est assez court, il ne fait qu’une grosse douzaine de minutes et est sortie en mars 2014. C’est via le réseau encore plus fantôme, à savoir le point d’accès à diaspora* de Framasoft que j’ai appris l’existence de l’album. Merci à Vincent Valentine pour l’information. Par ailleurs, j’ai appris que le bassiste de The Orchid fait aussi parti d’un certain… Saelig Oya, donc j’ai parlé en septembre 2015. Le monde est petit parfois 😛

Bien que le groupe soit français, il respecte une règle non écrite : la folk se doit d’être chantée dans la langue de Shakespeare.

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« [Chaos – Chaos] » des Saelig Oya… Pas chaotique du tout :)

Dans un article en vrac’ musical récent, je parlais en vitesse du premier album du groupe de rock progressif originaire du Mans, les Saelig Oya. Je tiens à remercier Stéphane Gallay, dont j’espionne régulièrement la page bandcamp en quête de pépites musicales, qui m’a permis de découvrir le groupe en question. « [Chaos – Chaos] » est sorti le 18 mai 2015.

Avec cette pochette qui fait penser au film d’animation « La Planète Sauvage » de René Laloux (sorti en 1973), on peut s’attendre à un album qui est un peu bizarre, mais pas tant que cela.

Album à moitié chanté en anglais et à moitié en français, les Saelig Oya propose un rock progressif inventif, parfois matiné d’instruments classiques (comme pour la première piste) ou parfois plus metalisé, comme avec la piste « He walks », deuxième de l’album.

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