En vrac’ de fin de semaine.

Noël 2015 approchant, je vais faire un en vrac’ qui sera pas trop méchant pour une fois. Ben quoi, c’est la bonté de Noël qui me touche 🙂

Commençons par le monde noyauté par des idéologues enfermés dans leurs tours d’ivoire du logiciel libre.

Passons maintenant à la culture.

C’est tout pour aujourd’hui. Bon week-end.

Viperr 7 : le retour du serpent !

En ce 28 juillet 2015, sur le réseau social fantôme, j’ai nommé Google+, j’ai eu droit à un petit message assez intéressant, concernant la Viperr.

+Frederic Bezies la version finale de viperr7 est dispo sur le repos habituel 😀

Je dois dire que j’ai un faible prononcé pour cette distribution qui reprend le principe de la Crunchbang avec une base Fedora Linux. Même si l’annonce officielle n’est pas encore disponible, j’ai eu le « feu vert » d’un des développeurs pour en parler. La seule chose que je peux vous dire, c’est que l’ISO en 64 bits pèse, dixit wget un peu plus du Go symbolique. Et non, vous n’aurez pas l’adresse avant l’heure, bande de chenapans ! 😀

Y a pas à dire, avoir été béta-testeur de quelques ISOs de développement aide à bien se faire voir des adorateurs de reptile.

requête HTTP transmise, en attente de la réponse… 200 OK
Taille : 1107296256 (1,0G) [application/x-iso9660-image]
Sauvegarde en : « Viperr7_x86_64.iso »

Viperr7_x86_64.iso 100%[=====================>] 1,03G 3,49MB/s ds 4m 42s

Le nom de code de la Viperr 7 est « Nyarlathotep ». Merci H.P. Lovecraft pour le nom que l’on doit éternuer. À quand la version Shub Niggurath ? 😀

Après un cadeau de noël 2014 un peu en avance avec la Viperr 6, est-ce que la Viperr 7 basée sur la Fedora 22 sera un cadeau en plein été ?

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Top 5 et flop 5 des distributions GNU/Linux que j’ai eu sous la souris ? Le retour.

En juillet 2012, j’avais rédigé deux articles concernant les 5 pires et les 5 meilleures distributions GNU/Linux qui ont atterri sur mon disque dur.

Pour mémoire, le flop 5 :

  1. PearOS – paix à ses octets
  2. OpenMamba
  3. GoboLinux
  4. OpenSuSE
  5. KahelOS – paix à ses octets

Et le top 5 :

  1. ArchLinux
  2. Frugalware Linux
  3. Fedora Linux
  4. Viperr
  5. LinuxMint Debian Edition

Trois ans sont passés, et quelques modifications doivent être apportés aux deux classements. Commençons par le flop 5, étant donné que deux ont passés l’arme à gauche. J’ai cependant enlevé OpenSuSE, car j’ai trouvé pire entre temps 🙂

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Comment bien choisir sa distribution GNU/Linux ? Quelques conseils.

Il m’arrive de recevoir des courriers électroniques qui me demandent : quelle distribution choisir ? Avec presque 300 distributions indexées encore vivantes, fin avril-début mai 2015, sur la bible de l’actualité linuxienne, c’est comme chercher une aiguille dans une botte de foin sans avoir de détecteur de métaux pour se simplifier la tâche.

Cet article a été cloné dans une page pour rester en libre accès.

Voici donc une série de cinq commandements pour vous permettre de dégrossir votre recherche. Les listes ci-dessous sont aussi exhaustives que possible.

Premier commandement : Tu n’iras pas au-dela de la première génération descendante des distributions mères.

Par distribution mère, je parle des distributions nées entre 1992 et 2002 et toujours en vie de nos jours. Par ordre alphabétique :

  1. Archlinux (née en 2002)
  2. Debian GNU/Linux (née en 1993)
  3. Gentoo Linux (née en 1999) et sa « jumelle » Funtoo Linux plus simple d’accès par endroit
  4. Red Hat Linux (née en 1994) surtout connue pour son projet communautaire Fedora Linux (né en 2003)
  5. Slackware Linux (née en 1993)
  6. SuSE Linux (née en 1994) surtout connue pour sa dérivée OpenSUSE

Si on prend leurs descendantes directes les plus connues, cela donne principalement :

  1. Manjaro Linux
  2. Ubuntu et ses saveurs officielles : Kubuntu, Xubuntu, Lubuntu, Ubuntu Gnome, Ubuntu Mate, Ubuntu Kylin
  3. Sabayon Linux (en piteux état !) ou encore la Calculate Linux
  4. CentOS Linux ou encore la Scientific Linux. Sans oublier l’excellent Viperr.
  5. SalixOS
  6. Pour OpenSUSE, je n’ai rien qui me viennent à l’esprit 🙁

Pour la Debian GNU/Linux, je rajouterai des projets comme la HandyLinux par exemple. Les rares exemples de distributions « petites-filles » qui valent la peine ? LinuxMint, Emmabuntüs sont les deux premiers noms qui me viennent à l’esprit.

J’allais oublier une distribution qui me tient à coeur, la descendante de la mythique Mandrake Linux, j’ai nommé la Mageia.

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Ma quête pour une distribution GNU/Linux idéale pour un Asus eeePC 1005, partie 1.

On m’a donné un Asus eeePC 1005HAG dont les caractéristiques principales sont les suivantes :

  • Écran 10,1 pouces
  • Mémoire vive de 1 Go
  • Disque dur de 160 Go
  • Processeur Intel Atom N270 à 1,6 Ghz
  • Circuit vidéo intel GMA 950

Le tout sous MS-Windows XP. Vous comprenez que cette machine n’est désormais plus utilisée par son propriétaire d’origine. Ayant besoin d’un petit ordinateur de cette catégorie pour le travail scriptural nocturne, le confort de pouvoir écrire tout en étant confortablement allongé dans son lit, j’ai décidé de faire passer l’ensemble sous une distribution GNU/Linux pour lui donner quelques années de vie supplémentaires.

La question est simple : Quelle distribution ?

Déjà, par rapport à la taille de l’écran et la taille de la mémoire vive installée, Gnome et KDE SC sont hors de question. Enlightenment ? Je ne le connais pas assez pour m’y aventurer. Openbox est un choix que j’envisage aussi, mais pas les gestionnaires de fenêtres à la i3, dwm et compagnie. Je ne suis pas encore assez barbu pour les apprécier 🙂

Ensuite, pour des raisons pratiques surtout liée à la durée de compilation de certains logiciels, je préfère les distributions à paquets précompilés. Si possible en rolling release ou avec des paquets les plus frais possible.

Ce qui exclue des distributions comme Debian GNU/Linux ou encore une des innombrables dérivées de la Ubuntu.

La liste primaire et qui pourra s’allonger des distributions que j’envisage pour cette petite machine ?

Pour le moment, je vais me contenter des deux premières options, la troisième fera l’objet d’un article séparé. Étant donné que c’est une machine avec un processeur 32 bits, cela limite encore un peu plus mon choix.

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