En vrac’ de milieu de semaine…

Puisqu’il faut remplir le milieu de semaine, vrac’ons !

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Bonne fin de journée ! 🙂

En vrac’ de fin de semaine…

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac… Et même si on approche petit à petit de Noël, je ne vais pas me géner.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Pour finir, une petite vidéo sur le monde du libre et la volonté d’une partie de celui-ci de conserver un joujou pour geeks avec l’aura de demi-dieu que cela confère.

Bon week-end 🙂

« Scape Works », le troisième et dernier EP de Lucy Claire pour 2018.

Fin novembre 2018 est paru le troisième et dernier EP de Lucy Claire pour l’année 2018.

Après « String Works » en mars 2018 et le désormais indisponible « Piano Works » en juin 2018, voici donc le dernier opus.

Plus intimiste que les deux premiers, « Scape Works » nous plonge dans les voyages effectués par Lucy Claire.

Durant les presque 19 minutes de l’album, nous sommes soit dans l’ambiance d’un voyage en train « All Its Colours on Me », ou dans une ambiance un peu plus « forestière » comme dans la piste « Ninety-Nine Stone » où l’on peut entendre le violon de Marie Schreer s’exprimer une nouvelle fois, après sa participation sur l’EP « Piano Works ».

On termine avec une ambiance digne d’un métro avec la piste « Underground ». Cette piste me rappelle un peu la piste « Ethnicolor II » de Jean-Michel Jarre, en moins électronique.

J’attends avec impatience de voir – et d’entendre – ce que Lucy Claire proposera pour l’année 2019 maintenant !

En vrac’ de milieu de semaine…

Pour varier un peu les plaisirs, un en vrac’ de milieu de semaine.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Bonne fin de semaine ! 🙂

« Persona », premier album de François Merlin… Du post-rock français comme je l’aime !

Comme je l’avais dit dans l’article consacré au nouvel opus de KesakoO, voici donc un autre article musical, consacré au premier album de François Merlin. Compositeur et interprète spécialisé post-rock, il m’avait contacté pour me parler de son premier album que j’ai eu l’occasion d’écouter et d’apprécier en avant première.

Ayant acheté une version numérique de l’album – en attendant sa version physique – voici donc un petit article pour vous le présenter plus en détail sur Persona.

Je dois le dire, j’apprécie le post-rock français que j’ai découvert il y a de nombreuses années avec les orléanais de Have The Moskovik.

L’album malgré son nombre important de pistes ne fait qu’un peu plus de 33 minutes. On est loin de l’image de l’album de post-rock avec des pistes dépassant les 7 voire 8 minutes. Ici on est dans le « on fait court et costaud » ce qui n’est pas plus mal.

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« In my head », le nouvel album de KesakoO.

En attendant un article qui sera publié après celui-ci et qui sera aussi musical, commençons avec KesakoO. J’en ai déjà parlé lors de ses précédentes créations, en octobre 2017 avec l’EP « Noctis » (dans un article consacré à ma découverte du trip-hop) ou bien avant avec « Merysland ». Quand j’écris cet article, en novembre 2018, Kesakoo continue le financement participatif d’une version physique de l’album dont je vais vous parler dans cet article.

Donc, en ce mois de novembre 2018, KesakoO remet une couche avec son nouvel album, « In my head », au prix modique de 5€ au format numérique sur Bandcamp.

L’album est assez court, un peu plus de 27 minutes pour 7 pistes. Ce qui fait qu’on change régulièrement d’ambiance. On commence avec la piste éponyme.

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« Repeat Please! » de Healing Unit : entre jazz classique et improvisation pure, quel bonheur !

Le Fondeur de Son est un label de jazz que j’apprécie énormément et dont j’ai déjà eu plusieurs fois l’occasion de parler, étant donné qu’ils m’ont gracieusement fait parvenir plusieurs albums : avec « Serious Stuff & Lots of Lightness » (en avril 2017), « Imaginary Africa Trio » (en septembre 2017) et « MAr0kAït » (en novembre 2017).

C’est via leur liste de publication que j’ai appris l’existence du troisième album de Healing Unit, projet créé par le pianiste et percussionniste Paul Wacrenier, en collaboration avec le trompettiste Xavier Bornes, le saxophoniste Arnaud Sacase, le bassiste Marco Quaresimin et le batteur Benoist Raffin. Il propose un jazz assez traditionnel, mais qui n’hésite pas à aller défricher les terres du jazz expérimental.

C’est le cas avec cet album qui le rend très agréable à l’écoute.

On commence avec une piste d’introduction qui semble partir dans tous les sens, mais très vite, on revient aux canons du jazz tout ce qu’il y a de plus classique.

C’est ce qui m’a plu dans cet album : toujours à flirter entre des pistes d’un classicisme presque caricatural et d’autres qui sont largement plus libres.

La piste éponyme de l’album est dans ce cas, très classique. Elle s’enchaîne sans interruption avec « Blues for AEC » qui nous plonge dans une ambiance digne des années 1920. Le petit grain de folie est présent avec le saxophone qui part parfois un peu dans les aigüs.

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En vrac’ de milieu de semaine…

Pour varier un peu les plaisirs, un en vrac’ de milieu de semaine.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

  • Une bonne nouvelle pour les fans de distributions en rolling release : la Void Linux propose enfin de nouvelles images ISO d’installation… Il faut dire que les précédentes avaient quelque chose comme un an d’ancienneté. Plus d’infos sur les notes de publication.
  • Pour les fans de projets alliant le fou à l’inutile, je demande la ReactOS 0.4.10, vous savez la réécriture de MS-Windows en logiciel libre et open-source. Outre le fait que l’OS soit reconnu comme NT 5.2 (alias Windows 2003 Server), il rajoute un système de fichiers indispensable : Btrfs !
  • La DGLFI de la semaine, qui sera sûrement abordée par Adrien Linuxtricks sur sa chaine youtube, la Bentoo. Prenez une Funtoo, rajoutez dessus des paquets précompilés, et voila !

Côté culture ?

Bonne journée 🙂

« Dionysus » de Dead Can Dance, suite logique de « Spiritchaser » ?

En 1996, Dead Can Dance sortait son excellent « Spiritchaser ». Tribal, chaud, il était au bout du cycle entamé quelques années plus tôt par « Into The Labyrinth ».

En 1998, le duo sort « The Lotus Eaters » qui ne sera disponible que sur la compilation « Wake ».

Il faudra attendre 2012 pour que sorte « Anastasis » qui renouera à l’époque avec les ambiances collant plus au début du groupe. J’avais pu voir le groupe à l’occasion de la tournée mondiale liée à la sortie de cet album, à Nîmes en 2013.

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Parlons un peu bande dessinée : les FDP de Tubonia.

Je dois dire qu’avec mon activité frénétique sur Youtube, je n’ai pas eu trop le temps de me plonger dans des livres ou des BD depuis le début de l’année 2018.

Il faut remonter à fin janvier 2018 pour un article rapide sur le roman d’Isabelle Rozenn-Mari, « Les larmes d’Alyssa ».

Mais je vais aborder dans ce court article une BD née sur Youtube – encore ? – et qui a connu un financement explosif sur Ulule, je parle bien entendu des FDP de Tubonia. FDP ? Pour Force De Protection 🙂

Après avoir atteint un gros demi-million d’euros de financement (soit 3478% du montant d’origine), la BD dont le projet est né dans le trio de youtubeurs français Absol Vidéos, Antox Colaboy et Sir Gibsy, à la mi-juin 2017, il aura fallu environ 15 mois au Dessinator et son bras droit Florianks pour finir le premier tome d’une BD qui reprend le monde Youtube d’une manière déjantée.

Le 4ème de couverture est plus que parlant…

Dans le royaume de Tubonia, un déséquilibre dans les énergies qui régissent le monde vient pertuber la vie de ses habitants.

Les Tuboniens, héros et protecteurs du royaume, cessent peu à peu d’animer leurs belles cités, et les transforment en des lieux de débauches… Certains même n’apparaissent plus depuis longtemps, plongeant Tubonia dans une ambiance délétère.

Alors que Saint-Antoine est censé faire son apparition annuelle afin de répandre une grande dose de bonheur dans tout le royaume, celui-ci se trouve aussi aux abonnés absents. Sa cité infestée de haiteurs se retrouve saccagée.

Mais le mage Absol, Sir Gibsy et Anthox Colle-à-Bois décident de partir à sa recherche afin d’élucider tout ce mystère. »

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