Tiens, Oracle vient de sortir une version à jour de Solaris 11, la 11.1. J’ignorais encore que Solaris existait. Bonne nouvelle, pour les personnes qui l’utilisent. :]
Dans le genre distribution GNU/Linux de niche, une nouvelle CinnArch vient de sortir. Faudra voir ce qu’elle donne.
Les ultraportables un flop ? Pas possible, vendre des machines à 1000 €, tout le monde ne s’appelle pas Apple !
Intrigué, je lance la lecture du flux, et c’est une claque monumentale. Une musique douce, toute en cordes, sons doux, qui berce l’auditeur.
Des musiques toutes simples, entrainante, comme la piste « A Runaway Kite » ou encore « An Older Couple Handing Hands » qui plonge l’auditeur dans un monde doux, reposant. Tout l’album est ainsi fait, on ne se lasse pas de ces mélodies simples, mais pas simplistes. Le genre de musique qu’on aime à écouter quand on veut se détendre.
Les morceaux sont très court, le plus long n’arrivant à qu’à un peu plus de 3 minutes. Ce qui permet de garder l’auditeur attentif. La grosse demi-heure que dure l’album est un pur bonheur. Et quand on arrive à la fin, on se dit : déjà ? Et on se relance la lecture pour retourner dans une période de douceur.
Autant dire que je pense écouter les autres opus du duo, et peut-être compléter la discographie du duo.
J’ai eu envie de parler de deux albums qui m’ont particulièrement plu. Pour des raisons pratiques, j’ai coupé l’article en deux.
Commençons par le nouvel opus des « And The Giraffe » qui sortira officiellement le 2 novembre prochain, et qui est disponible en précommande : « Creature Collector »
Si vous avez écouté et aimer le premier opus, dont j’avais parlé en février dernier, aucun doute, vous aimerez ce nouvel opus. C’est la même recette : de la pop folk étherée, douce, sucrée comme dans un rêve.
Comme pour le premier opus du groupe, dès la première piste on se laisse emporter, et quand arrive la dernière piste, on se dit : merdre, c’est déjà fini ?
Et inutile de poser la question, j’ai précommandé un des 50 exemplaires en version physique, en espérant ne pas être arrivé trop tard 🙂
Je tiens à remercier Greg pour l’info que j’aurais ignoré autrement 🙁
Avant que vous me jettiez la moindre pierre sur la tronche, je dois dire que j’aime cette distribution. Ce fut mon premier aperçu de ce qu’était une distribution GNU/Linux, vers 1997, avec une version personnalisée de la Slackware Linux 2.3 que l’on pouvait installer sur une partition dos en utilisant la technologie umsdos.
J’ai donc décidé de consacrer un article à la distribution GNU/Linux qui m’a fait découvrir ce monde étrange du logiciel libre, bien des années avant que je migre pour de bon.
La distribution est conservatrice, et c’est pas plus mal. Car une personne qui connait l’installateur de la Slackware Linux ne verra presque aucune différence au fil de versions. Je pense même que la première fois que j’ai vu l’installateur de la Slackware Linux – en 1997 – ne me dépayserait pas trop de nos jours 🙂
De cet album, je lui trouve pas mal d’inspiration de la musique électronique années 1980, pour ne pas citer l’un des compositeurs de cette époque, un certain Jean-Michel Jarre.
Bien entendu, les influences de StrangeZero sont multiples, mais sans vouloir faire mon cuistre, les influences de la musique électronique du compositeur français se fait un peu entendre, comme sur la piste d’introduction, qui a des parentés avec « Arpegiator », tiré des Concerts en Chine. Ou encore sur « This Is Our Future » avec des samples étrangement équinoxien 🙂
Et on comprend pourquoi près de 3 ans de travail ont été nécessaire depuis leur précédent album, « Newborn Butterflies ».
D’ailleurs je dois dire que l’album s’écoute avec une facilité déconcertante. Les pistes s’enchainent comme on enfile des perles sur un collier. Des voix féminines sont entendues de temps à autres, se mariant très bien avec les mélodies, comme sur « Beautiful Noise », par exemple. Et que dire du morceau éponyme, si ce n’est : rahhh, lovely ?!
Tout est bon dans cet album. Et il est rare de trouver un album sans un ou deux plus faibles, voire carrément à sauter à la lecture.
C’est fluide, ça se laisse écouter. J’adore. D’ailleurs, les 71 minutes que durent l’album passent sans qu’on s’en aperçoivent. Le dernier morceau n’est autre qu’une reprise du discours de Charles Chaplin dans son chef d’oeuvre, « Le Dictateur ». Qui m’a donné envie de revoir ce film de 1940.
Et pour vous mettre en bouche, voici le clip de « Beautiful Noise ».
Quand les pays en voie de développement veulent libérer leur informatique, ça donne des projets comme la Hanthana Linux 17, basée sur la Fedora Linux… 17. C’est un projet d’origine Sri-Lankaise.
Hier soir, j’ai fini de visionner l’un des chef d’oeuvre de l’année 1941, un certain « Citizen Kane » d’Orson Wells. J’avoue que j’avais entendu parler de ce film, et du mot qui lui est invariablement associé, « Rosebud ». Il faut attendre près de deux heures, avec des procédés révolutionnaiers de tournage à l’époque, pour comprendre ce que « Rosebud » signifiait dans la bouche de Charles Foster Kane.
J’avoue que j’ai été étonné, mais cela m’a fait penser à certaines fins de séries ou de films qui sont tout autant bizarre.
Mais pour les fins bizarrse, je demande des films plus récent, comme par exemple le déjanté film de Greg Arraki, « The Doomed Generation » (1994) qui n’est pas conseillé pour les cardiaques.
Ou encore l’énigmatique « Donnie Darko » (2001) qui je l’avoue m’a scotché jusqu’à la fin.
Coté série culte, la première qui a une fin bizarre, c’est « Le Prisonnier ». Celui d’origine de 1967, pas celle des années 2000 qui est sans grand intérêt.
L’ultime épisode, j’aurais plutôt tendance à dire le duo des deux derniers épisodes qui clôt la série, à savoir « Once upon a Time / Fall out » en français « Il était une fois / Le dénouement » est un duo sur lequel on pourrait écrire des botins entiers.
Pourquoi le numéro 1 est ainsi représenté ? Pourquoi l’assemblée des personnes masquées ? Pourquoi la fusée ? Pourquoi tant d’autres choses ?
Si vous avez d’autres fins de films ou de série bizarre, n’hésitez pas à le dire, je suis preneur 🙂
Y a des jours on se dit : bah, j’aurais aucun courrier intéressant, ou au mieux que de la publicité. Ce matin, je m’étais levé avec cette idée… Mais après avoir attendu le passage du facteur, j’ai du conclure le contraire…
Et c’est très varié : du rock progressif déjanté, de l’electro-pop gipsy ou encore de la folk-rock classique 🙂
Autant dire que 5 albums d’un coup, ça fait vraiment plaisir, surtout que je n’ai plus de CDs en attente, enfin presque… J’ai acheté un album « mythique » de la fin des années 1970, d’un certain Gary Numan, « The Pleasure Principle ».
Dont voici l’un des morceaux principaux en live, en 1979, « Down in the park ».
En gros, la même période (à deux ou trois ans près) d’un certain… Klaus Nomi. Autre extraterrestre musical 🙂
Quand on va sur Bandcamp, en sautant de recommandations en recommandations, des meilleures ventes au moins connus, on tombe sur des bijoux. Suffit d’être curieux et d’avoir – cela compte – de la chance 😉
L’album « Carry Us All Away » de Lowercase Noises est l’exemple parfait. Alors que je cherchais des compositions éthérées à base de guitare, histoire d’avoir un fond musical reposant quand j’ai besoin d’écrire, je suis tombé sur cet album, et j’ai su dès la troisième piste qu’il fallait que je l’achète.
Découvrez donc le jeu reposant et invitant à la méditation de Andrew Othling alias Lowercase Noises. Et vous verrez que même les 4,99$ demandés pour la version numérique les valent vraiment. Dommage que l’album soit un classique « Tous droits réservés », mais ne vous détournez pas de l’album pour autant !
à trouver quelques pépites qu’on a pu télécharger voire – soyons fou – graver sur un CD-R. Parmis mes quelques 400 albums (et les 50 à 60 que j’ai pu avoir via Bandcamp), il y a des albums qui accroche l’oreille, qu’on écoute, qu’on achète contre une somme modique, voire qui sont en téléchargement gratuit.
En fouillant dans mes CD-R gravés pour trouver quelque chose à mettre dans les cages à miel, je suis tombé sur « Shadow Of The Tree » de Neptune Owl.
Si vous aimez les musique d’ambiance, matiné de guitares douces, légèrement progressive, cet album sera vous chatouiller les tympans. On est loin des musiques qui permettent de se réveiller le matin après une courte nuit 🙂
Le seul hic, c’est une musique publié sous un très classique « tous droits réservés » :/