Auto-édition, le retour de la vengeance :)

Dans un article de septembre 2019, je parlais d’une série de contes que j’avais mis plusieurs mois à écrire à destination de mes filleuls.

Une étape importante a été franchi il y a quelques mois, mais n’étant pas dans la course à l’argent, je n’en parle que maintenant. En effet, les contes sont disponibles sur Amazon au format électronique (et j’ai poussé sur les conseils avisés de la « Dame en noir », private joke) à 2,99€ sachant qu’une vente me rapportera à peine 0,99€.

Pour le format papier, c’est 7€ hors taxe, soit 7,38€. Et mes royalties s’élèveront à 1,78€. Autant dire que pour arriver aux symboliques 1000€, il me faudra 1010 ventes au format électronique ou seulement 561 ventes au format papier. Youpi !

Je m’en explique plus longuement dans cette vidéo :

Voila, comme on le dit souvent, on n’est jamais mieux servi que par soi-même.

En vrac’ de fin de semaine.

Un court billet rédigé en un samedi matin plutôt nuageux du mois de juin 🙂

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

  • George Orwell connu pour son roman dystopique « 1984 » ou encore pour des romans comme « Hommage à la la Catalogne » et « La ferme des animaux » va entrer dans la collection de la Pléiade.
  • Prenez une enquête policière, deux photos et une vieille pièce italienne découvertes dans le coffre fort d’un vieillard sans histoire et vous aurez « Bien paraître » de Sébastien Mayoux qui m’a été conseillé par Agnès de Destination Passions.

Dans la série, « on continue la longue quête des longplays pour Planet-X3 » déjà évoquée dans cet article, en voici un nouveau, le sixième, consacré à la carte « 2nd Strike ».

Bon week-end 🙂

En vrac’ de fin de semaine :)

Un court billet rédigé en un samedi matin plutôt doux du mois de juin 🙂

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Bonne journée 🙂

Où en est l’auto-édition en ce milieu d’année 2020 ?

Oui, je sais, vous allez me dire que je publie ce billet le 11 mai 2020 et que techniquement, l’année 2020 n’est pas encore arrivée à sa moitié. Je suis d’accord, mais après 7 semaines de confinement (17 mars au 11 mai), on a l’impression que cela a duré bien deux fois plus longtemps en réalité.

Ma collègue Agnès du blog Destination Passions a profité du confinement pour faire le grand nettoyage dans son blog. Au bout de 8 ans, cela est nécessaire.

De mon côté, j’ai fini la première version du long texte que j’ai écrit pour mes filleuls et qui paraitra – si je le décide ainsi – en auto-édition. Rien n’est décidé pour le moment, et pour tout dire, depuis le billet que j’ai écrit le 13 novembre 2019 – donc il y a 6 mois – je n’ai plus lu une seule ligne d’un texte auto-édité. Je vais être plus franc, depuis le roman « Maddie si tu savais » d’Isabelle Rozen Mari, paru en juin 2019, je n’ai plus touché à un texte auto-édité.

Manque de temps ? D’envie ? Pas seulement. Pour reprendre la conclusion de mon article du mois de novembre 2019 :

[…]
Pourquoi les maisons d’édition auraient-elles peur d’un phénomène qui leur permet d’avoir un comité de lecture énorme à titre gracieux. Il suffit de laisser les lecteurs et lectrices faire le tri dans le magma de l’auto-édition pour voir ce qui fonctionne… Du moins, si cela est un minimum de qualité 🙂

[…]
Sur ce, je vous laisse, j’ai la vraie vie, celle où l’auto-édition est un infâme magma de productions vendues horriblement cher pour un contenu à la typographie ignoble, à la grammaire et l’orthographe indignes d’un enfant de CE2.

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En vrac’ d’un dimanche de Pâques confiné.

Troisième billet en vrac’ depuis le début du confinement lié au covid-19… Et ce ne sera sûrement pas le dernier.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Pour finir, une vidéo positive sur le monde du logiciel libre, comme quoi, il m’arrive d’en faire parfois !

Bon week-end prolongé 🙂

En vrac’ de fin de semaine…

En cette Saint Valentin 2020, vrac’ons un brin 🙂

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Pour finir, mon dernier « C’est trolldi, c’est permis » où je m’amuse avec la vénérable et sacralisée Debian GNU/Linux.

Bon week-end 🙂

En vrac’ de fin de semaine…

En vrac’ dominical pour commencer le mois de février 2020.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

  • Mobius qui mélange le metal progressif, symphonique et les influences indiennes vient de sortir son nouvel album « Kala ».
  • Un ami auteur auto-édité, Xavier Delgado, m’a dit qu’il a publié à compte d’éditeur un court texte. Le voici, bien qu’avec du retard : « Vie et mort ».

Bon week-end 🙂

Mes tops de 2010 à 2019.

Après l’article des flops qui a provoqué l’arrivée des commentaires pavloviens habituels sur certains sujets, autant attaquer ce qui a été positif dans les dix années qui viennent de s’écouler.

Commençons par l’informatique. Le monde du logiciel libre, ce n’est pas seulement Saint iGNUcius et sa toge, l’échec de GNU/Hurd ou encore Gnash.

C’est aussi des très bonnes surprises comme LibreOffice. Qui aurait parié sur la survie du fork d’OpenOffice.org que laissait pourrir sur pied Oracle ? Pas grand monde. Tout comme Mate-Desktop, né en juin 2011 sur le forum d’Archlinux ? J’avoue que je n’y croyais pas trop au début… Mais c’est devenu mon environnement près de 4 ans depuis sa version de développement 1.13.0… De mémoire, bien entendu.

Sur le plan des distributions GNU/Linux, j’ai fini par trouver ma maison : Archlinux. Même si j’ai passé un peu moins de trois mois en deux temps sur Frugalware Linux, au 1er janvier 2010 j’étais sous Archlinux. Au 1er janvier 2020, idem. Comme quoi, pour une distribution dont les détracteurs disent qu’elle ne tient pas la route, c’est pas mal 🙂

Autre très bonne surprise, malgré quelques couilles dans le potage, c’est Manjaro Linux qui fait vivre mon vieil ordinateur portable, et dont l’installation approche tranquillement des 18 mois 🙂

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Mes flops des années 2010 à 2019.

Pour bien commencer l’année 2020, j’ai eu envie de revenir sur les plus gros flops des années 2010 à 2019 de mon point de vue de simple blogueur et utilisateur de logiciel libre. Liste qui sera non-exhaustive, car il m’est impossible de tout lister et de me souvenir de tout.

Bien entendu, l’exemple le plus évident qui me vient à l’esprit, c’est l’incapacité du libre à percer sur le marché des ordinateurs de Monsieur et Madame Tout le monde. Entre les guerres intestines, les idéologues du monde du logiciel libre complètement coupés de la réalité, l’utilisation abusive du noble principe du fork, l’incapacité entre les différentes communautés de s’entendre, c’était peine perdue d’avance.

J’ai longuement développé les points ci-dessus au fil des années. Mais le monde du logiciel libre étant sourd à toute critique des dérives qui le dépouille de toute crédibilité, c’était perdu dès 2011-2012.

Comment ne pas s’apercevoir que la volonté de quelques acteurs de se la jouer cavalier seul – oui, Canonical je parle de toi – était délétère ? Que le détesté puis regretté Unity n’a pas joué contre la démocratisation même minimale du logiciel libre ?

On pourrait rajouter la volonté de maintenir en vie des projets qui tiennent plus de l’histoire que de l’actualité, les dizaines de distributions qui n’étaient au final que des coquilles vides, mortes en l’espace d’un ou deux ans, après avoir gaspillé des précieuses ressources qui auraient pu être utilisées ailleurs ?

Comment ne pas se souvenir en riant – jaune – de l’épopée malheureuse de la mauvaise copie de MacOS qu’était PearOS ? D’étrons intersidéraux comme la Micro-R OS ou la Cubuntu ? Je pourrai rallonger la liste, mais à quoi bon ?

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Y a pas que le blog ou la dogmatique informatique libre dans la vie

Alors que mon déménagement est à 99% derrière moi – il ne reste plus qu’une seule démarche administrative en cours – j’ai pu reprendre un rythme de vie moins tendu.

En presque 46 ans, je n’ai déménagé que 4 fois dans un délai de 17 années. Il faut dire qu’avoir habité jusqu’en 2002 dans la ville où j’ai été de l’école maternelle au collège, n’allant au lycée qu’à une dizaine de kilomètres, ça vous donne un caractère casanier 🙂

J’ai donc profité d’un calme relatif pour me remettre à travailler sur un long texte dont j’avais déjà parlé en octobre 2019. À l’époque, je n’avais écrit qu’un peu plus de 130 pages, pour un total d’environ 21 h 20 en cumulé.

Depuis, j’ai rajouté une quinzaine de pages, et je suis arrivé à presque 150 pages pour un total d’un peu plus de 25 heures de travail en cumulé. Si on reste dans les statistiques, cela fait trois parties de 14 à 15 chapitres assez courts, avec un épilogue intermédiaire à chaque fois. Un total de 46 sous-parties si on peut le dire ainsi.

Je me demande si une dernière partie ne viendra pas s’ajouter pour arriver à une soixantaine de chapitres au final. En partant d’une trilogie de contes écrits pour mes filleuls qui ne faisait qu’environ 3000 mots… Autant dire que c’est presque de l’hyperinflation en terme de taille 🙂

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