En vrac’ de fin de semaine.

En ce milieu de week-end prolongé, bien qu’un peu tard le dimanche, voici donc le billet qui va bien 🙂

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ? Pas grand chose, désolé.

Bonne fin de week-end prolongé !

Orotoro : une autre preuve que Bordeaux est une ville très intéressante, musicalement parlant.

Même si c’est une région connue pour les opportunités de s’éclater la panse dans la bonne humeur, il y a des groupes qui valent le détour. Pour les fans de folk metal, j’avais déjà parlé d’Aequinoctium Sanguinis dans un billet en vrac’ d’octobre 2015.

Pour du rock plus classique, il y a Here[in] dont j’ai parlé en juillet 2011.

Bref, que du beau linge. En septembre 2016, dans un billet « en vrac' », je parlais rapidement du premier EP du quartet bordelais Orotoro. Il mélange habilement le stoner, le metal et le progressif.

Fouillant dans mes archives, je suis retombé sur le billet parlant d’Orotoro, et j’ai appris avec grand bonheur qu’un deuxième EP était sorti en novembre 2016, et qu’en février 2017, un CD compilant les deux premiers EP était sorti. L’occasion était trop belle pour ne pas l’écouter… Et l’acheter 🙂

Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le terme progressif n’est pas usurpé. La plus petit piste dépasse les 5 minutes 30, la plus longue frôle les 11 minutes… 8 pistes pour un total de 63 minutes. Bonne moyenne, non ? 😀

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« Serious Stuff & Lots of Lightness » de Anti RubBer brAiN fAct0rY & HmAdchA : quand le Free Jazz et les musiques traditionnelles marocaines se rencontrent.

Comme j’ai déjà pu l’écrire, je suis contacté par des artistes, des groupes, voire des petits labels pour me faire connaitre leurs dernières productions. Quand « Le Fondeur de son » m’a contacté pour me parler de l’enregistrement en concert à l’Institut du Monde Arabe de Anti RubBer brAiN fAct0rY, un orchestre dirigé par le contrebassiste Yoram Rosilio en collaboration avec la confrérie marocaine des Hmadcha, j’avoue que j’ai été intéressé.

Il est dommage que seul deux extraits soient disponibles. L’album complet contient 5 pistes et fait plus de 57 minutes… Autant dire que les pistes sont longues et travaillées. Évidemment, c’est le genre d’album qui sort des sentiers battus.

L’album est cependant écoutable dans sa totalité sur l’espace soundcloud dédié.

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« Seuls les moins humbles en hériteront », le nouvel EP de Hors Sujet.

Et oui, encore du post-rock français ! Florent Paris alias Hors Sujet dont j’avais parlé du premier (?) album en novembre 2015, m’avais prévenu il y a quelques temps de la
https://horssujet.bandcamp.com/album/seuls-les-moins-humbles-en-h-riteront. J’avais décidé de ne rien dire jusqu’à la sortie officielle en ce 24 avril 2017.

2 pistes, 21 minutes, un titre à rallonge, donc les saint canons du post rock sont respectés.

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En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac’ 🙂

Après avoir été accomplir mon droit civique (comme pour chaque élection depuis 1992), et même si cela ne sert pas à grand chose, voici donc le billet en vrac’ de fin de semaine.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ? Pas grand chose, désolé.

Bonne journée !

Confession d’un amateur de musique, épisode 11 : ma découverte du trip-hop avec Portishead.

Il y a un genre musical que j’aime écouter de temps en temps, quand j’ai envie de me changer les idées, c’est le trip-hop. Je suis assez sélectif dans ce genre musical, et je dois avouer que mon « dépucelage » musical dans ce domaine a été fait par le groupe le moins stakhanoviste du domaine, Portishead.

Comme pour Dead Can Dance (qui a inauguré cette série de billets en juillet 2016), je dois la découverte de ce genre musical à une amie et future collègue en 2008.

Je connaissais vaguement le titre le plus célèbre du premier album du groupe de Bristol, « Glory Box » dont ma version préférée est celle du live à New York :

Dès que je suis plongé dans le premier album, je n’ai rien trouvé à jeter, que ce soit « Sour Times », « Roads », « Mysterons » ou encore « Wandering Star ».

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En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac’ 🙂

Il sera particulièrement court, vu qu’il fait beau… 😀

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ? Pas grand chose, désolé.

  • Jérôme Dumont vient de sortir le tome 9 de sa série policière « Rossetti & McLane », intitulée « La preuve par neuf »… Je me tairai sur l’inventivité du titre 🙂
  • Red Forest, groupe de post-rock français, vient de sortir son nouvel EP, uniquement ne numérique, « Icarus Fall ».

Bonne fin de week-end !

Rotters Damn : le premier LP est enfin disponible.

Les Rotters Damn, c’est un groupe de folk-rock originaire de Mayenne dont j’avais parlé du deuxième EP, « Objections » en juillet 2015. Dommage que les liens de l’article soient cassés. Mais c’est la vie 🙂

Étant abonné aux nouveautés du groupe via Bandcamp, j’ai appris en ce 14 avril la sortie de leur premier album long, « But my friend you know that I think I love you ». Oui, ça fait un titre assez long 🙂

Note : Je tiens à préciser en introduction qu’au moment où je rédige cet article, le 14 avril 2017, je n’ai pas encore acheté l’album en question. Mais il est dans ma liste de souhaits, ce qui est bon signe pour la suite 🙂

Note 2 : je l’ai acheté par la suite… Et il est allé rejoindre son camarade dans ma collection 🙂

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Missine+Tripstoic : où comment découvrir le tripoprock !

Vous le savez sûrement, j’ai toujours été fasciné les sous-genres que certains genres musicaux peuvent proposer. Dans la famille du metal, c’est bien simple, une araignée n’y retrouverait pas ses petits même en cherchant durant des années.

En fouillant sur le réseau encore plus fantomatique que Google Plus, j’ai nommé diaspora* et spécialement son pod qu’est la framasphere*, je suis tombé sur un billet qui m’a interpellé en utilisant l’étiquette #musique.

Je suis donc allé sur le site officiel qui permet de télécharger gratuitement et librement le premier album d’un groupe qui propose un mélange qu’on peut définir ainsi : un tiers de trip-hop, un tiers de pop et un tiers de rock.

D’ailleurs, j’aurai pu penser en regardant le nom du groupe à une formation digne du post rock, étant donné que la dénomination complète est : « Missine + Tripstoic and 2 Ghosts From The Orchestra »

Suffit de prendre une bonne inspiration et on y arrive 😀

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Cardamohm, une bonne initiation à l’ethno-trance ?

Je suis toujours étonné par les genres musicaux et leur démultiplication à l’infini. Je ne connaissais pas l’ethno-trance jusqu’à ce que j’entende parler du premier album de Cardamohm, « A Seed », via un article de Unfamous Resistenza sur la framasphere*.

Il y a des albums que l’on a honte d’avouer aimer, et je dois dire que j’avais déjà entendu du mélange entre la musique électronique et l’ethnic / world avec un album sorti en 1984, comme j’ai pu l’évoquer dans un billet de septembre 2016.

J’avais déjà été initié aux rythmes saccadés de la trance avec les albums du duo « La Jungle ». Autant dire que le mélange de l’ethnique avec la trance m’interpellait quelque part… avec une salade de phalanges en pleine tronche au passage 🙂

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