En vrac’ de fin de semaine

Minuscule en vrac’ en ce vendredi du milieu du mois d’octobre 2021.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

La sortie de la semaine, c’est l’annonce de la cassette stéréo de la bande son du jeu « Attack of the Petscii Robots » qui contient sur la face A les versions pour Commodore 64 et Apple II de Noelle Noelle Aman, la bande son prévue à l’origine par Alex Semonov pour le Commodore PET et la bande son alternative de Anders Enger Jensen sur la face B de la cassette. Plus d’infos sur le site officiel du 8-bit Guy.

Sur ce, bon week-end 🙂

Que sont devenues les distributions GNU/Linux de 2016, septième épisode, août 2016.

Après un mois de juillet 2016 franchement clément, quel va être le bilan d’août 2016 ?

Bilan : sept projets, deux morts (Nolubuntu et Fast Computer Linux), un dans un coma profond (Viperr). Donc en comptant la Viperr, on est encore dans un taux de survie de 71,4%… Pourquoi cette impression de déjà-vu ?

En vrac de milieu de semaine…

Un court billet, en ce dernier jour du mois de juin, entre deux averses…

Côté informatique :

Côté culture :

Bonne fin de semaine 🙂

En vrac de milieu de semaine…

Un court billet, en ce milieu de semaine…

Côté informatique :

  • Dans le domaine des distributions GNu/Linux « sérieuses », je demande la Fedora Linux 34.
  • Toujours dans ce domaine, je demande la KaOS 2021.04, mais faut aimer KDE 🙂
  • Tiens, une arrivée à prévoir dans le monde agité des gestionnaires de services ? Alpine Linux – dont la coeur de cible est le serveur et les conteneurs – serait en train de prévoir le sien.
  • La DGLFI de la semaine : prenez une base Archlinux avec soit Openbox (comme ArchLabs) ou Bspwm (comme EndeavourOS). Secouez le tout et vous aurez le projet ArchCraft.

Côté culture :

Altesia, groupe de rock progressif bordelais, continue le financement participatif pour son deuxième album, prévu pour septembre 2021. Le financement s’arrêtera le 9 mai 2021.

Comme le monde du logiciel libre n’arrêtera jamais de surprendre par ses choix et ses affirmations à l’emporte-pièce, voici donc les deux derniers épisodes de ma série « Les pitreries du libre ». Et oui, c’est du lourd !

L’épisode 39 :

Et l’épisode 40 :

C’est tout pour aujourd’hui.

Bonne journée 🙂

Chassez le naturel, il revient au galop :)

Oui, j’imagine déjà les commentaires qui vont dire que je suis à la recherche d’un bruit médiatique, que je veux me payer la trogne de Canonical. Mais je reste dans les faits et je suis dans le constat. Depuis sa naissance en 2004, Ubuntu a été connu pour avoir tenté plusieurs fois d’influencer le monde du libre en imposant des solutions logicielles faites maison. C’est de bonne guerre, surtout quand on voit que le monde du libre est plus proche du capitalisme (avec la concurrence parfois hargneuse entre les projets) que du monde soviétique.

Mais je n’ai pas envie de lancer un débat sur les systèmes économiques ici. Revenons aux faits. Dans un article de fin avril 2019, je disais ceci :

[…]
Il y a une boîte qui a fait énormément de bien pour la démocratisation du libre qui est l’exemple même de cette politique de cavalier, c’est Canonical. Oui, la maison mère d’Ubuntu. Avant que certaines personnes ne sortent les haches, les torches et les cordes pour me lyncher, je tiens à préciser que j’ai apprécié ce qu’à fait la boite de Mark Shuttleworth durant les années 2004-2009. Depuis c’est moins le cas.

On peut citer au moins trois tentatives pour imposer ses solutions qui se sont viandées. Chronologiquement ?

1. Upstart (2006-2014)
2. Unity (2010-2016)
3. Mir en tant que remplaçant de Wayland (2013-2017)
[…]

Je vous renvoie à la suite de l’article en ce qui concerne le remplaçant de sysVinit et l’interface graphique pour les outils de Gnome 3.

Depuis, on peut rajouter les paquets universels appelés snap contre les flatpak (poussés par IBM et RedHat) et les Appimages. Je ne trouve aucun intérêt à ce genre de logiciels sur une distribution à flux constant contrairement au modèle de publication à date donnée (que la date soit impérative ou qu’elle glisse en fonction de l’avancement).

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