Toi aussi, deviens un expert linuxien… Crée ta distribution GNU/Linux grâce à RemasterSys… C’est tellement bien pour ton CV :D

Si les dérivées d’Ubuntu ont eu tendance à se démultiplier, pour le meilleur (la Linux Mint) comme le pire (non, pas de liste, ce serait trop long), c’est grace à des outils dédiés, dont un, RemasterSys

Même si le logiciel n’est plus développé sous ce nom, suite à une lassitude du développeur d’origine (cf la gueulante ci-dessous), il est toujours possible d’installer l’outil et d’appliquer une légère modification pour que le tout fonctionne encore du moins avec les Ubuntu 14.04 LTS.

Pour la gueulante ?

I have been doing this for almost 7 years now and after all the bs some folks created for me I have decided to stop development of remastersys and it will no longer be available.

Ce qui donne traduit :

J’ai travaillé dessus pendant près de 7 ans maintenant et après toutes les conneries (NdT: bs étant la réduction pour bullshit) que certaines personnes ont faites pour moi, j’ai décidé d’arrêter le développement de remastersys et il n’est plus disponible.

Est-ce à dire que l’auteur en a eu marre des distributions GNU/Linux qui se multipliaient comme des petits pains ? Apparemment, le projet existerait encore sous le nom de Black Lab au coût 50$ pièce avec des mises à jour à vie.

J’ai donc voulu créer ma propre distribution GNU/Linux simplement. J’ai pris une Xubuntu 14.04 LTS que j’ai très légèrement modifié :

  1. Remplacement du duo Abiword et Gnumeric par LibreOffice
  2. Remplacement de Parole par VLC
  3. Remplacement de gmusicbrower par Quodlibet
  4. Fond d’écran différent
  5. Utilisation du thème Numix
  6. Petit barre de taches en bas (non conservée durant la création de l’ISO ?)

Ensuite, j’ai lancé remastersys-gtk. J’ai demandé à ce qu’il utilise ma personnalisation (section « User whose current settings will be used as default »), puis j’ai lancé la création de l’ISO.

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Repose en paix, Bodhi Linux… Quelle sera la prochaine à mettre la clé sous la porte ?

La nouvelle est tombée il y a quelques jours. La Bodhi Linux, pour schématiser une Ubuntu LTS avec l’environnement Enlightenment, vient de voir son mainteneur mettre un terme à son projet.

Pour citer les propos du créateur de la distribution, il met le projet de côté pour diverses raisons :

I am sure anyone who has been following the Bodhi project has taken note that the 3.0.0 release timeline has not happened as expected. Due to a variety of reasons I would like to announce today that I will no longer be actively developing Bodhi Linux.

Ce qu’on peut traduire par :

Je suis sûr que tous ceux qui ont suivi le projet Bodhi ont pris note que la feuille de route de la version 3.0.0 n’a pas eu lieu comme prévu. À cause de plusieurs raisons, je voudrais annoncer aujourd’hui que je developperais plus activement Bodhi Linux.

Cependant, ce n’est pas un arrêt sec, et le mainteneur laisse le code disponible pour les personnes désirant reprendre le projet, pour reprendre les termes du créateur :

So if you are reading this and have an interest in picking up where I am leaving off, please contact me. All Bodhi related code can be found on my GitHub page and I am more than happy to help guide you in the right direction with how things work as you are getting started.

Ce qu’on peut traduire par :

Donc, si vous lisez ceci et que vous désirez reprendre là où je me suis arrêté, s’il vous plaît contactez-moi. La totalité du code de la Bodhi peut être trouvé sur ma page GitHub et je suis plus qu’heureux de vous guider dans la bonne direction sur comment l’ensemble fonctionne si vous êtes sur le point de démarrer.

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VintOS : le syndrôme « 15MTD » touche la Manjaro Linux à son tour ?

Par 15MTD, je veux dire : « 15 Minutes Tweaking Distro », en gros, une distribution GNU/Linux basée sur une plus célèbre que l’on peut reproduire en 15 minutes, montre en main.

VintOS est le dernier exemple sur lequel je suis tombé dessus, par le plus mauvais des hasards.

Pour simplifier ? Prenez une Manjaro Linux 0.8.10 Xfce, maintenez-la à jour, rajoutez le thème « Numix » d’Antergos, le noyau linux 3.14 LTS, et pour finir déplacer la barre des taches du bas vers le haut. Sans oublier une icone spécifique pour le menu de démarrage et un fond d’écran spécifique. En rajoutant quelques logiciels comme Gedit, Chromium, Mozilla Thunderbird et KDEnlive.

Tout ce qui pourrait prendre 15 minutes avec un tutoriel en une demi-douzaine d’étapes vous est facturé sous la forme d’une ISO de 1,8 Go…

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ ls -alh VintOS-v1-x86_64.iso
-rw-r--r-- 1 fred wheel 1,8G 13 sept. 09:07 VintOS-v1-x86_64.iso

Pour vous montrer comment reproduire la VintOS en partant d’une Manjaro Linux 0.8.10 à jour, on arrive à la VintOS, modulo le fond d’écran et l’icone du menu Whisker… Pour mémoire, l’ISO officielle de la Manjaro Linux 0.8.10 ne pèse que 1,2 Go.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ ls -alh manjaro-xfce-0.8.10-x86_64.iso
-rw-r--r-- 1 fred wheel 1,2G 13 sept. 11:48 manjaro-xfce-0.8.10-x86_64.iso

Je vais donc vous montrer en vidéo comment « VintOS-iser » une Manjaro Linux à jour.

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Micro-R OS : encore une distribution GNU/Linux qui sera morte d’ici la fin de l’année 2014.

Dans le monde des distributions inutiles, je pense qu’en fouillant la liste d’attente de Distrowatch, on peut trouver des pépites. Micro-R OS en est l’exemple parfait, car elle accumule les erreurs dès sa page d’accueil qui est un résumé de faute d’orthographe et de grammaire. Ce qui n’est que la partie visible de l’iceberg.

Il y a tellement de fautes d’orthographe et de grammaire qu’il y a de quoi remplir quelques bottins ! Juste une bonne vingtaine (pour ne pas dire le double) sur la page d’accueil. Vous voulez vous vider un chargeur de AK-47 dans le pied ? C’est moins douleureux au final pour la crédibilité de votre travail.

Mais s’il n’y avait que cela… Les liens de téléchargements se font via… Mega ! Trop compliqué de passer par Sourceforge ? 🙂

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Vendeurs de billets sponsorisés : allez voir ailleurs si vous y êtes !

Un billet coup de gueule pour commencer le mois de septembre 2014. J’ai déjà pu parlé de l’acharnement des promotteurs de billets sponsorisés. J’ai déjà répondu plusieurs fois que leurs offres ne m’intéressaient pas.

Je pourrais citer un billet en novembre 2013, un en novembre 2012 ou encore un dernier en février 2011.

Mais l’exemple croustillant auquel j’ai eu à faire récemment méritait un billet complet. Pour vous montrer à quel point les pollueurs sont à l’oeuvre pour se faire de la publicité à vil prix. Le 29 août 2014, je reçois le courrier suivant, traduit à l’arrache avec un google translate mal luné, j’ai mis les erreurs grammaticales et orthographiques en gras :

Bonjour,

Mon nom est Michaella et j’ai trouvé votre site sur Google. Je l’aime beaucoup parce-qu’il a une bonne qualité et un contenu original.

Je veux publier un article sur votre site , qui contient 2-3 liens et 2-3 photos. L’article sera originale et pertinente pour le sujet de votre site. En ce qui concerne le SEO, celui-la l’aidera car il sera écrit par des écrivains professionnels et il serez rapidement indexé par Google. En échange de la publication de l’article je vous payerais par le compte Paypal (préféré) ou compte bancaire.

Je vous souhaite une bonne journée et j’attends votre réponse!

Je décide de l’ignorer, et mis à part un fil lancé sur google plus pour parler de ce nouveau pollueur, rien à signaler.

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Combien de distributions GNU/Linux vont suivre le chemin du dodo avant une prise de conscience nécessaire du danger de démultiplier à l’infini leur nombre ?

Il y a plusieurs facteurs qui me font penser que ce qui est à la fois la force et la faiblesse du monde linuxien est en train de faire des ravages.

Non, je ne parle pas du fork compulsif qui n’apporte rien au schmiblick. Je me suis déjà pris suffisamment de volée de bois vert de la part de personnes qui considéraient que je mettais en doute le principe même du fork, alors que je ne critiquais que son utilisation abusive.

Non, je pense surtout à l’éparpillement des utilisateurs suite à un nombre toujours croissant de distributions GNU/Linux, qui connaissent une croissance largement plus rapide que le nombre d’utilisateurs potentiels.

Depuis plusieurs années, j’ai parlé de distributions GNU/Linux plus ou moins étranges qui nous ont parfois quittés avec pertes et fracas. On peut citer la SolusOS (dont l’article sur la mort de la distribution avait été un grand moment de solitude et d’incompréhension), la ColorwheelOS ou la fruitée PearOS parmi les grands noms des distributions mortes au combat.

Le problème était et reste la petitesse des équipes derrière nombre de distributions. La communauté créée autour des distributions, même si elle fait preuve de bonne volonté ne s’implique pas toujours, et quand il faut faire des tests pour assurer un minimum de qualité lors de la sortie d’une ISO finale, les bras manquent.

L’exemple récent du bug vicieux de la KaOS est symptomatique de la fragmentation à l’extrême des distributions GNU/Linux, et des conséquences que cela entraine. Des bugs vicieux et assez difficile à reproduire se retrouve dans la version finale et sarcle la réputation de la distribution.

Autre symptôme, c’est l’appel à l’aide qu’a lancé l’équipe de la Mageia, dont j’ai pris connaissance via le blog d’Andre Ani, qui recherche des volontaires dans sa communauté pour avoir un minimum de contrôle qualité sur les mises à jour de sa distribution. Nul besoin d’avoir un niveau bac+5 en informatique pour aider dans ce cas, mais de savoir rapporter des bugs quand on les voit.

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SymphonyOS 14.1 : un phénix un brin déplumé ?

Il y a des projets dont on se dit qu’ils sont morts et enterrés. C’était le cas pour moi avec le projet SymphonyOS qui n’avait plus donné signe de vie depuis 2009. En faisant ma visite matinale et quotidienne sur Distrowatch, j’ai lu une annonce sur la renaissance de SymphonyOS, avec l’annonce d’une version béta, la 14.1.

Après m’être pincé pour voir si je ne rêvais pas, j’ai été sur la page officielle et j’ai récupéré cette distribution qui s’avère la énième dérivée d’Ubuntu 14.04 en date.

Je me souviens plus quelle était la base de la SymphonyOS en 2009. Mais comme pour les versions précédentes, elle utilise un environnement de bureau spécifique, Mezzo.

Vous prenez le vénérable fvwm, vous lui rajoutez une interface utilisant le moteur de rendu Webkit (en gros celui de tous les navigateurs sauf de Mozilla Firefox, Seamonkey et Internet Explorer), et voila 😉

La page sur les 10 ans de SymphonyOS résume bien l’ensemble du projet.

J’ai donc utilisé mon ami wget pour récupérer l’ISO (qui n’est qu’en 32 bits pour le moment), et j’ai lancé le tout dans une machine VirtualBox.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://eu.symphonyos.com/SymphonyOS-14.1-i386.iso
–2014-08-18 08:12:00– http://eu.symphonyos.com/SymphonyOS-14.1-i386.iso
Résolution de eu.symphonyos.com (eu.symphonyos.com)… 188.226.131.12
Connexion à eu.symphonyos.com (eu.symphonyos.com)|188.226.131.12|:80… connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse… 200 OK
Taille : 922746880 (880M) [application/x-iso9660-image]
Sauvegarde en : « SymphonyOS-14.1-i386.iso »

100%[======================================>] 922 746 880 1,93MB/s ds 8m 10s

2014-08-18 08:20:10 (1,80 MB/s) — « SymphonyOS-14.1-i386.iso » sauvegardé [922746880/922746880]

J’ai démarré directement sur l’installateur. Pour avoir un clavier en français (car la gymnastique mentale pour transformer un clavier Azerty en Qwerty de bon matin, bof !) et pouvoir utiliser la distribution avec plus de souplesse.

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Les utilisateurs de Manjaro Linux, Antergos et autres dérivées d’Archlinux se méprennent-ils sur AUR ?

AUR, alias Archlinux User Repository, qu’on peut traduire par Dépots des utilisateurs d’Archlinux est un peu le grand fourre-tout et le banc d’essai de certains logiciels avant leur inclusion dans les dépots officiels. C’est un grand livre de recettes, si on peut prendre une comparaison culinaire.

Comme tout grand fourre-tout, on trouve tout et n’importe quoi. Des versions de développements de logiciels, des noyaux alternatifs, des émulateurs ou encore des pilotes pour certains matériels comme nos chères imprimantes.

Cependant, un problème apparaît, que ce soit chez les utilisateurs d’Archlinux ou des distributions dérivées : l’oubli qu’AUR est un dépot géré par les utilisateurs, et par conséquent l’excellent cotoie le pire. Je maintiens une quinzaine de paquets et c’est pas si évident que cela, je dois l’avouer.

C’est précisé en toute lettre sur le site officiel d’AUR, quand on active l’interface en français (le message est strictement identique en anglais) :

AVERTISSEMENT
Les paquets non supportés sont produits par des utilisateurs. Toute utilisation des fichiers fournis se fait à vos propres risques.

Il est en effet facile d’oublier cet avertissement. Il faudrait pourtant se souvenir d’une règle de base : AUR n’est à employer que si l’on ne trouve pas ce que l’on cherche sur les dépots officiels.

D’ailleurs, j’ai une vingtaine de paquets en provenance d’AUR sur ma machine, juste ce qu’il faut pour mon matériel, la gestion de mes fichiers musicaux ou encore la lecture de flux RSS, dixit la sortie de yaourt :


[fred@fredo-arch ~]$ yaourt -Qam
aur/artefetcher-qt4 0.4.2-1
aur/envypn-font 1.6.2-1
aur/epson-inkjet-printer-workforce-320-sx218 1.0.0-8
aur/flac2mp3-bash 1.0-4
aur/gnome-shell-extension-weather-git 20140329-1
aur/google-musicmanager 1.0.117.4968_r0-1
aur/google-talkplugin 5.4.2.0-1
aur/iscan 2.29.3-7
aur/iscan-data 1.29.0-1
aur/kazam 1.4.4-1
aur/liferea-git 1.11.r5134.g5f1fbcd-1
aur/localepurge 0.7.3.2-1
aur/ovmf-bin 15214-1
aur/package-query 1.4-1
aur/pyrenamer 0.6.0-9
aur/ttf-ms-fonts 2.0-10
aur/virtualbox-ext-oracle 4.3.14-1
aur/xsane2tess 1.0-7
aur/yaourt 1.5-1

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ElementaryOS « Freya » beta 1 : tout ça pour ça ?

La sortie officielle de la beta 1 de la ElementaryOS « Freya » met fin à un battage médiatique qui court depuis le début de l’année 2014 dans le petit monde des distributions GNU/Linux.

Basée sur la Ubuntu 14.04 LTS, elle apporte une interface « novatrice » (sauf si on connait l’apparence générale de MacOS-X), Pantheon. On apprend dans les notes de publications que cette première béta est basée sur Ubuntu 14.04.1 LTS, qu’un outil de gestion de comptes en ligne spécifique nommé « Pantheon Online Accounts« , que le support de l’UEFI est encore en cours. Sans oublier une poignée de bugs typiques d’une version béta.

Qui dit Ubuntu 14.04.1 LTS, dit noyau linux 3.13 (abandonnées par les développeurs depuis le 22 avril 2014, problème lié au gel de la Ubuntu 14.04.x LTS), mais aussi une salo…saleté de bug quand on installe une Ubuntu 14.04.x (ou une de ses dérivées) dans VirtualBox : une résolution maximale de 640×480. Il faut alors installer le paquet virtualbox-guest-x11 et redémarrer pour contourner le dit problème.

J’ai récupéré via Bittorrent l’ISO (comme conseillé) dans l’article qui annonce la sortie de la version « Freya » béta 1 d’ElementaryOS, et j’ai ensuite créé une machine virtuelle VirtualBox pour la suite de l’article.

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Coup de gueule de vacances : et oui, le mot consommateur est constitué de quatre syllabes.

Dans un article qui arracherait des larmes à un crocodile empaillé, Jean Labadie, un producteur et distributeur de films se plaint, et je cite :

[…]Hadopi première version n’était pas parfait mais menaçait de sanctions ceux qui volaient (car, oui, le piratage est un vol) les ayants droit, auteurs, producteurs ou diffuseurs de films. Votre gouvernement n’a eu de cesse que de détruire cette entité sans avoir jamais, en deux ans, proposé une quelconque riposte contre les contrevenants. Pourquoi dans ce cas ne pas laisser chacun se servir dans les magasins d’alimentation ou de prêt-à-porter ? Ne serait-il pas aussi légitime de se vêtir et de manger à sa faim sans payer ?[…] »

Outre le fait qu’un fichier copié n’est pas volé, du moins au sens du Code Pénal, article 313-1 :
« Le vol est la soustraction frauduleuse de la chose d’autrui. » et que la copie est définie comme étant : la « Reproduction d’une œuvre d’art, d’un bijou, d’une photo, etc.. », donc en faire un double, et qui reviendrait à dire que mathématiquement une soustraction est la même chose qu’une division, on peut voir que l’industrie du cinéma n’a pas compris qu’elle défend l’indéfendable.

L’article défend une VOD qui saucissonnerait la planète. Cela me rappelle quelque chose, une hérésie, une saloperie une source d’emmerdements sans fin : le zonage des DVDs.

Si les CDs et les VHS ont eu un énorme succès, c’était qu’il n’y avait pas de limitation géographique. Qui fait que je peux acheter un CD aux Etats-Unis ou au Japon auprès d’un artistes inconnus des grands catalogues et que ma platine peut les lire sans installer d’adaptateurs. C’est du « j’insère le CD et ça le lit. »

C’est trop simple à comprendre ou encore à mettre en oeuvre ?

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