L’ubuntu-bashing : un effet de mode pour bien se faire voir dans certaines communautés linuxienne ?

Il y a une tendance latente dans le petit monde des utilisateurs de distributions GNU/Linux, surtout quand ceux-ci après s’être fait les dents sur Ubuntu partent vers des distributions plus techniques, voire carrément sur des distributions mères, comme la Debian GNU/Linux par exemple.

C’est de casser, avec une mauvaise foi digne de celles des personnes prises les doigts englués dans le pot de confiture, Ubuntu en lui faisant porter la responsabilité de tous les malheurs du monde.

Un peu comme les personnes qui s’étonnent actuellement que la version alpha de MS-Windows 10 récupère des données via un outil à la keylogger pour avoir des informations technique à exploiter par la suite et améliorer le produit final.

Ce sont aussi les mêmes personnes qui vont mettre des données plus ou moins intime sur leur compte chez le fesseur de caprins et de s’étonner qu’on sache tout d’eux. Mais passons.

Vous pourriez me répliquer en citant mes archives que j’ai fait de l’ubuntu-bashing. Il est vrai que j’ai quelques articles où je ne suis pas tendre envers la politique suivie par Canonical.

Par exemple, à l’époque de la Ubuntu 11.10 ou de la 10.04 ou je ne mâchais pas mes mots. Mais cela était en relation avec le fait que c’était grâce à la ubuntu Dapper Drake que j’avais enfin pu devenir linuxien à part entière pour de bon. Et que la création d’un bel écosystème ubuntu-centré ne me plaisait pas vraiment. D’ailleurs, une partie du dit écosystème a été clos au 31 juillet 2014, le service Ubuntu Cloud.

Il est facile de critiquer Ubuntu, mais autant le faire avec des arguments autrement plus développé que le schématique « Putain, ubuntu, ça pue du cul ».

On peut critiquer l’idée de Mir (qui entre en concurrence frontale avec le projet Wayland) ou le fait qu’Unity est tellement dépendant de la base technique d’Ubuntu que porter l’environnement sur une autre distribution est largement plus dur que les 12 travaux d’Hercules réunis.

Cela donne des résultats étonnant, comme la MooOS qui a abandonné Unity entre temps. Sans oublier le fil concernant le port d’Unity sur Archlinux compte au 7 octobre 2014 quelque chose comme 2640 messages au bout de 3 ans d’existence.

Je me souviens d’une anecdote de Boris, un pseudonyme de Philippe Dhondt (du tubesque « Soirée Disco ») qui dans les années 1990 disait, de mémoire, dans un article du magazine « Entrevue » : « Ce n’est pas parce que tu as goûté au foie gras qu’il faut oublier le goût du paté de campagne ». Phrase que je vous laisse méditer.

C’était en 1995… Et oui, ça a été un succès monstrueux à l’époque.

Peut-on comparer Ubuntu au pâté de campagne et les autres distributions non basées sur elle (comme Debian GNU/Linux, Archlinux, Fedora, Gentoo) comme du foie gras ? J’avoue que j’ai un léger doute.

Maintenant, quand vous verrez une personne casser Ubuntu, posez-lui simplement la question en insistant jusqu’à avoir une réponse : « Quelle a été la première distribution utilisée ? »

Je ne sais pas pourquoi mais la réponse commencera 99% du temps par un U 🙂

33 réflexions sur « L’ubuntu-bashing : un effet de mode pour bien se faire voir dans certaines communautés linuxienne ? »

  1. Hello,
    « Quelle a été ma première distribution utilisée ? »
    heu … Yggdrasil …. Slackware …. je ne me souviens plus trop …

    Pourquoi Ubuntu maintenant ? parce que c’est la seule distribution que j’arrive à faire utiliser par ma mère (80a) !

  2. Ahh non, moi ça a commencé par un M, pour Mandrake ! J’ai épisodiquement testé du Debian en parallèle, mais je n’avais jamais réussi à installer le pilote Nvidia nécessaire pour jouer (et au final, pas à grand chose puisque très peu de « gros » jeux étaient disponibles, il devait faire trop froid sans doute sur la banquise 🙂 )

    Ça va beaucoup mieux maintenant, même si on a des gros jeux pourris par Steam. Au moins, on a pas l’impression d’être complètement ignoré (et ça fait avancer la machine aussi pour ceux qui ne jouent pas).

  3. Et si on posait la question pourquoi tant de bashing?
    * parce que le dominant est toujours celui à abattre
    * parce que quand on se sent trahi par quelque chose qu’on a aimé, on est d’autant plus cruel

  4. À mon avis, l’ubuntu-bashing provient du fait que le terme Ubuntu est devenu synonyme de Linux chez les kikoolols, ces mêmes kikoolols et autres jean-kévin de l’informatique qui aimaient se vanter d’utiliser Ubuntu, « pq c tro pour les hackers de l’informatique com moi, LOL. » C’est une raison je pense.
    Ensuite, il faut avouer que Linux Mint, bien qu’étant basée sur Ubuntu, est bien plus compétitive vis-à-vis des débutants. C’est une vrai distribution « out of the box ». Vous pouvez réellement l’utiliser dès qu’elle est installée ( il me semble que sous Ubuntu il faut installer des codecs et configurer deux trois trucs).
    Je dis « il me semble », car depuis presque deux ans que j’utilise GNU/Linux, je n’ai jamais utilisé Ubuntu. J’ai commencé mon aventure sur Linux Mint Debian, testé pas mal de distros comme Arch, Debian, OpenSuse, etc. pour finalement rester sur Linux Mint depuis la version 15.

    Je pense donc qu’Ubuntu est certes à respecter car c’est sûrement un précurseur de la distribution accessible à tous, et a permis de démocratiser GNU/Linux depuis son invention, mais aujourd’hui Linux Mint me semble plus compétitive et plus adaptée pour des débutants.

    1. Le problème étant que sans ubuntu, Linux Mint est une coquille vide.

      Linux Mint on pourrait la schématiser ainsi, pour obtenir 90% du résultat.

      Ubuntu – Unity + Cinnamon + ubuntu-restricted-extras

    2. Mint, pour les débutants? Pas vraiment à mon avis et je parle en tant que débutant (1 an sous Ubuntu). Sur les conseils du site prism-break.org, j’avais installé Mint au tout début. Je l’ai gardé 4 jours. Je ne pouvais rien faire avec puisque je n’y connaissais rien et que la documentation francophone en ligne est quasiment inexistante comparée à Ubuntu.

  5. Ben moi c’est le contraire, après m’être « galérer » sur plusieurs distro , j’apprécie maintenant
    la tranquillité de la famille ubuntu , xubuntu pour moi en LTS .
    Mas je suis bien d’accord avec toi , c’est rasoir de voir autant de mépris sur une distro
    qui pour la plupart doivent avoir certainement du poil qui pousse en disant que suis sur une distro
    de barbu alors que sans (x)buntu beaucoup n’en seraient pas là .
    @+

    1. La mémoire humaine est parfois très sélective dans ses choix de souvenirs. Mon parcours a été celui-ci :

      1997-2005 : slackware, mandrake, mandriva, Debian, Linux Kheops (dans le désordre à partir de la slackware).

      2005-2006 : MacOS-X Panther et Tiger sur un mac mini première génération.

      2006-aujourd’hui : Ubuntu (2006 à début 2009), Archlinux et deux passages rapides sous Frugalware Linux.

  6. Mes premières aventures sous Linux étaient sous Red Hat puis Mandrake. Ont suivi quelques années sous Windows avant un retour sous Mandrake, puis (K)(L)Ubuntu. Aujourd’hui, c’est Manjaro, j’espère pour longtemps (à moins que je ne devienne assez barbu un jour pour installer et surtout maintenir Arch). J’ai quitté l’écosystème Ubuntu suite à diverses orientations de la distribution qui ne m’allaient pas, mais en aucun cas je ne m’abaisserai à faire de l’Ubuntu-bashing. Ce serait bien trop facile, et dans mon cas totalement inutile. Je sais ce que je dois à Ubuntu, et je n’ai aucune envie de le renier.

    Certes, on peut dire qu’Ubuntu a parfois donné le bâton pour se faire battre, mais les vrais imbéciles sont ceux qui l’ont pris sans raison valable. Le monde Linux est suffisamment (trop ?) vaste pour trouver chaussure à son pied, sans semer son fiel à tout vent.

  7. Sans liberté de blamer il n’est point d’éloge flatteur.

    Personnellement j’utilise volontiers la base ubuntu (mint mate ou xubuntu) pour les bécanes que j’administre dans mon entourage, et je reconnais le bien qu’a fait Canonical pour démocratiser GNU/Linux, mais je pense qu’on peut légitimement critiquer certains choix de Canonical, notamment ceux qui les font s’écarter du reste de l’écosystème avec leurs solutions maisons.

    Ce n’est pas forcément du simple bashing ou de la jalousie. Il peut y avoir beaucoup de regrets de voir un tel potentiel utilisé à des fins qu’on ne partage pas.

  8. Yop, à moi…
    J’ai la « chance » d’avoir vécu les débuts de « tout ça » (on commençait par se procurer un jeu d’une dizaine de disquettes 3″1/4, et on inserait la disquette portant le numéro demandé par l’installeur !!)
    J’ai commencé par Debian « par hasard », grâce à un coups de fil à notre fournisseur pour notre première machine portable, au bout du fil, la société « Alcove » … le choix RedHat ou Debian… pouf/pouf, Debian.
    Maintenant (15ans plus tard), je suis quasi exclusivement Ubuntu.
    La raison est très simple. Pour être animateur d’un (petit) club logiciels libres, le problème est le suivant :
    Vous avez une séance (grosso modo 2h30) pour installer un linux **opérationnel** à une personne qui déboule [en cours de séance] avec un matos inconnu… La technique est toujours la même, d’abord tester avec une distribution live, ensuite installer un bureau ergonomique et complet. Fût un temps cela se faisait (très/plus ou moins) bien avec une knoppix. Maintenant, c’est avec Ubuntu (qui fournissait sur simple demande les galettes nécessaires). Bref, Ubuntu c’est [c’était] E-FFI-CACE devant Mr Michu.
    Pour le bashing ? Explication très simple : la jalousie (je fais bref). Ubuntu à fait ce que Debian ne faisait pas à l’époque, s’intéresser aux utilisateurs plutôt qu’aux développeurs, e.g Mr et Mme presque-tout-le-monde. Après, une fois que l’on veut tuer son chien…

    1. Pour le bashing ? Explication très simple : la jalousie (je fais bref). Ubuntu à fait ce que Debian ne faisait pas à l’époque, s’intéresser aux utilisateurs plutôt qu’aux développeurs, e.g Mr et Mme presque-tout-le-monde. Après, une fois que l’on veut tuer son chien…

      Quid de certains choix techniques au fil des années ?

      1. Quels choix techniques ? Je veux dire qu’y-a-t-il eu de vraiment bloquant ? Je ne vois pas très bien,sur mes installs ubuntu j’ai souvent 4 ou 5 sessions possibles, de wmaker à gnome, en passant par xfce, cairo-dock…
        Cela étant pourquoi Ubuntu n’aurait pas le droit de chercher à innover ? quitte à déranger ?
        Si je me souviens bien, même Gnome n’est pas toujours encensé…
        Vu le nombre de dérivées d’Ubuntu (donc dérivées de dérivées de Debian), pas l’impression qu’il y ait eu de blocage ou prise de pouvoir, bien au contraire.
        Enfin bref.

  9. En 1995-1997, j’avais essayé un Slackware, puis une Suse, j’avais laissé tombé Linux jusqu’en 2005
    En 2005 – Mandrake, puis mandriva
    En 2010 – 2011 Mandriva commence à se casser la gueule, et après avoir trollé sur Ubuntu, je suis passé sous Ubuntu, depuis j’y suis, j’y reste et je n’ai trop rien à dire pour ou contre. Elle est stable pour le moment. J’appréhende beaucoup l’arrivé de MIR qui pour moi est une erreur si pas accessible à la communauté Linux tout entière.

  10. Red Hat, puis Mandrake et Mandriva.
    Et je continuerais à dire du mal d’Ubuntu, car la politique menée par Canonical ne me plaît pas du tout, et je pense qu’elle ne va pas dans le sens de la communauté et du libre. D’une part avec ses choix (genre Amazon) ou ses outils spécifiques pour sa distro.

    1. Mouais, en quoi Canonical doit faire des choses pour le Libre ?
      Tu es sous Mandriva ? C’est pas Libre à 100 %…
      Et tu as raison : Canonical n’a pas œuvré pour la Communauté (communauté de quoi ? qu’on rigole) mais pour les utilisateurs finaux. Grosse différence.

  11. J’ai découvert Linux avec Mandrake, mais il faut reconnaître que j’aurais sans doute moins galéré si j’avais utilisé Ubuntu pour démarrer.
    Maintenant personnellement je reste sous Debian qui ne l’oublions pas est quand même un peu à l’origine d’Ubuntu.
    A pluche.

  12. Bonjour,

    Personnellement je suis depuis 2012 sous la distribution de Cannonical (Ubuntu en 2012 et j’ai switcher sur Ubuntu Gnome depuis 2013)

    Et je suis encore sous Ubuntu Gnome actuellement que j’aime particulièrement (même si quelque petit défault que j’énoncerai plus bas) tout simplement pour deux chose :
    – Sa facilité, tu installe la distribution de base et le ubuntu-restricted-extra et ta un PC tout de suite fonctionnel (tout tes périphérique sont reconnus direct, rien à voir avec cette chienlit d’un windows ou tu doit installer un pilote au moindre truc USB si tu veut qu’ils fonctionne correctement)

    – Sa maintenance très facile et pas conséquente à faire. En gros une fois installer les logiciels que tu veut ta plus rien à toucher et la distribution se maintient dans le temps comme si elle venait de sortir. La seule maintenance se résume à mettre à jour ton système tous les 6 mois si t’amuse ou sinon tous les 2 ans si t’es flemmard.

    Sinon c’est aussi une très bonne distribution pour si t’es un peu aventureux et que t’aime changer de bureaux tout le temps. Parce que leur système de meta-paquet fait que tu passe rapidement d’un Unity à Gnome à KDE, à XFCE, LXDE et prochainement MATE.

    Mais bon rien n’est parfait et même si c’est elle est je trouve la distribution idéale du grand public bien plus adapté que Linux Mint qui ne propose pas de mise à niveau de version automatique (la procédure est chiante tu doit faire le backup à la mano et faire une nouvelle installation par dessus puis restaurer ton backup).
    Il y a cependant le problème Unity 7 qui a un impact sur Ubuntu Gnome parce que les patch sur les librairie Gnome pour faire fonctionner Unity empeche d’avoir un bureau gnome avec tous les composant n-1 par rapport aux sorties de Gnome (on a encore du gnome-terminal en 3.6, contact et empathy bloquer en 3.8, le gnome-control-center en 3.6 même si ca va être corriger avec la 14.10 pour ce cas là).

    Ce problème sera régler avec Unity 8 qui fera qu’il n’y aura plus ses vieux patch sur les librairie gnome et donc on pourra retrouver une harmonisation des composant en n-1 mais le problème c’est le temps.
    Même si Unity 8 est opérationnel pour mobile avec la version ubuntu phone qui est sortie en RTM. La version desktop est pas encore prête et il me semble que c’est prévu pour être seulement par défault en 16.04 (ca sera peut être opérationnel avant) ce qui fait loin quand même.
    Sachant que ce problème est train d’avoir un comble ou on risque d’avoir une debian stable qui a plus de fraicheur sur les composant Gnome qu’Ubuntu.

    Et pis il faut quand même saluer qu’Ubuntu est une distribution (la seule ?) dérivée qui est arrivée à faire bouger la politique de la maison avec par exemple le support LTS parce que Debian commencait à prendre peur qu’Ubuntu Server et son support LTS lui prennent des part de marché.

  13. J’ai connu Mandriva et Ubuntu vers 2009, à peu près. De 2010 à 2013, j’ai eu des Ubuntu et Xubuntu en dual-boot sur mon PC. J’ai franchi le pas fin 2013 en virant Windows 8 de mon PC et la distribution qui a pris sa place fut Ubuntu, sous Unity. Remplacée depuis début octobre 2014 par Linux Mint 17 sous MATE.

    Ubuntu est facilement abordable, compatible, et l’interface Unity, si je trouve qu’elle n’est pas si productive que ça, convient pour pas mal d’usages. Ce travail de vulgarisation et de simplification de Linux a encore été amélioré avec Linux Mint, dont Ubuntu est le socle.

    Il faut remercier Ubuntu pour essayer de fournir un système et un environnement pour PC destiné au grand public. Le fait que ce soit du logiciel libre permet les dérivées comme Xubuntu, et même d’autres comme Linux Mint d’approfondir cette avancée vers le grand public. Oui, je considère Linux Mint comme encore plus proche du grand public que Ubuntu.

  14. Ubuntu a été ma première distribution en août 2005. Pas trop compliqué à installer à l’époque, une bonne communauté, et une bonne documentation. Les seuls soucis à l’époque etait de configurer le Xorg.conf. Le reste roulais.

    Avec un peu de bouteille, je suis parti voir vers Debian vers 2008, choisissant la version testing pour éviter de tout péter. Bien évidemment, je rageait de ne pas avoir les dernières versions de certains logiciels, notamment firefox – ou iceweasel – côté Debian. Côté pinning, je n’ai jamais véritablement compris, ou cherché à comprendre.

    J’ai donc voulu aller voir vers Ubuntu ensuite vers 2010-2011, mais Unity ne m’a pas plus, et je suis parti vers Linux Mint.

    Récemment, vers le début 2014, j’ai eu envie de tester Arch Linux. Après avoir trouvé un bon tutoriel sur le net, je me suis lancé, et je l’ai installé sans peine. C’était sans compter sur mon PC qui a laché. J’ai depuis acheté un portable, et malheureusement, je n’ai pas réussi a installer les pilotes graphiques sous Arch. Et quelle distribution m’a offert une installation simplifiée out of the box ? Je vous le met dans le mille, Ubuntu. Ça m’a permis de partir en vacance tranquillement avec une configuration fonctionnelle. La seule avec laquelle j’ai pu utiliser mon trackpad directement sans avoir à prendre une souris usb.

    J’ai rétenté l’installation sous Arch Linux cet après midi avec succès. Alors oui, ma distribution de prédilection aujourd’hui est Arch Linux, mais Ubuntu est toujours dans un coin, prêt à être utilisée. C’est un peu le vlc des distributions Linux. Ça marche et c’est tout. Après on peu critiquer telle ou telle chose, mais force est de constater qu’il font un boulot de malade.

    Ils m’ont donné envie de me mettre à GNU/Linux, et même si leur public se limite à ce que certains appellent les noobs, ceux ci sont les futurs utilisateurs et prescripteurs des distributions GNU/Linux.

    Et c’est déjà beaucoup.

  15. Salut.
    Ca a commencé avec un M comme Mandrake, puis Debian, Gentoo, quelques passages décevant sur Ubuntu by Canonical
    Aujourd’hui, j’installe à ceux qui me le demandent une Linux Mint ou une Ubuntu Gnome ,non sponsorisé par Canonical et garantie sans Spyware….
    Mode Troll ON
    Si se rapprocher des utilisateurs lambda ,c’est les traquer, non ,merci .Autant passer sur Android ou Win$
    Mode Troll OFF
    🙂

    1. Aujourd’hui ,je suis arreté sur Debian Sid,stable ,Slackware 64 ,Archlinux (+ un Eeepc sur lequel je teste pas mal de distro)

  16. Tout à fait d’accord, l’ubuntu-bashing sans arguments ne mène pas à grand chose, alors que quand il y à des arguments (politique de canonical, amazon, etc), là c’est déjà plus intéressant et constructif.
    Pour ceux qui disent : « J’ai donc voulu aller voir vers Ubuntu ensuite vers 2010-2011, mais Unity ne m’a pas plus, et je suis parti vers Linux Mint. » Vous pouvez aussi prendre simplement une dérivé avec un environnement de bureau différent (kubuntu, xubuntu, lubuntu…), parce que avec Linux Mint (je n’ai rien contre lui) vous êtes sous du ubuntu (à moins de prendre la debian édition, aka lmde). 🙂

    Moi j’ai démarré dans le monde du libre en 2012, j’ai commencé avec un E, comme Emmabuntüs (donc j’ai commencé avec ubuntu, puisque dérivée de xubuntu), et je suis maintenant sous Handy Linux. 😉 J’adore ces 2 distro ! 🙂
    Je pense tester (en virtualisation avec virtualbox) la salix os prochainement.

  17. Bonjour,
    J’ai également commencé par du M pour Mandrake, je suis passé à Debian puis sur un ISO d’Ubuntu DapperDrake (c’est d’ailleurs le logo qui me l’a fait essayer) .

    Je suis resté dessus un moment, puis je l’ai quitté non pas par « conflit d’intérêt générale » mais plus par envie d’évolution personnelle.

    Je suis passé sur Slackware, CentOS, Gentoo(très peu longtemps la compilation a eu raison de moi).
    Ici cela fait un peu plus de 2 ans que je suis sous Archlinux à la maison et Xubuntu (LTS) au boulot.
    Pourquoi Archlinux, parce que ça c’est de la vrai rolling release !
    Pourquoi Ubuntu, par nécessité au niveau de certain paquet et facilité d’intégration.
    Pourquoi Xu, parce que XFCE!

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