En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’obligatoire billet en vrac’. Cette semaine, il va être assez copieux 🙂

Côté logiciel libre et informatique :

Côté musique ?

Bon week-end.

« Memento Mori » d’Aephanemer : un deuxième album vraiment réussi.

En août 2014, j’avais découvert Aephanemer qui était à l’époque le projet solo du guitariste Martin Hamiche. Entre temps, il a fait « gonfler » le projet en recrutant une guitariste et chanteuse, un bassiste et un batteur. Bref, la configuration classique d’un groupe de metal. Vous en saurez plus sur le site officiel du groupe.

Le groupe a franchi le death metal mélodique du premier album… Même si la dernière piste est un clin d’oeil aux origines du groupe. Mais j’y reviendrai plus tard.

J’ai reçu le digipak le 16 septembre, jour même de la sortie de l’album. Ouf 🙂

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En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’obligatoire billet en vrac’.

Côté logiciel libre et informatique :

Côté musique ?

Bon week-end !

En vrac’ mercurien.

Un rapide en vrac’ mixte. Ça faisait longtemps que je n’en avais pas fait un !

Commençons par le monde qui pense que se disperser peut aider à faire avancer sa cause… J’ai nommé le monde du logiciel libre.

Côté musique ?

  • Trouvé via le réseau préféré du clash instantané, je demande les Bulgares de Metalwings qui proposent du métal symphonique et gothique avec des influences celtiques.
  • Pour les amoureuses et amoureux de la folk anglaise, Josienne Clarke et Ben Walker ont annoncé la disponibilité en précommande de leur prochain opus, qui sortira le 14 octobre 2016. Il s’appelle « Overnight ».
  • Opeth a annoncé la sortie de son prochain opus sans le moindre chant guttural (comme depuis 2011 et l’album « Heritage »). Il s’appelle « Sorceress » et sort le 30 septembre 2016.

Pourquoi ma carte bleue est en train de me grogner dessus en me montrant les dents… Hein, pourquoi ? 🙂

Voila, c’est tout pour aujourd’hui et bonne journée.

« Never Two Without Three » : découvrez le « Horstcore ».

Il m’arrive d’être contacté, soit via courrier électronique, soit par un message via le réseau à l’oiseau bleu, par des artistes et groupes.

Cette fois, c’est un courrier électronique que j’ai reçu de la part du groupe Horst. Situé à Paris, il pratique un genre musical à part entière, baptisé Horstcore. C’est un mélange de post-rock et d’un genre qu’on appelle le math rock. Non, ce n’est pas un genre musical inventé par les mangeurs d’équations et de théorèmes au noms (a)variés.

C’est – merci Wikipedia – un mouvement né au milieu des années 1980, qui se composent de riffs et de mélodies le tout mâtiné d’une compléxité rythmique. En gros, des compositions tout sauf simplistes 🙂

Horst m’a donc contacté pour me parler de la disponibilité de leur troisième opus auto-produit, en téléchargement à prix libre et médiator sur la guitare (oui, faut bien adapter les expressions, non ?) sous licence Creative Commons CC-BY-NC-SA.

L’album dure un peu moins de 39 minutes. Avec 5 pistes entre presque 6 minutes et une qui approche les 11, c’est normal, non ? 🙂

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En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’obligatoire billet en vrac’.

Côté logiciel libre :

Dans le domaine « fourre-tout » :

  • Le Joueur du Grenier s’est éclaté pour parler de l’étron intersidéral qu’est le dernier film sur les Chevaliers du Zodiaque… Comment dire, je suis entièrement d’accord avec lui ?
  • Le 24 juin 2016, c’était le 20ème anniversaire de la sortie d’un FPS plus que classique : « Quake ». Le studio de développement suédois Machine Games (qui a développé deux titres dans la série des Wolfenstein) propose un épisode complet pour l’occasion. Le vieux Quaker que je suis suis (une partie de temps en temps, ça soulage après s’être tapé la dernière étronicielle en date) n’a pas pu s’empêcher de le tester… Et c’est de la bonne, même si l’accès au niveau de difficulté Nightmare est trop facilement trouvé 😉

J’aurai pu rajouter l’accès au Dopefish caché dans cet épisode, mais non, vous le trouverez 🙂

Côté livre ? Rien, étant plongé dans la saga de « La Tentation de la Pseudo-Réciproque » de Kylie Ravera.

Côté musique ?

« Nizhâm » des Dayazell : pour une fois que la fête de la musique annonce une bonne nouvelle… :)

Enfin, je voulais surtout parler de la date symbolique du 21 juin. Le 13 septembre 2013 – qui était accessoirement un vendredi – je parlais du premier album du quatuor Dayazell.

Depuis j’avais gardé un oeil sur l’activité du groupe. Et le 21 juin, le groupe annoncé la sortie de son nouvel opus sobrement intitulé Nizhâm.

Ici, tout ce qui fait le charme de l’album éponyme du quatuor refait surface.

Avec cet album qui frôle l’heure – un peu plus de 57 minutes pour être exact – on retrouve toutes les influences du groupe. Que ce soit les chants traditionnels scandinaves avec « Mitt Adertonde Ar », des chants soufis avec « Ah Nice Bir Uyursun », des chants européens médiévaux avec « Mariam Matrem Virginem » ou des instrumentaux comme avec « Sahar », « Eol » et « Shashkin » qui occupe une bonne partie de la deuxième moitié de l’album.

Autant dire que l’auditeur n’a pas le temps de s’ennuyer. C’est du grand Dayazell qui montre que les influences musicales. Inutile de préciser que l’album en version physique ira bientôt rejoindre son « grand frère » dans ma collection.

Merci Dayazell !

Mardi musical 2 en 1 : La Jungle et Corbeaux.

C’est rare que je propose un article musical qui parle de deux albums. Il faut donc en profiter. Étant donné que les deux albums sont complémentaires sur certains plans, j’ai mis les deux ensembles.

Le premier, c’est le duo belge La Jungle avec son premier album éponyme. Un duo étrange, qui mélange guitare à six cordes et percussion. Il se définissent comme du kraut rock, matiné de trance et d’alternatif.

Oui, la description peut apparaître comme étrange… Mais parfois les mélanges les plus étranges sont les meilleurs 🙂

L’album est assez court, environ 30 minutes, avec des pistes entièrement instrumentales. Le duo entre les percussions et les cordes sont moins limités qu’on ne pourrait le penser a priori.

On sent dès la premiere piste qu’on est face des compositions pas si simplistes que cela. Certaines pistes sont presques hypnotiques comme la dernière « Trance Hysteria », mais le duo sait se renouveller tout au long de ce court album.

Ma piste préférée ? J’hésite entre « L’Enfer » et « Caracala ». Des noms très joyeux, non ? Avec des mélodies plus enjouées que les titres ne le laissent penser, finalement 🙂

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En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque fin de semaine, l’obligatoire billet en vrac’.

Rien cette semaine pour le logiciel libre, j’ai donné et je dois dire que je commence à saturer un brin 🙂

Côté livre ? Sauf contre indication, je me base sur les extraits librement téléchargeable.

Côté musique ?

Bon week-end 🙂

« The Splinter of Light We Misread » : Un deuxième opus plus sombre des Defying ?

Si vous me suivez depuis plus ou moins longtemps, vous savez que j’aime les musiques sombres, celles qui vous emportent au plus profond des tréfonds de votre âme. Le metal progressif en fait partie. Avoir été initié au metal progressif par Opeth, ça aide un brin 🙂

Le deuxième album des polonais de Defying en fait partie. J’avais adoré leur premier album, « Nexus Artificial », dont j’avais parlé en avril 2015

« The Splinter of Light We Misread » est sorti le 20 mai 2016. Je l’avais précommandé, et je dois dire que je ne regrette pas mon achat. Une demi-heure de musique sombre en quatre pistes, qui commence par « The Sunlight Recedes ».

Si vous n’aimez pas le chant gutural, passez votre chemin. La première piste qui dure une dizaine de minutes est constituée pour moitié d’un chant gutural, accompagné d’une ambiance lourde, imposante.

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