En vrac’ de fin de semaine.

Pour finir la dernière semaine du mois d’octobre 2015, un petit en vrac’.

Et du côté culturel ?

  • Si vous aimez le rock progressif avec une teinte 70’s, bref la meilleure époque du progressif, essayez donc l’album « Winter Soulstice » des Sonus Umbra. Un bon album même si je trouve qu’il est resté dans les limites des canons du progressif des années 1970.
  • Vous préférez le progressif inspiré space rock et Pink Floyd ? Dans ce cas, essayez le premier EP « Monolith » des The Last Glacier.

Sur ce bon samedi !

Vieux geek, épisode 43 : 30 novembre 1997, sortie du dernier grand jeu avec une accélération 3D logicielle, « Quake 2 ».

Le 30 novembre 1997, id Software sortait son nouveau FPS, « Quake 2 », qui succédait à son succès de l’année précédente, Quake. Le moteur de Quake 2 était une version lourdement modifiée du premier Quake : possibilité de ramper, source de lumière colorée, eau transparente entre autres. Surtout, c’est le premier jeu d’id Software sortant directement pour MS-Windows. Même si Hexen II de Raven Software proposait une partie des nouveautés.

Pour la petite histoire, quand id Software a renommé ses moteurs en 2007, id tech 2 regroupa sous son nom les deux premiers Quake sous son appellation. Les moteurs id tech 1 s’occupant de Doom et Doom 2, id tech 3 étant celui de Quake 3 Arena, id tech 4 celui de Doom 3 et Quake 4. Fermons cette parenthèse technique 🙂

Après un monde inspiré des oeuvres de HP Lovecraft, on se retrouve dans un scénario plus typique de la science fiction classique. La Terre a été attaqué par une race extra-terrestre, les Strogg. Les armées terrienne pour se défendre décide d’attaquer la planète des Strogg dans une mission dénommé Alien Overlord.

Bien entendu, l’opération est éventée, et vous vous retrouvez seul à devoir attaquer la capitale ennemie. Bon courage 🙂

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C’est mercredi, c’est musique.

Un minuscule billet musical, étant dans les écrits plus ou moins techniques jusqu’au cou. Joie 🙁

Voila, c’est tout. Je me replonge dans la préparation du tutoriel de novembre 2015 pour Archlinux, et dans d’autres billets qui sont encore au format brouillon et qui demande à être retravaillé 🙂

Étroniciels et squaticiels : deux plaies purulentes dans le petit monde des distributions GNU/Linux.

Après un article qui a eu des répercussions dans la blogosphère libriste francophone, j’ai eu envie de parler d’un problème que je résume avec deux néologismes : étroniciels et squaticiels.

Même si les deux termes sont assez parlants et sont parfois synonymes, définissons-les. Un étroniciel est souvent constitués au moins des deux élements suivants :

  1. Une base Ubuntu, car c’est devenu la distribution la plus utilisée pour faire des dérivées
  2. Une série plus ou moins longue de dépots tiers qui laisse douter de la stabilité sur le long terme

Le squaticiel est complémentaire à l’étroniciel dont il reprend parfois les bases. Il faut lui rajouter un élement : celui d’être complètement inutile ou presque par rapport à l’offre déjà existante, car la clonant avec une qualité parfois douteuse.

Des exemples ? Pour l’étroniciel, le premier exemple qui me vient à l’esprit est celui de la UUMate alias Update Ubuntu Mate. Cette distribution amélioré est tellement surchargée qu’on se demande parfois comment elle fait pour démarrer. Pour la liste des dépots tiers, dans mon article du mois de février 2015 à un total de 27 !

Et les squaticiels, me direz-vous ? Il y a un exemple parfait, dont j’ai parlé en mars 2014 et qui existe depuis 2012, si j’en crois ce vieux billet du blog de Clapico, la Cubuntu. Il m’est difficile de ne pas faire un jeu de mot sur la prononciation du nom de la distribution par des francophones. Mais je suis sûr que vous en avez déjà trouvé un ou deux en l’espace de quelques secondes.

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La Primtux : une bonne distribution GNU/Linux ou un énième projet inutile ?

Derrière ce titre, il se cache une remarque de Cep, que j’ai pu lire sur la framasphere* alors que je prenais les premières notes sur cet article consacré à la Primtux, après un premier lien dans un article « en vrac' » du 11 octobre 2015.

Pour la postérité, aucun réseau social n’étant éternel, voici la capture d’écran de la remarque de Cep.

Si vous n’arrivez pas à lire la prose de Cep, je la recopie verbatim ci-après :

Multiplication à l’envie de billets hyper raccoleurs sur PrimTux.

Parmi tous ceux qui en parlent combien l’ont réellement et sérieusement essayé ? car si c’était le cas, vu le nombre de bugs et l’amateurisme le discours serait différent.

Le libre paye le prix de ces emballements faciles et de cet amateurisme dans la réalisation de nombreux projets. Un peu plus de sérieux au « détriment » du chiffre ferait un bien fou.

#libre #linux #debian

Même si je comprends le « coup de gueule » de Cep, j’ai eu envie de voir par moi-même si on pouvait appuyer les arguments avancés d’une manière un peu lapidaire ici. J’ai donc récupéré l’ISO de la Primtux, et je l’ai lancé dans une machine VirtualBox bien « couillue » : 2 Go de mémoire vive dédiée, 2 CPUs virtuels, 128Go de disque dur.

Après avoir récupéré et vérifié l’image ISO qui pèse quand même près de 3 Go, depuis l’espace sourceforge de la distribution. J’ai utilisé l’image du nom de « PrimTux-2015-10-22-TotaleLiberte.iso ». Donc, la dernière en date au moment où je rédige cet article le 25 octobre 2015.

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