Choisir une distribution linux.

Pierre, l’Opera-fan qui me sert de poil-à-gratter dans les commentaires me faisait remarquer que pour trouver une distro linux qui conviennent, c’est assez chiant.

Hors, il existe un site qui permet de vous proposer la / les distros qui conviennent le mieux en fonction des critères entrés (KDE ou Gnome, RPM ou deb, etc…)

http://www.zegeniestudios.net/ldc/index.php?lang=fr

Et voici mon résultat :

résultat du test de choix de distribution linux.

Pourquoi j’aime le logiciel libre et je l’utilise.

Je considère que le logiciel libre est un des avenirs possibles, pour ne pas dire souhaitable de l’industrie logicielle.

D’ailleurs une des preuves de la puissance du logiciel libre, c’est de voir qu’une partie de l’interface logicielle de l’internet est basée sur du logiciel libre.

D’ailleurs, même le très fermé MacOS-X a un coeur libre, Darwin.

Je considère que l’utilisateur de logiciel libre est déjà un utilisateur « moins prisonnier » que l’ utilisateur classique de logiciel commerciaux payant ou gratuit. Pour quelles raisons ?

1 – Sur le plan de l’OS, sur PC (95% des ordinateurs ?), le choix se limite à Windows XP ou Windows Vista. Avec des machines demandant au minimum 512 Mo de mémoire vive. Quel est le vrai choix pour l’utilisateur ?

Dans le monde libre, il y a deux familles d’OS libre, les distributions à base de Linux (plusieurs variantes en fonction de l’utilisateur), et les BSD libres (Open, Net, et FreeBSD) qui correspondent chacun à un profil d’utilisateur type.

2 – Sur le plan de la bureautique, c’est MS-Office ou MS-Works la plupart du temps. OpenOffice.org existe, mais il est souvent étrillé pour ses « limites ». Si on passe sur un OS libre, en plus d’OpenOffice.org, abiword, gnumeric, Koffice, etc..

3 – L’interface graphique ? Sur PC « classique », il n’y a que la mauvaise copie de l’interface de MacOS-X. Dans le monde libre, on peut choisir une interface en fonction de ses goûts (KDE pour les amoureux de l’interface Windows, Gnome pour les amoureux de l’interface Mac, Xfce pour les amoureux d’une interface légère et souple, WindowMaker pour les fan de NeXT, etc…)

4 – Sur le plan financier, le Windows « offert » avec chaque machine est en réalité payé entre 50 et 100 euros par machine, mais cela, vous ne le saurez jamais réellement, car c’est un viol flagrant de l’article L-122-1 du Code de la Consommation sur la vente liée.

5 – Sur le plan de la sécurité, il n’y a pas photo. Si MacOS-X et Linux / BSD ne souffrent quasiment pas des virus, c’est pour des raisons de conceptions et gestions intelligentes des droits de l’utilisateur.

6 – Sur le plan financier, besoin de préciser ? De plus, il ne faut pas des machines monstrueuses pour faire de la bureautique grâce à des OS comme Xubuntu.

7 – La transparence : vous accepteriez de manger un plat sans savoir ce qui le compose ?

Ce qui m’a fait aimer le logiciel libre ? C’est que je n’ai pas commencé avec un PC sous Windows, mais sur une machine où le code source pouvait s’étaler à longueur de page sur des magazines. Ce qui m’a fait aimer l’informatique, et m’a donné le goût de faire les choses par moi même dans ce domaine.

La transparence du logiciel libre est la raison principale pour laquelle je l’ai adopté. Avoir le code source, et pouvoir lancer la recompilation – si le besoin s’en fait sentir – pour avoir un ensemble plus homogène est une grande force.

Car avec le logiciel propriétaire, c’est taille unique pour tout le monde. Le logiciel libre permet à l’utilisateur d’avoir la taille qui lui correspond. Ce qui est mieux au final.

Si certaines personnes considère qu’elles sont plus libres avec des logiciels qui peuvent être abandonnés du jour au lendemain par leur éditeur, tant mieux pour elle. J’avoue ne pas comprendre comment se considérer comme « libre » en laissant des éditeurs de logiciels décider ce que veut l’utilisateur.

Peut-être certaines personnes sont « trop formatés » par la volonté de ne pas voir plus loin que le « je veux que ça marche, et je me contrefous du fonctionnement interne ».

C’est peut-être car je considère que c’est à moi de contrôler les logiciels et non aux logiciels de contrôler l’utilisateur.

Et comme disait si bien Patrick MacGoohan : « I’m not a number, I’m a free man ! »

A chacun de trouver son bonheur, au final.

Gérér un baladeur Samsung YP-U3 sous Linux avec Gnomad2 2.9.0

Pour remplacer mon vieux baladeur mp3 j’avais envie d’investir dans un modèle qui lise le format ogg, surtout à moins 75 €… Autant dire que le choix était plus que limité, et j’ai fini par trouvé mon bonheur avec le Samsung YP-U3. Seul limite, il ne semblait bien fonctionner qu’avec Windows.

Hors, un tutoriel assez simple et assez sympa à suivre permet de contourner cette « limitation ». Reste la gestion des musiques.

Seul hic, il faut utiliser Amarok pour gérer le lecteur, mais certaines versions récentes du dit logiciel ont des problèmes pour transférer les titres avec lettres accentuées… Ce qui est franchement ennuyeux.

Reste donc l’option Gnomad2. La version fournie avec ma Ubuntu Feisty a un problème de gestion des titres / artistes, et il faut modifier les fichiers une fois transférés.

Hors, allant sur le site de Gnomad2 , une nouvelle version, la 2.9.0 permet apparemment cette gestion sans problème. Voici donc comment compiler Gnomad 2.9.0 avec une Ubuntu Feisty AMD64.

1ière étape : les prérequis de base :

Dans un terminal :

$ sudo aptitude install build-essential
$ sudo apt-get build-dep gnomad2

Les deux premières étapes installent les outils de compilations, et les dépendances connus pour le paquet fourni par défaut avec la distribution. Hors, il faut en rajouter d’autres :

$ sudo aptitude install libid3tag0 libid3tag0-dev
$ sudo aptitude install libtag*

Ou encore passer par synaptic pour cette deuxième opération 😉

2ième étape : on récupère le code source depuis le site.

3ième étape : on décompresse et on lance la compilation :

$ tar xvfz gnomad*.tar.gz
$ cd gnomad2-2.9.0
$ ./configure ; make
$ sudo make install

Je sais, j’aurais pu faire un paquet deb, mais je ne suis pas très fort dans ce domaine 🙂

Et voici à quoi ressemble le résultat fini :

transfert de données via gnomad2 2.9.0

De l’inutile guerre « firefox / opera ».

Sur ce blog, et aussi sur sur le forum d’Ubuntu-fr.org, les « pro-firefox » et « pro-opera » se déchire à coup de messages assassins.

Mais – même si je considère que développer un logiciel fermé est une hérésie de nos jours – les « fans » des deux logiciels feraient mieux de s’allier pour tirer vers le haut la toile.

Car Opera et Firefox visent deux publics différents.

Le premier public, que j’appellerais les « tout-en-unistes ». C’est le public que vise Opera. Les personnes de cette catégorie veulent trouver un maximum de fonctionnalités dans un seul logiciel. Opera, en plus de la navigation (même si par le passé Opera a été étrillé pour son support du langage javascript), un client courrier, un client de lecture de flux RSS, un client IRC, un client bittorrent.

C’est un peu comme Emacs, éditeur de texte auquel il ne manque plus qu’un gestionnaire de cafetière 😉

L’autre public, que j’appellerais les « minimalisto-extensionnistes », est le coeur de cible de Firefox. Au contraire d’Opera, il pense qu’un navigateur doit se concentrer sur le rendu des pages web, et qu’il doit être extensible selon la volonté de l’utilisateur.

Dans le monde des éditeurs de texte, ce serait le fan de VI(m). En clair, un outil pour une fonction, fonction qui doit être effectuée le mieux possible.

Il est vrai que Firefox est légèrement plus lent au lancement qu’Opera (à cause de l’interface en XUL), mais sur le plan du rendu, les deux navigateurs étant franchement à égalité sur le plan de la qualité et du support des normes définies par le W3C.

Fan de logiciel libre, je préfère autant rester le plus libre possible, ne sacrifiant ce crédo que pour l’émulateur de PC (VMWare server) et le pilote Nvidia, car le pilote nouveau n’est pas franchement au point 🙁

En direct du tronc de Firefox : Places et la gestion d’archives de signets (marque-pages)

Grace au bug 374528, il est maintenant possible de faire des copies de sécurité de ses signets / marque-pages sans se prendre la tête.

Voici une capture d’écran de la très simple interface de sauvegarde des signets, disponible dans l’interface de gestion des signets / marque-pages.

la gestion des sauvegardes de signets dans Gran Paradiso M8

A propos, il y a un léger bug sur la date, cf le bug 395633. Evidemment, on voit à quel point la transparence du développement d’un logiciel avec le code source librement disponible – ce qui est à mon point de vue l’avenir même du logiciel – est parfois peu valorisante.

La fonctionnalité sera disponible dans l’alpha8 de Firefox 3, alias Gran Paradiso. A quand un outil intégré à la mozbackup et qui ne soit pas limité à MS Windows ?!

Petit historique de Gran Paradiso.

Un commentaire sur l’article précédent m’a donné l’idée de faire un petit historique des versions développement de Gran Paradiso (nom de code de Firefox 3), qui semble bien vouloir se destiner à une sortie début 2008,

Basé sur Gecko 1.9, le développement de cette version du moteur de rendu a été lancé début août 2005, il y a donc plus de deux ans ! (cf http://weblogs.mozillazine.org/roc/archives/2005/07/gecko_19.html)

Il est vrai que cette version du moteur est assez ambitieuse :

  • nouveau coeur graphique basé sur Cairo du nom de thèbes
  • nouvelle version du javascript
  • franche amélioration des CSS (cf le célébrissime acid2)
  • anti-phishing amélioré profondément
  • support du svg franchement amélioré
  • allègement et simplification du code

Mais revenons-en à l’historique des sorties.

Gran Paradiso Alpha 1 (7 décembre 2006)

http://www.mozilla.org/projects/firefox/3.0a1/releasenotes/

Pour cette version, c’était le début de Cairo, les widgets de MacOS-X utilisent Cocoa, le svg devient meilleur, Windows 95, 98, Me et MacOS-X 10.2 sont mis de coté pour le support. Il y a aussi des améliorations au niveau du DOM.

Gran Paradiso Alpha 2 (7 février 2007)

http://www.mozilla.org/projects/firefox/3.0a2/releasenotes/

Pour cette version, c’était l’arrivée du code qui permettait presque le passage complet du test acid2, le support de API Web Apps 1.0, le rendu des fichiers XML à la volée et non après leur téléchargement, l’abandon de la balise « script » en Javascript, car invalide.

Gran Paradiso Alpha 3 (23 mars 2007)

http://www.mozilla.org/projects/firefox/3.0a3/releasenotes/

Pour cette version, c’était le passage – enfin – du test acid2, du support de l’animated png (APNG), l’utilisateur a la possibilité d’être prévenu en cas de redirection de page, une amélioration du mode hors ligne, ainsi que des améliorations au niveau du moteur, pour éviter de la surcharge de la mémoire vive.

Gran Paradiso Alpha 4 (27 avril 2007)

http://www.mozilla.org/projects/firefox/3.0a4/releasenotes/

Pour cette version, c’était l’arrivée de FUEL une bibliothèque de fonction javascript pour les développeurs d’extensions, la refonte de la page d’infos, le début de l’utilisation d’une base SQL pour le cache.

Gran Paradiso Alpha 5 (06 juin 2007)

http://www.mozilla.org/projects/firefox/3.0a5/releasenotes/

Pour cette version, c’était le retour de Places pour la gestions de bookmarks et de l’historique, fonctionnalité qui devait être à l’origine introduite dans Firefox 2.0, Breakpad fait son apparition, le gestionnaire de mot de passe est désormais codé en Javascript, et pour MacOS-X, c’est l’arrivée du support de Growl et des contrôles natifs.

Gran Paradiso Alpha 6 (02 juillet 2007)

http://www.mozilla.org/projects/firefox/3.0a6/releasenotes/

Pour cette version, c’était l’amélioration de l’affichage des polices (meilleurs support du thaï entre autres), la possibilité de définir site par site la taille des polices, des correctifs sur le gestionnaire de téléchargement, des correctifs pour Places et plein d’autres petites choses.

Gran Paradiso Alpha 7 (03 août 2007)

http://www.mozilla.org/projects/firefox/3.0a7/releasenotes/

Pour cette version, c’était l’abandon de MacOS-X 10.3, l’ajout du code pour un zoom « plus puissant » sur les pages (même si le code n’a pas été rajouté sur l’interface), de nombreuses améliorations pour les CSS, le SVG, les menus et pop-ups en XUL ont été retravaillé.

Pour l’alpha8 (car la prochaine version sera une alpha8), en plus de ce dont j’ai déjà parlé, on peut rajouter un défilement horizontal adouci pour les onglets, pas mal d’améliorations pour la gestion des bookmarks.

Personnellement – et j’espère me tromper –, je pense que Gran Paradiso M9 sera encore une version alpha, et qu’avec un peu de chance, d’ici avril prochain, mois de sortie de la prochaine version LTS d’Ubuntu (la 8.04), Firefox 3.0 sera sorti 😉

La lutte contre le « phishing » encore intensifiée pour le futur Firefox 3 ?

Enfin, c’est ce que laisse penser le bogue 383183 qui introduit une identification « complète » quand le navigateur Firefox 3.0 (actuellement connu sous le nom de code de Gran Paradiso actuellement en version pré-alpha8 ou pré-béta1 ?) navigue sur une page sécurisée.

En effet, le nom du serveur dans le cas d’une page en https:// est affiché à coté de l’adresse proprement dite. Autant dire que cela risque de faire très mal aux personnes qui voudrait piéger des internautes…

Cf les captures d’écran ci-dessous :

Luttons contre le phishing ; exemple avec amazon.fr

Luttons contre le phishing ; exemple avec bugzilla.mozilla.org

C’est tout pour le moment 😉

Vers une gestion simplifiée des types de fichiers dans Firefox 3.0

Bien que ce soit encore du WIP, voici un aperçu de la nouvelle fenêtre de gestion des types de fichiers dans Gran Paradiso pré-M8 (alpha8 ? beta1 ?) qui donnera dans quelques mois Firefox 3.0.0.x.

nouvelle gestion des types de fichiers dans Gran Paradiso, bien que ce soit en cours de finition ;)

Pour plus d’infos, voir le bogue 377784 . Quand au problème d’affichage des noms de colonne en bas, c’est le bogue 391740

Pas si mal que cela finalement, et la version M8 de Gran Paradiso apportera quelques petites choses dont je vous parlerais à l’occasion, histoire qu’elle reste dans le code source 😉

Ah, le « phishing » des utilisateurs de free.fr…

A croire que ces imbéciles d’arnaqueur pensent qu’une adresse @free.fr correspond à un utilisateur de FreeBox 😉

J’ai une adresse qui date de 1999 de chez free, et comme j’utilise une connexion orange… En tout cas, Thunderbird ne s’y est pas trompé, et m’annonce que le courrier en question est un scam potentiel… Surtout quand on le reçoit en 20 exemplaires, avec une superbe faute d’orthographe dès le début du message…

Cher(e) client(e)

Merci de lire attentivement ce courrier. Il contient des informations
essentielles, destinées à faciliter l’utilisation de votre compte Freebox et le
recours à ses différents services.

Free.fr A l’honeur de vous annoncer qu’elle a enfin mis
à votre disposition un systeme de sécurité total.

Et si on regarde les en-têtes du message :

Return-Path:
Delivered-To: online.fr-frederic.bezies@free.fr
Received: (qmail 17160 invoked from network); 5 Sep 2007 05:53:17 -0000
Received: from 74.52.94.18 (HELO bigbore.WERKZ.NET) (74.52.94.18)
by mrelay4-1.free.fr with SMTP; 5 Sep 2007 05:53:17 -0000
Received: from nobody by bigbore.WERKZ.NET with local (Exim 4.66)
(envelope-from
)
id 1ISnoX-0004iE-Bo; Wed, 05 Sep 2007 00:52:33 -0500
To: frederic.bezies@free.fr
Subject: Notification De Restriction De L\’accès Au Compte
MIME-Version: 1.0
Content-type: text/html; charset=iso-8859-1
From:
Cc: service.client@free.fr
Message-Id:
Date: Wed, 05 Sep 2007 00:52:33 -0500
X-AntiAbuse: This header was added to track abuse, please include it with any abuse report
X-AntiAbuse: Primary Hostname – bigbore.WERKZ.NET
X-AntiAbuse: Original Domain – free.fr
X-AntiAbuse: Originator/Caller UID/GID – [99 99] / [47 12]
X-AntiAbuse: Sender Address Domain – bigbore.WERKZ.NET
X-ProXaD-SC: Score=40

Werkz.net ?

$ whois werkz.net :

Registrant:
Webwerkz Inc.
36023 Schick Road #115
Bloomingdale, IL 60108
US

Domain Name: WERKZ.NET

Administrative Contact:
Webwerkz Inc. bvo@dirtrider.net
36023 Schick Road #115
Bloomingdale, IL 60108
US
999 999 9999 fax: 999 999 9999

Technical Contact:
Network Solutions, LLC. customerservice@networksolutions.com
13861 Sunrise Valley Drive
Herndon, VA 20171
US
1-888-642-9675 fax: 571-434-4620

Record expires on 06-Mar-2008.
Record created on 27-Apr-2004.
Database last updated on 5-Sep-2007 04:05:28 EDT.

Domain servers in listed order:

NS4.WERKZ.NET 74.52.94.18
NS5.WERKZ.NET 74.52.94.19

Autant dire qu’il serait étonnant qu’un hébergeur français utilise un service basé dans l’état de Viriginie aux Etats-Unis d’Amérique… Surtout avec un message gavé d’erreurs aussi basique et digne d’un fanatique de logiciels de messagerie instantanée…

Je me demande combien de personnes se feront avoir avec ce faux courriel…

Et pour finir, une capture d’écran du message en cause :

tentative nullissime de scam sur les freenautes

Liferea 1.4.0 montre le bout de ses octets.

Liferea 1.4.0 vient de sortir.

Au menu des nouveautés : une gestion des fils sous forme de base de données sqlite, menus réorganisé, support expérimental de Webkit, des corrections de bogues et un outil de détection des doublons dans les fils RSS.

Pour compiler Liferea sur Debian Etch ou Ubuntu Feisty Fawn (la Gutsy Gibbon aura surement la version 1.4.0 dans ses dépots), voici la marche à suivre. Il faut bien entendu avoir déjà préinstallé les outils de compilation ainsi que les en-têtes de développement de gtk. Les commandes étant effectuées dans le terminal.

Pour Synaptic, il suffira de choisir les paquets correspondants. Quoique j’ignore si le « build-dep » est supporté par Synaptic.

Donc :

$ sudo apt-get install build-essential libgtk2.0-dev

Ensuite, on installe la plus grosse partie des pré-requis de liferea avec :

$ sudo apt-get build-dep liferea

Cependant, avec la version 1.4.0, il faudra rajouter deux paquets :

$ sudo apt-get install libsqlite3-dev libglade2-dev

Enfin, l’habituel suite de commande :

$ ./configure ; make ; sudo make install

Et le tour sera joué 😉

Voici à quoi ressemble Liferea 1.4.0. Simple mais efficace 😉

Liferea 1.4.0, lecteur de flux RSS pour Linux, sous Ubuntu Linux 7.04