« Chroniques de la Nouvelle-Arkaïa » : et maintenant la version électronique.

Le 27 octobre, j’annonçais l’arrivée de la version papier de mon deuxième roman « Chroniques de la Nouvelle-Arkaïa ».

Désormais, la version numérique est disponible en epub, mobi et pdf. Voici les captures d’écran du livre dans Calibre. Cela vous donne un ordre d’idée du nombre de pages de chaque version.

Version ePub :

Version mobi :

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Un petit peu de culture en ce mardi :)

Un billet culturel très court, qui va parler d’un livre et d’un album de musique. En ce moment, j’en ai un peu ma claque des billets techniques, et varier les plaisirs, ça ne fait jamais de mal 😉

Commençons par le livre, un classique de la science fiction nord-américaine, j’ai nommé « Martiens, Go Home ! » de Fredrik Brown (1906-1972)

Martiens-Go-HomeDans ce roman de SF parodique, sorti en 1954, l’histoire commence avec les mésaventures de Luke Deveraux, auteur de romans SF dont le manque d’inspiration se noie dans les verres d’alcools. Alors qu’il attaque son énième verre de la soirée, on frappe à la porte de la cabane qu’un ami lui a prété. Un être à la peau verte, chauve, imberbe, se présente. C’est un martien. Comme les autres membres de son espèce, il se déplace par la volonté, en « couimant ». Il est malpoli, insupportable, curieux comme pas deux, et à deux facultés qui rende la vie humaine impossible : sa vision à rayons X, et son invulnérabilité à toute forme d’attaques physiques.

Autant dire que c’est le casse-bijoux de famille ultra haut de gamme. Je vous conseille fortement le chapitre avec l’arrivée des martiens chez les militaires, c’est du pur sucre.

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« Chroniques de la Nouvelle-Arkaïa », mon deuxième roman auto-édité disponible en version papier… Et bientôt en électronique.

Il y a 6 mois, je parlais de la publication en auto-édition de mon premier roman, « Arkaïa ». Ce que je n’avais pas précisé, à l’époque, ignorant l’accueil de celui-ci, c’est qu’une suite avait été extraite de mon cerveau, écrite en l’espace de quatre à cinq mois, toujours sur mon temps libre, et en parallèle à mes publications en libre accès.

L’histoire pouvait être considérée comme terminée à la fin du roman déjà publié, et il n’était pas nécessaire de savoir que j’avais rédigé une suite. Avec les retours positifs, bien que peu nombreux, sur mon premier gros texte, j’ai pris mon courage à deux mains, et après 4 mois de relectures entrecoupées de pause (c’est long et laxatif de relire un texte), scrupuleusement vérifié l’orthographe et la grammaire, voici donc le tome 2 de mon récit de science-fiction dystopique.

La version électronique devrait être disponible d’ici début novembre 2014, avec le même principe : non aux DRMs. Je rajouterais les liens vers les versions électroniques dès sa disponibilité.

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Double coup de gueule libriste : la Blag Linux et les versions LTS+1 d’ubuntu et de ses dérivées.

Oui, deux coups de gueule pour le prix d’un. Le premier concerne la Blag Linux qui me semble être une distribution où la mauvaise foi est congénitale. J’ai étrillé la distribution dans un article en date du 23 octobre 2014.

Dans l’article en question, avec capture d’écran à l’appui (et avec une capture vidéo aux alentours de la 4ième minute), on pouvait lire sur la page de l’outil de suivi qu’une version stable à venir était prévue pour le 22 octobre 2014.

Que peut-on lire maintenant ?

BLAG 200000 is available for testing. There are 32bit and 64bit isos for GNOME, LXDE, MATE, MINI and XFCE. You can contribute to the development of this release by downloading your desktop of choice, testing and providing feedback on our developers mailing list or chat with us on IRC.

Ce qu’on peut traduire par :

La BLAG 200000 est disponible pour les tests. Il y a les ISOs 32 bits et 64 bits pour GNOME, LXDE, MATE, MINI et XFCE. Vous pouvez contribuer au développement de cette version en téléchargeant votre bureau de choix, tester et fournir des retour vers nos développeurs via liste de diffusion ou discuter avec nous sur IRC.

Et la goutte d’eau qui fait déborder le vase ? L’annonce de publication de la version qui s’avère être une… version alpha ! En clair, on est passé (capture d’écran et vidéo à l’appui) d’une version dite stable à une alpha qui est le premier stade de développement d’une distribution !

Si cela n’est pas du « on se moque du monde » en version XXXL, qu’est-ce que c’est ? Autant dire que le projet GDNewHat qui était vraiment utilisable, modulo le caricatural GNU/Icecat fourni avec la distribution s’est sabordé pour rien.

Autant dire que désormais, vous n’entendrez plus parler de cette escroquerie technique qu’est la Blag Linux.

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En vrac’ rapide et libre de fin de semaine.

Un petit en vrac’ pour finir cette semaine du mois d’octobre 2014.

 

Voila, c’est tout pour aujourd’hui, mais c’est déjà pas si mal 😉

Un petit peu d’auto-promotion : « Complètement Geeks ».

« Complètement Geeks » est un livre que j’ai rédigé à la demande et en collaboration avec l’éditeur français Larousse. Après avoir été contacté par leurs services – j’ignore toujours comment, et je ne le saurais sûrement jamais, pour un projet à la fois « geek » et vintage.

Derrière le terme geek, on peut mettre un peu de tout, mais le cadre était précis : les enfants des années 1970 à 1990, avec ce qui a marqué leurs enfances, aussi bien dans le cadre de l’informatique (domaine geek par excellence), mais aussi les vieux jeux (vidéos ou de société), et plein d’autres choses.

J’ai pris un certain plaisir à retrouver certains objets qui ont bercé mes jeunes années, et sûrement celle des enfants des années 1970 et 1980. L’ensemble fait un peu plus de 150 pages.

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La Blag Linux 200000, une vaste blague ?!

Il y a trois semaines de cela, j’avais parlé de la Blag Linux 200000, qui devait sortir en version stable, dixit l’outil de suivi pour le 22 octobre 2014. Ci dessous, la capture d’écran faite en ce 23 octobre 2014.

On peut clairement lire : « An upcoming stable version of BLAG-200000 will be available October 22nd, 2014. » ce qu’on peut traduire par « Une version stable à venir de la BLAG-200000 sera disponible de 22 octobre 2014 ».

Non seulement, il n’y a pas de liens directement disponibles, mais le lien de téléchargement est assez intéressant à déchiffrer, je vous la recopie ici, ainsi qu’avec une capture d’écran du 23 octobre 2014 qui prouve ce que j’avance : ftp://blag.fsf.org/200000/Live/x86_64/Testing/

Oui, testing qui en bon anglais peut être traduit par version de test. Chouette, une version de test qui était annoncé comme stable par l’outil de suivi. Mais restons optimiste, et voyons ce que donne cette version rendue disponible au 22 octobre 2014.

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HandyLinux 1.7 : un vent de liberté ?

La HandyLinux 1.7 est sortie le 19 octobre 2014. Cette nouvelle version mineure de la distribution GNU/Linux pour grands débutants est placée sous le signe de la liberté des utilisateurs.

En effet, dixit les notes de publiations, on apprend que mise à part le passage vers la Debian GNU/Linux Wheezy dans sa version 7.7, il y a la disparition du bouton Facebook au profit d’un lien vers l’offre de services de Framasoft, que Chromium a été viré au profit de Debian Iceweasel (avec une palanquée d’extensions, dont l’indispensable bloqueur de publicité pour une navigation fluide et dépolluée), ainsi que les futures orientations vers la HandyLinux 2.0 (basée sur la Debian GNU/Linux Jessie).

J’ai donc utilisé en bon tipiak (pour reprendre les termes de l’industrie de l’inculture) mon client bittorrent pour récupérer l’ISO de la version i686 de la HandyLinux.

Ensuite, j’ai utilisé mon ami VirtualBox pour mettre à l’épreuve la HandyLinux. J’ai choisi au démarrage l’option pour installer directement la HandyLinux en français.

L’installateur est celui de la Debian GNU/Linux, en légèrement plus automatisé.

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L’industrie de l'(in)culture cinématographique, musicale et écrite est-elle « mentalement » bloquée en 1993 ?

Dans un article du webzine NextInpact, on peut lire les pleurnicheries des « ayant tous les droits », voulant la mise en place d’un système de radars automatiques contre les méchants internautes qui ne passe pas par la tristement comique offre légale.

Le morceau de choix est la phrase suivante sur la soi-disant offre légale (qui est risible au mieux) :

Conclusion : « l’argument de l’absence d’œuvre, leur diffusion à un rythme qui ne convient pas, c’est faux ! C’est de la démagogie. Il faut arriver à sanctionner le piratage qui est du vol ! (…) On n’arrivera pas à vendre des séries si on ne le combat pas. »

Outre le fait qu’une copie illicite n’est pas du vol, du moins au sens entendu par le Code Pénal – à moins que la copie d’un fichier qui le multiplie soit la même chose qu’une soustraction (faut-il redéfinir les mathématiques ?) – que dire de l’offre légale actuelle pour les oeuvres cinématographiques ?

Elle souffre d’une incongruité, la chronologie des médias, héritage des années avant l’arrivée du réseau des réseaux. Pour mémoire, la chronologie des médias, définie légalement depuis 1982 et adaptée pour les nouveaux moyens de diffusion en France, est la suivante pour un film.

  • Jour J + 4 mois : uniquement en salle, vous savez l’endroit qui empeste le beurre chaud et où le soda est roté bouche ouverte
  • Jour J + 4 mois et 1 jour : location et achat de DVD, Bluray et VOD sans abonnement
  • Jour J + 10 mois : passage sur les chaines cryptées partenaires du cinéma
  • Jour J + 1 an : passage sur les chaines payantes
  • Jour J + 22 mois : passage sur les chaines payantes ayant aidé à la coproduction du film
  • Jour J + 2 ans et demi : passage sur les chaines payantes
  • Jour J + 3 ans : passage sur les plateformes de VOD avec abonnements (Netflix et compagnie)
  • Jour J + 4 ans : passage sur les chaines non cryptées

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15 jours sur la framasphere*, premier bilan.

Il y a une quinzaine de jours, j’écrivais un billet sur l’amour vache que j’ai pu avoir avec le réseau social décentralisé diaspora*.

En utilisant le point d’accès proposé par framasoft, je voulais donner une nouvelle chance à ce réseau social atypique.

Je dois dire que le bilan que j’en tire au bout de deux semaines n’est pas trop mauvais. Sur le plan technique, il y a l’obligation de bien rédiger son billet ou son commentaire avant de le publier. Ce qui implique d’apprendre la syntaxe markdown, mais ce n’est rien de bien compliqué au final, et comme un bouton aperçu permet de vérifier ce qu’on est en train d’écrire…

Evidemment, j’ai moins de contacts que sur mon compte google plus (environ 600), n’accumulant qu’environ 162 contacts en ce moment sur mon profil (contacts uniquement visible si on est connecté sur diaspora*)

Comme pour mon fil google plus, je n’ai qu’environ 20 à 25% de contacts réellement actifs. Mieux vaut avoir peu de contacts actifs que de se trimballer des kikolol qui pollue des réseaux comme celui du fesseur de caprins.

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