En vrac’ dominical.

Après un samedi plutôt mouvementé, voici donc le billet en vrac’ dominical pour faire retomber la pression.

Commençons par le logiciel libre.

Parlons culture maintenant.

Bon dimanche !

Le pseudonymat, c’est bien. En abuser, ça craint.

Dans mon précédent article, j’ai posté un contenu que certains ont considéré comme acheté voire du publireportage déguisé. J’en veux pour preuve ce commentaire, dont voici les morceaux croustillants :

Ceci est un l’article acheté et un publi-reportage déguisé.
Tu viens d’accepter un pot-de-vin d’une entreprise, exactement du même type que celles que tu dénonces depuis des années. Tu commences petit : un petit privilège par ici, un petit service en plus par là, etc, puis tu montes en grade et tu finiras par ne plus prendre en considération que ceux qui viennent te promettre des avantages.
[…]
La pire couillonnade de cet article étant évidemment le passage suivant :
« Le but du projet est de pouvoir partir d’un ordinateur, même faiblement doté et de pouvoir faire ainsi de substancielles économies à terme, et donc de viser les professionnels en premier lieu. »
Ah oui, intéressant comme concept, les substantielles économies en payant pour des services buggés qu’on trouve fonctionnels en local sur une ubuntu 14.04…

Bref, inutile de continuer, la ligne éditoriale de ce blog est de plus en plus répugnante.[…]

Je vous laisse lire ma réponse complète à ce grand courageux qui traine dans la boue une des libertés d’internet : celui d’utiliser le pseudonymat.

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Les projets un peu fou du logiciel libre, épisode 1 : « FreeDoom ».

Dans cette série de billets que je posterai le vendredi avec un rythme d’une fois tous les 15 jours, je vous parlerai des projets un peu fou du logiciel libre. Le premier exemple est lié à un anniversaire tout frais. Les 22 ans du premier Doom, jeu vidéo mythique des années 1990.

Nous somme le 10 décembre 1993. Une petite entreprise du nom d’id Software qui s’était déjà fait les dents dans le domaines du FPS (First Person Shooter) avec Wolfenstein 3D sorti un an plus tôt sort ce qui sera un titre emblématique : Doom. Derrière un scénario qui tient sur un ticket de métro, on trouve un des jeux les plus addictifs des années 1990.

Le joueur joue un space marine qui a été exilé sur Mars après avoir cassé la tête d’un officier qui lui demandait de tirer sur des civils. Une fois sur Mars, la base installée par des scientifiques qui font des expériences avec des technologies de transport qu’ils ne maîtrisent pas tourne au vinaigre. Vous êtes le seul survivant avec pour tout arme un pistolet… Et d’étranges bruits vous font penser qu’il se passent des choses pas très catholiques près de votre point de départ.

Après la publication du code source de ce qui a été appellé rétrospectivement id Tech 1 en 1999 sous licence GPL, les ports du moteur ont explosés, au point que toute nouvelle plateforme technique qui sort se doit d’avoir son port de Doom.

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PubliAddict : Et merdre, j’ai encore eu raison une fois de plus… Comme c’est bête :)

Il y a un peu plus d’un an, je parlais de l’énième service de rémunération contre de la visualisation de publicités, PubliAddict en précisant que c’était la nouvelle tentative d’un modèle qui ne pouvait pas fonctionner, et qui n’a jamais vraiment fonctionné.

Dans le dit article, je sortais quelques phrases assassines du genre :

[…]
Si le site existe encore en 2016, ce sera beau pour lui ! 😀
[…]
Sans oublier que le principe du surf rémunéré a prouvé de nombreuses fois que cela ne fonctionne pas. Ou simplement pour les anciens inscrits, en respectant un schéma type pyramide de Ponzi.
[…]
En espérant que cela se produise, mais vu l’histoire du surf rémunéré, je reste plus que circonspect.

Le « cela » de la dernière phrase concernant le paiement des 30€, premier palier de rémunération.

Le fondateur de PubliAddict se fendit d’un droit de réponse que je repris verbatim. Le morceau de choix ?

[…]En définitive, Je pense que vous avez parfaitement défini votre statut de « vieil internaute ». Vous conseillez à quelqu’un qui a la possibilité de gagner quelque chose de fuir. C’est très curieux comme raisonnement. Je ne sais pas si nous existerons encore en 2016. En tout cas, nous avons suffisamment de fonds pour rémunérer nos membres pendant plusieurs mois.[…]

Il ne pensait pas si bien dire.

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Vieux geek, épisode 47 : Quaterdeck Cleansweep 95.

De nos jours, les outils de nettoyage pour MS-Windows sont des outils assez classique. Même si Microsoft a inséré relativement tôt – dès MS-Windows 95 à moins que ce ne soit MS-Windows 98 ? – des assistants de nettoyage, des outils dédiés à cette tâche ingrate ont rapidement vu le jour.

Si de nos jours, des outils comme CCleaner ou JV16 Powertools sont des classiques, il serait dommage d’oublier les honorables ancêtres, et parmi eux un outil de feu Quaterdeck, j’ai nommé Cleansweep.

L’outil né sous MS-Windows 3.1 en 1994 a rapidement été porté sous MS-Windows 95. C’est d’ailleurs la version 2 du logiciel. La version pour MS-Windows 95 était incroyablement grosse… Elle tenait sur deux disquettes 1,44 Mo ! En gros, dans les 3 Mo tout installé.

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