Le 24 août, date pas franchement reluisante du calendrier ?

En ce 24 août 2015, je me pose cette question. En effet, si on regarde les principaux 24 août célèbres de l’histoire humaine, il n’y a pas de quoi se réjouir.

24 août 79 : Pompéi, Herculanum, Oplontis et Stablies sont ensevelies par l’éruption du Vésuve. Cependant, des recherches plus récentes déplacent la date de l’éruption au mois de septembre ou d’octobre de la même année. La date du 24 août ayant été établie par l’étude des écrits de Pline Le Jeune (61 ou 62 – 113 ou 115)

24 août 410 : Rome est mise à sac par les Wisigoths d’Alaric 1er. L’empire romain n’est plus que l’ombre de qu’il a été, et chutera définitivement 66 ans plus tard, le 4 septembre 476 avec l’abdication de Romulus Augustule.

24 août 1572 : suite à la tentative d’assassinat de Gaspard de Coligny, les mouvements ultra-catholiques massacre à tour de bras les huguenots venus à Paris pour la célébration du mariage d’Henri de Navarre (héritier lointain à la couronne de France) et de Marguerite de France, dite Margot. On estime le massacre a fait 3000 morts au bas mot.

Une « légende » dit que quand Gustave Eiffel fit creuser les fondations de la future Tour Eiffel en 1887, des ossements avaient été trouvés : ceux des victimes du massacre de la Saint Barthélémy.

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En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque semaine, un billet fourre tout. Commençons par l’informatique libre.

Passons à l’informatique non-libre.

Voila, c’est tout pour aujourd’hui. Bon week-end, en n’oubliant pas que le 24 août 2015, nous fêterons les 20 ans de MS-Windows 4.0… Et oui, je parle de MS-Windows 95 🙂

Vieux geek, épisode 37 : IBM OS/2 Warp 3, le premier OS grand public réellement 32 bits.

Faisons un retour en arrière d’une vingtaine d’années. Nous sommes en 1994. Depuis deux ans, Microsoft se fait des testicules en or massif avec la version 3.1 de son OS 16 bits, MS-Windows. En parallèle, Microsoft propose une version complètement 32 bits de son MS-Windows, NT 3.1 (1993) puis 3.5 (1994), dont les lointains descendants sont MS-Windows 7, 8.x et 10.

MS-Windows NT est basé partiellement – du moins à son origine – sur du code développé pour un projet commun avec IBM, OS/2. Après le départ de Microsoft (lors de la sortie d’OS/2 1.3), IBM continue de développer son OS maison.

Quand Microsoft annonce Chicago (le futur MS-Windows 95), IBM réagit et sort fin 1994 la nouvelle version d’OS/2, OS/2 3.0 alias OS/2 Warp.

Contrairement à toutes les versions de Microsoft Windows grand public (95, 98 et 98Se, Millenium) sorties entre 1995 et 2001 qui sont un mélange de code 16 et 32 bits, IBM OS/2 Warp 3 est complètement 32 bits, comme son prédécesseur, OS/2 2.0 et 2.1. Il propose aussi son système de fichiers, le HPFS, en complément à la FAT16 de Microsoft.

Quand OS/2 Warp 3.0 sort en octobre 1994, il y a deux versions : la « bleue » et la « rouge ». La rouge rajoutait le support de MS-Windows 3.1 dans l’OS d’IBM.

Après avoir fait quelque recherches, je n’ai pu trouvé que la version « bleue » avec son CD Bonus Pack. J’ai aussi récupéré le fixpak 38 (dernier paquet de correctif pour OS/2 Warp 3.0) et les pilotes vidéo gradd97 pour avoir un affichage qui dépasse les 16 couleurs 😉

J’ai donc fait chauffer VirtualBox (le seul qui permette d’installer OS/2 Warp), et j’ai installé l’ensemble. Il fallait deux disquettes et un CD pour le mettre sur le disque dur de l’ordinateur. Parmi les bons points, une pile TCP/IP pour se connecter au tout jeune internet (du moins pour le grand public) était disponible.

Côté prérequis ? Un peu lourd pour 1994. Il fallait au minimum un 486SX, 4 Mo de mémoire vive et 100 Mo de disque. Quand j’ai acheté mon premier PC en 1995, c’était un Cyrix 486DX2 66mhz, 4 Mo de mémoire vive et 400 Mo de disque. Autant dire qu’OS/2 Warp 3.0 était un peu trop haut de gamme par rapport aux machines de l’époque !

J’ai créé une machine virtuelle avec 64 Mo de mémoire vive et 2 Go de disque, histoire que l’ensemble soit à l’aise 😀

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Ah, les distributions GNU/Linux souffrant d’obésité…

Préambule : Je tiens à préciser que j’ai employé ce terme médical dans le but de prendre une image parlante. Nullement pour stigmatiser les personnes souffrant d’une surpoids mettant leur vie en danger. Surpoids aidé par nos modes de vie trop sédentaire et une nourriture de piètre qualité. Cette précision faite, attaquons le corps de l’article.

Dans le monde du logiciel libre, il est de bon ton de s’esclaffer en voyant les prérequis minimaux des dernières versions de MS-Windows.

Par exemple, MS-Windows 8.1 a les prérequis suivants, je cite :

Si vous souhaitez exécuter Windows 8.1 sur votre PC, voici ce qu’il vous faut :

– Processeur : 1 gigahertz (GHz) ou supérieur avec prise en charge de PAE, NX et SSE2 (plus d’informations)
– Mémoire : 1 gigaoctet (Go) (32 bits) ou 2 Go (64 bits)
– Disque dur : 16 Go (32 bits) ou 20 Go (64 bits)
– Carte graphique : périphérique graphique Microsoft DirectX 9 avec pilote WDDM

Pour mémoire, ce sont les mêmes prérequis pour l’énorme espiogiciel faisant de la concurrence à Google Chrome MS-Windows 10.

Cependant, cette volonté de se moquer gentiment de la tronche de Microsoft est un réflexe conditionné qu’une partie de la communauté du libre ferait bien de se séparer. Car côté distributions GNU/Linux obèses, il y a quelques exemples qui ferait presque passer MS-Windows 8.x et 10 pour des maigrichons

Je vais donc parler de deux distributions qui sont pour moi des exemples parfaits de goinfrerie en terme d’espace disque. Il y en a sûrement d’autres, mais ce sont les deux exemples qui sont le plus parlant, et qui arrivent à se lancer à peu près correctement.

Le premier, c’est la PinguyOS 14.04.03 LTS. Distribution basée sur Ubuntu, elle rajoute une présentation à la MacOS-X, un conky qui indique qu’elle bouffe en moyenne 45% de mémoire vive à l’utilisation. Mais le pompon, c’est lors de l’installation. L’espace recommandé est de… 15,2 Go !

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En vrac’ de fin de semaine.

Comme chaque semaine, quelques liens jetés en vrac’ pour s’occuper de la fin de semaine. Commençons par le logiciel libre.

  • Vous aimez vivre dangereusement ? Utiliser une version non finie de Plasma 5.4 vous branche ? Alors, jetez un oeil du côté de l’annonce de la « Archlinux Canada Dry », j’ai nommé la KaOS. L’annonce en franglais vous donnera tous les détails techniques. Pour les personnes curieuses, une capture d’écran un peu plus bas.
  • Beastie a fini d’affuter sa fourche… FreeBSD 10.2 est enfin annoncé comme stable, avec plein de bonnes choses, dont une compatibilité linux mise au goût du jour 🙂
  • Fan de virtualisation libre ? Vous avez de la chance, la nouvelle version majeure, la 2.4.0 de Qemu pointe le bout de ses octets. Plus d’info sur le changelog qui va bien.
  • Le papa de la HandyLinux a réactivé son blog. Attention, c’est du très lourd 😉

Parlons culture maintenant.

Ajout au 16 août 2015 : à la demande d’Isabelle Rozenn-Mari, je rajoute les précisions suivantes, directement copié du courrier que j’ai reçu de sa part  :

Autre point à souligner : ce roman participe au concours des auteurs indépendants sur Amazon, alors c’est le moment de me soutenir !!! Pour cela, il vous suffit, après lecture, de le noter et de laisser un commentaire.

En parallèle, je vous invite également à participer à mon propre concours afin de tenter de gagner un livre papier dédicacé. Pour cela, il vous suffit de m’envoyer un petit mot pour me dire que vous participez en me précisant votre nom d’utilisateur sur Amazon.

L’adresse de contact d’Isabelle se trouve sur son site personnel.

Le tirage des 3 gagnant(e)s se fera en octobre.

Fin de la parenthèse 😉

Comme promis, la capture d’écran de la KaOS avec Plasma 5.4rc.

KaOS 2015.08 - Plasma 5.4rc

Voila, c’est tout pour aujourd’hui. J’espère qu’en écoutant de la bonne musique, mon projet scriptural en cours arrivera à redémarrer un tant soit peu, étant donné qu’il est au point mort ou presque depuis plusieurs mois 🙁

Bon week-end !

Vieux geek, épisode 36 : MS-Windows Neptune, l’ancêtre oublié.

Dans la deuxième moitié des années 1990, le géant Microsoft domine le monde du PC. OS/2 est moribond, la génération 9x de MS-Windows équipe 99,5% des PCs. Le monde professionnel a droit à la génération NT de MS-Windows, avec MS-Windows NT 3.1 dès 1993, suivi de la version 3.5/3.51 en 1994 et 1995. NT 4.0 est sorti avec une interface mimant celle de MS-Windows 95 dès 1996.

Plus l’an 2000 approchait, plus la volonté de fusionner les deux branches en gardant le noyau NT et en utilisant l’interface de la branche personnelle se fait pressante.

Alors que le code de MS-Windows NT5 alias MS-Windows 2000 est en cours de finalisation, une branche est lancée pour développer une version de MS-Windows 2000 à destination du grand public. C’est ainsi que le projet Neptune voit le jour.

Cependant, le projet sera abandonné fin 1999, et le détesté MS-Windows Millenium (septembre 2000) servira de version d’attente avant qu’un MS-Windows grand public basé sur le code de NT5 (alias 2000) sorte. Un certain… MS-Windows XP, sorti en août 2001 et dont le support technique a été débranché le 8 avril 2014.

Pourquoi cette longue introduction ? Simplement, c’est qu’en regardant un vidéo « Colis de Fan » d’Electronik Heart, Fabien a reçu un CD contenant une version de MS-Windows Neptune. J’ai ensuite fouillé la toile pour trouver une ISO de décembre 1999, et je l’ai trouvé. Je ne vous dirais pas où, mais si vous savez chercher… 🙂

J’ai eu envie de voir ce qu’elle avait dans le ventre à l’époque. Faire ainsi un peu de paléo-informatique.

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Bodhi Linux 3.1 : Comment survit la distribution revenue d’entre les mortes ?

Avec la vivacité de l’actualité en ce qui concerne les distributions GNU/Linux en ce mois d’août 2015, j’ai trouvé logique de faire un article sur la Bodhi Linux 3.1 qui sort 6 mois après la version de la résurrection de cette distribution à l’histoire mouvementée.

En février 2015, j’avais consacré un article à la Bodhi Linux 3.0.

Je le concluais ainsi :

[…]La Bodhi Linux est vraiment très légère, mais elle a cédé à la mode des icones aplaties. Il n’y a que peu d’outils, et devoir passer par le App Center est un peu contraignant, surtout avec l’absence des traductions dans LibreOffice par exemple.[…]Le gros point noir de cette version de la Bodhi sont les icones mochissimes. C’est d’ailleurs le seul point noir, mis à part la logithèque un peu légère, et certains logiciels mal traduits.

6 mois sont donc passés et dans l’annonce de publication de la nouvelle mouture de cette distribution basée sur la Ubuntu 14.04.1 LTS, à laquelle a été rajouté un noyau 3.16.x, on apprend l’existence de deux versions. La version dite legacy et qui propose Enlightenment e19. La deuxième propose l’environnement maison, dit Moksha, dérivé d’Enlightenment e17. Dans une page du site, les développeurs de la distribution explique le pourquoi du comment de la naissance de l’environnement.

En gros, Moksha Desktop est né pour trois raisons :

  1. La volonté d’avoir une base stable et sans bugs non corrigés par les développeurs d’Enlightenment qui sont déjà focalisés sur la version suivante.
  2. La course à l’échalotte des versions depuis la sortie d’e17. Trois versions en l’espace de 3 ans, c’est trop rapide pour rendre serein un environnement.
  3. La version d’Enlightenment e18 a été une horreur pour les développeurs de la Bodhi Linux.

Même si pour le moment l’environnement n’est qu’en version 0.1.0, il bénéficie du travail développé sur les 12 années nécessaires pour voir naître Enlightenment e17. En gros, ce sont les mêmes principes qui ont été invoqués pour la naissance de Mate Desktop et Trinity Desktop Environment.

J’ai donc récupéré l’ISO de la version officielle, et j’ai créé dans VirtualBox une machine virtuelle prenant comme base une Ubuntu avec 2 Go de mémoire vive, 128 Go et 2 CPUs virtuels. Au premier lancement, on sent que l’on est face à une ISO créée avec un outil à la RemasterSys.

Le démarrage est assez rapide et Moksha nous accueille, avec une présentation à la MS-Windows comme on a pu avoir depuis 1995, modulo le passage des versions 8.x de l’OS de Microsoft.

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14 mois sans Adobe Flash : bilan sur le « long terme ».

Début juin 2014, je me décidais de faire exécuter une commande sur ma distribution Archlinux :

yaourt -Rcs flashplugin

Oui, j’effaçais le greffon Adobe Flash de mon ordinateur. Il faut dire que le dernier frein que j’avais à l’époque, c’était l’utilisation de Bandcamp. Mais comme celui-ci fonctionnait très bien avec les technologies audio HTML5, pourquoi s’ennuyer ?

14 mois sont passés, et j’ai voulu faire un bilan de cette année sans le greffon ou plutôt l’usine à faille de sécurité d’Adobe. Les quelques jours de blocage du greffon Adobe Flash par la Fondation Mozilla ont été épiques et suffisamment relayés.

Outre le fait que j’ai un logiciel non libre en moins sur mon ordinateur et que les implémentations libres de Flash sont au mieux risible, au pire pitoyable et qu’il faut savoir arrêter l’acharnement thérapeutique, je n’ai pas vraiment subi de pertes énormes.

Mis à part Deezer – qui n’est pas une grosse perte au final – les principaux sites audios et vidéos fonctionnent très bien, sinon mieux avec les technologies HTML5. Que ce soit Youtube, Dailymotion, Bandcamp, Jamendo ou encore le moribond Soundcloud, nul besoin de la faille de sécurité ambulante qu’est Adobe Flash. Je n’ai pas pu vérifier pour Spotify, n’ayant pas de compte ouvert sur le dit site.

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En vrac’ dominical.

Comme chaque fin de semaine, un petit en vrac’ pour parler de liens intéressants. Comme on ne change pas les – bonnes ou mauvaises ? – habitudes, commençons par le logiciel libre.

  • Ça bouge du côté des BSDs libres. En effet, en l’espace de quelques jours, on a eu droit à l’annonce de PC-BSD 10.2-rc1 et de FreeBSD 10.2-rc3. Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que d’ici la fin août 2015, il risque d’y avoir des articles consacré à Beastie 🙂
  • Vous aimez les distributions GNU/Linux à l’haleine fraîche ? Dans ce cas la sortie des versions Xfce et KDE de la Linux Mint 17.2 est pour vous.
  • Dans la série « Pourquoi tant de haine ? », je demande la nouvelle production d’Arne Exton, la ExTiX 15.3 LXQt. Ne me demandez pas de faire un article sur cette distribution, ça pourrait mal se terminer…

Dans la section « coup de gueule », car il y en a une cette fois.

Pour finir, la section culture.

  • Vous le savez, j’aime bien tout ce qui est metal, qu’il soit progressif, black ou encore symphonique. Je suis tombé récemment sur la démo d’un groupe parisien, « Elfika ». J’attends la suite avec curiosité.
  • Dans un tout autre genre, j’aime aussi beaucoup les groupes inspirés médiévaux. Les chants en vieux français ou en occitan ont un charme particulier. C’est donc que je suis tombé sur l’album du groupe toulousain « Les Compagnons du Gras Jambon ». Le premier album s’appelle « Le Graalbum ». Déjà, rien que le jeu de mots, ça me parle. Peut-être une chronique dans les jours qui viennent ?

Voila, c’est tout pour ce dimanche.

La blogosphère, outil de promotion à vil prix ou outil d’information ?

J’ai déjà parlé à de nombreuses reprises des propositions plus ou moins honnêtes concernant la mise en route de collaboration partenariats avec des régies publicitaires ou des agences média.

Dans une page dédiée de mon blog, il y a la liste des principaux articles « coup de gueules » que j’ai poussé au fil des années. La blogosphère de la mode est l’exemple parfait de la contamination jusqu’à la moëlle par les articles sponsorisés et autre publireportages à peine maquillés, comme le montre cet article satirique d’Actu-Seo sortit en avril 2014.

Aucune blogosphère n’est épargnée, spécialement pas la blogosphère informatique. L’idée de toucher quelques piécettes pour publier un contenu pré-rédigé (et pré-digéré aussi) est tentante. Certains blogs, tendant à se transformer en webzine, comme par exemple tousgeeks, qui utilise un WordPress plus que retouché, montre clairement qu’ils caressent les annonceurs dans le sens du poil.

Note : J’ai pris cet exemple car c’est le premier qui m’est venu sous la souris, mettant sur liste noire les blogs dont les articles semblent suspect.

Il suffit de lire la prose typiquement novlangue qui s’y étale :

Parce que nos rédacteurs sont des vrais passionnés et n’hésiteront pas à rédiger des articles de qualité autour de vos produits et services (Si ça mérite).

C’est vrai, surtout pas trop méchant. Pourquoi dire du mal d’un produit reçu gracieusement le plus souvent ? Pourquoi, hein ? 🙂

Parce que TousGeeks est une vraie communauté de geeks qui n’hésiteront pas à partager leurs feedbacks avec vous autour de vos produits et services.

Traduction ? Vous faire de la promotion pour une bouchée de pain.

Nos rédacteurs sont aussi disponibles pour tester vos produits qu’ils soient offline ou online.

Qu’est-ce que je disais plus haut ? 😀

Profitez alors de la popularité de TousGeeks pour lancer vos produits, faire de la publicité pour vos sites web ou encore publier un communiqué de presse.

Rien à rajouter ici, car c’est suffisamment explicite.

Après libre à chacun de monétiser son site s’il le désire. J’en reviens toujours au même point, basée sur mes presques 10 années d’expérience dans le domaine du blogging : dès qu’on met un doigt dans les articles sponsorisés, le bras est aspiré dans un laps de temps assez court.

Mais c’est un courrier que j’ai reçu récemment qui est à l’origine de ce nouveau coup de gueule.

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